Un couple, Andrew et Josie Smith, parents de trois enfants, avaient acheté une maison à Lowes Cottage en 1993 pour 44 000 livres. Andrew avait déjà aidé à reconstruire des maisons au Pays de Galles et Joséphine infirmière. Ils avaient eu des problèmes d'argent mais étaient à nouveau solvables. Ils ont emprunté presque tout l'argent de la banque et ont accepté de rembourser le solde de 3000 livres aux s½urs. Ils ont emménagé et ont commencé à peindre et à plâtrer. Bientôt, cependant, ils ont commencé à sentir que quelque chose d'autre était là.Les Smith ont affirmé qu'ils avaient été chassés par un certain nombre de manifestations, y compris quelque chose qu'ils ont décrit comme "une présence rampante", comme une brume qui est apparue et s'est épaissie en brouillard. Elle avait une odeur horrible et était "de la taille d'une personne", qui se déplaçait dans la maison. Une nuit, Andrew a regardé la machine à écrire vibrer puis s'envoler de la table. Une autre nuit, Joséphine dit qu'elle a senti quelque chose se presser contre elle avec une telle intensité qu'elle a été clouée au lit. "C'était difficile de respirer." Ils ont parlé de poches soudaines de taches froides et humides sur le mur et d'objets en mouvement inexplicablement après qu'une amie qui appartenait à l'Église spiritualiste a proposé d'essayer de purifier l'air, venue avec un bol d'eau et une croix en bois. Leurs affirmations ont été étayées par un vicaire de l'Église d'Angleterre, le révérend Peter Mockford, l'un des cinq vicaires qui s'occupent des hantises apparentes dans le diocèse qui couvre Upper Mayfield, qui a enquêté sur le chalet et a déclaré avoir trouvé une odeur âcre qui se déplaçait et un mur qui semblait pleurer lorsqu'il a posé sa main dessus. Alors que les Smith discutaient avec des habitants, ils ont appris qu'un jeune couple était décédé dans leur maison plus d'un siècle plus tôt. Les s½urs Susan Melbourne, 40 ans, et Sandra Podmore, 38 ans ont affirmé qu'il n'y avait aucune trace du couple vivant dans le chalet. Puis, les phénomènes ont disparu pendant quatre mois, puis sont revenus. Les médias locaux ont commencé à diffuser des récits des hantises. Les Smith cherchaient désespérément à s'échapper. Hormis le fantôme, ils avaient du mal à faire face à leurs remboursements. Lorsque les Smith ont tenté de refinancer leur hypothèque, la banque a refusé, affirmant que l'attention des médias avait diminué la valeur de la maison. Mais ils avaient fait beaucoup de travail sur le chalet et, à un moment donné, l'avaient évalué à 72 000 livres. Ils ont décidé de l'annoncer comme une maison hantée.
Le couple a alors déposé une plainte contre les propriétaires précédents pour ne pas leur avoir dit que la propriété était hantée. Il a été rapporté que c'était le premier cas reposant sur l'existence de forces surnaturelles depuis le Moyen-âge. Les s½urs Susan Melbourne, et Sandra Podmore, croient que les Smith inventent l'histoire pour gagner de l'argent. La publicité a apporté des dizaines de lettres et d'offres à exorciser. Certaines personnes refusaient de prendre non pour une réponse et se présentaient simplement à l'extérieur du chalet, impatientes de chasser les fantômes. Les Smith ont engagé Tony Dawson et un autre enquêteur paranormal pour filmer leur maison, dans l'espoir d'obtenir des preuves d'une hantise. Les enquêteurs ont placé deux bougies sur un escalier, et pendant l'enregistrement vidéo, une bougie a semblé dégringoler dans les escaliers et l'autre a semblé voler dans les airs, mais l'image était tellement floue qu'elle n'a pas convaincu le tribunal du comté de Derby qui a rejeté en 1999 les histoires d'un garçon au visage de porc et d'une servante nue, qui auraient prétendument réduit le prix du bâtiment de 50 000 £. "Cette maison n'est pas hantée et n'a jamais été hantée", a déclaré le juge Peter Stratton au tribunal, après le premier cas du genre depuis le Moyen Âge. Il a ordonné au constructeur Andrew Smith, âgé de 36 ans, et à sa femme, Josie, de payer 3482 £ qu'ils avaient retenus du paiement pour Lowes Cottage, vieux de 300 ans, à Upper Mayfield, à la frontière du Derbyshire et du Staffordshire. La décision a été saluée par les s½urs Susan Melbourne et Sandra Podmore, qui ont déclaré au tribunal qu'elles avaient vécu dans le bâtiment en pierre de trois étages pendant des années, sans hantise. Mme Melbourne, une machiniste d'usine, a déclaré : "Nous avons dû vivre avec cela pendant deux ans - où que vous alliez, quoi que vous fassiez, vous ne pouviez pas y échapper."
