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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nous

Nous allons voir aujourd'hui la tétralogie des «Morts Vivants» de George Romero mettant en vedette le thème de l'apocalypse zombie et un commentaire sur la société moderne. Je m'excuse d'avance pour les spoilers. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nousGeorge Romero est fan des comics horrifique d'E.C. Comics qu'il dévore, et après avoir été diplômé en 1960 à l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh, il fonde avec des amis en 1961 la société "Latent Image", qui produit sur la région des messages publicitaires, des films industriels et des programmes de télévision, puis en 1967 en s'associant à une autre société publicitaire il forma "Image Ten Productions", et cotise avec ses amis environ 10 000 $ pour produire ce qui est devenu l'un des films d'horreur américains les plus célèbres de tous les temps : La Nuit des morts-vivants (1968). John Romero s'est inspiré de Je suis une légende de Richard Matheson, mettant en scène «une masse informe revenue d'entre les morts et poussée par un besoin irrépressible de se nourrir de la chair et du sang des vivants». Il invente ainsi le zombie (un terme qu'il n'aime pas, il préfère le mot goule), un mort qui marche lentement, hostile à la vie humaine et qui se livre à un assaut général sur la civilisation s'inspirant des vampires du film Je suis une légende de Ubaldo Ragona et Sidney Salkow en 1964 avec Vincent Price.
 
La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nousLa Nuit des morts-vivants, a suscité la controverse parmi les critiques et le public. Filmé à Pittsburgh, c'est le premier grand film a être filmé dans cette ville avec un petit budget. Le film innove alors : prise de vue en noir et blanc avec un budget de 114000 $, la vision de Romero est combinée avec un script solide écrit par lui et le co-fondateur du projet John A. Russo (avec ce qui était alors considéré comme un excès de gore), doublé d'un côté réaliste puisque le son est pris sur le vif, le cadrage est serré, et la caméra portée à l'épaule. En prenant le huis clos, il peut amener une vision claustrophobe et paranoïaque, dans une épopée horrifique dont le héros principal est un Noir, se faisait l'écho des préoccupations politiques de son temps. Le fait que plupart des personnages sont interprétés par des amateurs, de simples habitants de Pittsburgh, amis ou clients de la maison de production (Duane Jones, Judith O'Dea, Keith Wayne, Judith Ridley, Kyra Schon, Karl Hardman et Marilyn Eastman) donne un ton encore plus réaliste au film. Le scénario nous met face à deux personnages Ben (un routier Afro-américain) et Barbara, qui n'ont pas de plan d'attaque pour combattre les morts vivants revigorés par un nuage de radiations et qui se sont réfugiés dans une maison où se trouve Harry et sa femme Helen Cooper qui se cachent dans leur cave, avec leur fille Karen, rejoints par un jeune couple Tom et Judy. Alors que les morts attaquent le conflit entre les personnages nourrit l'action. La lâcheté d'Harry, la mort de Judy et de Tom tandis que Barbara se réveille de son état catatonique, nous amène à un final où les morts vivants finissent par entrer et tuent Barbara, jusqu'au moment fatidique où la petite Karen devenue une morte vivante tue ses parents Harry et Helen pour les manger, Ben se réfugiant dans la cave est obligé de tuer Karen et ses parents. Seul survivant, il se fait tuer en passant la tête par la fenêtre par la troupe qui croit qu'il est un mort vivant. Ce film est surtout une critique de la société américaine puisqu'elle montre l'égoïsme vu que les héros au lieu de s'unir s'affrontent entre eux alors que les morts vivants sont unis vers leur seul but les manger, le racisme puisqu'Harry se méfient de Ben avec ses préjugés à un moment où l'assassinat de Martin Luther King est encore récemment dans les mémoires, et se permet de critiquer l'idéal familial américain qui n'était pas ou peu réaliste puisqu'à travers Karen il montre que la nouvelle génération dévore ses parents. Cela a permis au film de gagner beaucoup plus que ce qu'il a coûté avec 5 million de $, et il est devenu un classique de l'horreur au début des années 1970 qui a été intronisé au National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès des États-Unis en 1999. Il n'a pas eu un succès immédiat, il a fallu attendre environ un an avant qu'il soit redécouvert par les critiques étrangers, qui ne le virent pas seulement comme un autre film d'horreur, mais comme un film plein d'esprit qui réfléchissait sur la société. C'est ensuite que Romero a reçu beaucoup d'offres pour faire d'autres films d'horreur pour les grands studios. Il résista, car il ne voulait pas être contraint par les studios.
 
