Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog
  • Profil

Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

Photo de taigong788

taigong788

Blog secret

Description :

Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Devenir VIP
  • Bloquer
  • Choisir cet habillage

Ses Honneurs (31)

  • Com' 50.000
  • Paparazzi
  • Écolo
  • Tag
  • Pimp
  • Fans 100

» Suite

Son profil

Profil de taigong788
taigong788

Ici et maintenant !

44 ans
HEM (59)
France

Partage

  • Tweet
  • Amis 1

Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

Signaler un abus

Infos

  • Création : 15/07/2009 à 12:05
  • Mise à jour : Aujourd'hui à 07:11
  • 534 028 visites
  • 1 902 visites ce mois
  • 6 300 articles
  • 50 426 commentaires
  • 697 amis
  • 726 favoris
  • 51 825 kiffs

Son morceau préféré

Il était une fois - Si près ♪

Jouer Top 10 Il était une fois - Si près ♪ (Disney)

Skyrock music Ajouter

Tags

  • Cadeaux
  • cadeaux reçus
  • Cinéma
  • comics
  • Dark Ages
  • FOOTBALL
  • fêtes
  • Histoire
  • Histoire britannique
  • Histoire de France
  • Histoire des États-Unis
  • Histoire du christianisme
  • Histoire du Japon
  • Jeu Video
  • Littérature
  • mangas
  • message
  • Mythologie
  • Séries TV
  • western spaghetti

» Suite

Ses archives (6 291)

  • Didier de Vienne, un évêque au caractère bien trempé devenu le patron des vendangeurs
  • Constantin le Grand, un empereur guerrier et réformateur
  • Mahoutsukai Reimeiki
  • Bon anniversaire Hans et Kenny !

» Suite

Ses fans (1 816)

  • diamond-painting1
  • Looping1983
  • Nurela
  • bestbuy
  • Flower123

» Suite

Sources (726)

  • mangayuki
  • Animeiga
  • amina-665
  • crocket172
  • Nojiko-Sama
  • Nurela
  • athena59
  • ByeByeMyDolefulAria
  • Mangas-Jessy
  • newteam1

» Suite

Abonne-toi à mon blog ! (7 abonnés)

RSS

Retour au blog de taigong788

Le slasher, le film de tueur psychopathe

Le slasher, le film de tueur psychopathePsychose est l'un ce que l'on pourrait appeler un «proto-slasher». On y voit un homme mentalement perturbé cherchant à assassiner des personnes sans défense avec une arme blanche (slash signifie taillader, en anglais). La recette d'Alfred Hitchcock, mêlant suspens, horreur et pincée d'érotisme (l'inénarrable scène de la douche), choque autant qu'elle envoûte à la sortie du film. Pour de nombreux fans d'horreur, les années 1970 marquent le véritable début du sous-genre slasher. Les films de l'époque étaient clairement influencés par le style et la structure de l'histoire vus dans les films classiques "krimi" et giallo, et les films giallo eux-mêmes devenaient de plus en plus slasher au cours de cette période. De plus, la façon dont "Psychoche" le terrifiant classique d'Alfred Hitchock, qui en 1960 avait choqué par bien des aspects, notamment par la nudité explicite de l'actrice, lors de la fameuse scène de la douche, et en piégeant le public l'amenant à souhaiter que Norman Bates interprété par Anthony Perkins s'en sorte pour une révélation finale traumatisante, et "Le Voyeur"  de Mike Powell en 1960,  basé sur un script de Leo Marks, ancien  cryptographe des services secrets britanniques, et avec l'Autrichien Karlheinz Böhm -bien loin de la saga Sissi- dans le rôle d'un jeune homme introverti qui s'avère être un serial killer prenant plaisir à contempler la mise à mort de ses victimes, pour un film qui fait couler beaucoup d'encre, car on accuse le film d'adopter le point de vue du tueur et de ne pas porter de jugement moral sur sa perversion, et c'est également du premier film britannique "grand public" à afficher de la nudité féminine, vont apporter les bases de ce que va être le slasher. Et La Baie sanglante (Ecologia del delitto, 1971) demeure l'un des films les plus importants, et novateurs de Mario Bava. Le cinéaste radicalise son propos et tourne le dos au fantastique gothique pour ouvrir la voie de l'horreur moderne. Bava recule les limites de la représentation de la violence et met en scène treize meurtres qui se caractérisent par leur cruauté et leur imagination sadique. Cette accumulation – et la complaisance dans les détails «gore» – a permis d'affirmer que La Baie sanglante était un film précurseur de la mode du «slasher» qui allait envahir le cinéma d'horreur anglo-saxon.
 
