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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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Pour une poignée de dollars

Je vais vous parler aujourd'hui du premier film de la trilogie de l'homme sans nom, réalisée par Sergio Leone, Pour une poignée de dollars. Un film pour moi qui montre une vision plus réaliste du western. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

Pour une poignée de dollars (titre original : Per un pugno di dollari) est un western spaghetti réalisé par Sergio Leone, sorti en 1964 avec Clint Eastwood. Ce film est le premier volet de la trilogie de l'homme sans nom, qui comprend également Et pour quelques dollars de plus (Per qualche dollaro in piu, 1965) et Le Bon, la Brute et le Truand (Il buono, il brutto, il cattivo, 1966).
Premier western spaghetti, "Pour une poignée de dollars" s'invite brutalement dans la cour des films cultes. En s'affranchissant de l'esprit noble des films de cow-boys hollywoodiens, le réalisateur Sergio Leone invente ici un nouveau style.

Sous le soleil de plomb d'une petite bourgade californienne, sans le sou, le mystérieux Man With No Name débarque tel un chien dans un jeu de quilles. Flairant que le contexte est propice à se remplir les poches s'il fait preuve d'effronterie et de malice, celui-ci multiplie les petits arrangements ci et là, domptant la dualité qui plonge la ville dans le chaos. Ce personnage mystérieux finalement aussi pourri intérieurement que les dangereux individus dont il se sert comme de vulgaires pions d'échec constitue un vrai bouleversement dans le monde trop manichéen du western. Au-delà de l'appât du gain mis en avant, l'histoire confère au héros la dimension d'un défenseur du faible et de l'opprimé, qui préfère à toute chose le bien et la justice (notamment lorsqu'il permet à la femme séquestrée par le clan Rojos de rejoindre son époux et son fils déchirés par cette séparation). C'est le mythe, maintes fois incarné, du sauveur messianique qui permet aux hommes de retrouver la paix, l'harmonie et l'amour avec l'ambiguïté de se présenter en exécuteur des mauvaises âmes.

Pour le rôle principal Leone pensa à Steve Mac Queen ou James Coburn, mais les deux acteurs étaient beaucoup trop chers pour le budget du film. Il proposa le rôle à Horst Buchholz. Mais son agent refusa, prétextant qu'il venait de tourner dans Les Sept mercenaires (1960.) Il se décide à embaucher un jeune acteur, Clint Eastwood, vedette d'une série télé américaine, Rawhide. C'est d'abord Richard Harrison qui était d'abord pressenti pour le rôle principal, mais il recommanda Clint Eastwood à sa place parce qu'il savait "monter à cheval". C'est Eastwood qui apporta le look de l'homme sans nom, petit cigare vissé au coin des lèvres et poncho.
Pour américaniser le film, de nombreux techniciens et acteurs prirent des pseudonymes. C'est ainsi que Leone prit le nom de Bob Robertson (très certainement en hommage à son père qui tourna sous le nom de Roberto Roberti), tandis que Gian Maria Volonté transforma son nom en John Wells.

Ce film serait un plagiat du film Yojimbo d'Akira Kurosawa. Les producteurs, qui n'avaient pas prévu que le film remporte un succès international, ont négligé de négocier les droits de Yojimbo pour le monde entier. Un procès a retardé la sortie du film aux États-Unis (1966), à l'issue duquel Kurosawa s'est vu accorder les droits du film pour l'exploitation au Japon.
Le réalisateur avoua s'en être largement "inspiré sans aucun complexe" une dizaine d'années plus tard. Il déclare à un journaliste : "J'ai vu un film de Kurosawa : Yojimbo. On ne peut pas dire que c'était un chef-d'œuvre. Il s'agissait d'un démarquage de La Moisson rouge de Dashiell Hammett. Pourtant, le thème me plaisait : un homme arrive dans une ville où deux bandes rivales se font la guerre. Il se place entre les deux camps pour démolir chaque gang. J'ai songé qu'il fallait replacer cette histoire dans son pays d'origine : l'Amérique. Le film de Kurosawa se passait au Japon. En faire un western permettait de retrouver le sens de l'épopée. Et comme ce récit s'inspirait également d'Arlequin, serviteur de deux maîtres de Goldoni, je n'avais aucun complexe d'être italien pour opérer cette transplantation. Sans compter que l'inventeur du western n'est autre qu'Homère. Sans oublier que le western est un genre universel parce qu'il traite de l'individualisme."

Le succès du film est immédiat. Le public apprécie le ton décalé, violent, sadique de ce western nouveau genre. Les personnages (on ne peut pas parler de bons ou de méchants) sont sales, puants et sans honneur. Naturellement les puristes de l'Ouest américain version Hollywood n'apprécient pas beaucoup la plaisanterie, les critiques font la fine bouche, mais le public est là, le western spaghetti vient d'entrer dans l'histoire du cinéma.

J'espère vous avoir fait découvrir ce film.
Merci !
Tags : western spaghetti
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#Posté le dimanche 08 août 2010 08:12

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gilgamech, Posté le mardi 21 décembre 2010 13:13

super film


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