La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nousRomero décide de faire des films qui lui tiennent à c½ur comme There's Always Vanilla (1971), Season of the Witch (1972) (où il a rencontré sa future épouse Christine Forrest), La nuit des fous vivants (1973), et Martin (1977). Ces films en dehors du premier avaient sa signature notamment en traitant de questions sociale comme dans Season of the Witch, La nuit des fous vivants et Martin généralement liée à l'horreur. En dehors d'un succès d'estime, George Romero doit revenir au film de zombie avec Zombie en 1978. Désirant rester indépendant, il s'associe avec le producteur Richard P. Rubinstein au sein de la société Laurel Production, et il peut lancer son projet grâce à Dario Argento avec un budget d'un million et demi de dollars. Les prises de vue se sont faites à Monroeville, Pennsylvanie, dans un Mall pendant les heures de fin de soirée, Romero raconte ici l'histoire de quatre personnes (Fran une journaliste, Steve un pilote d'hélicoptère et son petit ami, et les policiers Peter et Roger) qui échappent à une épidémie de zombies provoqué par la police qui est intervenu dans un immeuble occupé essentiellement par des Afro-Américains et des Portoricains précaires qui ne voulaient pas brûler leurs morts, et se verrouillent à l'intérieur d'un centre commercial qu'ils pensent être le paradis avant que la solitude les rend victimes de leur propre égoïsme, ce qui amène Roger devenu moins prudent à être contaminé ce qui oblige Peter à le tuer, et enfin un gang de motards avide permet aux morts vivants de rentrer. Steve devenu un mort vivant permet aux autres de passer les barrages mis en place, ce qui oblige Fran à fuir en hélicoptère avec Peter avec le peu de carburant qu'il reste. Tourné sur un budget de 1,5 million de $, le film a gagné plus de 40 millions $ dans le monde entier et a été nommé l'un des meilleurs films cultes par le magazine Entertainment Weekly en 2003. Le film est également marqué comme la première ½uvre de Romero avec un brillant maquillage et les effets spéciaux de Tom Savini qui innove en matière en effets gore (des cervelles explosent, le sang gicle, les entrailles se déversent). George Romero utilise encore des acteurs qui débutent leur carrière (David Emge, Ken Foree, Scott Reiniger et Gaylen Ross) afin de s'identifier pleinement à eux. Ce film qui est l'image de l'apocalypse zombie se double d'une puissante comédie noire, qui critique la culture bourgeoise, le consumérisme puisque les zombies qui veulent entrer dans le Mall reproduisent leur vie passée tandis les héros vivent dans le monde protecteur de la société de consommation alors que Fran n'est pas satisfaite de cette vie, sans oublier le machisme puisque les hommes prennent les décisions sans Fran tout en finissant avec un énorme carnage où la vie protectrice du Mall tombe en éclat. Il existe trois montages du film : le nihiliste de Romero où tout le monde meurt à la fin, l'européen de Dario Argento avec une fin ouverte, qui est le meilleur montage et possède une meilleure musique et celui plus décalé, voire humoristique.
 