Le slasher, le film de tueur psychopatheEn fait, l'une des choses qui ont fait des années 70 une décennie si importante pour les slashers est la façon dont les films de cette période ont introduit tant de méchants d'horreur durables.  Les années 70 ont également vu ses proto-slashers établir de nouvelles normes pour le genre, y compris la montée de l'horreur des vacances. "Silent Night, Bloody Night" de 1972 de Theodore Gershuny, dans lequel un dément met en place sa terrible vengeance, la nuit de Noël, contre les notables d'une petite cité américaine qui avaient tué, une dizaine d'années auparavant, sa s½ur, infirmière dans une clinique de repos, où ils étaient patients, et "Black Christmas" de 1974, signé Bob Clark, un cinéaste indépendant auquel on doit une belle parabole sur le Vietnam (Le Mort-vivant, 1974), il s'agit d'un film qui se déroule en grande partie dans une résidence de filles où semble sévir un meurtrier en série, sont les premiers exemples de films d'horreur qui ont transformé les fêtes de fin d'année dans des bains de sang. Dans "Silent Night, Bloody Night", la veille de Noël d'une petite ville est remplie de terreur dans un lieu clinquant après qu'un homme hérite d'un manoir qui était autrefois un asile d'aliénés. "Black Christmas" est basé sur une légende urbaine de longue date, montrant le sort des étudiantes traquées par un tueur qui passe des appels téléphoniques depuis l'intérieur de leur maison de sororité. Le fait d'utiliser la sororité dans ce film fera des enfants comme "Le bal de l'horreur" en 1980, dans lequel une petite fille meurt accidentellement au cours d'un jeu organisé par ses camarades, mais devant l'horreur de la situation, ils décident de ne jamais révéler la vérité, cependant la scène a eu un mystérieux témoin, et quelques années plus tard, alors que les enfants sont devenus lycéens, ce témoin décide de se venger à l'occasion du bal de fin d'année du lycée, ce film original a le droit à un tueur muni d'une cagoule de ski noire à paillettes, et "The House on Sorority Row" en 1983, dans lequel un groupe d'étudiantes vivant ensemble dans une grande maison, décident de faire une mauvaise blague à leur logeuse, mais la farce tourne mal, et les jeunes filles de la sororité sont tuées les unes après les autres lors de la soirée de fin d'études, un excellent film mettant un renversement de situation en apportant des éléments surnaturels à l'intrigue.  Le concept de tueurs des fêtes aura le droit à son film avec New Year's Evil en 1980, dont  l'intrigue suit un animateur d'émissions de punk rock et de new wave de Los Angeles qui reçoit une série d'appels téléphoniques lors d'une soirée télévisée pour le réveillon du Nouvel An qui sont un avertissement d'un meurtrier sur ses meurtres imminents qu'il prévoit d'exiger à l'aube du Nouvel An sur chaque fuseau horaire. Le concept de base d'appel téléphonique a également été utilisé dans le thriller mystère de 1979 "Terreur sur la ligne", mais en raison du volume de sa méchanceté, "Black Christmas" est le film qui est largement considéré comme l'un des premières vrais proto-slasher. Les bases du slasher movie sont jetées.  Autre grand contributeur à l'émergence de la sous-catégorie : Massacre à la tronçonneuse (1974). Inspiré d'un sordide fait divers, l'½uvre de Tobe Hooper porte à l'écran la malheureuse rencontre entre une team d'adolescents insouciants, et Leatherface. Comme dans Psychose nos héros ont affaire à un dérangé travesti. Et comme dans Psychose toujours, les protagonistes devront lutter avec les moyens du bord pour échapper à la menace. Ce film sera à la base d'une grosse franchise, qui continuera sur la famille Hewitt dans Massacre à la tronçonneuse 2 en 1986 ayant un côté comique plaisant et lancera des épisodes suivants très décevant.
 
