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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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Django, prépare ton cercueil

Django, prépare ton cercueilJe vais vous parler aujourd'hui de Django, prépare ton cercueil. Un très bon film avec un Terrence Hill à contre emploi et lorgnant vers le fantastique. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

Django, prépare ton cercueil (Preparati la bara !, 1968) est un film italien de Ferdinando Baldi.

Django est convoyeur de fonds au service des banques et ami du sénateur David Barry, qui n'hésite pas à tuer et à voler pour recueillir l'argent nécessaire à sa campagne politique. Il fait attaquer les convois et inculper des innocents. Un jour, Django est lui-même victime d'une agression au cours de laquelle sa femme est tuée. Il se fait alors passer pour mort et organise méticuleusement sa vengeance...

Si il ne bénéficie pas de la renommée de Sollima ou Corbucci (ne parlons même pas de Leone), le réalisateur Ferdinando Baldi a pourtant réalisé une poignée de westerns intéressants comme Texas Adios, Le Dernier Des Salauds ou encore le très culte Blindman et le curieux Comin'At You (filmé en 3D). Son approche du mythe de Django se révèle rigoureuse et bénéficie d'un scénario solide, cohérent et relativement complexe laissant la part belle aux trahisons et retournements de veste. Comme souvent avec les westerns italiens de cette époque le métrage laisse planer un certain élément surnaturel et Django parait revenir des Enfers pour se venger. Est il mort ou vivant ? Difficile de trancher après avoir vu Terence Hill criblé de balles lors du prologue.

La trame comme l'ambiance de Django, Prépare ton Cercueil, disons le tout net, se rapproche davantage d'un Django que d'un Trinita. Un climat également entretenu par la présence de ces pauvres types, injustement accusés et condamnés à mort, que Django sauve de la potence pour constituer une sorte de horde de justiciers se présentant comme des fantômes venus réclamer justice. Au niveau de la mise en scène, Baldi assure le spectacle et propose quelques beaux paysages, des duels efficaces et l'une ou l'autre attaque de diligence bien menées. Les fusillades sont bien assurées, la poussière vole et le film dispense quelques instants de noirceur, sans pour autant atteindre les envolées crapoteuses de Corbucci. Les combats à mains nues et les cascades sont, elles aussi, de bon niveau tandis que la scène finale se révèle particulièrement mémorable. Lors d'un hommage du premier Django, notre pistolero doit creuser sa propre tombe, cerné par des bandits dans un cimetière. Mais Django sort sa fameuse mitrailleuse du cercueil et se lance dans un véritable carnage. Une excellente manière de conclure le métrage par cette référence assumée au classique de Corbucci.

Les interprètes, eux, sont tout à fait corrects. Même si Terence Hill n'est pas pleinement à l'aise dans ce rôle de tueur implacable, il assure la succession de Franco Nero avec un bel aplomb. Parfois monolithique, voire figée, sa prestation reste efficace et confère même un caractère menaçant à ce Django qui, décidément, s'apparente fortement à un revenant. Du côté des méchants on retrouve avec plaisir l'allemand Horst Frank (que l'on verra dans de nombreux gialli tels Si douces si perverses ou Le chat à neuf queues et quelques westerns de qualité, en particulier Le Grand Duel). Et bien sûr, joie et bonheur, il faut citer un homme sans qui ce film ne serait pas le même : George Eastman. Le futur Antropophageous campe ici un sbire de seconde catégorie, mais avec quelle classe et quel charisme. Surplombant le casting de sa haute taille, lançant des regards sinistres, riant comme un possédé, ses apparitions tendent à tirer Django, Prépare ton Cercueil vers le haut.

Django, Prépare Ton Cercueil constitue donc un très honnête western à l'italienne, servi par un scénario intéressant, une mise en scène très professionnelle, une musique agréable et un casting de choix. S'il ne peut prétendre rivaliser avec les plus grandes réussites du genre, Django Prépare Ton Cercueil se situe toutefois clairement dans le peloton de tête du western spaghetti et s'inscrit parmi les productions les plus intéressantes d'un style ayant généré plusieurs centaines de titres souvent peu passionnants. Divertissant, le film mérite donc largement une vision pour les amateurs du genre.