La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nousLe succès aidant, George Romero ne se précipite pas et s'occupe d'autres films comme Knightriders (1981), où il travaille avec Ed Harris dans un film où bande de motards adoptent des règles dignes de la chevalerie et du roi Arthur et s'opposent à la fin du film aux autorités pleines de préjugés à leur encontre, puis vient Creepshow (1982), où avec Stephen King il peut nous faire découvrir des histoires délicieusement effrayantes et rendre hommage à E.C. Comics. Il revient ensuite au film de zombie avec Le Jour des morts-vivants en 1985. Ici Romero centre le film sur le développement des personnages avec un casting un peu plus connu mais qui n'a pas encore le statut de star comme Lori Cardille, Terry Alexander, Joseph Pilato, Sherman Howard, et Greg Nicotero. Le film se penche sur le conflit entre des chercheurs voulant en finir avec la contamination des morts vivants et les militaires (le capitaine Henry Rhodes) voulant les éradiquer au milieu duquel les quelques humains (Sarah, le détective privé Miguel Salazar, l'opérateur radio William "Bill" McDermott, et le pilote d'hélicoptère John Volez) restent cachés dans un silo à missile datant de la guerre froide suite à l'invasion planétaire de morts-vivants. Un scientifique, le Dr Logan tente de reprogrammer un zombie appelé Bub pour ne pas manger de la chair humaine. Après que des soldats contaminés se dirigent vers la base, et que le capitaine Rhodes tue le Dr Logan, Sarah et Bill fuient sur une île déserte après que les militaires se font tuer et que Bub venge le Dr Logan en tirant sur le capitaine Rhodes et le laissant se faire déchirer par les morts vivants. C'est la conclusion ostensible à la trilogie des "Morts Vivants", qui a été brutalement ébranlé par des compressions budgétaires de dernière minute qui fit passer le budget de 7 millions $ à un peu de 3,5 millions $, et dont le tournage a eu lieu durant l'automne 1984 dans des endroits comme la Pennsylvanie et la Floride avec de nombreux problèmes liés aux effets spéciaux à cause du puits de mine utilisé qui était très humide, mais cela permet de donner au film un ton claustrophobe, sonore, progressif et incroyablement sanglant. Romero ne prend pas partie pour aucun des deux factions puisque que ce soit les militaires et les scientifiques, ils essayent tous les deux de trouver une solution pour s'en sortir, et à travers l'abri souterrain où les survivants se cachent il montre à nouveau un monde où au lieu de s'unir ils se déchirent entre eux ne pouvant faire face à l'inévitable face à des zombies qui reviennent aux gestes de leurs vies quotidiennes. Le ton antimilitariste du film est aussi visible avec la fin gore de ceux-ci comme une référence à la crise des euromissiles en 1983 qui a faillit emporter le monde dans la guerre et c'est aussi une critique de la politique migratoire de Ronald Reagan qui voulait stopper l'immigration mexicaine, en gros le zombie montre la peur des étrangers. Le film qui est un succès mondial puisqu'il fait 30 millions de $ dans le monde entier.
 
