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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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L'âge d'or de la piraterie

L'âge d'or de la piraterieJe vais vous parler aujourd'hui de l'âge d'or de la piraterie. L'âge d'or de la piraterie désigne la période entre 1690 et 1730. Les pirates des Caraïbes attaquaient alors les galions espagnols qui ramenaient en convoi vers l'Europe l'or du Pérou. C'est aux Bahamas que les pirates cachaient ensuite leur butin. Regardons cela de plus près.

La piraterie maritime a toujours existé, de l'Antiquité jusqu'à nos jours. Mais le terme évoque surtout, dans les esprits comme au cinéma, la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècles, notamment dans les Antilles.
À la fin du XVe siècle, Colomb ouvre la voie vers le nouveau monde. Entre 1492 et 1504, il découvre les petites et grandes Antilles et l'île de Trinidad, puis explore le Panama, Costa Rica et le Honduras. Le décor est posé. Portugais et Espagnols installent leurs colonies américaines et caribéennes et l'âge d'or de la flibuste peut commencer. L'appel de l'or aztèque et inca fait affluer les pirates vers ces nouvelles colonies qu'Espagne et Portugal entendent bien se garder. La France, l'Angleterre et la Hollande, désirant une part du gâteau, engagent des corsaires. Vers l'année 1525, les colonies espagnoles des Grandes Antilles voient ainsi surgir ces écumeurs des mers : simples gens du peuple ou gentilshommes en quête d'aventure, les corsaires ne cesseront dès lors de s'y risquer. Ils s'y établiront vers le milieu du siècle suivant, devenant ainsi, comme ils s'appelleront en français, des "flibustiers". Ils formèrent bientôt des confédérations pirates, fixées sur quelques îles des Caraïbes, comme l'île de la Tortue (au large de Haïti), ou la Jamaïque (autour de 1660). Désunis par les guerres, mais unis par la haine des "Madre de Dios" (les Espagnols) - au service du roi en temps de guerre, mais à leur propre service en temps de paix - pirates et corsaires anglais, hollandais et français sèmeront la terreur dans les Caraïbes et joueront un rôle essentiel dans l'histoire de la colonisation des Antilles et des Amériques.

L'âge d'or de la piraterieLe XVIIème siècle fut l'âge d'or des pirates dans l'océan Atlantique. A cette époque, l'Espagne ramenait les richesses prises en Amérique du Sud vers l'Espagne. Les galions chargés d'or attirèrent bien des convoitises. Le mot flibustier, qui vient du néerlandais "vrijbuiter", signifie libre butineur ou faiseur de butin. Il travaille pour son propre compte. Du XVIème au XVIIIème siècle apparaissent ces nouveaux pirates, les flibustiers, sévissant sur la mer des Caraïbes, les Antilles et l'Amérique Centrale. Les flibustiers étaient associés pour piller les navires et les côtes des colonies espagnoles d'Amérique. Aussi étaient-ils appelés Frères de la Côte. Avec une "lettre de marque" fournie par un gouverneur local, cette véritable force armée amphibie pouvait légalement assaillir et piller, sous le drapeau du pays qui les y avait autorisés, les navires et les villes adverses.
Les flibustiers français de l'île de la Tortue et anglais de l'île de la Jamaïque embarquaient parfois, comme auxiliaires, les boucaniers français de l'île espagnole de Saint-Domingue. Ils furent célèbres, surtout pendant la première moitié du XVIIème siècle, où ils écumèrent les Antilles et les côtes du Vénézuela. La guerre de la Succession d'Espagne, en faisant de l'Espagne l'alliée de la France, contribua à la fin de la flibuste.