Le slasher, le film de tueur psychopatheEn 1978, l'imaginaire de John Carpenter accouche de celui qui sera l'emblème même du «slasher» : Michael Myers. Forcené depuis l'âge tendre, ce célèbre antagoniste révélé avec Halloween : La Nuit des Masques aura marqué toute une génération. Tueur en série au look reconnaissable, meurtres sanglants, vulnérabilité des héros... Comme Leatherface avant lui, Michael Myers est impitoyable et déterminé et très, très difficile à tuer, et il a été le deuxième d'une succession de nouveaux meurtriers masqués qui ont engendré des franchises de films d'horreur de plusieurs décennies. Les ingrédients du film seront ensuite repris par d'autres sagas cultes. Parmi les autres slashers remarquables des années 70, citons "Communion Sanglante" en 1976 qui emprunte beaucoup au giallo, où à Paterson (New Jersey) en 1961, une série de meurtres atroces ont transformé cette petite ville tranquille en un endroit où règnent la peur et l'effervescence et le premier meurtre a lieu le jour où Karen Spage devait faire sa Communion Solennelle, puisque le cortège va rentrer dans l'église quand un homme portant un masque de Démon, s'empare de Karen et l'étrangle..., "The Toolbox Murders" en 1978 qui a reçu un remake de Tobe Hopper en 2004 dans lequel un homme masqué sème la terreur en tuant des jeunes filles avec en guise d'armes le contenu d'une boite à outils, et un jour, il décide de séquestrer une de ses victimes plutôt que de la tuer, ce qui pousse le frère de la jeune fille kidnappée mène alors son enquête..., "Killer's Moon" en 1978, dans lequel un groupe de lycéennes sont bloquées est menacé par quatre malades mentaux évadés, Le silence qui tue en 1979 de, où  dans une ville universitaire, des étudiants logent chez l'habitant, et la maison Mason est très accueillante, quatre jeunes y ont trouve logis, mais deux hôtes y trouvent aussi mort violente, Pyromaniac de Joseph Ellison en 1979 avec le pendant jusqu'au-boutiste du Psychose de tonton Alfred, avec l'astucieux ajout d'un accessoire essentiel : le lance-flamme, et Phantasm en 1979, dans lequel touché par un deuil pénible, un jeune homme découvre des phénomènes et des êtres aussi terrifiants que fantastiques, qui hantent les locaux d'une entreprise de pompes funèbres, où le réalisateur Don Coscarelli pallié son manque de moyens par une certaine inventivité et crée un autre personnage du slasher , le Tall Man, et donnera naissance à 4 suites  (1988, 1994, 1998, et 2016) de moins en moins bonnes mais drôles. Et pourtant, dans les années 70, les choses ne faisaient que commencer. La décennie qui a suivi a apporté encore plus de plaisir slasher au monde du cinéma. Après que les années 70 aient introduit les slashers dans le courant dominant, les années 80 et le début des années 90 sont devenus l'apogée du sous-genre de l'horreur. Avec des noms comme Leatherface et Michael Myers inspirant une véritable terreur dans le monde du cinéma, l'ère des méchants créatifs occupant le devant de la scène était à son apogée, et bientôt plusieurs autres méchants vicieux ont commencé à hanter les cauchemars de tout le monde. Wes Craven entre dans le monde du cinéma et notamment celui du cinéma d'horreur avec deux films cultes : La dernière Maison sur la gauche en 1972 ainsi que La Colline a des yeux en 1977, même si le statut de slasher de ces deux films est discutable puisqu'on considère qu'ils sont des survival horror.
 
Le slasher, le film de tueur psychopatheEn 1980, le producteur de "La dernière Maison sur la gauche" Sean S. Cunningham a noté le succès de "Halloween" et a proposé son propre concept de tueur avec "Vendredi 13". Comme "Halloween", "Vendredi 13" parle d'un groupe d'adolescents terrorisés par un mystérieux tueur, et il a marqué le début d'une franchise complète centrée sur son maniaque masqué, Jason Voorhees, alors que le premier film se centrait sur sa mère voulant le venger et aurait pu s'arrêter là, car le premier film se suffisait à lui-même. Ce n'était pas que des répétitions, cependant le film comptera pas moins de 13 longs-métrages (dont 8 dans les années 1980 que sont Vendredi 13 : Le Tueur du vendredi en 1981, qui présente la première occurrence de Jason en tant que tueur sans masque de hockey, en 1982 Vendredi 13 : Meurtres en trois dimensions tourné en 3 D, où un groupe d'adolescents en vacances réside dans une maison au bord d'un lac à Crystal Lake, où réside un Jason en convalescence – à leur insu, en 1984 Vendredi 13 : Chapitre final où devant se réanimer et s'échapper d'un hôpital, Jason revient pour viser un groupe d'adolescents faisant la fête dans une maison d'été à Crystal Lake, en face d'une résidence familiale, en 1985 Vendredi 13, chapitre V : Une nouvelle terreur dans lequel un tueur mystérieux cible les adolescents et les adultes dans une maison de transition pour adolescents en difficulté – y compris un adolescent Tommy Jarvis, qui est arrivé là-bas pour se remettre de sa rencontre avec Jason quatre ans auparavant, mais ce dernier ressuscite, en 1986 Vendredi 13, chapitre VI : Jason le mort-vivant dans lequel Tommy Jarvis, maintenant quelque peu stable, entreprend de détruire les restes de Jason une fois pour toutes, dans l'espoir d'éliminer à jamais ses hallucinations à son sujet, en 1988 dans Vendredi 13, chapitre VII : Un nouveau défi, Jason revient une fois de plus pour traquer et tuer des adolescents résidant dans certaines maisons sur la rive du lac Crystal, tandis qu'au milieu de cette période, il combat une femme psychique nommée Tina au cours du film, et 1989 Vendredi 13, chapitre VIII : L'Ultime Retour dans celui-ci Jason tue des adolescents diplômés sur un bateau en partance pour New York, après le 1er en 1980, seule les 3 suites suivantes sont regardable, mais les 5 autres sont parfaitement passables), et aura eu l'immense mérite de rendre légitime le port du masque de hockey lors des soirées à thème. À l'époque, "Vendredi 13" se distinguait par son cadre de camp d'été isolé et de plus en plus effrayant, qui était également utilisé dans le franchiseur "Massacre au camp d'été" de 1983, qui va amener une franchise qui se concentre principalement sur la tueuse en série Angela Baker  (en réalité son frère transgenre ayant une double personnalité ) et des meurtres qu'elle commet dans les camps d'été avec ses suites Massacre au camp d'été 2 (1988) et Massacre au camp d'été 3 (1989). "Vendredi 13" a également apporté une sensualité semblable à celle d'un giallo aux slashers et a aidé à établir les codes moraux tordus des films de slasher, dans lesquels les personnages sexuellement actifs sont les plus susceptibles d'être ciblés par le méchant du jour. "Halloween" qui en 1981, amène la première suite à un slasher qu'est Halloween 2, qui déplace l'intrigue du premier dans un hôpital qui sert de huis clos claustrophobe au déploiement de l'horreur, pour se perdre dans Halloween 3 : Le Sang du sorcier en 1982, obligeant à faire revenir Michael Myers dans Halloween 4 : Le Retour de Michael Myers en 1988, et Halloween 5 : La Revanche de Michael Myers en 1989, mais  ces films n'ont plus la portée des 2 premiers films. Ces films ont pourtant engendrés une série de suites qui se sont succédées rapidement, faisant des deux franchises les piliers du box-office, mais aux films parfaitement passable.
 
