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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)

La Menace Fantôme est suivie en 2002 par Star wars : Épisode II - L'Attaque des clones, c'est l'occasion pour George Lucas de tourner un film entièrement en numérique. Pour le film, Sony développe la technologie vidéo haute définition en créant la caméra HDW-F900. Et, visiblement à l'écoute des spectateurs et des fans da la saga, George Lucas a décidé d'atténuer l'importance de Jar Jar Binks dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones. Le Gungan gaffeur n'apparaît dans ce second volet que durant quelques courtes scènes (déjà de trop pour beaucoup).
 
Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)En mettant les éléments clés au centre d'une attention de plus en plus précise, Lucas et Hales ont continué à affiner le scénario - même lorsque les costumes étaient conçus et les décors construits. «À ce stade, Attack of the Clones ressemblait à un 'film virtuel' parce que nous avons obtenu le scénario seulement trois jours avant le début du tournage», se souvient le producteur Rick McCallum. «Nous avons dû créer ces ensembles avec un script qui n'existait pas.» L'histoire a continué à bien évoluer vers la production et même la post-production, car Lucas a affiné des scènes et des dialogues spécifiques, ajoutant parfois de nouvelles séquences des mois après la fin de la photographie principale. En réalité, ce scénario en constante évolution explique pourquoi le film était si bancal, et le script de Jonathan Hales était bien meilleur. Lorsque Lucas contacta Christopher Lee pour lui proposer le rôle du nouveau Sith, il n'avait pas encore achevé de scénario. Il resta donc très vague sur le personnage, précisant simplement que c'était un "ancien Jedi marqué par les combats". Lee a dit par la suite que c'était son admiration pour Lucas et pour Star Wars qui l'avait poussé à signer malgré tout. De l'aveu du cinéaste, "L'Attaque des clones est une grande et stupéfiante aventure dans la tradition des serials du samedi matin de l'Âge d'or d'Hollywood". Malheureusement pour Lucas, l'inspiration de Star Wars vient plutôt des films de guerre, du western et des chanbaras. Contrairement aux précédents films Star Wars, L'Attaque des clones n'est pas filmé en Angleterre mais en Australie aux studios de la Fox à Sydney du 26 juin au 25 août 2000. Comme le fait savoir Hayden Christensen dans The Star Wars Archives. 1999–2005: «George était vraiment passionné par l'histoire qu'il racontait. Il était tellement excité. Il était derrière les moniteurs à chaque prise, parlant aux acteurs, entrant dedans.» Et c'est ce qui va poser problème dans cet Épisode II, Lucas refuse de déléguer. Au lieu de suivre le modèle vieux de plusieurs décennies de pré-production, de tournage et de post-production, Lucas utilise plutôt une approche plus fluide et non linéaire de la réalisation de films. Des périodes de photographie supplémentaires sont prévues à l'avance, les cinéastes et les acteurs se réunissant des mois après le début du processus de montage pour tourner des scènes supplémentaires dont le besoin a été identifié par le premier montage évolutif de Lucas. «C'est toujours un calendrier de tournage de soixante-douze jours assez normal», dit McCallum, «sauf qu'il s'étale sur dix-huit mois.» Cette période de 18 mois de tournage vient du fait que profitant de la liberté de montage que lui offre le numérique, le cinéaste a arrêté avec Rick McCallum différentes dates de prises de vue additionnelles, afin de visualiser au fur et à mesure du montage les scènes manquantes à son film. Dès lors, tournage et montage n'étaient plus deux étapes distinctes, mais un seul et même mouvement. Si le travail était plus fluide et linéaire on peut se demander pourquoi des re-tournages ont été effectués en mars 2001. Pendant ce temps, une nouvelle séquence d'action a été développée avec l'usine de droïdes après que George Lucas eut décidé que le film manquait d'un rythme assez rapide dans le laps de temps correspondant. La pré-visualisation de la séquence a été précipitée et les images en direct ont été tournées en quatre heures et demie. Cette obsession à garder le contrôle peut expliquer pourquoi le film n'est pas bon. Un indice nous aurait permis de savoir à ce qu'on pouvait s'attendre, c'est le moment où Ewan McGregor a découvert le nom de Star Wars Episode 2. En entendant «L'Attaque des Clones», l'acteur incarnant Obi Wan Kenobi éclate de rire et déclare à Nicole Kidman - qui il se tenait à côté de lui sur le tapis rouge  pour la promotion du film Moulin Rouge en 2001- «Je viens de découvrir le nouveau film Star Wars intitulé L'Attaque des Clones !» Il ajoute ensuite : «Est-ce mieux que La Menace Fantôme ? Je ne sais pas.»
 
Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)Des choses plus inquiétantes viennent confirmer le souci que le film connaît. Hugh Quarshie devait à l'origine reprendre son rôle du capitaine Panaka de Star Wars: Épisode I - La menace fantôme (1999). Cependant, il a refusé l'offre après que Lucasfilm ait refusé de le laisser lire le script entier, son personnage a donc été écrit et remplacé par un chef nouvellement créé du capitaine de la sécurité Typho, interprété par Jay Laga'aia. Tandis que Terence Stamp a refusé de reprendre son rôle de chancelier Valorum, affirmant que «les acteurs préfèrent travailler avec des acteurs». Le monteur sonore superviseur Ben Burtt, lors de la production du film, a essayé de compiler tous les effets sonores de tous les autres films Star Wars en travaillant sur celui-ci sur une seule base de données. Il a estimé qu'il y avait environ 5000 effets sonores à ce moment-là. Il a été déçu de constater que de nombreux effets sonores des films plus anciens n'avaient pas été correctement conservés.  Le concepteur sonore Ben Burtt a aussi expérimenté l'utilisation de battements de batterie et de sons de percussions pour souligner la séquence de l'usine de droïdes. Quand George Lucas lui a dit de mettre en place des effets traditionnels, les scènes se sont retrouvés accompagnés par la musique de température de John Williams de L'Empire contre-attaque (1980). Au cours de la bataille finale, près de 90% de la musique entendue provient de la partition de John Williams de Star Wars : Épisode I - La menace fantôme (1999). C'est probablement parce que, comme la séquence de l'usine de droïdes, la bataille de clones était un ajout tardif au film. La direction d'acteur n'est pas plus fameuse puisqu'Hayden Christensen ayant obtenu le rôle face à Ryan Phillippe, Micha Collins, Paul Walker, Colin Hanks, Christian Bale, Heath Ledger, James Van Der Beek, Joshua Jackson, Eric Christian Olsen, Erik von Detten, Chris Klein, Leonardo DiCaprio (George Lucas "le voulait, mais que ça ne l'intéressait pas", et il ne se "sentais pas prêt à plonger là-dedans") et Jonathan Brandis, principalement parce que lui et Natalie Portman "avaient l'air bien ensemble", a affirmé avoir beaucoup aimé tourner la scène du bar, car tout était dans un vrai décor, et pas seulement sur un écran vert. Et Hayden Christensen confie aussi qu'incarner le futur Dark Vador a été compliqué : «Le plus difficile était de trouver l'équilibre entre ce que Jake Lloyd avait apporté au rôle dans La Menace fantôme et Sebastian Shaw en en tant que Dark Vador dans Le Retour du Jedi. Il fallait rendre crédible son combat entre le Bien et le Mal». Ce qui peut expliquer la mauvaise performance de l'acteur dans le rôle. Avec l'arrivée de Hayden Christensen dans l'univers Star Wars, le choix de Christopher Lee pour incarner le Comte Dooku semble bien refléter l'envie de Lucas de tisser des liens plus étroits avec sa précédente trilogie. "J'avais à c½ur de revenir vers le type d'acteurs et de personnages d'Un nouvel espoir, comme celui de Grand Moff Tarkin, joué par Peter Cushing." Daniel Logan, le jeune interprète de Boba Fett, a été retenu par la directrice de casting Robin Gurland après un seul bout d'essai devant les caméras. Incarnant le célèbre chasseur de primes dans son enfance, ce jeune Maori de 15 ans a la lourde tâche d'interpréter l'un des personnages préférés des fans. Temuera Morisson qui s'est fait connaitre dans un film d'une rare violence dans les années 90, l'Âme des guerriers (Once were Warriors), incarne Jango Fett, père des clones de la république et de Boba Fett (lui-même clone de son père) ainsi que des clones. Le personnage d'Aayla Secura introduit à l'origine dans la deuxième série de bandes dessinées en cours Star Wars, qui a été publiée par Dark Horse Comics, a finalement fait le saut sur grand écran en 2002 avec Star Wars Episode II : L'Attaque des Clones, où elle a été jouée par l'actrice Amy Allen. Comme le montre The Star Wars Archives. 1999–2005 de Paul Duncan en 2020, Natalie Portman s'est assuré que Padmé n'était pas seulement une demoiselle en détresse. Nous devons remercier l'acteur qui a interprété la reine Amidala pour certaines des négociations les plus agressives du personnage. Lorsque la production a commencé sur l'épisode II, Natalie Portman a spécifiquement demandé à Lucas d'inclure plus de scènes d'action pour Padmé. Tout comme Carrie Fisher, qui a assuré que la princesse Leia était plus qu'un simple sauvetage, Portman a plaidé en faveur de Padmé. Pour citer Obi-Wan, «elle semble être au top.» Natalie Portman dit aussi avec beaucoup d'humour dans The Star Wars Archives. 1999–2005 que "Nous nous sommes sentis assez stupides de mordre dans des fruits qui n'existaient pas mais c'était amusant à photographier. George nous a dit d'improviser une partie du dialogue - et il est devenu inapproprié très rapidement." Frank Oz a été consulté; son principal conseil était que Yoda devrait avoir l'air extrêmement vieux, endolori et glacial. Coleman a expliqué plus tard le processus de fabrication du Yoda numérique comme la version marionnette, en disant : "Quand Frank (Oz) bougeait la tête, les oreilles trembleraient. Si nous n'avions pas mis cela, cela ne ressemblerait pas à Yoda." Dans ce naufrage, les acteurs Franck Oz, Samuel L. Jackson et Ewan McGregor sont des lueurs trop faibles pour sauver un film.
 
Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)Dix ans se sont écoulés. Padmé Amidala, qui a délaissé le costume de reine pour celui de sénatrice, fait l'objet de multiples tentatives d'assassinat dont la dernière tentative est faite par  la chasseuse de primes, Zam Wesell (dont les séquences dans les bas-fonds de Coruscant, qui la mette en scène, sont apparemment une référence au Blade Runner de Ridley Scott), dans une République est de plus en plus fragile, tiraillée depuis dix ans entre les pressions de divers groupes dissidents, alors qu'elle essaie d'entretenir la paix. Dans le roman Queen's Shadow d'E.K. Johnston, elle tente sans succès de mettre fin à l'esclavage sur Tatooine, et Sabé envoyée sur place n'arrive pas à localiser Shmi déjà vendue à Cliegg Lars qui l'a libérée, l'épousant peu de temps après. Certaines des lignes qui ont été coupées au début de l'Attaque des Clones incluent Yoda disant à Amidala : "Avec vous, la Force est forte ... jeune sénatrice." Et Amidala a également exprimé un "sentiment instinctif" que le comte Dooku a tenté de l'assassiner. Alors qu'Anakin est chargé de la sécurité de Padmé, Obi-Wan Kenobi (mécontent de l'état de l'élite dirigeante dans le roman), traque le commanditaire et atterrit sur la planète Kamino. Il y découvre une armée de clones prétendument commandés et fabriqués depuis 10 ans pour servir la République. Puis après avoir suivi Jango Fett non sans avoir tenté de le capturer (Selon George Lucas, la cachette d'Obi-Wan dans le champ d'astéroïdes de Géonosis enseigne au jeune Boba Fett une leçon qu'il utilise à son avantage à l'âge adulte. Ayant appris comment Obi-Wan s'était caché de lui et de son père, Boba connaît l'astuce que Han Solo utilise pour se cacher dans Star Wars : Episode V - L'Empire contre-attaque (1980), et est capable de le retrouver), Obi-Wan apprend  sur Géonosis que le vice-roi de la Fédération de commerce – avide de vengeance suite à sa défaite lors de la bataille de Naboo (Épisode I) serait à l'origine des tentatives d'assassinat, fomentées avec le comte Dooku, un ancien Jedi passé du côté obscur de la Force, devenu le chef de séparatistes, qui dans le roman représentent tous des partisans de l'uber-capitalisme (le genre de groupe qui compte les banques et les entreprises comme des personnes). Ils ont construit une énorme armée de clones (à l'image du chasseur de primes Jango Fett, qui dans The Mandalorian saison 2, épisode 6, était un enfant trouvé, a combattu dans les guerres civiles mandaloriennes et a reçu l'armure beskar qu'il porte maintenant - et l'armure c'est à juste titre la sienne, puis il est devenu mercenaire pour le compte de Dooku et il a créé Boba comme un clone naturel non par vanité; en tant qu'enfant trouvé, Jango a sans doute fait de Boba un besoin pour continuer l'existence de son clan, comme le dernier de son espèce), commanditée par un Jedi Sifo-Dyas, pour faire face à la République. En réalité, pour tester la loyauté de Dooku, Sidious ordonna à celui-ci d'occire son ancien camarade Jedi Sifo-Dyas et de détourner à son profit l'armée des clones. Dooku est issu d'une riche famille sur la planète Serenno. Comme le personnage l'explique brièvement dans L'Attaque des Clones, il est né dans la royauté, de parents dirigeants, qui se faisaient appeler comte Gora et comtesse Anya. Comme expliqué dans le livre Dooku : Jedi Lost, au lieu de grandir et d'hériter du trône, Dooku était un enfant extrêmement sensible à la force. Une capacité qui a effrayé ses parents, préférant ainsi l'envoyer à l'Ordre Jedi. Bien que le protagoniste ne soit pas présent dans La Menace fantôme, les événements du film ont profondément affecté Dooku, qui commençait à être attiré par le côté obscur de la Force. Face au manque de réactivité des Jedi, militant envers une république qu'il juge corrompue, va définitivement acter son départ à la suite de la mort de Qui-Gon Jinn, son ancien padawan. Et la mort de son ancien apprenti, Qui-Gon Jinn, Dooku décide de se tourner définitivement vers le pouvoir des Sith et perd complètement foi envers l'Ordre Jedi. Par la suite, l'ancien Jedi croise la route de Dark Sidious, qui lui enseigne les arts Sith. Mais Dooku préfère conserver son titre de Comte plutôt que de devenir Dark Tyranus. En mettant de côté son passé de Jedi, Dooku a totalement renoué avec ses racines de Serenno, et a pris le titre de comte pour succéder à ses parents. Comme le signale Christopher Lee : "[Dooku] est très distant, très indépendant, et n'a manifestement aucune peur. Il est extrêmement intelligent, peut-être plus que tout autre. De toute évidence, c'est un homme immensément puissant. Je ne crois pas que la question des valeurs morales lui effleure l'esprit. Il n'est pas immoral ; il est amoral. La morale est un mot qui ne figure pas du tout dans son vocabulaire. Ce qui compte pour lui, c'est le pouvoir. Et c'est quelque chose que l'on retrouve beaucoup dans notre monde actuel." "Je suis sûr qu'à un moment, lorsqu'il était plus jeune, lorsqu'il est devenu un Jedi, il a dû se comporter d'une manière totalement morale et correcte. Probablement comme les anciens Templiers, lorsqu'ils faisaient leurs débuts au XIIème siècle. Au départ, c'étaient de très bonnes personnes qui protégeaient les pèlerins durant les Croisades. Mais peu à peu, au fil des années, ils se sont désagrégés en tous points, moralement et spirituellement. Je sais tout cela car j'ai joué le Grand Maître des Templiers dans un film. Au final, tout leur ordre s'est désagrégé. Qui sait si ce n'est pas ce qui arrivera dans le troisième épisode ?" Un problème de poids se pose avec cette partie du film qui est difficilement crédible. Il est dommage de ne pas montrer un attentat organisé contre Padmé Amidala à la façon du film Le Chacal de Fred Zimmerman en 1973, dans lequel les chefs séparatistes (et plus particulièrement le comte Dooku à Seranno) engageraient Jango Fett pour s'en occuper, celui-ci organise avec méthode et dans le moindre détail son meurtre, ce qui pousse les Jedis à mener l'enquête pour le découvrir avant qu'il réussisse, Anakin et Obi-Wan se chargeant de cela tout en prenant Amidala comme appât, poussant Jango Fett à la fuite. Ensuite Obi-Wan aurait pu être montré comme dans I... Comme Icare de Costa Gavras en 1979, en un défenseur de la démocratie qui démonte une machination dans un univers glacial et cauchemardesque découvrant que les séparatistes montent une armée de clones commandés par les 212 protecteurs Mandaloriens ce qui expliquerait la présence du vieux guerrier Jango Fett et de son fils adulte Boba Fett pour s'emparer de la République.
 
Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)Obi-Wan parvient à alerter les Jedis mais se fait capturer. Padmé et Anakin tombent amoureux dans des scènes qui frisent le ridicule avec un magnifique roulé sur l'herbe et un 'Je n'aime pas le sable' d'Anakin tout à fait anachronique. Dans The Star Wars Archives 1999-2005, George Lucas lui-même revient sur les dialogues du film - et notamment ceux entre Anakin Skywalker (Hayden Christensen) and Padmé Amidala (Natalie Portman), très souvent critiqués. Pour le réalisateur et créateur de la saga, s'en prendre à cet aspect du long-métrage veut dire passer à côté de tout ce qui fait le sel de la franchise : «C'est très honnête, pas du tout ironique, et ça va jusqu'au bout. Mais ce sont des dialogues cohérents, pas seulement avec le reste du film, mais avec le style général de Star Wars. Beaucoup de gens ne comprennent pas ce qu'est Star Wars. Ils ne pigent pas qu'il y a là-dessous un motif très proche d'un western des années trente ou d'un Saturday matinee serial». «C'est une vision romantique de faire des films, et notamment des films d'aventure. Et celui-ci est encore plus un mélodrame que les autres (...) Il y a encore plus de space opera dans ce film que dans le passé, donc mettre en scène ces séquences [entre Anakin et Padmé] a été encore plus complexe que ça ne l'est d'habitude». En réalité, le roman L'Attaque des Clones montre que la relation entre Anakin et Padmé peut retenir beaucoup plus l'attention que dans le film, ici Anakin s'attache à Padmé parce qu'elle l'écoute, et se montre très élégant envers elle, et tous les deux plaisantent quand la tension se fait entre eux plus particulièrement quand elle est observée par ses servantes, et Padmé sent qu'elle pourrait vivre sa vie avec Anakin qui aime sa maison et sa famille, qui s'inquiète souvent pour elle et souhaiterait qu'elle mène une autre vie, tout en étant frustré avec lui par la façon dont leur gouvernement réagit aux menaces et aux défis. Mais le jeune homme s'inquiète pour sa mère et quitte Naboo pour retourner à Tatooine, persuadée que sa mère, restée là-bas, est en danger (Amidala a prédit à juste titre que Skywalker faisait des cauchemars à propos de sa mère pendant l'une des scènes supprimées du film). Il la retrouve sur son lit de mort après qu'elle a été enlevée et torturée par une tribu d'hommes des sables. Dans le roman, la raison pour laquelle les Tuskens torturent essentiellement Shmi est de trouver la faiblesse de leurs «ennemis». Donc, l'idée qu'il s'agit d'une position réactive, que les Tuskens agissent par peur de la population humaine, est au moins un discours du bout des lèvres. Pourtant, les Tuskens n'ont pas besoin de tuer Shmi puisqu'ils font des raids de pillage, car ces derniers croient qu'ils sont les propriétaires légitimes de l'eau de Tatooine et n'apprécient pas le fait que les humains (comme la famille de Luke dans Un nouvel espoir) gagnent leur vie grâce à la culture de l'humidité. La saison 1 et 2 de The Mandalorian, nous explique que les Tusken Raiders sont originaires de Tatooine et sont un peuple colonisé dont les terres ont été envahies par les établissements humains, et c'est probablement la raison pour laquelle les gens des sables entrent en conflit avec tant de personnages humains dans Star Wars : ils essaient de protéger les ressources limitées dont ils disposent encore. C'est pourquoi les combats entre les Tusken Raiders et les agriculteurs d'humidité de Tatooine sont si fréquents. Et il est difficilement concevable qu'ils aient enlevé et torturé Shmi, alors qu'ils n'auraient eu besoin que de faire un raid sur la colonie. Anakin les tuera tous, ivre de colère (Lorsque le beau-père d'Anakin, Cliegg Lars (Jack Thompson), parle de la façon dont son équipe de recherche a été tué par les Tusken Raiders, cela évoque l'intrigue de La prisonnière du désert en 1955. Et puis la recherche d'Anakin, se terminant par une brutale vengeance, reflète le rôle d'Ethan Edwards par John Wayne qui scalpe les