On oppose généralement à tort les marins et on les classe arbitrairement en trois catégories : les pirates, les corsaires, les officiers de marine. Rien n'est plus faux : un pirate est certes un bandit, mais dès que le roi reconnaît ses compétences, il l'admet à son service, lui donne des "lettres de marque" pour courir sus à l'ennemi, et voilà notre pirate transformé en corsaire. Que cet ancien bandit réussisse avec le méme sabre d'abordage sa nouvelle carrière de corsaire, le voilà promu capitaine des vaisseaux du roi tel Abraham Duquesne le Vieux, pirate redoutable, corsaire talentueux puis respectable officier de Louis XIII. Au cours de la même vie, Ducasse, né huguenot, peut étre à la fois le chef des flibustiers de La Tortue, lieutenant général des armées navales, et l'ancien calviniste qui meurt décoré de la Toison d'Or par le Roi Catholique. Ducasse est l'exemple type du flibustier-officier général. Grâce à l'argent convoité, pris et confisqué dans l'espace caraïbe, il peut donner 400 000 livres de dot à sa fille unique et en faire une duchesse de La Rochefoucauld. Splendide promotion due à l'apport fourni par les 1 600 flibustiers de Saint-Domingue pris au passage par le baron de Pointis en 1697 pour aller piller Carthagène-des-Indes. Les flibustiers y participent aux côtés de la flotte du roi. Là, "outre neuf millions en argent ou en barre, ce qui fut pris en pierreries et en argenterie est inconcevable ", écrit Saint-Simon. Carthagène-des-Indes est l'entrepôt le plus riche de toute l'Amérique latine.
Menacés sur mer, les flibustiers se tournent vers les "cités de l'or" : Maracaibo, Veracruz et Carthagène seront pillées, rançonnées et réduites en cendres plusieurs fois (à la fin du XVIème siècle et au XVIIe siècle). Mais ces expéditions causent de lourdes pertes parmi les équipages corsaires, pourtant menés par d'excellents chefs de guerre tels que Morgan et l'Olonnois. Ils succombent en outre à la fièvre jaune, à la malaria ou finissent découpés par les Indiens. Sans compter que le vent tourne et que les royaumes ne mettent plus que rarement les flibustiers à contribution. L'âge d'or de la flibuste touche à sa fin, mais la piraterie subsiste.

L'âge d'or de la piraterieDans les équipages pirates le capitaine était élu et l'équipage pouvait voter son remplacement. Le capitaine devait être un chef et un combattant : dans une attaque, tous s'attendent à ce qu'il se batte au côté de ses hommes et non pas qu'il donne des ordres à distance. Les gains étaient divisés en part égales, et si les officiers recevaient un nombre plus élevé de parts, c'est qu'ils prenaient plus de risques ou possédaient des compétences particulières. Les équipages naviguaient souvent sans salaire, leurs captures s'accumulant au cours des mois avant d'être réparties. Ils avaient, pendant quelque temps, mis au point un système garantissant une compensation en argent, or ou esclaves pour les blessures reçues pendant une bataille. Il arrivait quelquefois que les pirates libèrent les esclaves quand ils capturaient un bateau négrier car hors-la-loi, ils ne pouvaient se rendre dans un port pour les revendre. Une part non négligeable des équipages pirates étaient constitués d'esclaves libérés, en fuite ou plus ou moins enrôlés de force. Les pirates forçaient parfois des spécialistes, des charpentiers de marine par exemple, à naviguer avec eux.
Les pirates forment une société cosmopolite. Venus de Hollande, de Zélande, de Frise, de Flessingue, de Dunkerque, de Honfleur, de Saint-Malo, du pays Basque, de Provence ou de Bretagne, ils se sont partout associés en barbaresques, en gueux de la mer, en flibustiers de l'espace antillais, en Frères de la côte, en pirates de Formose aux ordres de leur roi Koxinga, établi dans l'île en 1661. Pirates, ils sont aussi contrebandiers parce qu'il faut écouler les cargaisons capturées qui sont bien plus souvent des denrées comestibles, du bois, des salaisons, du poisson séché que des perles, des émeraudes et des rubis. Certes, au milieu du triangle des Bermudes, les "îles au trésor" fascinent, les mines de cuivre de Cartier sont prises pour des mines d'or, le mica pour des diamants, et la Louisiane de Law est censée offrir des rochers de diamants, mais la réalité est tout autre. La piraterie se mue souvent en commerce au bout de la pique (c'est-à-dire en contrebande) qui se fait avec les colonies ibériques d'Amérique du Sud et Centrale. D'où une sédentarisation des pirates qui contribue au peuplement des Antilles. Les nations civilisées finissent par être plus voleuses que les pirates. En 1697, "les flibustiers eurent grand débat avec Pointis pour leur part, de la plus grande partie de laquelle ils se prétendaient frauder. Comme ils virent que le baron, officier général de Louis XIV, se moquait d'eux, ils retournèrent à Carthagène, la pillèrent de nouveau, y firent un riche butin et y trouvèrent beaucoup d'argent", dit encore Saint-Simon.