Le slasher, le film de tueur psychopatheLe slasher peut aussi être inventif comme dans Noces sanglantes en 1980 d'Armand Mastroianni dans lequel un tueur en série traque des femmes lors de leur nuit de noces, et alors qu'une nuit, il s'attaque à une nouvelle victime, le mari d'une femme qu'il a tué jadis cherche à se venger, tandis que la jeune mariée du jour, hésitante sur l'avenir de son couple, se demande si tout ceci se passe dans son imagination ou si c'est bien vrai, Brigade anti-viol en 1980 de Robert Hammer dans lequel un vétéran du Vietnam, également photographe dérangé, Kirk Smith, sème la terreur dans Los Angeles en assassinant des jeunes femmes, et il téléphone à une radio locale pour expliquer ses troubles et ses pulsions meurtrières tandis qu'un inspecteur de police piétine pour lui mettre le grappin dessus, Maniac en 1980 de William Lustig dans lequel un psychopathe sème la mort en ville en scalpant ses victimes pour recréer sa mère abusive décédée plusieurs années auparavant, Funeral Home de William Fruet en 1980 où l'intrigue suit une adolescente qui passe l'été dans l'auberge de sa grand-mère – autrefois un salon funéraire – où les invités commencent à disparaître, The Unseen de Danny Steinman en 1980, où un trio de femmes reporters se retrouve à passer la nuit dans une maison occupée par un être hostile tapi au sous-sol, Massacre à la Saint-Valentin en 1981 de George Mihalka dans lequel il y a 20 ans, un accident le jour de la Saint-Valentin coûte la vie à 5 mineurs quand des managers ont quitté leur poste pour assister à un bal de la Saint-Valentin, et au 1er anniversaire de la catastrophe, le seul survivant revient pour se venger, Massacres dans le train Fantôme en 1981 de Tobe Hopper en inventant un monstre de foire coloré sévissant dans les souterrains d'un train fantôme empli de maléfices, ou encore Carnage en 1981 de Tony Maylam, dans lequel au cours d'une colonie de vacances, une bande d'adolescents décide de se venger de leur moniteur Cropsy, particulièrement sadique avec eux, mais la farce tourne mal et Cropsy est sévèrement brûlé, et cinq ans plus tard, sa soif de vengeance reste intacte. Il retourne alors sur les lieux du drame où séjournent de nouveaux adolescents.... On peut ajouter à ceux-ci, Week-end de terreur de Fred Walton en 1986, où pour son anniversaire, une étudiante, invite toute sa bande en week-end dans une maison isolée sur une île, mais les amis disparaissent mystérieusement un par un, Stage Fright de John D. Lamond en 1983 dans lequel une actrice timide est transformée en tueuse homicide après qu'une psychose latente en elle devient active, Maniac Cop de William Lustig en 1988, dans lequel une série de meurtres horribles déclenche la panique dans les rues de New York, menant à une confusion qui atteint son paroxysme lorsque la presse révèle que tout laisse à penser que ce tueur maniaque est un policier dont on ne sait pas si c'est un zombie ou un homme ayant survécu à sa mort, ce film aura le droit à deux suite en 1990 et 1993 qui plongeront dans le surnaturel pour donner des films passables. Il faut dire qu'entre 1981 et 1984, sortiront de nombreux films voulant profiter du succès de Vendredi 13. Peu de temps après, le scénariste-réalisateur Wes Craven a gagné le surnom de "Master of Horror" avec la sortie du film "Les griffes de la nuit" en 1984. Comme "The Texas Chain Saw Massacre", "Halloween" et "Vendredi 13" avant lui, "Les griffes de la nuit" vantait un méchant instantanément emblématique en Freddy Kreuger. Mais Freddy est assez différent de ses pairs. Alors que Leatherface, Michael Myers et Jason Voorhees étaient des chasseurs silencieux, Freddy adore narguer ses victimes. Il a même un sens de l'humour loufoque, quoique morose. De plus, Freddy ne porte pas de masque et il a un type de corps plus maigre que ses imposants prédécesseurs. Et pourtant, Freddy est tout aussi effrayant que les autres. En fait, le concept même de "Les griffes de la nuit" a élargi le terrain de jeu d'une manière qui a littéralement donné au public des cauchemars. Alors que Leatherface était confiné dans sa ville reculée du Texas, Michael Myers avait tendance à se cacher près de sa s½ur et Jason Voorhees attendait que ses victimes malheureuses se dirigent vers le camp Crystal Lake, Freddy a traqué ses victimes dans le monde des rêves, lui donnant un accès illimité à ses cibles. Après tout, ils ne pouvaient pas éviter de dormir pour toujours. Comme ses confrères slashers, "Les griffes de la nuit" a également reçu  un certain nombre de suites, dont la seconde La Revanche de Freddy en 1985 est particulièrement incroyable, car il ajoute au slasher le film de possession,  suivie en 1987 du film Les Griffes du cauchemar dans lequel le terrifiant Freddy Krueger revient hanter les nuits des adolescents, jusqu'à ce que le docteur Nancy Thompson, qui fut jadis sa victime, engage le combat, en 1988 par Le Cauchemar de Freddy, où après avoir été ressuscité, Freddy Krueger entreprend de décimer les jeunes survivants de ses précédentes attaques, et alors que ses amis succombent tous, un à un, sous les assauts répétés du croquemitaine, Kristen décide de s'embarquer dans une dangereuse mission : douée de pouvoirs télékinésiques, elle se doit de détruire le "Maître des Rêves" et libérer les âmes tourmentées de ses victimes...,  en 1989 par L'Enfant du cauchemar, dans lequel en ayant déjà vaincu Freddy Krueger, Alice est loin d'imaginer que le croquemitaine s'apprête à revenir hanter ses rêves, se retrouvant enceinte de son amant Dan, elle reste pourtant une proie de choix puisque Freddy se manifeste à travers le sommeil de son bébé, et bientôt, Dan est tué et l'enfant d'Alice pourrait bien permettre à Freddy de se réincarner, cependant le seul espoir réside dans le mystère des origines de Freddy..., et en 1991 La Fin de Freddy : L'Ultime Cauchemar, dans lequel après avoir tué tous les enfants de sa ville natale, Freddy cherche à aller dans un nouveau territoire pour y trouver de nouvelles proies.... En dehors des 3 premiers particulièrement réussis, le 4, 5 et 6 sont vraiment mauvais et ratés. Mais les slasher baissèrent de qualité ce qui explique beaucoup l'accumulation de ceux-ci en Direct-to-video et en séries de film avec les mêmes personnages (1985-1995).
 