J'espère vous avoir fait découvrir ce film.
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Tags : western spaghetti
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#Posté le samedi 09 octobre 2010 03:50

Cinq Hommes Armés

Cinq Hommes ArmésJe vais vous parler aujourd'hui du film Cinq Hommes Armés. Un casting de rêve pour une déclinaison au Far West de "Mission Impossible" ce qui en fait un film ingénieux. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

Cinq Hommes Armés est film Italo-Américain réalisé par Don Taylor, Italo Zingarelli, Dario Argento (Titre en VO : Un Esercito di cinque uomini) en 1969.

Mexique, 1914. Traqué par la police, Luis Dominez est obligé de se réfugier au Texas. Il rencontre trois hommes qui lui proposent d'aider un énigmatique "Hollandais". Ils partent pour faire évader le révolutionnaire Manuel Estaban du peloton d'exécution. Estaban est au courant du convoi d'or que doit recevoir Huerta. Ils vont tenter de voler le chargement. Seul problème : les 500 000 dollars convoités sont archi-protégés.

Cinq hommes armés (la bonne traduction aurait été Une armée de cinq hommes) se voulaient une transposition de la série Mission impossible en western, ce qui explique la présence de Peter Graves.

Cinq hommes armés peut-être décrit comme démarqué des Sept Mercenaires. Peter Graves, James Daly, Bud Spencer, Tetsuro Tamba et Nino Castelnuovo jouent le quintette du titre. Pris au milieu de la Révolution mexicaine de 1914, les cinq hommes ont en commun leurs compétences individuelles dans l'espoir d'une incapacité de l'ennemi. Avec la star de Mission Impossible, Graves en tête, il est naturel que le plan "impossible" consiste dans la tâche de soulager un méchant général d'un grand envoi d'or. Situé dans le Mexique, mais tourné en Espagne, ce western spaghetti a été financièrement produit par la MGM, les mêmes gens qui ont produit le populaire Les Douze Salopards.

Ce western Spaghetti a été très probablement dirigé par le réalisateur de la télévision américaine Don Taylor, même si de nombreuses sources affirment que c'est en fait le producteur Italo Zingarelli. Dario Argento et Peter Graves ont déclaré que Taylor a été le réalisateur, mais l'actrice Daniela Giordano se souvient que Taylor fut là le premier jour de tournage avant que Zingarelli a pris le relais.

Ce film est une co-production Italo / Americaine. Il est parfois très amusant, la plupart du temps assez bête mais toujours très regardable. Le point culminant du film est le contraste entre les personnages, qui sont tous très sympathique (mais assez cliché). James Daly en particulier, a un bon rôle celui du vieillissant capitaine August, qui doute constamment de sa capacité (et ses collègues) à réaliser le hold-up.

La musique d'Ennio Morricone est entraînante, mais sonne comme un puzzle confus de beaucoup de ses ½uvres. Elle s'intègre cependant parfaitement au film. Le paysage – les collines désertiques - est presque un personnage du film lui-même. L'histoire, avec scénario de Dario Argento, est pleine d'action et de trahisons développées à un rythme élevé et avec un travail superbe sur le montage photo. Dario Argento ne laisse jamais les personnages hors du jeu, cela du début à la fin et Taylor dirige avec son ½il sûr une action constante.

Le résultat est un film drôle et divertissant, avec des situations résolues dans des moyens purement impossible. Le film devrait être classé avec ses contemporains les films de Clint Eastwood, Pour quelques dollars de plus et Le bon, la brute et le truand.

J'espère vous avoir fait découvrir ce film.
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#Posté le dimanche 10 octobre 2010 07:44

Le Dollar troué

Le Dollar trouéJe vais vous parler aujourd'hui du Dollar troué. Ce film très inventif narre la vengeance d'un mercenaire que ses employeurs ont floué en le poussant à tuer son frère sans qu'il le sache. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

Le Dollar troué (Un Dollaro bucato) est un film Italo-Français de1965 réalisé par Giorgio Ferroni avec Giuliano Gemma sous le pseudonyme de Montgomery Wood et Pierre Cressoy.