L'âge d'or de la pirateriePour les Européens de la fin du XVIIe siècle, les flibustiers représentaient l'image de l'aventure elle-même. Desperados de tout acabit, aventuriers sans foi ni loi, mais qui obéissent à un code d'honneur qui leur est propre, "les flibustiers sont les chasseurs des mers." Ils portent des noms évocateurs et épiques, que leur vaut leur courage et leur férocité : Alexandre, surnommé Bras de fer {Catalan. La Terreur des Espagnols. Dépeint comme beau de visage et vigoureux de corps. Son bateau était Le Phoenix. Vers 1667, en partance de l'Île de la Tortue il arraisonna un galion espagnol en le prenant en chasse avec une grande chaloupe et l'aborda avec ses 28 hommes. Les espagnols furent surpris et désemparés, les flibustiers se battirent tels des démons étant sur-armés et déterminés. Il demanda au chirurgien de crever le fond de l'embarcation, ce qui obligea les flibustiers à vaincre ou mourir. Il doit son surnom à la force de son poignet. Certains historiens pensent que ce personnage est une pure fiction.}; Pierre le Grand {est un flibustier des Caraïbes du 17ème siècle. Il est connu par une seule source, celle d'Alexandre Exquemelin, Histoire des avanturiers flibustiers qui se sont signalez dans les Indes, contenant ce qu'ils ont fait de plus remarquables depuis vingt années, et il est peut-être imaginaire.}; Roche Brasileiro, dit le Brésilien ou le Roc {Roche Braziliano (parfois orthographié Rock, Roc, Roque, Brazilliano, ou Brasiliano) (1630-1671), était un pirate hollandais né à Groningen. Sa carrière de pirate a duré de 1654 jusqu'à sa disparition en 1671. Bien que son vrai nom a été perdu pour l'histoire, il est connu comme "Roche Braziliano", qui se traduit en portugais en "Rocha Brasileiro", qui en anglais devient "Brazil Rock".}; Daniel Monbars, dit L'exterminateur {Pirate français, il a quitté sa province natale pour devenir pirate après avoir lu le récit d'un curé qui accompagnait les conquistadors. Il a trouvé abominable ce que les Espagnols ont fait subir au peuple indien. Il prenait du plaisir à attaquer les navires espagnols et à faire subir d'atroces tortures aux capitaines et aux équipages qu'il abordait.}; Morgan le Gallois {Sir Henry Morgan (né le 24 janvier en 1637 au Pays de Galles - mort le 23 août 1688 à la Jamaïque), était un flibustier ayant souvent goûté à la piraterie, ou un pirate boucanier ayant souvent accepté des missions de corsaire. Homme violent et sans scrupules, il mena une existence de bandit, volant et tuant sans compter, mais ses expéditions audacieuses, dont la plupart se déroulèrent sur la terre ferme, en firent l'un des capitaines les plus respectés des Caraïbes. Il considérait les bateaux comme un moyen de transport efficace, mais pas comme une arme précieuse. Il connut en effet de nombreux naufrages dus à son manque de talent en tant que capitaine. Malgré sa cruauté, il fut anobli à la fin de sa vie.}; le capitaine Mautauban {Etienne de Montauban, aventurier Français au service de Louis XIV, mena les navires qu'il commandait des Antilles en Afrique, des Amériques en France, où il fit escale dans l'hiver 1694/1695. De Bordeaux, où il était venu vendre une flotte de commerce ennemie qu'il avait conquise, il partit pour l'Afrique, où va se jouer son destin. Lors d'un combat naval, son vaisseau "Les Trois Frères", explosa. II survécut à ce drame, et après avoir longtemps dérivé en mer, il fut recueilli par un Roi du Gabon, qui l'hébergea et le soigna. II rejoignit la Martinique, puis Bordeaux, où il se retira, et écrivit ses mémoires, qui furent publiées en 1698, sous le titre de "Voyage en Guinée du Sieur de Montauban, capitaine de flibustiers, l'an 1695 ".}; François L'Olonnais dit le cruel ou L'Olonois {est considéré comme l'un des pirates les plus cruels et sanguinaires toutes époques confondues. D'origine française, né aux Sables-d'Olonne en 1630, il commit ses principaux actes de piraterie en compagnie de Michel le Basque. Après avoir fait naufrage en 1669 sur la côte de Darién, au Panamá, il est capturé puis est haché, rôti et mangé par des Indiens cannibales.}; Bartoloméo, surnommé le Portugais { Bartoloméo, surnommé le Portugais, s'installa en Jamaïque dans les années 1660. Plusieurs fois il fut fait prisonnier mais réussit à s'enfuir. Son évasion la plus célèbre se passa en 1666 où il s'évada de Campêche (Mexique) à la nage. Il est célèbre à cause de son extrême cruauté, il était un grand meurtrier. Il mourut dans le naufrage de son navire en 1670 au large de l'île de Pinos}.