Le slasher, le film de tueur psychopatheLe concept d'un tueur enjoué mais terrifiant comme Freddy Krueger a donné naissance à d'autres méchants aux personnages effrontés, notamment la poupée psychotique Chucky de "Jeux d'enfant" de 1988 et l'antagoniste du titre de "Candyman" de 1992. Mais le slasher semble aller au plus bas, avec le 9e épisode de Vendredi 13, Jason va en enfer en 1993, où Jason n'est plus là et possède quelqu'un, alors que la franchise Halloween fait peine à voir avec Halloween 6 : La Malédiction de Michael Myers en 1995 et Halloween, 20 ans après en 1998, et celle de Massacre à la tronçonneuse reçoit un enterrement sans luxe avec  Leatherface : Massacre à la tronçonneuse 3 en 1990 et Massacre à la tronçonneuse : La Nouvelle Génération en 1994 qui tentera de relancer la franchise sans succès. "Les griffes de la nuit" a également fait la réputation de Wes Craven en tant que maître du slasher, ouvrant la porte au scénariste-réalisateur pour lancer un nouveau sous-genre d'horreur environ une décennie plus tard. Après Les Griffes du cauchemar en 1987, Wes Craven s'est temporairement éloigné de la franchise, qui s'est apparemment terminée avec La Fin de Freddy : L'Ultime Cauchemar en 1991. Mais les années 1990, sont une chute pour le slasher comme le montre le sixième Halloween dans lequel Michael Myers est utilisé par une secte. Mais lorsque Craven est revenu au pays de "Nightmare", il a été doté d'une vision très différente. Dans "Freddy sort de la nuit" de 1994 réalisé par Wes Craven, l'actrice du film "Les griffes de la nuit" Heather Langenkamp joue une version fictive d'elle-même qui est tourmentée par une version surnaturelle de Freddy Krueger. Pour obtenir de l'aide, elle doit se tourner vers Craven lui-même, ainsi que vers l'acteur Robert Englund, qui a interprété Freddy dans les films précédents. Ce roman narratif a marqué le début d'une ère de slashers consciente que Craven a poursuivi avec son tube de 1996, "Scream". Malheureusement pour Wes Craven , il devra réaliser des suites réussies en 1997 (Scream 2), en 2000 (Scream 3), et en 2011 (Scream 4), mais jamais plus, il n'aura retrouvé l'ambiance détendue du premier film, mis sous pression par la production. Mais cette ½uvre sonne plus le glas du slasher qu'elle n'en acte la renaissance : ses codes horrifiques sont détournés à des fins humoristiques. Grâce à "Scream", les slashers pour adolescents étaient à nouveau à la mode. "Souviens-toi... l'été dernier" de 1997, qui a été écrit par le scribe de "Scream" Kevin Williamson et inspiré par des slashers des années 80 comme "Le bal de l'horreur" et "The House on Sorority Row", était un autre favori des soirées pyjama. Les années 90 étaient également pleines de séquelles d'agrafes de films slasher, y compris "Halloween, 20 ans après", qui a placé une nouvelle génération d'adolescents idolâtres au centre de l'action. En 1998 "Urban Legend" était un autre film qui avait sa propre blague, modelant sa série de frayeurs d'après les légendes urbaines d'autrefois, tandis que dans les années 2000 "Destination finale" a emmené le sous-genre du slasher dans un nouveau territoire audacieux, mettant en vedette un adolescent qui a subi une prémonition et a trompé la mort, pour ensuite être traqué aux côtés des autres qui ont été sauvés par sa prévoyance, mais Mortelle Saint-Valentin en 2001 montre que le slasher a perdu de son souffle.
 