Après la guerre de Sécession, le soldat Gary O'Hara rejoint sa femme en Virginie. Phil, son frère, part quant à lui pour l'Ouest où il espère faire fortune. Désargenté, Gary décide de tenter lui aussi la grande aventure de la côte Ouest et se lance à sa recherche. A Yellowstone, il est embauché par McCoy, l'homme fort de la ville. Son nouveau patron lui demande d'éliminer un dangereux bandit. Avant d'avoir eu le temps de le reconnaître, Gary abat le criminel, qui n'est autre que son frère Phil. Furieux, Gary s'en prend à McCoy...

Tourné en 1965, lorsque western spaghetti était encore à ses débuts, il s'agit d'un film simple très divertissant mais pas un exemple typique du genre, car il manque le cynisme et le ritualisme des films comme Django. C'est un autre film réalisé dans la foulée du succès de Pour une poignée de dollars (1964), ça n'a ni le style ni les sautes d'humeur des meilleurs westerns spaghetti. Cependant, il y a quelques angles de caméra efficaces et inhabituels et des visions occasionnels liées au surnaturel (un précurseur d'Eastwood dans le merveilleux L'homme des Hautes Plaines (1973). Le héros est "tué" avant qu'il ne soit découvert un dollar en argent qui lui a sauvé la vie.

C'est un western classique, avec sa vengeance, son héros, ses méchants, mais un bon scénario et un Gemma qui comme d'habitude sauve le film. Giuliano Gemma y joue un soldat confédéré qui revient de la guerre pour lutter contre un hors-la-loi en revenant à la maison. À son insu, son frère est devenu le tireur célèbre "Black Jack" pour vaincre les tyrans locaux. Gemma est d'accord pour tendre une embuscade et tuer Black Jack, seulement pour découvrir trop tard qui le proscrit est vraiment. Avec la vengeance dans son c½ur, il se retourne contre ses employeurs, qui ensuite lui tirent dessus.

Ferroni ne peut être comparé aux maîtres italiens, les Leone, Corbucci, Sollima,Tessari, ses films sont plus un hommage au genre Hollywoodien, un peu manichéen, les méchants sont bien méchants, et le jeune premier bien sous tous rapports, un rien d'ambigu comme chez l'homme sans nom (campé par Eastwood) de Leone par exemple , pas de touche humoristique non plus ,et une réalisation plutôt académique. L'intrigue est très bien écrite, les bagarres sont bonnes, en dehors d'un grand début. La bande son est tout simplement incroyable et se révèle par elle-même comme un classique.

Le western italien n'est pas encore de mode et c'est sous des pseudos anglo-saxons que se cachent Gemma (Montgomery Wood ) et Ferroni (CJ Padget). À sa sortie aux États-Unis, presque tous les membres de la distribution et de l'équipe de production avaient changés leurs noms pour le public américain.

Ce Western Spaghetti de Giorgio Ferroni est un conte plutôt classique mêlant cupidité, vengeance et final inattendu - trois ingrédients (peut être trop souvent) utilisés par Tarantino dans ses films. De plus, la bande originale composée par Gianni Ferrio a cette sonorité très franchouillarde qui s'intègre bien aux films de Tarantino.L'intrigue est très bien écrite, les bagarres sont bonnes, en dehors d'un grand début.

J'espère vous avoir fait découvrir ce film.
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#Posté le lundi 11 octobre 2010 03:40

La Bataille de San Sebastian

La Bataille de San SebastianJe vais vous parler aujourd'hui de La Bataille de San Sebastian. Un western Spaghetti réalisé par Henri Vernueil, avec un casting de qualité et dont le rythme ne s'essouffle jamais. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

La bataille de San Sebastian est un film réalisé par Henri Verneuil, sorti en France en 1968. Il s'agit d'une co-production entre les États-Unis, la France, l'Italie et le Mexique.

En 1743, au Mexique, durant la domination espagnole. Aventurier des grands chemins traqué par des soldats mexicains, Léon Alastray trouve refuge auprès d'un moine franciscain. Banni pour son acte, ce dernier doit s'exiler dans l'arrière-pays. Lorsqu'il est assassiné, Léon Alastray endosse le rôle d'homme d'église pour redonner courage aux habitants d'un village menacé.