L'âge d'or de la piraterieLes flibustiers n'opéraient que dans les Caraïbes, mais les "princes de la mer" sont de tous les océans. Ils étendent leurs réseaux de contrebande toujours plus loin : des Caraïbes aux mers du Sud, le cercle compte au moins 5000 forbans, pour les trois quarts anglo-américains. Intrépides, ils traversent l'Atlantique, doublent le cap de Bonne-Espérance, remontent vers la mer Rouge, le golfe Persique et la côte de Malabar. Ils établissent de nouvelles bases dans l'océan Indien et s'attaquent aux bateaux persans, arabes et indiens.
La flibuste disparaît dans l'espace caraïbe à la fin de la Régence, du fait de l'omniprésence de la Royal Navy. Les flibustiers abandonnent ce métier devenu trop périlleux pour investir, grâce à leurs butins, dans de vastes propriétés vouées à la grande plantation sucrière.

L'apogée de cette piraterie expansionniste se situe entre 1716 et 1718. Mais le XVIIIe assiste aussi à un véritable essor des marines de guerre européennes, mettant un terme rapide à la piraterie. Les "pirates" tels qu'ont les imagine dans les films hollywoodiens apparaissent après 1700, notamment après la fin de la Guerre de Succession d'Espagne (1713, suivie par une crise commerciale à partir de 1715). C'est cette période qui a le plus donné lieu à la légende et aux caricatures, mais elle concernait principalement des pirates anglais.