Comanches qu'il recherchait, mais finit par se ressaisir à la fin et ne désire plus tuer sa nièce, alors qu'ici Anakin n'apprend rien, ni ne se ravise), et revient avec le cadavre de sa mère, et dans le roman Padmé dit à Anakin qu'elle est d'accord avec lui pour le massacre d'enfants, mais c'est pour essayer de calmer Anakin, et c'est parce qu'il est clair qu'il est vraiment en état de choc et qu'elle doit travailler pour le ramener à lui-même, avant de repartir au secours d'Obi-Wan et de se faire prisonnier avec Padmé. Rien ne va dans cette partie de L'Attaque des clones, il aurait sans doute été préférable de faire qu'Anakin amène Padmé Amidala sur Tatooine pour la protéger des autres tentatives d'assassinat à son encontre plutôt que de rester à Naboo, où elle serait une cible facile, au moment où un conflit oppose les colonies d'humidité face aux Tuskens, ce qui les oblige à intervenir pour aider Shmi, la mère d'Anakin, et Cliegg Lars. Cette partie aurait méritée de ressembler au film de John Ford, Les Cheyennes en 1964, où les séquences d'action sont vite expédiées voire même zappées, pour montrer un peuple fier tentant un dernier baroud d'honneur, ou encore à La Flèche brisée de Delmer Daves en 1950, où l'Indien est montré comme un homme d'honneur et de principes, comme un être humain et non comme une brute sanguinaire. À l'image de ces deux films, on aurait pu montrer l'incompréhension entre les Tuskens et les colons, et Anakin et Padmé iront voir le chef des Tuskens pour faire un semblant de paix, mais le conflit reviendra à nouveau dans l'Épisode IV.  Pendant ce temps, manipulant les groupes de séparatistes, le chancelier Palpatine pousse la République dans le chaos. Il réussit ainsi à se faire accorder les pleins pouvoirs en maître de la manipulation. La guerre commence. Selon Paul Duncan Dans Star Wars Arcives – Épisode I-III, George Lucas précise que L'attaque des clones concernait : "Comment abandonner une démocratie pour finir avec un tyran ? Ils la donnent- il n'y a pas de coup d'État, il n'y a pas de rébellion. Ils votent, ce qui se passe dans la vraie vie." En réalité, ce propos est complètement erroné, car Hitler n'a pas été élu, mais nommé chancelier le 30 janvier 1933 par Paul von Hindenburg, le président du Reich, alors que son parti était passé de 37,4 % le 31 juillet 1932 à 33,1 % le 6 novembre 1932. Il bénéficiait alors du soutien d'une partie du patronat, du parti national du peuple allemand (DNVP) et de l'ancien chancelier du Zentrum catholique Franz von Papen, qui espérait faire d'Hitler une marionnette. Une fois Hitler nommé chancelier, Hindenburg dissout le parlement le 1er février 1933 et de nouvelles élections sont organisées le 5 mars 1933, mais le parti nazi n'obtiendra pas plus la majorité absolue avec 43,9 %.  Il serait mieux de montrer Palpatine comme dans Hitler et sa clique de John Farrow en 1944, en un politicien cynique, manipulateur, impitoyable et avide de pouvoir (tout en ne gardant pas la lâcheté exagérée d'Hitler), qui une fois installé dans la chancellerie, accroit son pouvoir personnel sous couvert de défense de la démocratie, créant la garde rouge pour sa protection suite à un attentat conçu exprès, qui prit de plus en plus d'importance au détriment des gardes sénatoriaux, et avec ses deux assistants fidèles, Sate Pestage et Kinman Dorianan,  et le soutien de Wilhuff Tarkin, gouverneur d'Eriadu, il complote contre l'ordre Jedi en sapant secrètement son influence dans l'opinion publique, et renforce l'armée en vue d'une guerre en profitant d'un fort soutien populaire, tout en vieillissant à vue d'½il cause du côté obscur (comme Hitler qui vieillit à vue d'½il en souffrant de problèmes gastro-intestinaux et de la maladie de Parkinson), et comme Hitler, il profite finalement qu'un groupe de sénateurs inquiets proposa la Loi de Création Militaire pour défendre la République contre les agressions sécessionnistes, tout en prenant des pouvoir dictatoriaux grâce à la guerre contre les séparatistes.
 
Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)Les Jedis accourent alors en nombre pour sauver Obi-Wan, Anakin et combattre l'armée de droïdes dans une arène de péplum qui n'a rien à faire dans un space opéra, et Jango Fett trouve la mort trop rapidement décapité par Mace Windu (ce qui est plutôt troublant puisqu'on le donne comme un grand chef de guerre mandalorien et un chasseur de prime redouté, il aurait mérité un duel ressemblant plus à celui du film de Sergio Leone, Et Pour quelques dollars de plus, en 1965 entre El Indio et le colonel Mortimer, d'une durée de 2 minutes 15, où ils se regardaient longuement cherchant les faiblesses de l'adversaire avant de lancer une attaque rapide où Jango Fett trouve la mort face au Jedi expérimenté), mais sont peu à peu débordé par leurs adversaires (Le combat n'est pas impressionnant, on ne ressent pas le danger pour les Jedis, contrairement au film Le 13e guerrier en 1999, où les guerriers appelés par un royaume viking plus au nord pour lutter contre les Wendolls et durant la bataille finale les héros en sous nombre doivent tuer rapidement leurs ennemis dans des duels qui ne peuvent se gagner que par la ruse et au corps à corps, tout cela dans la pluie et la boue, tout en tenant le plus longtemps possible, et non dans un décor irréaliste qui est ici une immense arène. Il aurait mieux valu que l'appel à l'aide d'Obi-Wan fasse intervenir les meilleurs chevaliers Jedis avec une troupe de la République et qu'il font face aux protecteurs mandaloriens menés par Jango Fett avec son fils Boba Fett se mesurant à eux avec une immense troupe de droïds et de clones qui connaissent mieux le terrain). Et cette partie du film confirme le propos de Samuel L. Jackson dans StarWars Archives : Episodes I-III: 1999-2005 : «Mace est le deuxième homme le plus méchant de l'univers. Yoda est le plus fort». D'ailleurs, Lors de la sortie de la prélogie de Star Wars, les fans de la saga ont été très étonnés de découvrir l'arme de Mace Windu, Maître Jedi incarné par Samuel L. Jackson. Et pour cause : son sabre laser était violet. Étonnant quand on sait que jusqu'à présent, les seules couleurs existantes pour ces armes étaient le bleu et le vert (pour les Jedi) ainsi que le rouge (pour les Sith). À l'époque - et toujours aujourd'hui - cette couleur avait fait débat parmi les aficionados de la saga. Et Samuel L. Jackson a finalement révélé la raison d'être de ce sabre violet : "Il y avait cette énorme scène de combat de prévue, a-t-il expliqué, et je voulais pouvoir me retrouver à l'écran. C'est pour ça que j'ai proposé à George l'idée du sabre laser violet". Seulement voilà, George Lucas n'avait pas vraiment envie d'intégrer une nouvelle couleur à sa palette : "Il ne voulait pas, il me répondait : 'Non, non, n'insiste pas'." Au micro de MTV, l'interprète de Mace Windu explique qu'il a donc dû faire preuve de beaucoup d'insistance : "Je lui répétais : 'Allez, offre-moi une nouvelle couleur. Je suis tout en haut de la hiérarchie des Jedi. Je suis même pote avec Yoda ! À part lui, je suis le plus vieux de la bande. Ce serait logique...'". Un argument qui semble avoir fait mouche, puisque quelque temps plus tard, Samuel L. Jackson a découvert son nouveau sabre laser : "Quand on m'a rappelé pour des reshoots, il m'a dit : 'J'ai un truc à te montrer. Un truc qui fait déjà débat'. Et là, il y avait le sabre laser violet. Yeah ! Du coup, j'arrive à me distinguer parmi tous les combattants". Dommage que George Lucas s'est limité au sabre laser, car si l'Ordre Jedi est inspiré des ordres chevalier médiévaux, il aurait été plaisant de les voir utiliser différentes armes comme le bouclier, la dague, l'épée, l'épée à deux main, la lance, la hallebarde, le fléau d'arme (en forme de fléau de moissonneur ou avec une chaine où est attachée une boule avec des pointes), la massue, le marteau d'arme,  la hache, la bardiche (hache à longue larme), la masse d'arme, la masse à ailette, le morgenstern (massue remplie de pointes en forme de boule ou de massue), l'arc, l'arbalète, ou encore le bâton et les arts de la lutte médiévale.
 
Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)Yoda se voit obligé d'aller récupérer les milliers de clones destinés à la République (leur armure blanche annonce les futurs stormtroopers de l'Empire) pour défaire cette armée à la demande du chancelier Palpatine (Malheureusement cette scène n'a aucun effet de surprise tant on s'attend à l'arrivée des clones, le film aurait pu montrer l'hésitation du Sénat à ce sujet, voir aussi celles de Palpatine avant de prendre cette décision pour convaincre les Jedis qu'il n'est pas un danger, sans savoir s'il l'a réellement prise, tout en montrant que le combat est vain et que les Jedis perdront sans renfort aurait eu plus d'allant s'il avait été filmé à la manière du film Quand les tambours s'arrêteront en 1951, où la cavalerie n'a pas reçu le message de sauvetage du village ce qui pousse les villageois à repousser les indiens jusqu'à l'aube et au moment où ils ne peuvent plus tenir, la cavalerie arrive pour les sauver). Dans le roman, la décision de Yoda d'aller à Kamino et de rassembler les troupes clones pour le premier combat de la guerre est finalement motivée par une préoccupation personnelle, il admet qu'il a vu deux voies pour l'avenir, mais celle où il a amené les troupes a abouti à la mort de moins de Jedi. La République est désormais à la tête d'une gigantesque armée. Il aurait été plus simple de montrer qu'on aurait ajouté une troupe de clones pour soutenir les troupes de conscrits de la République, et que Yoda plus enclin à la paix, fut envoyé pour faire les pourparlers par la suite en cas de reddition ou de trêve. Obi-Wan et Anakin tentent d'intercepter Dooku, qui transporte les plans de l'Étoile Noire, l'arme suprême du futur Empereur. Dans le combat, Anakin sauve Obi-Wan, mais perd un bras (Un combat où Christopher Lee montre sa maîtrise sans aucune difficulté, alors qu'on s'attend à plus de résistance. L'affrontement entre Dooku et Obi-Wan aurait dû ressembler à celui d'Ivanhoe de Richard Thorpe, où Ivanhoe incarné par Robert Taylor affronte deux hommes, se débarrassant du 1er difficilement le laissant pour mort et se dirigeant vers le 2e  dont il se débarrasse tout aussi difficilement, pour finalement revenir au 1er qui finit par être vaincu avec beaucoup de difficulté, tout cela en 2 minutes 30. Il aurait été plus emballant de faire le combat ainsi, montrant tout d'abord Dooku se défaire d'Obi-Wan, dominant ensuite Anakin, et Obi-Wan revenant pour le sauver mais se faisant avoir par la ruse). Dooku s'enfuit en rusant après que Yoda intervienne avec une grande habileté et de la vitesse (Le combat entre Yoda et le comte Dooku a été envisagé tout à fait différemment. À l'origine, Yoda devait entrer et se battre immédiatement avec le comte Dooku, mais de nombreux membres de l'équipe créative ont estimé que c'était une transition trop rapide pour Yoda, et le public avait besoin de ressentir le pouvoir du bien et du mal qui s'opposaient, alors George Lucas a ajouté dans le préambule du combat avec la foudre bleue et les chutes de pierres, car cela montrait à quel point Yoda était puissant. La bataille au sabre laser était le point culminant de toute cette énergie. Il y avait aussi des images du comte Dooku utilisant le sabre laser d'Obi-Wan ou d'Anakin en plus du sien contre Yoda, mais ces mouvements n'ont pas été décisifs. On peine cependant à croire que Yoda marchant avec une canne va s'amuser à faire des cabrioles avec un sabre laser. Plutôt qu'une scène de ce genre, le combat aurait dû plutôt ressembler à celui de Sugata Senshiro en 1965, où devant la violence du karatéka lançant toujours des coups pieds latéraux, le héros judoka esquivait ses attaques et après un atémi, il arrive à le saisir et à le projeter gagnant son combat sous la neige sans tuer son adversaire, il aurait donc été préférable que devant la violence des coups de Dooku, Yoda utilise la force pour défendre, ce qui oblige Dooku à ruser pour fuir). En coulisses, Dooku et Lord Sidious se félicitent du début de la guerre. Dans le plus grand secret, Anakin et Padmé s'unissent par le mariage sur Naboo. Le côté obscur est prêt à prendre le pouvoir de la galaxie. Dans les dernières minutes du film, le Conseil Jedi convient alors qu'il faudra se méfier du Sénat ainsi que du chancelier Palpatine, admettant que leur capacité à utiliser la Force a été diminuée par cette prise du pouvoir. Si au départ, cette phrase semblait métaphorique, elle est en réalité à prendre au premier degré.
 
Le retour en grâce de la prélogie Star Wars pour de mauvaises raisons (partie 2)Le film s'avère être un nouveau succès, plus critique que public. L'Attaque des clones à cause de la patine encore bien trop digitale de ses effets visuels au rendu hyper artificiel, de la love story entre Anakin et Padmé qui s'enfonce par ailleurs dans le mielleux, peu aidée par la médiocre direction d'acteurs de Lucas n'aide pas le public à apprécier le film. Ce qui explique que c'est le seul film Star Wars qui n'était pas le film le plus rentable de l'année en Amérique du Nord. Il s'est classé troisième après Spider-Man (2002) et Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours (2002). Le divorce avec les fans de la première heure va se creuser un peu plus avec cet opus.
 
Pour aller plus loin, je vous conseille ces lectures qui m'ont beaucoup aidé : Paul Duncan, The Star Wars Archives. 1999–2005, Taschen, 2020, https://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-4924/biographie/, https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29014.html, https://www.cbr.com/star-wars-padme-force-sensitive/, https://www.cinema76.com/home/2019/12/15/classic-films-that-inspired-every-star-wars-movie-part-1the-lucas-era, http://cinema.encyclopedie.films.bifi.fr/index.php?pk=78959, https://www.cineserie.com/news/cinema/star-wars-pourquoi-le-comte-dooku-est-si-peu-nomme-dark-tyranus-3866839/, https://www.imdb.com/title/tt0121765/trivia?ref_=tt_trv_trv, https://www.lci.fr/cinema/star-wars-pourquoi-le-sabre-laser-de-samuel-l-jackson-etait-il-violet-1522512.html, https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/cinema/star-wars-episode-ix-l-ascension-de-skywalker-avant-le-nouvel-episode-en-salle-mercredi-nous-vous-resumons-toute-la-saga-16-12-2019-8218224.php, https://www.lepoint.fr/pop-culture/star-wars-les-11-volets-de-la-saga-classes-du-meilleur-au-pire-18-12-2019-2353893_2920.php, https://www.lexpress.fr/culture/cinema/star-wars-l-attaque-des-clones-l-histoire-derriere-le-film_1732526.html, https://moviedatabase.fandom.com/wiki/Aayla_Secura, https://www.liberation.fr/desintox/2017/02/06/non-francois-bayrou-hitler-n-a-pas-vraiment-ete-elu-avec-plus-de-90-des-voix_1546594/,https://www.planete-starwars.com/encyclopedie/personnages-empire-palpatine-e353.html, https://www.planete-starwars.com/actualites/the-mandalorian-interview-de-temuera-morrison-sur-son-retour-en-boba-fett-n20919.html, https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Star-Wars-George-Lucas-defend-les-dialogues-de-la-prelogie, https://www.radiotimes.com/movies/relive-the-hilarious-moment-ewan-mcgregor-found-out-the-name-of-star-wars-episode-2/, https://www.rfi.fr/fr/hebdo/20160408-touareg-origines-revolte-mali-niger-burkina-faso-algerie-libye,  https://screenrant.com/star-wars-jango-boba-fett-not-mandalorian-creed/, https://www.starwars.com/news/10-things-we-learned-from-the-star-wars-archives-1999-2005, https://www.starwars-holonet.com/encyclopedie/personnage-fett-jango.html, https://www.starwars-universe.com/actu-11070-cinq-faits-sur-christopher-lee-dans-star-wars.html, https://www.syfy.com/syfywire/the-new-book-star-wars-queens-shadow-is-packed-with-revelations-and-canon-connections, https://www.tomsguide.fr/star-wars-la-lumiere-des-jedi-explore-serenno-la-planete-du-comte-dooku/, et https://www.tor.com/2015/11/12/the-star-wars-episode-ii-novelization-actually-makes-you-feel-sorry-for-jar-jar-binks/.  
 
Merci !

La Menace Fantôme est suivie en 2002 par Star wars : Épisode II - L'Attaque des clones , c'est l'occasion pour George Lucas de tourner un film entièrement en numérique. Pour le film, Sony développe la technologie vidéo haute définition en créant la caméra HDW-F900. Et, visiblement à l'écoute des spectateurs et des fans da la saga, George Lucas a décidé d'atténuer l'importance de Jar Jar Binks dans Star wars : épisode 2 - L'Attaque des clones . Le Gungan gaffeur n'apparaît...

Suite
Tags : Cinéma, STAR WARS
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#Posté le mercredi 03 mars 2021 11:03

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le-royaume-de-marie, Posté le samedi 06 mars 2021 02:59

voilà un beau document sur cette saga


lucinda-et-lestat-vampir, Posté le samedi 06 mars 2021 01:06

bel article sur cette saga mon ami
bisous


jema-lou, Posté le mercredi 03 mars 2021 16:58

Très élaboré ce compte rendu de cette saga de Star Wars pour le bonheur des fans !
Mon cher ALEXANDRE ... je te souhaite une reposante nuit, un excellent jeudi ... KISS !


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