Le slasher, le film de tueur psychopatheDe nos jours, le sous-genre du slasher est devenu un peu plus flexible. Quelques films slasher récents défient la tradition d'un seul méchant brandissant une lame, et beaucoup intègrent des tropes d'autres sous-genres, souvent avec un grand succès. "American Psycho" des années 2000, par exemple, présente un tueur dérangé et le genre de séquences de meurtres macabres que vous trouverez dans un slasher, mais c'est vraiment un thriller psychologique dans l'âme. Jeepers Creepers : Le Chant du Diable en 2001 essaye d'innover avec une histoire dans laquelle tous les 23 ans et pendant 23 jours apparaît une créature terrifiante qui traque les voyageurs sur les routes désertiques du sud-est yankee. Ce que deux jeunes étudiants, frère et s½ur, vont découvrir sur cette route, dépasse de loin leurs pires cauchemars : le Creeper. Ce film aura le droit à 2 suites en 2003 et 2017 voulant tirer profit du succès du 1er film mais qui sont passables car ils jouent avec la chronologie du 1er film.  Les films français comme "Haute Tension" en 2003 et "Martyrs" en 2008 appartiennent également à plusieurs catégories, malgré de nombreux éléments slasher. Des thrillers comme "Wrong Turn" de 2003 et le dégoûtant "The Green Inferno" de 2013 repoussé les limites avec leur contenu axé sur le cannibale, tandis que des films comme "Saw" de 2004 et "Hostel" de 2005 font partie d'une tendance post-millénaire qui met en scène la torture, le gore et la violence. Même les films qui pourraient traditionnellement être des slashers, comme le redémarrage en 2003 de " Massacre à la tronçonneuse", se retrouvent penchés vers la zone d'éclaboussures grâce à leurs effets visuels numériques, ou encore Halloween de Rob Zombie en 2007 qui enlève tout le côté fantastique de la franchise et a le droit à une suite, le remake de Massacre au camp d'été avec Blood Camp en 2008 et le film aura le droit à une suite au 3e épisode Sleepaway Camp 4: The Survivor (2012) ou encore un encore le moins inspiré Camp Cold Brook (2018),et les remakes de Vendredi 13 de Marcus Nispel en 2009 et Freddy, les griffes de la nuit de Samuel Bayer en 2010, qui sont passables. Peu inspiré, on fait aussi revenir Michael Myers dans une suite pathétique comme Halloween : Resurrection en 2002, et Jason Voorhees dans le tout aussi raté Jason X en 2001, qui se déroule dans le futur, la scène d'ouverture se passant en 2010, Jason étant captif depuis 2008, la continuité de la saga de Jason Voorhees est donc préservée, et Leatherface reçoit un enterrement sans luxe avec Massacre à la tronçonneuse : Le Commencement en 2006, et Texas Chainsaw 3D en 2013. Cependant, certains slashers plus simples ont encore fait sensation récemment. Et en 2003, ont eu le droit à un crossover attendu par les fans dans Freddy vs Jason qui s'est avéré décevant. Pour autant de slashers intéressant se font une place comme "The Strangers" de 2008, est une histoire d'invasion de domicile noueuse qui rappelle des films slasher vintage comme "Black Christmas" et "Halloween".  Puis vint Butcher : La Légende de Victor Crowley est sorti en 2006 et a été produit avec un micro-budget de 1,5 million de dollars, dont une grande partie a probablement été consacrée aux abondantes quantités de sang, de tripes, de viscères et d'autres effets pratiques du film. Le film, qui a connu un succès incroyable auprès des fans d'horreur, des festivals et du public, a reçu des critiques mitigées de la part d'autres critiques majeurs.  Malgré cela, il a engendré trois suites : Hatchet II, Hatchet III et Victor Crowley. Non seulement c'est un hommage clair aux slashers des années 80 imbibés de sang avec son tueur Victor Crowley, mais il mettait en vedette les icônes de l'horreur Kane Hodder (Vendredi 13), Tony Todd (Candyman) et Robert Englund (Les Griffes de la Nuit). Les effets pratiques du film ont été réalisés par le légendaire John Carl Buechler. La même chose peut être dite pour la photo de 2016 "Hush", qui reprend le concept d'une femme terrorisée par un tueur masqué dans sa maison et lui donne une nouvelle tournure exaltante. Parmi les autres slashers récents qui s'engagent dans une structure classique, citons "The Guest" de 2014 "You're Next" de 2011 et "Terrifier" de 2016. On peut ajouter The Purge, composée de 4 films (les American Nightmare, en français), ainsi que d'une série. Du slasher movie, la saga lancée en 2013 reprend plusieurs éléments. Le port de déguisements (les masques lumineux, ou gothiques), l'usage d'armes blanches et contondantes, ainsi que le principe d'un groupe démuni en péril (une famille dans American Nightmare, un jeune couple dans le second volet...). Ici, les villes concernées par la «purge» sont le théâtre de violences inouïes, perpétrées non par des psycho-killers avérés, mais par des citoyens lambda dont la fureur se déchaîne à la seule occasion d'une nuit annuelle de licence absolue, instaurée par l'organisation au pouvoir (NFFA). "The Purge" combinait des films slasher avec une fiction dystopique, créant des histoires d'horreur politiques, et n'oublions pas que les slashers se marient également bien avec des films parodies, comme on le voit dans la franchise "Scary Movie". Peut-être plus important encore, les images générées par ordinateur et les effets spéciaux améliorés ont rendu le gore à l'écran plus dynamique que jamais, ce qui signifie qu'il y a eu une augmentation majeure des photos de style éclaboussures ces derniers temps.
 