C'était exactement la description que les Smith faisaient de divers personnages obscurs au cours de vie dans la maison pendant trois ans. Ceux-ci auraient mis leurs mains sur la chemise de nuit de Mme Smith, reçu le témoignage d'un voisin en visite qui dit qu'un bol d'eau bénite d'un exorciste s'est transformé en un brouillard malodorant. Le couple a admis à l'avocat des s½urs, Thomas Dillon, qu'ils avaient lu des choses similaires dans le roman The Amityville Horror, mais a nié avoir choisi des bouts du livre pour éviter de payer le prix d'achat total. Le juge Stratton était peu convaincu au sujet du témoignage du révérend Peter Mockford, vicaire de Blurton, Staffordshire, qui a témoigné sous citation à comparaître que «dans l'ensemble, il y avait une activité paranormale à Lowes Cottage». Le juge a déclaré que le vicaire n'avait pas détecté les problèmes psychologiques de Mme Smith et leur lien avec la maison, et avait pris l'histoire du couple en confiance "après une conversation d'une demi-heure avec à peine un examen rigoureux". M. et Mme Smith, accompagnés de conseillers d'une Église spiritualiste, ont mené leur propre défense lors de l'audience. Mme Smith a détaillé plusieurs événements bizarres, tandis que son mari a conclu son discours de trois minutes devant le tribunal : "Il n'y a aucun moyen que je fasse subir tout cela à ma famille pour 3000 £." Après la décision, le couple a déclaré : "Nous sommes évidemment très déçus de l'issue de la procédure. Nous n'avons pas d'autre choix que d'accepter la décision du juge et nous procéderons sur cette base." Le couple a depuis été relogé par le conseil du Staffordshire à Burton-on-Trent, mais la décision pourrait avoir une lueur d'espoir. Le tribunal a été informé par M. Smith que l'évaluation de 70 000 £ par un agent immobilier de Lowes Cottage avait été réduite après les accusations de hantise à "environ 20 000 £".
À la suite de la décision du juge Stratton, l'opinion des agents d'Ashbourne impliqués dans les transactions initiales était qu'elle reviendrait approximativement à sa valeur d'avant le fantôme. Tim Chilton a acheté Lowes Cottage en 1999, et rencontra des phénomènes comme les lumières qui s'allumaient et s'éteignaient, sans doute à cause de lampes anciennes dont le courant varie, et la température changeait soudainement, tandis que son collet Syon était mal à l'aise, ce qui s'explique par les changements de température et les sons en trouvant des sources de courants d'air, tels que des espaces vides derrière des murs ou des courants mis en mouvement par des ondes sonores à basse fréquence ( infrasons ) produites par des objets aussi banals que des ventilateurs du système de ventilation, mais les incidents embarrassants cessèrent, les journalistes venus lui rendre visite ont eu des problèmes avec les magnétophones ou les caméras ce qui n'est pas inhabituel puisque ces appareils peuvent rencontrer des problèmes de son, de volume, de lecture audio ou d'enregistrement sans y voir une hantise, et de mystérieuses taches d'humidité luisantes ont commencé à se former sur les murs, sans doute à cause d'une infiltration d'eau, ce qui n'est pas nouveau dans les maisons qui prennent de l'âge. Il passa quatre années heureuses au chalet avant de le louer. Un seul des locataires a signalé quelque chose d'inhabituel.
Mais ce cas s'explique de façon rationnelle puisque Andrew et Josie Smith semblent avoir reproduit le récit du livre d'Amityville avec les objets qui lévitent, et des gouttes gélatineuses qui sont apparues de nulle part, qui ressemble beaucoup au mur qui pleure du récit des Smith, et il semble qu'il pouvaient souffrir de dépression et de troubles du sommeil, car il n'arrivaient pas à refinancer leur hypothèque, et enfin ils ne voulaient sans doute pas payer le loyer, car ils avaient du mal à faire face à leur remboursement. On peut donc comprendre que le juge Stratton n'a pas été convaincu.Pour aller plus loin, je vous conseille ces lectures qui m'ont beaucoup aidé : Robert Todd Caroll, The Skeptical Dictionnary, 1994, https://unsolvedmysteries.fandom.com/wiki/Loews_Cottage (cet article ne fournit pas d'explications rationnelles, regardez le avec beaucoup de prudence), https://www.independent.co.uk/arts-entertainment/ghost-stories-1104272.html, https://www.theguardian.com/uk/1999/jan/19/martinwainwright, et https://www.theguardian.com/lifeandstyle/2021/oct/29/experience-i-bought-englands-most-haunted-cottage.
Merci !
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