L'âge d'or de la piraterieDans le début du XVIIIe siècle, la mer des Caraïbes a été le théâtre de nombreuses incursions par des bandes de pirates qui ont terrorisé les commerçants ont menacé les autorités. Il en fut le cas en Amérique, et surtout dans la mer des Caraïbes au cours des XVIIe et début du XVIIIe qui est devenue une terre d'opportunité pour les pirates. Mais c'est dans la piraterie au début du XVIIIe siècle qui avait son essor dans les Caraïbes, une courte période de quelques années, au cours de laquelle quelques centaines de pirates, au total, peut-être 4000 semèrent la terreur parmi les commerçants, qui naviguaient sur les eaux des Caraïbes. En 1715, à la fin de la guerre de Succession d'Espagne, beaucoup de marins au chômage et des vielles bandes de pirates ont été intégrés dans les pirates des Caraïbes et furent menacés. Le saut dans la piraterie avait parfois lieu après une émeute ou après la capture par des pirates, dont les équipages de nombreux autres furent enrôlés volontairement avec vigueur. Presque tous les pirates étaient jeunes, et la dureté de l'office exige de la santé, de la force et de l'endurance. En outre, presque tous les pirates étaient célibataires, comme les capitaines de l'équipage qui ont préféré puisqu'ils ne pouvaient pas les abandonner pour des raisons familiales. Les côtes des Caraïbes offraient de nombreuses criques et les îles inhabitées idéales pour les pirates afin de se réfugier et de réparer leurs navires. Dans l'âge d'or des pirates, le grand centre île des pirates était dans les Bahamas, New Providence, et son port de Nassau. Là, il s'est formé un véritable nid de pirates, qui ont conduit à l'expulsion du gouverneur anglais et nourri les expéditions des grands pirates de ces années : Hornigold {Le capitaine Benjamin Hornigold était un pirate anglais au début du XIXe siècle. Sa carrière de pirate fut relativement courte (de 1715 à 1718). Il obtint un pardon royal et devint alors chasseur de pirate. Il mourut dans un naufrage en 1719.}, Vane {Charles Vane (vers 1680 - 29 mars 1720), Pirate anglais. Sa carrière de pirate a duré de 1716 à 1720. Son navire amiral était un brigantin nommé The Ranger. Il est mort pendu à Gallows Point (Port Royal, Jamaïque)}, Calico Jack {Jack Rackham surnommé "Calico Jack" à cause de ses vêtements très colorés faits de calicot, il avait parmi ses hommes d'équipage les deux plus célèbres femmes pirates : Anne Bonny et Mary Read.}, Bellamy {Flibustier anglais ayant sévi dans les Antilles au XVIIIe siècle à bord du Whydah Gally, surnommé Black Sam, Black Bellamy ou encore le Prince des Pirates. Il était pourvu d'un grand charisme ainsi que de beaucoup d'éloquence, il avait l'habitude de motiver ses troupes par des discours, art dans lequel il excellait}, Barbe Noire {Edward Teach, surnommé Barbe Noire, est l'une des figures les plus célèbres de l'histoire de la piraterie. Il eut quatorze femmes et presque autant de noms. Il écuma les mers pendant 2 ans au large des côtes de la Caroline du Nord avant de mourir.}, Bartholomew Roberts {Il semble qu'il ait mené la carrière de pirate la plus réussie de toute l'histoire, en capturant plusieurs centaines de navires.} ... En présence d'un bateau pirate, les navires étaient peu nombreux a résister. Une fois à bord du navire, la première chose exigée par les pirates, c'est qu'ils se révèlent l'endroit où se cachait le trésor. Selon plusieurs rapports des victimes de Charles Vane, quand ils prirent d'assaut un bateau pour avoir un marin sur qui ils choisirent à le soumettre à toutes sortes de tortures jusqu'à ce qu'ils avouent où était l'argent. La montée de la piraterie dès lors provoqua une intervention de l'État, en particulier celle de la Grande-Bretagne, qui domine une grande partie de la traite atlantique. En 1717, George Ier d'Angleterre a offert le pardon pour les capitaines et les équipages afin de quitter cet office, et menaça les autres d'une poursuite sans relâche. Ainsi tombèrent les grands capitaines flibustiers qui avaient perdu tout contrôle dans les Caraïbes.

Malgré l'image romantique qui leur fut ensuite donnée, la plupart des pirates de cette époque ne furent actifs que quelques mois, un ou deux ans au maximum, avant d'être pris ou tués. L'âge d'or de cette piraterie-là n'a, en tout, duré qu'une douzaine d'années, de 1715 à 1726 environ.
Les écrivains s'emparèrent alors du mythe...

J'espère avoir été instructif.
Merci !
Tags : Histoire
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#Posté le samedi 27 novembre 2010 12:20

Modifié le dimanche 28 novembre 2010 10:56

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taigong788, Posté le mercredi 30 septembre 2015 11:58

Visiteur a écrit : "merci de m'avoir aidée pour ma rédaction ;)"

De rien, je suis heureux d'avoir pu t'aider.


Visiteur, Posté le mardi 29 septembre 2015 14:15

merci de m'avoir aidée pour ma rédaction ;)


x-Rastamanga-x, Posté le mardi 30 novembre 2010 11:03

L'âge dor de la piraterie, c'était pas il y a 2-3 ans avec Pirates des Caraïbes? xD
C'est vrai que maintenant, qd on pense pirate, on pense aventures et tt, sans penser aux côtés dangereux de cette "profession"
La 2ème image ets trop belle!


lycan-vampire-77, Posté le dimanche 28 novembre 2010 03:15

trop bien


nadoux38, Posté le samedi 27 novembre 2010 13:17

trop bien cet article il ma beaucoup plus
bisous


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