Le slasher, le film de tueur psychopatheRécemment, cependant, il y a eu une deuxième vague de films slasher auto-référentiels - et, parfois, comiques, comme "Happy Birthady" (2017), "Freaky" (2020) mélange toujours le slasher avec, cette fois, le film d'échange de corps, dont le modèle reste le roman Freaky Friday de Mary Rodgers et ses nombreuses adaptations, "The Babysitter" (2017) et sa suite The Babysitter : The killer Queen (2020) et "Wedding Nightmare" (2019), tous qui insufflent une certaine légèreté dans des structures d'histoire familières. Les nouveaux films "Fear Street" s'inscrivent dans cette nouvelle tradition. Ils sont complètement terrifiants et remplis de tueurs noueux qui ne reculeront devant rien pour terminer leurs terribles actions, mais ils ajoutent également des commentaires humoristiques sur le sous-genre slasher et tous les événements macabres. Alors que les sensations fortes se poursuivent avec le troisième volet de "Fear Street", la trilogie augmente encore plus les peurs et les surprises, tout en honorant l'histoire des slashers à sa manière unique. Adaptés d'une série de livres de R. L. Stine et mise en ligne cet été sur Netflix, car chaque film et partie se déroule à une époque différente (1994, 1978 et 1666), mais forme une seule et même mythologie. Les deux premiers sont d'ailleurs 100 % des slashers, et Fear Street 1994 s'ouvre même sur une longue séquence qui rappelle celle de Scream. Nos héros et surtout héroïnes adolescentes sont ensuite confrontés à plusieurs tueurs issus du passé maudit de leur ville de Shadyside. Fear Street 1978 assume encore plus l'hommage aux slashers des années 1980, puisqu'il met en scène un massacre dans un camp de vacances dans la plus pure tradition de Vendredi 13. Enfin, la tentative de préquelle à Massacre à la tronçonneuse avec Leatherface en 2017 et Le Massacre à la tronçonneuse en 2024 qui sera une suite du film de 1974, et le retour et remake d'Halloween en 2018, et son record au box-office, a créé un appel d'air, avec des suites (Halloween Kills sortit le 20 octobre 2021 et qui s'avère une véritable déception), des reboots (un nouveau Scream début 2022), mais également des propositions et curiosités originales en 2021, comme Killer Game, dont on préférera le titre original There's Someone Inside Your House, commence comme n'importe quel slasher, avec ses lycéens pris pour cible par un tueur encapuchonné et masqué. Un masque à l'effigie de sa victime, dont il révèle les secrets aux yeux de tous : bizutage qui tourne mal, appel à la haine, etc., dont le réalisateur Patrick Brice ne signe pas qu'un «simple» slasher, avec de vrais moments de tension et des mises à mort stylisées, faisant aussi état d'un spleen adolescent, un peu comme It Follows avant lui, Initiation un slasher qui avance... masqué et ne joue en effet pas selon les codes du genre, du moins pas tout de suite, car au tout le début du film raconte ainsi la vie d'une université, leurs fraternités et sororités, mais aussi les histoires de harcèlements et de viols, et le rôle joué par les réseaux sociaux, dans lequel Ellery soupçonne ainsi son frère Wes d'avoir abusé de son amie Kylie, qui réussit à déjouer les attentes et attirer l'attention sur son vrai sujet : les violences faites aux femmes. Le slasher s'est déjà invité sur le petit écran, avec le précurseur Harper's Island, les teen shows Pretty Little Liars et Riverdale, la série Scream bien sûr, sans oublier le travail de Ryan Murphy (American Horror Story, Scream Queens). Mais, peu le savent, une série anthologique lui est entièrement consacrée depuis 2016. Tout simplement titrée Slasher, elle compte quatre saisons de huit épisodes (dont les 2 et 3 sur Netflix) et applique le petit slasher illustré à la lettre, avec la petite ville, le camp d'été ou l'île isolée, un tueur looké et masqué, des secrets du passé, et le défilé de suspects. Ni comique, ni méta, la série est accusée d'être presque trop sérieuse, mais non moins efficace et addictive.
 