Ce western se distingue d'à peu-près tous les autres par l'époque où il est situé, le XVIIIe siècle. Par ailleurs, sa consonance religieuse bien française (un miracle est une illusion) est absolument à l'opposé de la production américaine (où Dieu est toujours actif aux côtés du héros). Henry Verneuil s'attaque aux westerns spaghettis avec ce film qui s'approche aussi du film d'aventure. le cinéaste a eu l'intelligence de confier le premier rôle à un excellent Anthony Quinn parfait en voleur qui devient prêtre puis un véritable leader face à un Charles Bronson qui se contentera de quelques apparitions. Verneuil a toutefois la vertu de nous présenter un personnage de prêtre (même si c'est un faux) tel que ne les aiment pas les instances ecclésiales, un prêtre qui s'engage dans un combat militant. L'église aime le peuple quand il va en pèlerinage, pas quand il se livre à une action sociale pour gagner sa liberté.

Si l'argument de départ, la défense d'un village rançonné par des bandits, rappelle très fortement celui du film Les Sept samouraïs et, par voie de conséquence, celui Les Sept mercenaires, le film de Verneuil a un thème et une intrigue plus riches (la religion et l'État, Alastray est leur ennemi mais sait aussi en tirer parti : des événements extérieurs au village seront en fait décisifs) et une conclusion nettement plus pessimiste (finalement, rien ne changera). Les scènes de batailles sont aussi spectaculaires qu'impressionnantes et restent un des moments fort du genre. On passe un agréable moment et la scène de bataille a la fin est sublime est très bien faite, sans temps mort, non stop, bref du grand cinéma et ses jolies paysages sont magnifiquement filmé. Un film à voir au moins une fois, ne serait-ce que pour la musique d'Ennio Morricone. Après cette expérience américaine, en 1969, Verneuil retrouve la France. Il est désormais qualifié de "plus américain des réalisateurs français". A partir de cette période, ses films ont changé.

Un bon divertissement, à mi-chemin du western et du film d'aventures, dont on retiendra surtout les spectaculaires scènes de batailles et les compositions d'Anthony Quinn et Charles Bronson.

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#Posté le mardi 12 octobre 2010 07:06

Condenados a vivir

Condenados a vivirJe vais vous parler aujourd'hui de Condenados a vivir. Un film brutal, tenant plus du slasher que du western spaghetti, dont les héros sont tout sauf des anges.


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#Posté le mercredi 13 octobre 2010 04:03

Modifié le mercredi 26 septembre 2012 13:58

I crudeli

I crudeliJe vais vous parler aujourd'hui du film I crudeli. Encore un très bon western de Sergio Corbucci dont les acteurs sont particulièrement bon, ce qui est un plus. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

I crudeli est un film de 1967 réalisé par Sergio Corbucci.

Jonas est un soldat sudiste extrémiste qui désire rebâtir l'armée confédérée pour recommencer la guerre. Ses fils et lui tendent alors une embuscade à des soldats de l'Union transportant une somme d'argent faramineuse. Les escrocs dissimulent le butin dans un cercueil, et tentent de traverser le pays. Avec l'aide de Kitty, ils se font passer pour des soldats escortant une veuve et son mari défunt vers un lieu d'enterrement propice. Cependant, lorsque Kitty tente de s'enfuir avec le butin, les fils de Jonas l'abattent, contraignant le père à trouver une autre femme pour jouer le rôle de la veuve. C'est alors qu'il fait la rencontre de Claire.

I crudeli est un classique absolu du western spaghetti, qui se dresse fièrement à côté des classiques Corbucci avec ses collègues Django et le Grand Silence. Bien qu'il ne vienne pas au niveau des chefs-d'½uvre de Corbucci "Django" et "Le Grand Silence", c'est encore un grand western, et qui fut tourné dans certaines régions inhabituelles du Spaghetti Western.

Elle se poursuit dans la veine habituelle de Corbucci, tirant sur des rebondissements inattendus et injustes à l'écran, comme le scénario menant vers son final sombre. La préhension, mais aussi la lenteur du film rappelle Le Bon, la Brute et le Truand, dont l'histoire s'inspire. Pendant tout ce temps, la musique du film de Morricone est très agréable à entendre. Morricone qui est ici à son meilleur niveau, mais ce n'est pas l'une de ses meilleures musiques.

Mis à part Ben (Mateos) et Claire (Bengell), les cruels sont mauvais et très laid. Norma Bengell dont la performance est très bonne, et Julian Mateos, qui joue un autre personnage principal, le fils du colonel, Ben, fait aussi du bon travail. Joseph Coton est convaincant, dans le rôle du colonel Jonas, un religieux sudiste, un fanatique qui, avec un certain sang froid, met sa cause au dessus de tout, son expression impassible fait saisir superbement son caractère et sa vision d'esprit unique. Angel Aranda Jeff Pernice (peut-être plus célèbre pour avoir eu son oreille coupée dans Django) qui vraiment dérangé dans ce film, joue le fils du colonel Jeff. Il y a aussi des apparitions des grands favoris des eurowesterns Al Mulock, l'un des meilleurs rôles du film comme mendiant délicat, Aldo Sambrel, très bon en hors la loi mexicain et Benito Stefanelli qui a un court rôle de joueur de cartes.

Le film a tendance à avancer péniblement plutôt que de galoper dans un certain nombre d'endroits (et ce n'est pas une mauvaise chose), son histoire est également très différente de la majorité des films du genre. Mais il est bon à regarder, notamment à cause de la scène finale du Fort excellente et qui en vaut le vaut le prix.

Malgré ses quelques longueurs "I crudeli" est un western spaghetti assez brutal et très bon, et à ne pas manquer par les fans Corbucci.

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#Posté le jeudi 14 octobre 2010 04:17

4 Dollars De Vengeance

4 Dollars De VengeanceJe vais vous parler aujourd'hui de 4 Dollars De Vengeance. Un bon western d'action avec Robert Woods dans le rôle titre, c'est plutôt attrayant. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

4 Dollars De Vengeance est un film Italo-espagnol de Jaime Jesús Balcázar datant de 1966.

A quelques jours de son mariage avec Mercédes, une riche héritière, le Lieutenant Nordiste Roy Dexter doit convoyer jusqu'à Washington des sacs de dollars en or. Le lieutenant Haller, également amoureux de Mercédes, en profite pour lui tendre un guet-apens qui consiste à le faire accuser du vol de l'or...En chemin, il est pris dans une embuscade où des bandits s'emparent du magot. Trouvé grièvement blessé, il est accusé de vol et condamné aux travaux forcés. Il comprend alors qu'il est l'objet d'une incoyable machination qu'il entreprend de démonter. Il s'évade au péril de sa vie

Jaime Jesús Balcázar (entre autre dialoguiste sur le Castle Of Fu Manchu de Jésus Franco ou coscénariste du Miel du Diable de Fulci) signe ici un western conventionnel mais plutôt distrayant.

C'était un film assez moyen, mais divertissant. Son principal atout est la partie du scénario sur la conspiration, qui est assez bien construite pour maintenir l'intérêt. La qualité du film est généralement très bonne, avec des performances solides de Robert Woods, Martin, et Casas. Bien que l'intrigue est quelque peu différente, il peut rappeler le classique de Tessari, Le Retour de Ringo, surtout lorsque Woods a une barbe (et il est déguisé en mexicain, tout comme Giuliano Gemma dans Ringo ), et il regarde tout comme lui.

Une bizarrerie, probablement à cause du budget, est l'uniforme des gardiens de la prison militaire - il ressemble à des uniformes japonais ou chinois du 20e siècle. Seule fausse note du film, sa musique composée par Benedetto Ghiglia et Angelo Francesco Lavagnino, revenant sans cesse dégage une atmosphère de western léger et guilleret alors que les événements vécus par le héros relèvent du drame désespéré, même si le concept est plutôt intéressant.

Dans l'ensemble, ce n'est pas un mauvais film, mais il n'a rien d'exceptionnel ou de mémorable.

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#Posté le samedi 16 octobre 2010 04:23

Pistolets pour un massacre

Pistolets pour un massacreJe vais vous présenter aujourd'hui de Pistolets pour un massacre. Un film avec un héros à contre emploi qui réalise une vengeance des plus froide, très innovant. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez la prendre si vous voulez.

Pistolets pour un massacre est un film Italien de Umberto Lenzi de 1968.

Jim, pour avoir par conviction religieuse refusé de prendre les armes en pleine Guerre de Sécession, se retrouve condamné aux travaux forcés. Libéré à la fin de la guerre, il s'en retourne dans ses pénates pour retrouver sa famille... assassinée. Ivre de vengeance, Jim laisse ses beaux principes au placard et se tourne vers la bonne vieille loi du Talion, pistolet dans une main, quatre balles dans l'autre, quatre balles pour autant de fripouilles qui vont voir de quel bois il se chauffe.

A la réalisation on trouve Umberto Lenzi, un des grands artistes du cinéma bis rital, responsable de quelques grands films délicats comme Cannibal Ferox, La Secte des Cannibales, Au Pays de l'Exorcisme, L'Avion de l'Apocalypse, Démons III, Ghosthouse, etc. On lui doit aussi de nombreux gialli érotiques d'intérêt variable (Si Douces et si perverses, L'½il dans le Labyrinthe, Le Tueur à l'Orchidée) et aussi de sous-James Bond kitsch comme Super Sept ou Double Zéro Huit. Bref, un certain métier à défaut d'une inspiration débordante.

Et bien voilà un très agréable petit western à l'italienne sans prétention qui ne s'embarrasse d'aucune fioriture afin d'offrir avant tout un rythme constant sans ménager son lot de surprises. Le plus agréable dans ce petit western est sans doute son scénario délicieusement invraisemblable, dans une tradition que l'on peut qualifier de "typiquement italienne". Les trahisons se multiplient, certaines vraies, d'autres fausses, les associations de malfaiteurs changent toutes les cinq minutes et les rebondissements s'enchaînent, parfois au mépris de toute logique.
Outre une certaine violence (quelques impacts de balles saignants, des coups de poings assénés avec force et même une courte séquence de torture), le spectateur apprécie également un passage totalement inutile au déroulement de l'histoire mais jouissif.

Les malades mentaux emprisonnés dans le village s'échappent et sèment la terreur comme dans un thriller gothique : le pyromane incendie quelques maisons, un dingue tue le pianiste du bordel à coup de hache (la suggestion domine) et deux maniaques bavant et ricanant tente de violer une chanteuse de saloon. Ce genre de séquence gratuite s'avère tellement italienne dans sa démarche ("allez, filons quelques frissons au public, histoire de le réveiller avant l'entracte") que l'on se réjouit vraiment de ce moment de folie pure, inconcevable dans le western américain bien propre.

Chaque personnage est cependant très rapidement esquissé et le jeu d'acteur plutôt caricatural dans l'ensemble. Mais ce western distordu à la mise en scène juste correcte reste convaincant car il parvient à garder un bon rythme endiablé tout en renouvelant l'action et son propos, à toucher du doigt certains thèmes comme la foi et l'innocence, à rebondir d'une scène à l'autre grâce à l'habile renouvellement de l'intrigue et au penchant naturel d'Umberto Lenzi pour une certaine originalité déviante. Ainsi, la fin du film se recentre sur la vengeance et surprend à nouveau par ses retournements de situation assez osés. La mise en scène de l'action en elle même n'y est pas exceptionnelle mais la capacité d'Umberto Lenzi à dérouler la chose, à présenter ses personnages truculents, à enchaîner les intrigues avec panache et simplicité suffit largement au plaisir du spectateur.

La musique de Angelo Francesco Lavagnino est d'ailleurs elle aussi tout à fait agréable, sans prise de risque mais bien composée. La musique, particulièrement réussie et envoûtante, et un certain humour réjouissant ajoutent encore au plaisir ressenti par l'amateur. Et c'est très bien ainsi, même si on est loin d'un chef d'½uvre comme Il était une fois dans l'Ouest, Django ou Le Grand Silence ou même d'une parodie telle Mon Nom est Personne.

Les vrais fans de bis préfèreront toujours l'énergie, la violence sadique et l'immoralité crasse des westerns spaghetti à la rigueur éthique de leurs homologues hollywoodiens. Et, à ce titre, ce Pistolets pour un massacre, quoique mineur, remplit son contrat de divertissement un brin déviant.

J'espère vous avoir fait découvrir ce film.
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#Posté le dimanche 17 octobre 2010 07:30

Les Quatre de l'apocalypse

Les Quatre de l'apocalypseNous verrons aujourd'hui Les Quatre de l'apocalypse. Un film de Lucio Fulci dérangeant et violent qui est à conseiller à public averti. J'espère que l'image vous plaira, vous pouvez prendre l'image si vous voulez.

Les Quatre de l'apocalypse (I Quattro dell'apocalisse) est un western d'horreur italien réalisé par Lucio Fulci en 1975.

Utah, 1873. Un joueur professionnel, une prostituée, un ivrogne et un mystique se retrouvent par hasard dans la même cellule, dans une ville dont le shérif collabore avec des milices appréciant la justice expéditive. Les quatre prisonniers parviennent à échapper au lynchage et s'enfuient à bord d'un chariot à travers le désert. Ils y feront diverses rencontres, donc celle avec le bandit de grand chemin Chaco, qui coûtera cher aux quatre proscrits.

Les Quatre de l'apocalypse est un western atypique, très particulier même. On suit le parcours des différents protagonistes, qui se révèlent très crédibles, avec un engouement certain. Nous avons donc droit à un très bon western prenant et original. C'est un western spaghetti malsain dans sa version intégrale. Ce n'est pas le meilleur de Lucio Fulci plus à l'aise dans les films d'horreurs comme dans L'"au dela" ou "l'enfer des zombies". Le film a donc logiquement quelques scènes bien gratinées. Thomas Milian dans le rôle de Chaco sauve le film.

Un film surprenant, un western à part, très emprunt de la patte du maître Fulci, le réalisateur nous entraîne dans une véritable descente aux enfers mais à sa manière, une des scènes qui m'a marquée est tout le passage dans la ville abandonnée, sous la pluie, que ce soit la mort d'un des personnages et sa dernière requête, le repas salvateur rapporté par Bud et l'adieu à ce dernier... cette séquence est baignée dans une étrangeté irréelle, à la fois émouvante et terrifiante, c'est là la force de Fulci, arriver à éprouver le spectateur, à intégrer dans un film sans espoir des moments humains et "joyeux", tout le film est à cette image, à la fois terrible (dans la scénario mais aussi graphiquement) et beau.

Certes le réalisateur a un peu de mal à relier tout ces grands moments, de plus la musique, cohérente sur le début (avec cette sorte de nouveau départ), est totalement hors de propos par la suite, mais ces détails ne seront pas ce que finalement le spectateur retiendra. Dommage que le scénario pêche un peu et que ce soit bien prévisible ... à noter que les musiques sont bien gérées et donnent un petit plus au film. Je finirai sur les acteurs pour saluer les prestations des cinq protagonistes principaux, Fabio Testi (Stubby), Lynne Frederick (Bunny), Michael J. Pollard (Clem), Harry Baird (Bud) et Thomas Milian (Chaco), ils sont tous excellents dans leurs personnages atypiques et instables de reclus, et participent grandement à la réussite de ce western sombre et prenant.

Rien n'est épargné : du gore et de la violence. Le film n'a jamais été édité en anglais ni en français dans sa version intégrale : une scène de dépeçage d'un shérif blessé, une scène de viol, du cannibalisme : Fulci fait tout voir ; pour la fin des années 1970, ce film était très osé. Cependant, Fulci est fidèle à son style : gros plans sur les visages, en particulier les yeux ; ou encore la mort de la jeune femme décrite par le seul mouvement de sa main.

J'espère vous avoir fait découvrir ce film.
Merci !
Tags : western spaghetti
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#Posté le lundi 18 octobre 2010 03:46

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