La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nousEn ayant fini avec cette trilogie, il s'essaye à deux nouveaux films, La part des ténèbres (1993), une autre adaptation de Stephen King, et Bruiser (2000), il s'occupe aussi de la publicité de Resident Evil 2 en 1998, où  Leon S. Kennedy et Claire Redfield luttent contre une horde de zombies dans le commissariat de Raccoon city, puis Capcom lui confie l'adaptation d'une version live de Resident Evil avant de lui retirer le projet alors que son scénario était excellent. Romero revient encore avec le film de morts vivants dans Le Territoire des morts-vivants en 2005 qui constituera la tétralogie des «Morts Vivants ». Ici, il explore le pouvoir politique et la révolution dans l'une des villes humaines restantes où on continue les divisions sociales entre les riches, les employés et les pauvres. Les zombies, qui désormais pensent et communiquent, s'organisent pour prendre d'assaut la ville. Kaufman, autoproclamé chef des vivants, engage un commando de mercenaires pour contrer les attaques de ces morts-vivants d'un genre nouveau, mais Cholo DeMora décide de menacer ce dernier et Kaufman envoie Riley le tuer. Riley change de camps, revient dans la ville et se sauve lors de l'attaque des zombies menées par Big Daddy qui le laisse partir avec les pauvres vers d'autres cieux. Le casting de star avec John Leguizamo, Simon Baker, et Asia Argento permet de donner un ton nouveau à ce film de zombie. Il choisit de montrer un film au rythme rapide n'hésitant pas à aller sur le gore et la violence, pour essayer de plaire aux fans du genre et aux non-initiés. Le scénario montrait l'actuel modèle sociopolitique corrompu impliquant les réactions de Romero envers George W. Bush et sa «guerre contre le terrorisme», où le réalisateur fournit des messages pertinents incitant à un changement politique radical. Le film a très bien marché et a reçu des critiques positives. Il fera ensuite deux autres film sur les morts vivants, Chronique des morts-vivants en 2008, où des étudiants décident de filmer une épidémie de zombies, et Le Vestige des morts-vivants en 2009, où sur une petite île du nord des États-Unis, quelques humains affrontent une invasion de morts-vivants, qui sont moins bons mais qui ont malgré tout relancé la série des «Morts Vivants».
 
La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nousGeorge Romero a été imité mais aucun des films s'inspirant de ses ½uvres n'arrivent à la cheville de son talent en dehors de la comédie horrifique de Edgar Wright, Shaun of the Dead en 2005 qui respecte son univers, il se permet même de critiquer lui-même le comics et la série Walking Dead. Il n'a pas pour autant abandonner l'univers des morts vivants puisqu'il participe au scénario du comics de Marvel commencé en 2014, Empire of The Dead, où l'on voit New York contaminé par la peste des morts vivants et Manhattan est mise en quarantaine, alors que ses habitants sont entre les morts vivant et les vampires en essayant de survivre. Le succès étant au rendez-vous, on a annoncé une adaptation du comics en série TV en 2015 sur AMC. Et il a sans doute trouvé un successeur dans le réalisateur sud coréen Yeon Sang-ho qui a travers ses films sortis en 2016 Seoul Station, préquelle animée du film Dernier Train pour Busan, qui nous montre qu'un incident parti d'une petite émeute s'est répandu dans le monde entier, qui est désormais dominé par les zombies, et Dernier Train pour Busan, où un virus inconnu se répand en Corée du Sud, l'état d'urgence est décrété. Les passagers du train KTX se livrent à une lutte sans merci afin de survivre jusqu'à Busan, l'unique ville où ils seront en sécurité. Dans la préquelle, Yeon Sang-ho montre la machine répressive de l'État contre la population à travers un état d'urgence qui empêche les survivants de fuir, le rejet des SDF méprisés, et une critique de la société coréenne où égoïsme, individualisme et souci de classe empêchent de voir l'autre et de l'aider, tandis que dans Dernier Train pour Busan, il critique à nouveau le gouvernement et le chacun pour soi que décline un monde où l'égo et l'argent sont plus important que les autres, dans un film où la rédemption existe et dont le sacrifice et la solidarité permettent de survivre à une horde d'infecté.
 
La tétralogie des «Morts Vivant» ou comment George Romero a dépeint un monstre si proche de nousEt finalement si le zombie du cinéma a si bien marché, c'est que Romero à travers ce personnage a su monter nos travers humains et notre peur de l'inconnu.
 
Merci !

Nous allons voir aujourd'hui la tétralogie des «Morts Vivants» de George Romero mettant en vedette le thème de l'apocalypse zombie et un commentaire sur la société moderne. Je m'excuse d'avance pour les spoilers. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.   George Romero est fan des comics horrifique d' E.C. Comics qu'il dévore, et après avoir été diplômé en 1960 à l' université Carnegie Mellon de Pittsburgh, il fonde avec des amis en 1961...

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#Posté le jeudi 08 septembre 2016 02:46

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