Pour aller plus loin, je vous conseille ces lectures qui m'ont beaucoup aidé : http://culturaddict.com/slasher-histoire-dun-genre-cinema-dhorreur/, https://en.wikipedia.org/wiki/Slasher_film, https://screenrant.com/victor-crowley-character-hatchet-movie-best-modern-slasher/, https://www.20minutes.fr/arts-stars/cinema/3143351-20211009-killer-game-fear-street-slasher-retour-tueurs-masques-petit-grand-ecran, https://leplus.nouvelobs.com/contribution/932176-videos-you-re-next-scream-halloween-mon-top-10-des-meilleurs-slashers-movies.html, https://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18673246.html, https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2019/03/07/la-baie-sanglante-de-mario-bava/, https://www.dvdclassik.com/critique/phantasm-coscarelli, https://www.konbini.com/fr/pepite/comment-the-purge-a-reinvente-le-concept-du-slasher-movie, https://www.looper.com/461144/the-evolution-of-slasher-films-explained/, et https://www.premiere.fr/Cinema/Vote-Serial-killers-quel-est-votre-slasher-prefere.
 
Merci !
Tags : Cinéma
​ 7 | 6 |
​
0
Commenter

#Posté le vendredi 29 octobre 2021 05:52

Modifié le vendredi 29 octobre 2021 06:10

  • Amis 1
  • Tweet
  • Commentaires
  • Kiffs
  • Remix

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.239.129.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

les-anges-noir-666, Posté le vendredi 29 octobre 2021 11:03

intéressant article sur ces films d'horreur
Joél


les-amis-des-nours, Posté le vendredi 29 octobre 2021 09:21

bonne documentation sur ce film
Ethan


les-babies-anges-noirs, Posté le vendredi 29 octobre 2021 08:57

belle presentation de ce film d'horreur
bisous


le-royaume-de-marie, Posté le vendredi 29 octobre 2021 08:55

Voilà un beau document sur ce film d'horreur


Loups-06, Posté le vendredi 29 octobre 2021 08:54

beau document sur ce film mon ami Kiss


lucinda-et-lestat-vampir, Posté le vendredi 29 octobre 2021 08:52

bel article sur ce film mon ami bisous


RSS

Article précédent

Article suivant

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile