Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog
  • Profil

Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

Photo de taigong788

taigong788

Blog secret

Description :

Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Devenir VIP
  • Bloquer
  • Choisir cet habillage

Ses Honneurs (31)

  • Com' 50.000
  • Paparazzi
  • Écolo
  • Tag
  • Pimp
  • Fans 100

» Suite

Son profil

Profil de taigong788
taigong788

Ici et maintenant !

44 ans
HEM (59)
France

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

Signaler un abus

Infos

  • Création : 15/07/2009 à 12:05
  • Mise à jour : Aujourd'hui à 12:22
  • 536 911 visites
  • 2 185 visites ce mois
  • 6 360 articles
  • 50 839 commentaires
  • 696 amis
  • 726 favoris
  • 52 293 kiffs

Son morceau préféré

Il était une fois - Si près ♪

Jouer Top 10 Il était une fois - Si près ♪ (Disney)

Skyrock music Ajouter

Tags

  • Cadeaux
  • cadeaux reçus
  • Cinéma
  • comics
  • Dark Ages
  • FOOTBALL
  • fêtes
  • Histoire
  • Histoire britannique
  • Histoire de France
  • Histoire des États-Unis
  • Histoire du christianisme
  • Histoire du Japon
  • Jeu Video
  • Littérature
  • mangas
  • message
  • Mythologie
  • Séries TV
  • western spaghetti

» Suite

Ses archives (6 351)

  • Bon anniversaire Adrien !
  • Pierre et Paul, deux visions opposées de l’Église
  • Bon anniversaire Karim !
  • La guerre du football, ou comment le football est devenu l’exutoire de conflits larvés

» Suite

Ses fans (1 825)

  • Puma469
  • rakia65
  • renata
  • jema-lou
  • ultimateco04
  • Tishou06
  • auteur-copositeur
  • diamond-painting1

» Suite

Sources (726)

  • mangayuki
  • amina-665
  • Histoire-de-ce-Monde
  • marie-erick680
  • crocket172
  • Mangas-Jessy
  • brgw
  • lea-lafrite--U3U
  • Animeiga
  • kaaz

» Suite

Abonne-toi à mon blog ! (7 abonnés)

RSS

Retour au blog de taigong788

260 articles taggés Cinéma

Rechercher tous les articles taggés Cinéma

Une bande annonce riche en enseignement pour Star Wars épisode VII : Le Réveil de la Force

Ajouter cette vidéo à mon blog

Pendant la convention Star Wars d'Anaheim en Californie, une nouvelle bande-annonce a été dévoilée le jeudi 16 avril 2015, et ce que l'on peut dire, c'est que les attentes des fans n'ont pas été déçues. D'ailleurs, les précisions données par les acteurs de Star Wars épisode VII : Le Réveil de la Force, ont répondu aux questions que se posaient les fans, mais sans trop en donner pour que l'attente dure. J.J. Abrams fait une meilleure publicité pour son film que Lucas, car étant fan lui-même de la trilogie originale, il ne veut pas décevoir le public. Mark Hamill (Luke Skywalker), Carrie Fisher, (princesse Leia), Anthony Daniels (C-3PO), et Peter Mayhew (Chewbacca) furent présents également.
 
Une bande annonce riche en enseignement pour Star Wars épisode VII : Le Réveil de la ForceCette bande annonce nous donne déjà de nombreuses informations sur ce que sera ce film. On commence par la vision de la planète désertique Jakku (dont les scènes on été tournées à Abu Dhabi), qui semble être le cadre de cette aventure, avec un X-Wing et un destroyer impérial écrasés. On voit ensuite la présence du masque, décrépit, de Darth Vader. On se demande s'il va influer sur cet épisode. Plus réjouissant encore, est celle de Luke Skywalker (joué par Mark Hamill) qui introduit la bande annonce avec sa voix dans un court plan séquence où il est de dos la tête est recouverte d'une capuche avançant la main bionique qu'on lui avait greffé dans L'empire contre-attaque qu'il pose amicalement vers R2D2. Son rôle semble indiquer qu'il aurait le même rôle de formateur que celui d'Obi Wan Kenobi. Il cite une phrase qu'il disait dans le film Le Retour du Jedi, sans savoir à qui, peut-être les héros de l'épisode VII : "Mon père l'a... Je l'ai... Ma s½ur l'a... Vous aussi vous avez ce pouvoir".
 
Une bande annonce riche en enseignement pour Star Wars épisode VII : Le Réveil de la ForceOn voit ensuite le retour des X-Wing et des Tie Fighter, avec les jeunes héros de l'épopée [John Boyega (Finn), Daisy Ridley (Rey) et Oscar Isaac (Poe Dameron)], en pleine bataille avec le robot BB-8, dans un feu d'artifice d'explosions. Le choix fait ici par J.J. Abrams est celui d'avoir moins d'effets spéciaux et plus de paysages et de décors réels comme dans la trilogie originale. Les nouveaux héros ont des portraits assez divers : Rey, qui évolue sur la planète Jakku est une pillarde dans cimetière de vaisseaux, elle est très solitaire et habitué à se débrouiller seule, jusqu'à ce qu'elle rencontre un autre personnage, et que l'aventure commence; Poe Dameron, le meilleur pilote de la galaxie, qui est envoyé en mission par une la princesse Leia, croise Finn, un stormtrooper atypique et leurs destins se retrouvent alors mêlés à tout jamais.
 
Une bande annonce riche en enseignement pour Star Wars épisode VII : Le Réveil de la ForceLa présence d'un nouvel adversaire le Seigneur Sith Kylo Ren (interprété par Adam Driver), dont on ne connait pas les motivations, avec un masque différent de celui de Darth Vader sabre à la main, en plein champ de bataille et, qui semble-t-il, faire usage de la force. Les stormtroopers de la nouvelle trilogie ont été également dévoilés dans cette nouvelle bande annonce. Leur costumes ne changent pas grandement de celui de la trilogie originale même si le design du casque a été modifié. Il apparaissent devant une tribune dominée par un immense, et inquiétant, drapeau rouge frappé d'un sigle noir qui laisse à penser qu'une dictature a pris le pouvoir.
 
Une bande annonce riche en enseignement pour Star Wars épisode VII : Le Réveil de la ForceSelon les informations l'Empire s'appelle désormais "The First Order", soit le "Premier Ordre" en français, et l'Alliance est devenue " la Resistance", cela semble montrer que la mort de Palpatine a sûrement représenté un terrible coup dur pour l'Empire, mais nul doute que de nombreux gradés se sont ensuite disputé la place d'Empereur, jusqu'à ce qu'un successeur soit enfin désigné. Enfin, on remarque un stormtrooper noir portant une cape fait ainsi une courte apparition au côté inquiétant, dont on ne sait pas encore grand chose, mais qu'il pourrait être dangereux pour les héros de la nouvelle trilogie Star Wars.
 
Une bande annonce riche en enseignement pour Star Wars épisode VII : Le Réveil de la ForceL'apothéose finale vient quand on voit une poursuite entre un Tie Fighter et le Faucon Millenium, et un Han Solo (Harrison Ford) aux tempes grises s'exclamant avec Chewbacca (Peter Mayhew) à ses côtés : "Chewie, on est de retour à la maison !" La présence de Han Solo donne plus d'épaisseur à ce nouvel opus et est un véritable cadeau pour les fans de la part de J.J. Abrams. Cela va dans l'esprit de la trilogie originale, où les anciennes star vont passer le relais aux plus jeunes à travers un film où les "vrais" décors et les effets spéciaux sont préférés aux images numériques.
 
Des questions se posent, d'autres rumeurs arrivent, mais contrairement à Georges Lucas qui donnait peu d'informations sur ses films, et donnait une bande annonce trop succincte, J.J. Abrams lui répond aux attentes des fans sans trop en montrer pour que l'envie de voir le film reste. Toutes nos questions auront une réponse le 18 décembre 2015.
 
Merci !
Tags : Cinéma, STAR WARS
​ 10 | 15 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 23 avril 2015 03:09

Modifié le jeudi 23 avril 2015 03:21

Greta Garbo, la "Divine"

Greta Garbo, la "Divine"Je vous mets aujourd'hui ces superbes images de Greta Garbo, une actrice devenue une légende, et qu'on surnomma la "Divine". J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Greta Garbo, la "Divine"Née en Suède en 1905 à Stockholm, Greta Gustafsson, plus connu sous son nom de scène Greta Garbo, a grandit dans une famille pauvre (sa mère est couturière, tandis que son père est journalier), puis à l'âge de 13 ans suite à la mort de son père, elle quitte l'école et trouve du travail dans la boutique d'un barbier, puis comme vendeuse dans un grand magasin, où elle est devenue une modèle en 1921 apparaissant dans de courts films publicitaires. Elle remporte ensuite une bourse d'études à l'Académie royale d'art dramatique de Stockholm (Dramaten) et y étudie à partir de 1922, c'est au Dramaten que Greta est envoyé auditionner auprès de Mauritz Stiller, un des maîtres du cinéma suédois qui lui offre le premier rôle pour le film La Légende de Gösta Berling en 1924.
 
Encore inconnue mais encouragée par Mauritz Stiller et repérée par Louis B Mayer qui lui offre un contrat de 5 ans, elle décide de partir à Hollywood en 1925. Maîtrisant mal l'anglais au début, elle se réfugie dans de longs silences qui intriguent. Dès le début, elle refuse de visiter les couturiers des studios et les coiffeurs. Elle refuse les invitations aux fêtes et aux réceptions, "préférant errer seule pendant des heures, dans des pensées profondes". Elle refuse d'assister à ses propres créations ou à des conférences de presse en attente. Elle a aussi cessé de donner des interviews au début de sa carrière. Sa vie privée défraya également la chronique puisqu'elle eut liaison tumultueuse avec l'acteur John Gilbert, star du cinéma muet et elle aurait vécu une longue histoire d'amour avec l'actrice suédoise Mimi Pollak. Sa beauté saine et angélique, hors des stéréotypes, fascine.
 
Greta Garbo, la "Divine"Le mythe d'une femme inaccessible naît rapidement après que Garbo a tourné quelques films qui deviennent des ½uvres cultes. Entre 1926 et 1941, elle a fait 24 films, tous pour la MGM. Dans les années vingt, les films Le Torrent (1926), La Tentatrice (1926), La Chair et le Diable (1927) et Le Baiser (1929), font d'elle le modèle de la vamp, avec une combinaison irrésistible de la sensualité et de la pureté, agissant principalement avec son beau visage et ses yeux étonnants. Les préoccupations qui concernant son accent conduisant le studio à retarder son déménagement, et sa grossesse à la fin des années 1920 qui oblige la MGM à lui trouver une doublure, ne l'empêche pas de trouver le succès dans le cinéma parlant avec sa première ligne dans Anna Christie (1930), à partir de la pièce d'Eugène O'Neill, sa voix enfumée augmente son allure, et elle devient l'une des rares étoiles silencieuses qui triomphe dans des grandes performances que Mata Hari (1931), Grand Hôtel (1932), La reine Christine (1933), Anna Karénine ( 1935), et Le Roman de Marguerite Gautier (1936). Ce qui amena Bette Davis a dire que son jeu d'actrice était de la "sorcellerie pure". Ninotchka (1939) et La femme aux deux visages (1941) ne remportent pas autant de succès que ces précédents films.
 
Greta Garbo, la "Divine"Pourtant c'est au sommet de sa gloire qu'elle déclare en 1941 : "Je ne tournerai plus jamais, Garbo est morte". Elle tient parole. Ce que l'on ne sait pas, c'est que pendant la Seconde Guerre mondiale, Greta Garbo a été employée par les services de renseignement britanniques pour traquer les sympathisants nazis. Elle obtient la nationalité américaine en 1951, puis installée dans un appartement à New York en 1953, elle se met à voyager, esquive les photographes et s'abstient de toute apparition publique, même lorsqu'on lui donne un oscar honorant sa carrière en 1954. Pourtant, en 1969, il était question qu'elle joue la reine de Naples dans l'adaptation de Luciano Visconti du Temps perdu de Proust. Pendant presque quarante ans, son ombre solitaire erre de palace en palace, entre l'Europe et les Etats-Unis. Rares sont les amis qui demeurent. L'errance prend fin le 16 avril 1990 des suites d'une insuffisance rénale et d'une pneumonie.
 
Merci !
Tags : Cinéma
​ 11 | 7 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 06 mai 2015 02:58

La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 2)

La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 2)Je vous mets aujourd'hui ces superbes images de Star Wars Épisode 2 : L'attaque des clones, une suite aussi inutile que le premier épisode de la prélogie Star Wars, et qui a fait douté du bien fondé de la continuer. j'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez la prendre si vous voulez.
 
Georges Lucas ayant finit avec La Menace Fantôme s'attelle à sa suite dès 1999, commençant le scénario en travaillant avec le dramaturge britannique Jonathan Hales. Mais le scénario trop sombre fut modifié par Lucas qu'il donne à son merveilleux réécriveur Tom Stoppard qui arrive à transformer des scénarios excellents en de mauvais romans de gare. Le tournage commence en 2000 et les acteurs n'ont pas pu lire le premier jet du script, qu'ils ne s'inquiètent puisque Lucas l'a fait réécrire. Et pour éviter que Hales voit le sabotage de son scénario, Lucas l'amène avec lui sur le tournage. Le choix d'Hayden Christensen pour faire Anakin Skywalker est pour Lucas un bon choix, pourtant il y avait de meilleurs acteurs pour le rôle comme Colin Hanks, Ryan Phillippe, Jonathan Brandis et Paul Walker. Rick McCallum qui souhaitait que se soit Leonardo DiCaprio pour ce rôle n'est pas écouté et n'arrive pas à convaincre Lucas à faire de ce film un véritable space opéra. Lucas enfin confie au monteur son Ben Burtt le montage vidéo alors qu'il n'y connait rien. C'est Rick McCallum qui s'occupe d'une partie du montage son et du doublage, alors qu'il est producteur. Les acteurs au lieu de tourner dans des décors naturels et de satisfaire les fans qui trouvent que le numérique ne donne pas un côté authentique, le font devant un fond bleu. Ewan McGregor, Hayden Christensen, et Christopher Lee trouvaient complexe de tourner ainsi. Incrustation de décors qui n'ont plus rien à voir avec un film de SF et d'effets spéciaux qui sonnent faux car trop modernes, ne semblent plus poser de problèmes à Georges Lucas. Les acteurs font ce qu'ils peuvent car Lucas est trop occupé à faire des scènes d'actions que de donner une histoire crédible à ses personnages. Il faut dire que Lucas est trop occupé à superviser le film avec John Knoll, responsable des effets spéciaux. Doug Chiang, superviseur du design, dira même que Lucas décidait de tout et rien ne se faisait sans son accord. Aucune des équipes du film n'était libre d'avoir un peu d'inspiration. Et à partir de 2001, on met trois teaser qui en montre peu, pour bien tromper les fans. En 2002, on découvre le titre L'Attaque des clones. Un titre digne des meilleurs nanars des années 1980. Apprenant le titre lors de la première de Moulin Rouge, Ewan McGregor éclate de rire avec Nicole Kidman sa partenaire à l'écran, tant il n'arrive pas à y croire.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 2)Le film en lui-même s'inspire clairement de L'Empire contre-attaque, et prétendait être meilleur. Au vu du film, on se met à rire. Le film commence par l'arrivée de la sénatrice Padmé Amidala sur Coruscant pour demander la création d'une armée de la République pour faire face aux séparatistes commandés par l'ancien Jedi Dooku (un excellent Christopher Lee), et échappe à un attentat. On confie alors sa surveillance à Obi-Wan et à son padawan Anakin, alors que les Jedi ne sont pas des gardes du corps. Ensuite, le scénario part en vrille puisque qu'une tueuse à gage Zam Wesell tente à nouveau de tuer la sénatrice, et se fait poursuivre par Obi-Wan et Anakin dans une course poursuite ressemblant à Bip bip et le coyote, où Anakin saute de voiture volante en voiture volante, pour voir mourir la tueuse à gage d'un dard empoisonné. Troublant puisque les Jedi peuvent voir le passé et l'avenir grâce à la force et auraient pu éviter la mort de celle-ci. Le réalisme tant demandé par les fans est en train de partir avec le scénario. Dans L'Empire contre-attaque, la rébellion se cache sur la planète de glace Hoth, Luke Skywalker repère un droïd sonde de l'Empire, puis se fait attaquer par un Wampa, y réchappe puis est sauvé par Han Solo qui ne le voyait pas revenir, puis il repère le droïd et le détruit. C'est à ce moment qu'Obi-Wan dit à Luke d'aller poursuivre son apprentissage de Jedi auprès de son maître Yoda sur Dagobah. Quelques minutes de films suffisent à donner une idée de l'ensemble, dans L'attaque des clones rien de tout cela, ce sont des plans d'action sur des plans d'action où on ne s'attache nullement aux personnages qui ne sont pas travaillé, tout comme les effets spéciaux numérique qui rendent tout cela très laid.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 2)Continuons ce drame shakespearien qu'est la destruction de Star Wars par Lucas à travers cet épisode II. Tandis qu'Anakin reconduit Padmé sur Naboo. Jar Jar Binks la remplace au Sénat Galactique, alors que les fans ne voulait plus le voir et qu'il n'a jamais montré une seule compétence politique lors du précédent film. Lucas perd la main et tout sérieux. Obi-Wan mène son enquête sur le dard empoisonné, et on est heureux de ne plus voir Anakin qu'on arrive déjà plus à supporter, le mauvais jeu d'acteur d'Hayden Christensen y joue beaucoup. Sa seule expression semble être le froncement de sourcil qu'on fini par compter rien que pour s'amuser. Les droïds d'analyse du Temple Jedi ne donnent rien, mais les Jedis ont-ils besoin de cela. N'ont-ils pas de carte papier ? N'ont-ils pas des Jedis qui sont dans des ambassades diplomatiques ? N'ont-ils pas de pilotes parmi eux ? Les questions méritent d'être posées. C'est à ce moment là qu'Obi-Wan va voir son ami Dexter Jettster, dans un bar qui ressemble à celui de l'astroport de Tatooine, qui pour beaucoup de fan est la seule bonne scène tant l'inspiration de l'épisode IV est visible, où il remet dans le droit chemin un trafiquant de drogue en l'influençant avec la force. La seule fois où elle est bien utilisée. Certains pensent que c'est Ewan McGregor qui a imposé cette scène. Obi-wan apprend que le dard empoisonné vient de Kamino. Il ne trouve pas Kamino dans les archives du Musée Galactique et va voir Yoda durant un cours d'apprentis Jedis. Yoda et Obi-Wan se font aider par des enfants pour trouver la planète, ce qui est peu crédible. Puisque des Jedi bendu n'ont pas besoin de gamins pour voir où se trouve une planète, alors qu'ils n'ont aucune expérience que ce soit dans le pilotage et pour lire une carte. Crédibilité, où est-tu passé ? Revenons à L'Empire contre-attaque. Darth Vader attaque la base rebelle à Hoth, tandis que les soldats rebelles ralentissent l'avancée de l'armée impériale, ce qui permet aux équipes techniques de fuir, et la princesse Leia s'enfuit à bord du Faucon Millenium avec Han Solo et Chewbacca, tandis que Luke se rend sur Dagobah. On ne s'ennuie pas une minute et contrairement à L'Attaque des clones, les personnage donnent de la force aux événements. Les effets spéciaux sont plus réalistes que dans L'Attaque des clones et nous permettent d'accrocher dès le départ.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 2)Continuons le ratage qu'est L'attaque des clones. Obi-Wan arrive sur Kamino, découvre que les clones ont été commandé par le jedi Sifo-Dyas et que le modèle pour les clones est Jango Fett, un mercenaire, qui est interprété par Temuera Morrison qui est plutôt bon. Il découvre que c'est lui qui a essayé d'éliminer la sénatrice Amidala, et rencontre Boba Fett, qui est ici un gamin. Lucas détruit ainsi ce personnage qu'il n'a jamais aimé et dont il n'a jamais compris le succès. Après un combat réussi avec Jango Fett qui rappelle le combat dans un champ d'astéroïde de L'Empire contre-attaque, Obi-Wan le suit, et arrive sur Geonosis. Encore mieux, la pseudo-histoire d'amour entre Amidala et Anakin ressemblant à Teen movie. Du roulage sur l'herbe et une course sur le dos d'un escargot géant, dans un décor touristique ressemblant à celui de Paris ou de Venise en finissent avec le peu de crédibilité qu'avait encore le film. J'oubliais la force est utile pour soulever les fruits comme nous le montre Anakin, mais pas d'explication et ce dernier n'aime pas le sable. Que faisait-il sur Tatooine alors ? On rie bien. Inquiet parce qu'il ressent que sa mère est en grave danger, il revient sur Tatooine avec Amidala et la met donc en danger, pour apprendre qu'elle a été marié avec Cliegg Lars, alors que rien dans Star Wars ne dit qu'Anakin a un lien de parenté avec eux en dehors de ce film. Dans le roman Le Retour du Jedi tiré du scénario du film, on dit même que Owen Lars est le frère d'Obi-Wan. Il retrouve sa maman agonisante avec deux blessures sur le visage chez les Tuskens qu'il massacre alors que cela ne sert à rien, plus tard il justifie cela devant Amidala comme un faucon américain de Georges W. Bush. Comment justifier le massacre de femmes et d'enfants ? Difficile. Cela n'aurait-il pas été mieux de faire que ce massacre lui donne une SPT ? De plus, les Tuskens sont une population bédouine qui aurait préféré demander une rançon plutôt que de massacrer une femme. La scène ne colle pas. Le basculement d'Anakin du côté obscur aurait du être à cause de son ambition et de son goût pour la politique. L'enterrement de sa mère chez les Lars est plutôt bonne et rappelle celle du Retour du Jedi. Obi-Wan sur Geonosis surprend le comte Dooku avec les séparatistes, il est arrêté et condamné à mort, mais a pu prévenir les Jedi. Cela donne un piège tellement gros qu'il est difficile de croire que les Jedi vont tomber dedans, pourtant si. L'Empire contre-attaque met en avant la fuite d'Han Solo et Chewbacca avec la princesse Leia, qui se cachent dans un astéroïde, où Leia et Han Solo se rapprochent dans des scènes à la fois subtiles et très belles, tandis que Luke se fait former par Yoda à Dagobah et découvre le côté obscur de la force dans une grotte, où il décapite Darth Vader qui cache son visage. Ressentant que Leia, Han Solo et Chewbacca sont en danger, Luke part contre l'avis de Yoda. Suivis par Boba Fett, Han Solo, Leia et Chewbacca arrivent sur la station orbitale Bespin, contrôlée par Lando Calrissian, un ancien ami contrebandier de Han Solo qui les livre à Boba Fett et Darth Vader, sans qu'ils ne se doutent de rien. Tout y est : montée en tension, de l'action bien dosée et effet de surprise, tant on ne s'attend pas à la trahison de Lando. L'attaque des clones ne nous livre jamais cela, on ne sent jamais la République en danger. Tout est prévisible et nous n'avons jamais une sensation de surprise.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 2)La dernière partie de L'attaque des clones est un véritable échec. Une véritable explosion visuelle à la limite de piquer les yeux. Après qu'Obi-Wan a appris par Dooku que le Seigneur Sith Dark Sidious a un contrôle grandissant sur le Sénat intergalactique, Anakin et Amidala plus près viennent au secours d'Obi-Wan, et devinez ce qui arrive, ils se font capturer aussi et condamner à mort. Anakin ne devait-il pas protéger Amidala au lieu de lui faire courir un danger ? Cet apprenti Jedi doit revoir ses bases. Et pas plus inspiré, le film nous montre un combat dans l'arène contre trois monstres où Obi-Wan, Anakin et Amidala n'ont pas un seul moment où ils pourraient mourir. D'ailleurs les effets numériques rendent encore moins crédible la scène. C'est à ce moment-là que Mace Windu décide d'intervenir avec les Jedi pour affronter les Séparatistes. Le combat est trop rapide et Anakin et Amidala qui devraient cacher leur relation ne la cache pas. On se demande si les Jedis ne sont pas aveugles. D'ailleurs Mace Windu interprété par l'excellent Samuel L. Jackson avec un sabre violet, tue trop facilement Jango Fett qui était l'une des rares satisfaction du film, avec Ewan McGregor qui joue beaucoup ici du second degré d'Obi-Wan. Les Jedi se font déborder, ce qui montre qu'ils sont venus sans stratégie. Pendant ce temps, Bail Organa, un Jimmy Smits très crédible en politicien, s'oppose à une armée de clones, et Jar jar Binks arrive à donner les pleins pouvoirs à Palpatine (c'est gros de voir l'ascension de cet homme sans que personne s'y oppose, alors qu'il a tout d'un dictateur) qui fait des clones la nouvelle armée de la République. Une raison de plus de détester ce troufion qu'est Jar Jar. Yoda arrive avec la nouvelle armée de clones de la République, et l'armée de droïds se fait déborder. La mort de Jango Fett trop rapide face à Mace Windu est une énorme déception, alors que Lucas aurait pu en faire un combat homérique. Le comte Dooku fuit dans un hangar et il est suivi par Obi-Wan et Anakin, qu'il surpasse. Obi-Wan est blessé, et pour notre plus grand plaisir il remet à l'ordre Anakin en lui tranchant le bras. Christopher Lee, véritable escrimeur et au jeu d'acteur crédible, est la seule menace réelle du film. Yoda vient à leur secours et combat le comte Dooku, et la déception est grande. Yoda est un maître âgé entre 800 et 900 ans, se tenant sur une canne et on lui faire des cabrioles avec un sabre laser, alors qu'un combat force contre force aurait été plus intéressant. Oui, Lucas fait sauter une personne qui peut à peine marcher. Au revoir grand maître Jedi tu es mort au champ d'honneur. Dooku fuit et Dark Sidious est heureux que son plan a marché pour mener la guerre contre les Séparatistes. Apprenant que le Sénat est contrôlé par les Siths, Yoda et Mace Windu pense qu'il faut désormais le surveiller. Bizarre, les Jedi qui sont capable de voir le passé et l'avenir ne verraient rien ? C'est un peu gros, car Luke pressent les événements futurs dans l'Empire contre-attaque. Rétabli, Anakin se fait greffer une prothèse mécanique au bras, et se marrie en secret avec Amidala à Naboo. L'Empire contre-attaque est plus emballant, trahit par Lando, Han Solo est congelé dans de la carbonite, moment où Leia lui déclare son amour et qu'il répond, 'Je sais', et remis à Boba Fett, mais Lando change de camp et libère la princesse Leia et Chewbacca et les amène au Faucon millenium, tandis que Luke arrive et doit affronter Darth Vader au sabre laser. Rapidement vaincu et la main tranchée, Luke découvre que Darth Vader est son père. Se jetant dans le vide, il est secouru par Lando et Leia, puis après avoir déposé Leia et Luke dans un cargo de l'Alliance rebelle, Lando et Chewbacca partent à la recherche d'Han Solo. Tout y est : tension dramatique, décors sombre et des scènes d'action qui tiennent bien leur place, tout en donnant aux personnages un rôle central. L'attaque des clones est bien loin de tout cela.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 2)Mes frères et moi nous sortions du cinéma en nous demandant ce que nous avions vu. Nos dernières illusions sur la prélogie étaient finies. Nous n'attendions plus rien du IIIe épisode, mais nous allions le voir quand même pour nous faire une idée. L'Attaque des clones est un succès commercial mais le film arrive seulement la troisième place en Amérique du Nord et à la quatrième place au niveau mondial. En Amérique du Nord, il est battu par Spider-Man et Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours, deux films bien mieux écrits et aux effets spéciaux bien plus réalistes. Au niveau mondial, il est également derrière Harry Potter et la Chambre des Secrets. Le film rapporte presque 649 400 000 $ au box-office mondial, dont 310 676 000 $ en Amérique du Nord. En France avec 5 713 593 entrées, le film se classe en cinquième position du box-office de l'année 2002 derrière les trois films déjà cités ci-dessus et Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre. Les enfants remplissent encore les salles, mais les fans de Star Wars ne cachent plus leur déception et déconseillent aux autres de voir ce film. Les fans de Lucas en adoration devant lui firent porter la responsabilité de ce film mal scénarisé à Jonathan Hales, mais la découverte de son scénario montra que L'Attaque des clones devait être un film sombre. Les responsables de ce sabotage sont en réalité Georges Lucas et Tom Stoppard. Mal réalisé et scénarisé ce film porte la marque du seul homme aux commandes, Georges Lucas qui ne veut plus écouter personne, ne voulant pas faire un film sombre mais un simple divertissement pour vendre des jouets. Oublié aussi le côté mystique pour faire un simple film d'action. Une éclaircie arrive pourtant avec Clone Wars de Genndy Tartakovsky entre 2003 et 2005 qui épouse parfaitement la trilogie originale auquel j'ai déjà consacré un article (http://taigong788.skyrock.com/3209250087-Clone-Wars-On-a-sauve-le-soldat-Star-Wars.html) et arrive à attirer les fans de Star Wars déçus, mais c'était trop beau et arriva par la suite l'ignoble ratage qu'est L'Épisode III, La revanche des Siths.
 
Merci !
Tags : Cinéma, STAR WARS
​ 10 | 6 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 11 juin 2015 03:40

Modifié le jeudi 11 juin 2015 11:38

Christopher Lee, des griffes de la Hammer à la gloire hollywoodienne

Christopher Lee, des griffes de la Hammer à la gloire hollywoodienneJe vous mets aujourd'hui ces superbes images en hommage à Christopher Lee, l'homme qui joua pour les plus grand réalisateurs et qui su bercer de souvenirs toute une génération et la suivante. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Né le 27 mai 1922, Christopher Lee descendait par sa mère d'une des plus anciennes familles italiennes, les Carrandini, dont la lignée remonte à Charlemagne. Formé dans les écoles d'élites à Eton et Westminster, où il excellait en latin et grec ancien, il est sert dans la Royal Air Force pendant la Deuxième guerre mondiale, où il fait partie du Special Operations Executive ou Ministry of Ungentlemanly Warfare, un service secret initié par Winston Churchill et dédié aux "opérations spéciales" en Europe. De retour à la vie civile, il se consacre au théâtre et apparaît au cinéma dans des rôles secondaires pour les studios britanniques Rank à partir de 1948 où il apparaît dans "L'Étrange Rendez-vous" puis "Hamlet". Il fait aussi quelques apparitions notables dans Capitaine sans peur de Raoul Walsh en 1951, dans Le Corsaire rouge de Robert Siodmak en 1952, dans Les Quatre Plumes blanches de Zoltan Korda en 1955, et dans Au sud de Mombasa de George Marshall en 1956. La télévision l'aide à survivre et lui une donne une réputation d'acteur de second plan.
 
Christopher Lee, des griffes de la Hammer à la gloire hollywoodienneEn 1957, engagé par la Hammer, il décroche par la suite le rôle de la créature dans Frankenstein s'est échappé de Terence Fisher. Puis en 1958, il connaît le succès dans "Le Cauchemar de Dracula", dans le rôle du célèbre vampire duquel il deviendra indissociable, qu'il reprendra dans Dracula, prince des ténèbres en 1965, dans Dracula et les femmes en 1968, dans Une messe pour Dracula en 1969, Les Nuits de Dracula en 1970, Les Cicatrices de Dracula en 1970, Dracula 73 en 1972 et Dracula vit toujours à Londres en 1974. La Hammer profite alors du filon et le fait jouer dans "La Malédiction des Pharaons" en 1959 et "Le Chien des Baskerville" en 1959. En 1961, il se marrie avec la mannequin Birgit Kroencke, auquel il restera fidèle jusqu'à sa mort. Ça ne s'arrête pas là, on le voit par la suite dans "Hurle de Peur" en 1961 et "La Gorgone" en 1964. Mario Bava le fait aussi tourner dans son fameux film Le corps et le fouet en 1963. Il incarne d'autres méchants comme Fu Manchu [qu'il incarnera cinq fois au cinéma dans Le Masque de Fu Manchu (1965), Les 13 fiancées de Fu Manchu (1966), The Vengeance of Fu Manchu (1967), The Blood of Fu Manchu (1968) et Castle of Fu Manchu (1969)] et Raspoutine, dans Raspoutine, le moine fou de Don Sharp en 1966, desquels il dégage une image inquiétante.
 
Christopher Lee, des griffes de la Hammer à la gloire hollywoodienneNe voulant pas continuer dans le cinéma d'épouvante, Christopher Lee se dégage de son image horrifique dans "La Vie privée de Sherlock Holmes" en 1970 où il fait le frère de Sherlock Holmes, Mycroft, et dans Les Trois Mousquetaire en 1973 puis dans sa suite l'année suivante On l'appelait Milady, où il incarne le comte de Rochefort, puis il décroche l'un de ses rôles les plus marquants avec "The Wicker Man" en 1973, où il interprète Summerisle un aristocrate sinistre dirigeant des rituels païens. Un an plus tard, il incarne le fameux Scaramanga, "L'homme au pistolet d'or", face à James Bond, alors campé par Roger Moore. En 1976, il incarne une dernière fois Dracula de façon burlesque dans Dracula père et fils d'Édouard Molinaro en 1976, puis quitte la Hammer pour aller à Hollywood.
 
Après une excellente prestation dans son premier film américain, Les Naufragés du 747 de Jerry Jameson en 1977, il se fait très vite remarquer par Steven Spielberg ("1941" en 1979), et dans les années 1980, il croule sous les rôles à la télévision et au cinéma comme La Salamandre en 1981, Le Tour du monde en 80 jours en 1989, ou La révolution française, les années terribles en 1989, où il incarne le bourreau Sanson. Dans les années 1990 sa notoriété diminue au point qu'on annonce sa mort par erreur en 1993, mais ses apparitions dans Gremlins 2, la nouvelle génération de Joe Dante en 1990 et dans Le Bouffon de l'horreur de Simon Sprackling en 1994 amène l'intérêt de certains réalisateurs. En 1998, Jinnah, est un projet plus personnel que Christopher Lee entreprend. Il joue le rôle de Mohammed Al Jinnah, fondateur du Pakistan. Le film sera accueilli avec plus de réserve par la presse.
 
Christopher Lee, des griffes de la Hammer à la gloire hollywoodienneLa fin des années 1990 permet aux réalisateurs fans de Christopher Lee de l'utiliser dans leurs films comme Tim Burton ("Sleepy Hollow" en 1999, et "Charlie et la chocolaterie" en 2005), Georges Lucas (Star Wars épisode II : L'attaque des clones en 2002 et Star Wars épisode II : La revanche des Siths en 2005, où il incarne le comte Dooku), Peter Jackson (dans Le seigneur des Anneaux : La Communauté de l'anneau (2001) et Les deux Tours (2002), il n'est présent que dans la version longue du Retour du roi en 2003, où il incarne Saroumane) ou encore Martin Scorsese ("Hugo Cabret" en 2011). Cela permet à Christopher Lee de trouver un nouveau public, et il s'essaye aussi au doublage dans des dessins animés comme "Les Noces Funèbres" en 2005 et "Kingdom Hearts 2" en 2006. "Ce qui compte vraiment, à mon grand âge, c'est que je sois connu par ma génération et aussi la suivante", disait-il au moment d'être anobli en 2009.
 
Sur le tard, Christopher Lee s'essaie même à la chanson, plus précisément dans le heavy metal. En 2010, il sort un album solo sous le nom de Charlemagne, intitulé "By the Sword and the Cross". Professionnel jusqu'au bout, il sera présent dans Dark Shadows de Tim Burton en 2012 et dans Le Hobbit de Peter Jackson dans Un voyage inattendu en 2012 et dans La bataille des Cinq Armées en 2014. Il est mort le 7 juin 2015 dans le Chelsea and Westminster Hospital de Londres où il était depuis trois semaines pour des problèmes respiratoires et cardiaques. L'annonce de son décès a été différée à la demande de sa femme qui a d'abord voulu avertir tous les membres de la famille.
 
Merci !
Tags : Cinéma
​ 12 | 7 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 23 juin 2015 03:35

La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)

La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)Je vous mets aujourd'hui ces superbes images de Star Wars Épisode III : La revanche des Siths, qui suit l'échec des 2 précédents épisodes tant au niveau des scénario que la mise en scène. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Georges Lucas commence l'écriture du scénario de La Revanche des Siths début 2002, quelques mois avant la sortie de L'Attaque des clones. Au départ devait y figurer 7 batailles sur 7 planètes qui étaient prévus dès les débuts de l'écriture de la trilogie et plus particulièrement entre 1981 et 1983. Durant l'été, il revient sur cela. Lucas décide de se centrer sur la chute d'Anakin Skywalker vers le côté obscur de la Force et d'en modifier les raisons. Même à la fin du tournage en 2003, il remanie plusieurs scènes pour cela et il ajoute aussi plusieurs scènes additionnelles en 2004. Le résultat est désastreux. Doug Chiang ne s'occupe plus de la direction artistique, mais Erik Tiemens et Ryan Church, qui horreur utilisent pour faire la planète Kashyyk, le téléfilm de 1978, Au temps de la guerre des étoiles. Le film utilise trop les effets numériques, et le chef décorateur Gavin Bocquet crée trop peu de décors tant on est noyé devant ces images qui finissent par nous piquer les yeux. La chef costumière Trisha Biggar fait ses costumes en restant fidèle aux précédents épisodes, mais ses tests ne rendent pas crédible l'habillement qui devraient être aussi simple que ceux de la trilogie Star Wars. Pour les combats, on prend une équipe australienne, et Hayden Christensen doit s'entrainer avec eux, ce qui veut dire qu'il ne connait rien à l'escrime, d'ailleurs pour son combat avec Ewan McGregor, il doit faire le combat sous fond vert avec des marques au sol avec un nombre trop grand de techniques alors qu'un combat demande de l'efficacité. Le tournage débute le 30 juin 2003et prend fin le 17 septembre de la même année en Australie aux studios de la Fox à Sydney. Mais dans quels décors ? Il faut dire que les fonds verts joue beaucoup. On envoie le superviseur des effets spéciaux Roger Guyett pour tourner quelques plans séquences pour nous faire croire qu'il y a des décors naturels. Le directeur de la photographie David Tattersall est juste là pour placer les caméra numériques et préparer les plans artistiques, qui ne servent finalement à rien puisque le film comporte plus de 2200 plans à effets visuels. Le superviseur des effets spéciaux John Knoll s'occupe de la bataille sur Coruscant ne faisant que reprendre ce qui est fait dans l'excellent anime Clone Wars, et du combat entre Yoda et Palpatine alors que ce devrait être l'équipe de cascadeurs australiens qui devraient le faire, tandis que le superviseur des effets visuels Roger Guyett s'occupe des décors sur Kashyyyk et Mustafar, alors que ce devrait être le rôle du chef décorateur. Ben Burtt s'occupe des effets sonores et semble avoir perdu l'inspiration. Oui, car prendre un son de voiture de course pour le vaisseau d'Anakin et celui d'un vieux camion pour celui d'Obi-Wan est tout sauf original. Le monteur Roger Barton et George Lucas réalisent ensuite le montage du film en 18 mois au Skywalker Ranch en Californie, sans personne pour les freiner dans leur surenchère visuelle. Une question demeure, on est passé Rick McCallum, producteur du film qui aurait du s'en occuper avec Lucas et qui fut envoyé pour superviser les équipes plutôt que de surveiller le réalisateur du film. Et les acteurs, ils font ce qu'ils peuvent, avec Lucas qui ne sait pas les diriger et le fait qu'ils tournent devant un fond vert, ce qui les pénalisent pour donner une prestation valable. La promotion est intense et Lucas vend du rêve, il oblige les acteurs à dire du bien du film. Quant à Ewan Mc Gregor il préféra s'en tenir au jeu d'Alec Guiness pour faire Obi-Wan. Ce rêve va s'avérer vite décevant.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)Le film s'inspire du Retour du Jedi, le moins bon des trois film de la trilogie originale et arrive à être tout simplement décevant. Ici pas de Lawrence Kasdan et de Richard Marquand pour sauver le film. Beaucoup de critiques ont trouvé ce film meilleur et prétendirent qu'il avait sauvé la prélogie. Ils dirent même qu'il était plus sombre que l'Empire contre-attaque. Assombrir l'image, ne rend pas un film plus sombre. Reprenant ce qui s'était passé dans Clone Wars, l'attaque sur Coruscant et l'enlèvement de Palpatine par le général Grievious, on voit des combats spatiaux qui piquent les yeux au bout de 25 minutes, où Anakin et Obi-Wan ne connaissent aucuns risques réels pour se diriger vers le vaisseau du comte Dooku. On parlera du sauvetage d'Obi-Wan, pour montrer qu'Anakin est un grand pilote, mais c'est là que le bât blesse, car seul un pilote chevronné peut voir qui est un grand pilote. Ici, il n'en est rien. On montre même Ewan McGregor de la plus mauvaise manière pour faire briller un acteur sans expressions faciales en dehors du froncement de sourcil, Hayden Christensen. Le numérique rend aussi les combats spatiaux trop modernes et on a l'impression que les combats de la trilogie originale se passent avant ceux de la prélogie. Vient ensuite le combat contre le comte Dooku d'Obi-Wan et Anakin. Ce combat est trop rapide et ne dure que 2 minutes 58, et l'on voit le comte Dooku se débarrasser trop facilement d'Obi-Wan, ce qui est peu crédible vu les qualités d'escrimeur d'Ewan McGregor. Le scénario aurait du être mieux travaillé. La scène voit Anakin réussir à vaincre le comte Dooku trop facilement, et finalement le décapiter contre tous les principes Jedi poussé par Palpatine, qui ici est la seule satisfaction de cette scène de combat où l'on voit Ian McDiarmid retrouver la seule fois dans ce film le côté tentateur et plein de subtilité qu'il avait dans Le Retour du Jedi. La mort aussi rapide du comte Dooku passe mal pour tous les fans de Christopher Lee qui méritait une mort homérique et on peine à croire qu'un acteur ayant aussi peu de connaissance en escrime puisse le battre. Anakin sauve Obi-Wan malgré les recommandations de Palpatine, puis ils se confrontent au général Grievious, qui arrive à s'échapper puis ils arrivent à faire atterrir le vaisseau en catastrophe. C'est une imitation du sauvetage de Han Solo par Luke Sywalker dans Le Retour du Jedi, mais il manque la grâce et le côté héroïc fantasy de Richard Marquand, c'est tout au plus un empêtrement de scènes d'actions pour que Lucas puisse jouer avec ses effets numériques. Regardons maintenant Le Retour du Jedi, on voit dès le départ la nouvelle étoile de la mort en construction, et Darth Vader la pousser à sa finition à cause de l'arrivée imminente de l'empereur Palpatine. Vient ensuite la scène pour délivrer Han Solo de Jabba le Hutt, très réjouissante et ressemblant beaucoup à un comics de Frank Franzetta. Après l'échec d'une première tentative d'évasion menée par la princesse Leia, également arrêtée par Jabba, Luke Skywalker qui tente de négocier la libération de ses amis par la Force n'y arrive pas et échappe au Rancor, pour finir avec Han Solo devant la bouche du Sarlacc, et s'enfuit grâce à Lando avec qui il parvient à libérer ses amis. Au milieu de la bataille, Leia tue Jabba et Han projette sans le faire exprès Boba Fett dans la gorge du Sarlacc. Tout y est humour, acte de bravoures et des scènes d'action bien placées. On ne trouve rien de tout cela dans La Revanche des Siths.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)Continuons de voir ce film soit disant sombre qu'est La Revanche des Siths. Reconduit au Sénat galactique, Anakin reçoit des félicitations, ce qui aurait pu être intéressant car cela aurait pu amener en lui l'orgueil, un élément qui aurait pu le conduire du côté obscur de la Force, au lieu de cela, il retrouve Padmé Amidala (ici Natalie Portman est très attachante et dégage beaucoup d'émotion contrairement aux deux précédents épisodes) qui lui annonce qu'elle est enceinte, et la nuit suivante il rêve qu'elle va mourir en couche, et son obsession est alors de la sauver. Bizarre, car la princesse Leia nous dit qu'elle a connue sa mère et la décrit à son frère Luke dans Le retour du Jedi. Oubli de Lucas peut être ? Se relire permet d'éviter des erreurs. Allons y maintenait pour le festival Palpatine qui veut garder ses pleins pouvoirs, il flatte Anakin pour le retourner contre le conseil Jedi, et arrive à le faire nommer comme son représentant au sein du conseil tout cela sans subtilité, ce qu'accepte les Jedis afin qu'Anakin surveille le chancelier Palpatine dont ils se méfient, mais pas une fois dans le film on ne nous explique pourquoi. Un coup de tête ? Le Conseil refuse de donner à Anakin le titre de maître, ce qui le met en colère. Pourtant, cela n'a rien d'anormal, et ne devrait pas mettre Anakin en colère, car son ascension s'est faite au combat, pas dans la patience et dans le fait de ne rien désirer comme le ferait un Jedi. Il est décidé que Yoda va aider les Wookies sur Kashyyk. Pourquoi éloigner le plus grand maître Jedi alors qu'il est plus utile sur Coruscant. Palpatine, dont la subtilité est vite oublié (à moins de ne pas comprendre que c'est lui Darth Sidious, ce qui est évident dès le premier film de la prélogie sans avoir besoin de regarder la trilogie originale vu que ce n'est jamais caché) dit au général Grievious, devenu chef des séparatistes, de les envoyer à Mustafar, ce qu'il fait sans discuter des ordres tout sauf crédible car envoyer les chefs sur une planète où ils sont sûr d'être piégés n'est pas ingénieux. Pendant ce temps, Obi-Wan dit à Anakin de se méfier des hommes politiques et de leurs ambitions, et ce dernier est troublé car il doit surveiller Palpatine. Ce n'est pas étonnant, on ne lui explique pas vraiment pourquoi il doit le surveiller. Ewan McGregor dans cette scène est plutôt bon et montre que les Jedis ne désirent pas le pouvoir mais sauvegarder la République. Palpatine essaye à nouveau de détourner Anakin des Jedi sans la subtilité qu'il avait dans Le Retour du Jedi en lui promettant de sauver son épouse, ce qui nous fait venir à la scène de l'opéra où il fait croire à Anakin qu'il peut éviter la mort de sa femme avec une histoire sur Darth Plagueis qui devrait amener le jeune Jedi à voir qu'il est un sith, tout en lui révélant qu'il serait son père, sans l'émotion que dégage la scène de L'Empire contre-attaque. La scène sonne faux et n'est pas subtile du tout. Revenons au Retour du Jedi, où Luke Skywalker retourne sur Dagobah pour recevoir les derniers enseignements d'un Yoda mourant et où Obi-Wan lui révèle l'horrible vérité, Darth Vader est son père et qu'il une s½ur, la princesse Leia, tandis que l'empereur Palpatine arrivé sur la nouvelle Étoile de la Mort annonce à Darth Vader la fin de l'alliance rebelle à laquelle il a tendu un piège. L'alliance rebelle dirigée par Mon Mothma prépare son plan, qui se fera en deux équipes, celle de Han Solo, Luke et Leia s'occupe du champ de force sur Endor, tandis que celle le général Ackbar attaquera le vaisseau, dont 4 escouades dirigées à bord du Faucon Millenium par Lando Calrissian nommé général apporteront le coup final. L'empereur est prêt et Luke sent que sa présence est un danger pour la mission du fait que son père est présent. L'intérêt est de voir la préparation de l'alliance rebelle et de l'empire qui mettent en jeu une victoire importante. L'empereur est subtil, les personnes crédibles et même sans action ces scènes permettent de rendre ces opérations militaires plus compréhensible. Il faut dire que La Revanche des Siths n'arrive pas à cette précision, car les scènes de dialogue sont lentes et mal écrite, rendant le tout incompréhensible. Lawrence Kasdan manque beaucoup ici à Lucas.

La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)La Revanche des Siths finit par décevoir pleinement dans sa troisième partie, le scénario y aide beaucoup par ses nombreuses incohérences. Le général Grievious sur Utapaut, demande aux forces séparatistes de se rendre sur Mustafar, et apprenant où est ce dernier le conseil Jedi envoie Obi-Wan, avec une armée pour l'affronter. Ce combat aurait pu être impressionnant et terrifiant pour le maître Jedi, il n'en est rien tant ce combat semble facile pour Ewan McGregor et Grievious est ridiculisé par rapport à l'impression de danger qu'il dégageait dans Clone Wars, le numérique ayant gâché cette scène où tout sonne faux. Ce qui sauve ce combat est le second degré d'Obi-Wan, dont la fameuse scène ou après avoir tué le général Grievious avec un pistolaser, il dit : "Tout sauf civilisé." Beaucoup croient que c'est Ewan McGregor qui a imposé cette scène à Lucas. Pendant ce temps le chancelier Palpatine dévoile à Anakin qu'il est le seigneur sith Darth Sidious, comme attendu le chevalier Jedi le dénonce. Quatre maîtres Jedis dont Mace Windu viennent l'arrêter, et Palpatine comme on l'attend résiste et vainc 3 Jedis sauf Mace Windu qui prend le dessus. Ce dernier est trahi par Anakin qui le désarme et laisse Palpatine le tuer. La raison serait son obsession de sauver sa femme et seul le seigneur sith peut l'aider. Peu convainquant, car il l'a quand même dénoncé au conseil. Il ne trahissait pas pour sauver sa femme, qui est normalement toujours vivante pendant l'enfance de la princesse Leia dans Le Retour du Jedi, mais par ambition politique. D'ailleurs, la trahison d'Anakin est une véritable surprise selon ce qu'en disait Obi-Wan pourtant Yoda ne semble pas surpris comme s' il s'y attendait. Un peu gros etcela montre un scénario un peu facile et sans inspiration. Il n'y pas d'effet de surprise, et la défaite de Mace Windu surprend tant elle est risible. Samuel L. Jackson n'a pas eu le combat homérique que lui a promis Lucas. Le sur jeu de Ian McDiarmid donne ici limite la nausée. Anakin accepte ensuite de se soumettre à Palpatine à cause de son geste et devient Darth Vader alors qu'il aurait pu être plus subtil, c'est-à-dire être à la fois du côté des Jedi et du chancelier, ne sachant pas qui pourrait vaincre, ou bien être un agent double pour l'empereur. Rien de tout cela. La trahison est trop rapide et sans raisons valables, car pour sauver sa femme il aurait pu en parler à Obi-Wan qui est tout sauf un ignorant et voit bien l'amour d'Anakin pour Padmé Amidala. D'ailleurs la disparition de 4 Jedis ne semble pas inquiéter le conseil, ce qui est surprenant. Le scénario est ici un peu gauche et on se demande encore si le film a un fil conducteur, car il part dans tous les sens, sans doute Lucas est-il trop occupé à jouer avec ses effets numériques. Dans Le Retour du Jedi, Han, Leia, Chewbacca, C-3PO et Luke, devenu un Jedi, s'envolent dès lors pour une mission d'extrême importance sur la lune forestière d'Endor, afin de détruire le générateur du bouclier de l'Étoile de la Mort et permettre une attaque des pilotes de l'Alliance rebelle. Ils sont aidés sur place par les Ewoks, alors que nous savons que les Wookies aurait du être utilisés. C'est sans doute pour s'excuser de cette faute de goût qu'il mettra les Wookies et la planète Kashyyk dans l'épisode III. Conscient d''être un danger pour ses compagnons, Luke préfère se rendre aux mains de Darth Vader, son père et ancien Jedi passé du côté obscur de la Force, tout en révélant à Leia qu'elle est sa s½ur. Il essaye de faire revenir son père du côté des Jedi et n'y arrive pas. En dehors des affreux Ewoks, ces scènes sont très intimistes et se suivent avec beaucoup de plaisir, grâce à Richard Marquand qui aime que cela aille vite tout en y ajoutant un côté spectaculaire. Ce qui manque à La Revanche des Siths, Le Retour des Jedi le montre à travers un scénario très élaboré de Lawrence Kasdan où la sensibilité et la subtilité sont très présentes. Pas besoin d'effets spéciaux spectaculaire, juste des dialogues intéressants et prenants, et vous pouvez accélérer les scènes avec les Ewoks sur DVD.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)Nous voilà pour le grand final. La Revanche des Siths nous amène au fameux ordre 66 de Palpatine, où l'armée des clones, sous son autorité, élimine les Maîtres Jedi qui sont à leur côté, sans discuter les ordres ce qui est étonnant. Pourtant, un problème demeure, les Jedi ne voient rien venir alors qu'ils peuvent voir l'avenir, ce qui est peu crédible sauf si Lucas ne se rappelle pas de la trilogie originale. Le maître Jedi Ki-Adi-Mundi qui est l'un des maîtres Jedi qui tient tête au général Grievious dans Clone wars se fait abattre trop facilement, Aayla Secura sans doute le Jedi féminin le plus aimé des fans se fait tuer sans combattre, Plo Koon sans doute le meilleur pilote Jedi se fait abattre par des clones qui n'ont pas son expérience, tandis que Stass Allie, une maître Jedi expérimentée se fait abattre sans rien voir. On a peine à y croire. La fureur des fans est compréhensible. Yoda qui, sur Kashyyyk, assistait les Wookies dans une bataille les opposant aux forces droïdes, échappe de peu à la mort, tout comme Obi-Wan. Anakin lui a comme grand exploit de se débarrasser d'enfants en formation alors qu'ils ne sont pas encore des Jedis, donc un massacre inutile et qui n'apporte rien au film. Certains sénateurs tels Bail Organa, un excellent Jimmy Smits que l'on voit trop peu, entreprennent de sauver les quelques Jedi dispersés et il parvient à contacter les deux maîtres survivants avant leur arrivée sur Coruscant. Au Sénat galactique, c'est le show Palpatine, avec une dernière fois Jar Jar Binks toujours aussi peu fin en politique, qui dénonce la trahison des Jedi, puis il déclare ensuite sous les acclamations la dissolution de la République et l'avènement d'un Empire galactique qui sera dirigé par lui. Padmé Amidala et Bail Organa sont les seuls choqués par cette décision. Cette scène n'a aucun sens, la trahison des Jedi devrait faire peur aux sénateurs qui n'applaudiraient pas la fin de la République, mais serait prêts à abandonner leur liberté pour un peu de sécurité avec un régime d'exception comme lorsque Philippe Pétain arriva au pouvoir en 1940. Sur Coruscant Yoda et Obi-Wan découvrent l'horrible vérité Anakin les a trahit, et pour sauver la République, ils doivent se débarrasser de Palpatine et d'Anakin. Sur Mustafar, Darth Vader massacre le vice-roi et les chefs séparatistes, ce qui était prévisible. Pour retrouver Anakin, Obi-Wan annonce à Padmé qu'Anakin est passé du côté obscur et se dissimule dans son vaisseau. Yoda défie Darth Sidious et le combat commence bien, au moment où il fait la leçon à Darth Sidious, puis cela tourne au comique quand à la deuxième partie du combat Palpatine et Yoda sortent les sabres lasers et jouent au singe sauteur. La fin du combat sur une plate-forme est intéressante, car Yoda arrive à repousser les éclairs de l'empereur, mais le choc le fait tomber et il doit s'enfuir. Rien ne colle ici, tant Yoda semble supérieur et le sur jeu de Ian Mc Diarmid n'arrange en rien les choses. La confrontation entre Padmé et son époux s'achève tragiquement, puisqu'Anakin se croyant une nouvelle fois trahi et voyant surgir Obi-Wan l'étouffe avec la force. Peu convainquant, même devenu mauvais on garde toujours sa femme à ses côtés, les plus grand dictateurs faisaient ainsi, tout comme leurs collaborateurs. Un terrible duel s'engage ensuite entre les deux anciens amis, duel au cours duquel Darth Vader finira affreusement mutilé. Laissé pour mort par Obi-Wan, il est sauvé par Darth Sidious. Où est le terrible combat que nous proposait Lucas au bord d'un volcan, Obi-Wan n'a aucun mal à se défaire de son présomptueux ami, il ne dégage pas une goûte de sueur alors qu'il est dans une planète volcanique, comment en être autrement avec le mauvais jeu d'acteur d'Hayden Christensen. D'ailleurs, le combat est ridicule et mal chorégraphie, on voit du moulinet du bras inutile en combat, et la continuation du combat sur une plate forme volante qui est tout sauf adéquate. La fin nous montre Padmé (Natalie Portman est ici émouvante) qui met au monde des jumeaux qu'elle prénomme Luke et Leia, puis elle meurt. Bizarre, ça ne concorde pas car nous savons grâce au Retour du Jedi qu'elle est toujours vivante et que Leia a connu sa mère. Ensuite, l'empereur mécanisa son disciple qui fait un horrible : "Noooo!" Tout cela pour justifier de l'avoir mis en 2004 dans Le Retour du Jedi, ce qui avait été critiqué par les fans. On cache les enfants de l'Empire, Leia étant adoptée par Bail Organa et Luke confié par Obi-Wan, en exil sur Tatooine, à son oncle Owen Lars, tandis que Palpatine et Darth Vader commencent les travaux de l'Étoile de la Mort avec le Grand Moff Tarkin. Même là, c'est un gâchis. La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)Les combats ne sont pas impressionnants et ridicules, tant Lucas les massacre avec des effets numériques inutiles. Cela ne dégage aucune émotion, on arrive pas à se prendre au jeu. Dans Le Retour du Jedi, la tension monte. Lando et ses escadrons font face aux croiseurs impérieux tandis que le groupe de Han Solo se fait capturer, Luke en colère tente de tuer l'Empereur tandis que Darth Vader s'interpose. Aidé par les Ewoks, pour une fois utile, les rebelles arrivent à détruire le champs de protection de l'Étoile de la mort, tandis que Lando et ses escadrons arrivent à pénétrer à l'intérieur de celle-ci. Luke envahit par la colère et craignant que Darth Vader s'en prenne à Leia le bat et coupe sa main, mais refuse de rejoindre l'Empereur Palpatine ne voulant pas devenir comme son père, qui tente alors de l'éliminer, mais Darth Vader ne peut se résoudre à laisser tuer son fils et projette l'empereur dans le réacteur principal, puis succombe à son geste pas avant d'avoir dit ses dernières volonté à son fils, tandis que Lando réussit à détruire le générateur principal. L'Étoile de la Mort explose, Luke réussit à s'enfuir avec la dépouille de son père. La résistance rebelle peut fêter la victoire, et les anciens Jedi que sont Obi-Wan, Anakin et Yoda peuvent féliciter Luke d'avoir choisit d'être fidèle aux Jedis. La partie finale du Retour du Jedi est excellente en dehors des Ewoks, on y voit des retournements de situation, des mouvements de bravoure et des personnages rendant ces différentes scènes crédibles, tout ce qui manque à La revanche des Siths.
 
La prélogie Star Wars : Et le rêve se brisa (partie 3)En sortant de la salle avec mes frères, la déception est grande. Nous ne pouvions pas croire que les critiques aient pu dire autant de bien de ce film en tout point décevant et comment ont-il pu dire qu'il était supérieur ou équivalent à L'Empire contre-attaque. Beaucoup de fans se firent avoir, pas nous. Le film est un succès commercial aux États-Unis et finit à la première place avec 380 270 000 US$, et à la deuxième place mondiale. Rien d'anormal, il n'y avait plus Spider Man 2 (2004) et Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi (2003) pour le concurrencer. Pourtant une chose se dégage, le scénario est mal écrit et Hayden Christensen est mauvais. Ce sont les derniers feux d'une saga qui méritait mieux. On ne vient à se demander si ce film méritait une première cannoise le 15 mai 2005. Pour ne rien arranger, Georges Lucas mécontent du Clone Wars de Genndy Tartakowsky pond The Clone Wars qui va durer 5 saisons, et ne permet pas à Dave Filoni la même liberté artistique et cela s'en ressent, on trouve Jar Jar Binks en général, Ahsoka Tano, la disciple d'Anakin alors qu'il n'a pas la formation pour avoir une apprentie, horripilante à souhait, les séparatistes tout sauf inspirés, le général Grievious subit les derniers outrages en étant tout sauf terrifiant et le retour de Darth Maul qui est normalement mort coupé en deux dans La Menace Fantôme. L'outrage finit à la 6e saison en 2013. Le CGI rend cet anime moche et on a du mal à s'attacher aux personnages. L'échec de La Menace Fantôme en 3D en 2012 donna raison aux fans de la trilogie originale, mieux encore Lucas Film fut racheté par Disney. Et pour Star Wars VII : Le réveil de la force en 2015, Georges Lucas ne fut pas écouté par J.J. Abrams et par Disney, tout en étant pas mis au courant du scénario. Cela annonce enfin que les fans seront écoutés pour le réalisme et une histoire prenante, cela évitera le massacre d'une trilogie qui mérite mieux.
 
Merci !
Tags : Cinéma, STAR WARS
​ 9 | 6 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 25 juin 2015 02:46

Modifié le jeudi 25 juin 2015 03:08

Capitão Falcão, le premier super héros portugais

Capitão Falcão, le premier super héros portugaisNous allons voir aujourd'hui, le "premier super héros portugais" comme l'annonce la fameuse bande annonce du film parodique "Capitão Falcão", un super héros fasciste, dont le réalisateur João Leitão s'amuse à reprendre les super héros comme Batman, les films d'arts martiaux et les sentais pour nous faire rire. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Le scénario joue beaucoup sur la comédie d'action et la parodie grinçante, puisqu'au Portugal, le Capitão Falcão est reconnu comme le plus patriote des super-héros des années 1960. Totalement fidèle à António de Oliveira Salazar, le chef d'État portugais, il se dédie à la lutte contre toutes les menaces qui pèsent sur la nation (les communistes et les féministes). Et pourtant en 1968, il commence à se manifester des mouvements antifascistes étranges qui peuvent compromettre l'État, comme les capitaines d'avril ... Capitão Falcão, avec son brave compagnon, Puto Perdiz, devra trouver un moyen d'éliminer tous ceux qui traversent son chemin et auront l'audace - et le manque de scrupules - de se soulever contre la dictature portugaise, en laquelle il a cru toute sa vie.
 

Ajouter cette vidéo à mon blog

Le choix du réalisateur João Leitão était à partir de 2009, de faire une série de télévision avec plusieurs épisodes plus proche de la série télévisée Batman (1966-1968), parce que le thème "disposait d'une richesse incroyable" selon lui, mais il fut finalement abandonné. Il laissa un épisode pilote qui fut le point de départ pour faire un long métrage. En 2011, João Leitão sortit un trailer qui fit beaucoup parler de lui et permit de voir l'avancement du projet, où Capitão Falcão et Puto Perdiz combattent les communistes dirigés par leur chef qui ressemble à Fu Manchu dans un combat chorégraphié comme dans un film de Hong Kong et dont l'ambiance ressemblait beaucoup à un épisode de la série Batman. Cela lui permit en 2013 de roder son film, mais il attendra encore un an à cause des retards sur les effets spéciaux et la bande son, composée par Pedro Marques et enregistrée par l'orchestre symphonique de Prague.
 
Capitão Falcão, le premier super héros portugaisLes acteurs Gonçalo Waddington qui fait Capitão Falcão et David Chan Cordeiro dans celui de Puto Perdiz furent choisis pour faire des "Batman et Robin, mais fascistes". Le casting comprend également José Pinto, qui fait Salazar, Rui Mendes, Luís Vicente, Miguel Guilherme, Carla Maciel, Bruno Nogueira, Nuno Lopes, Ricardo Carriço et un groupe de cascadeur pour les chorégraphies de combat et les scènes d'explosion supervisées par l'acteur David Chan Cordeiro. D'ailleurs, les acteurs se sont plus à faire ce film comme on peut le voir à travers les trailers que l'on trouve sur internet.
 
Dans "Capitão Falcão" le super-héros soupçonne une conspiration des communistes pour renverser Salazar, mais il finit par tomber dans un piège des "capitaines d'Avril" représentés en héros de sentai (leur couleur en est un bel exemple), qui se sont alliés aux communistes et aux féministes, et veulent instaurer la démocratie dans le pays. On voit souvent que Capitão Falcão ne comprend rien et son seul pouvoir est "d'être portugais", pour bien affiner cela le film montre la plupart des stéréotypes de la société portugaise notamment sur les communistes (armés de faucilles et de marteaux, avec une salopette rouge), les féministes (habillées en homme et brulant leur soutien gorge), les révolutionnaires, l'austérité, le conservatisme et l'idée d'être portugais. Et Afonso Henriques, le premier roi du Portugal est le guide de notre super héros.
 
Capitão Falcão, le premier super héros portugaisLe film réussit à rendre plusieurs hommages grâce à de nombreuses confrontations, de scènes de combat et de coups chorégraphiés tout cela sans effusion de sang en vue. Il faut dire que l'intrigue voulue par João Leitão ajoute assez de références, telles que les chorégraphie de Bruce Lee et de Jackie Chan, des séries télévisées "Allô Allô" (1982-1992) et "La vipère noire" (1983-2002), les personnages de Batman et Green Hornet, le dessin animé "Ren & Stimpy" et les "Looney Tunes". Les acteurs avaient peur que ce film offense certains groupes qui ne voudraient pas que ce film soit une revalorisation du salazarisme, il n'en est rien, puisque cette parodie est intelligente et mordante.

Ajouter cette vidéo à mon blog

João Leitão
a préparé un deuxième film, il y a un indice à gauche à la fin de "Capitão Falcão", et peut-être un troisième, mais pour cela le premier film devait marcher. Le film est sorti dans les salles de cinéma portugaise le 23 avril 2015 et comme on pouvait s'en douter il a été pendant plusieurs semaines consécutives devant "Fast & Furious 7" de James Wan, avec 60 554 spectateurs. Depuis ses débuts, ce film au Portugal a totalisé 713 000 spectateurs et a battu les records du box office. Espérons une sortie ici en France, pour que nous aussi nous voyons le "premier super héros portugais".
 
Merci !
Tags : Cinéma, Bande Dessinée.
​ 11 | 8 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 30 juillet 2015 03:17

Lana Turner : une star glamour à la vie privée compliquée

Lana Turner : une star glamour à la vie privée compliquéeNous allons voir aujourd'hui Lana Turner surnommé "Sweater Girl" (à cause de son habitude de porter un chandail serré avec un soutien gorge conique pour mettre en avant le buste) avait démontré un certain talent à toujours rester intègre, tout en étant en avance sur les tendances et en dégageant un certain glamour, qui en fait l'une des grandes actrices de l'âge d'or hollywoodien.
 
Lana Turner est né le 8 février 1920 à Wallace, en Idaho, et son véritable nom était Julia Jean Mildred Frances Turner. Son père, John, était un mineur. La famille déménagea bientôt à San Francisco, où ses parents se sont séparés et son père fut agressé et assassiné quand elle a eu 9 ans. Sa mère, Mildred, devint une esthéticienne et déménagea à Los Angeles, où la jeune fille vécut pendant un certain temps dans un foyer d'accueil avant de retourner chez sa mère. Au Hollywood Highschool, elle suit des cours de dactylographie et réussit a obtenir son diplôme.
 
Sa découverte dans un magasin de soude en 1935 par un responsable de la revue The Hollywood Reporter, Billy Wilkerson conduit à une entrevue en 1937 avec Mervyn LeRoy, un réalisateur et producteur, qui lui conseilla de choisir un nom accrocheur et il commença à guider sa carrière. Elle choisit Lana et commença à apparaître dans des films, comme "L'amour frappe André Hardy" (1938), "On demande le Docteur Kildare" (1939) et "Dr Jekyll et Mr Hyde" (1941). Elle étudia avec un coach dramatique et bientôt elle devient une vedette connaissant le succès avec des grands acteurs de la MGM tels que Spencer Tracy, Clark Gable et Robert Taylor. Louis B. Mayer de la MGM a compris qu'elle pouvait remplacer la star Jean Harlow, qu'il venait de perdre tragiquement, et devenir le nouveau sex symbol de la compagnie.
 
Lana Turner : une star glamour à la vie privée compliquéeLana Turner fait les beaux jours du studio où elle est convaincante dans les scènes d'amour et, dans certains mélodrames. Son rôle dans Le Facteur sonne toujours deux fois (1946), où elle joue une femme fatale, va faire d'elle une grande star. Ses autre films incluent des chef d'½uvre tels que "Le pays du Dauphin vert" (1947) pour lequel elle a assombri ses cheveux et perdu 7 kilos, "Cass Timberlane" (1947), où elle a devancé pour le rôle Jennifer Jones, Vivien Leigh, et Virginia Grey, "Les Trois Mousquetaires" (1948), où elle joue Milady de Winter dans Les Trois Mousquetaires, en face des stars du moment Gene Kelly, Van Heflin, et Juin Allyson, "La Veuve joyeuse" (1952), où elle joue une belle et riche veuve qu'un royaume essaye de séduire pour éviter la banqueroute, Les Ensorcelés (1953), satire du milieu hollywoodien, sous la direction de Vincente Minnelli où elle livre une de ses meilleures interprétation et qui remporte 5 oscars, "Le Fil Prodigue" (1955) où elle joue une prêtresse d'Astarté, "La Mousson" (1955) où elle fait une lady amoureuse du fils d'un Maharadjah, Sea Chase (1955), un film d'aventure où elle tient la vedette avec John Wayne, et "Diane de Poitiers" (1956), où elle fait la maîtresse du roi Henri II, son dernier film chez MGM, passant ensuite à Universal.
 
Lana Turner : une star glamour à la vie privée compliquéeLana Turner fut nominé pour un Academy Award en 1957 pour son interprétation d'une mère névrosée dans l'adaptation cinématographique du roman de Grace Metalious, Les "Plaisirs de l'enfer". En 1958, lorsque son amant, Johnny Stompanato, menace de la défigurer, il est poignardé à mort avec un couteau à découper par sa fille de 14 ans, Cheryl Crane. Un jury disculpa sa fille avec la constatation de l'homicide justifiable. Par la suite, pour redorer son image, Lana Turner jouera dans des films ambitieux qui pousse ensuite Universal à capitaliser sur son image. Dans de nombreux films, y compris le remake du "Mirage de la vie" (1959) le plus grand succès de Lana Turner où son droit à l'image lui permet de gagner 11 millions de $, et "Madame X" (1966), son dernier rôle au cinéma, elle joua des héroïnes vivant seule par le sacrifice et la souffrance auxquels viennent s'ajouter "Meurtre sans faire part" (1960), où elle fait une femme névrosée qui s'occupe de son mari malade qui été assassiné et qui sera un succès au box office.
 
Lana Turner : une star glamour à la vie privée compliquéeÀ la télévision, son effort le plus ambitieux était "Les survivants" en 1969, un somptueux soap opéra en prime-time basé sur le roman de Harold Robbins sur une famille de banquiers sordides. Dans les années 1970 et 1980, Lana Turner est apparu dans plusieurs rôles à la télévision, notamment dans plusieurs épisodes de la série Falcon Crest (1982-1983) comme la mystérieuse Jaqueline Perrault et dans La croisière s'amuse. Plus tard, elle tourna aussi dans plusieurs pièces de théâtre, dont la comédie "Quarante Carats." En 1982, Lana Turner publie ses mémoires dans "Lana, The Lady, the Legend, the Truth", concentré sur ses 8 mariages et de nombreux romans. Ses mémoires ont également rappelé une tentative de suicide, deux avortements, trois enfants morts nés, l'alcoolisme et son réveil religieux en 1980. En 1983, elle prend officiellement sa retraite d'actrice.
 
Sa vie personnelle orageuse fut parsemé par de nombreux mariages et romances médiatisées, aussi sinistres que beaucoup de ses films, mais son identité comme un sex-symbol servit à isoler sa carrière à des conséquences de ses nombreux scandales. Lana Turner fut marié et divorcé de Artie Shaw au bout de 4 mois en 1940; Stephen Crane, un acteur et un restaurateur (avec qui elle s'est mariés et a divorcé 2 reprises) en 1942-1943 et en 1943-1944; Bob Topping, propriétaire de l'équipe de baseball des Yankees de New York entre 1948 et 1952; Lex Barker, un acteur dont les rôles incluaient Tarzan entre 1953 et 1957; Rancher Frederick "Fred" May, un homme d'affaires et un éleveur entre 1960 et 1962; Robert P. Eaton, un homme d'affaires entre 1965 et 1969, et Ronald Dante, un hypnotiseur de boîte de nuit entre 1969 et 1972.
 
Lana Turner : une star glamour à la vie privée compliquéeEn 1981, Lana Turner se réconcilia avec sa fille Cheryl, qui surmonta la persistance de ses problèmes émotionnels (y compris un séjour de 10 mois dans un hôpital psychiatrique à l'âge de 17 ans) pour devenir une femme d'affaires prospère. Menant une vie tranquille, mais étant une grosse fumeuse elle finit par être atteinte d'un cancer de la gorge en 1992, et elle s'éteint victime de ce cancer en 1995 aux côtés de sa fille.
 
Merci !
Tags : Cinéma
​ 9 | 7 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 18 août 2015 03:33

De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la force

De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la forceStar Wars : Le Réveil de la force nous livre en ce mois d'août des révélations au compte goutte, mais qui arrivent à contenter les attentes des fans de la saga, contrairement à l'époque où Georges Lucas faisait la prélogie sans rien en dire amenant une grande déception. Les journaux se centrèrent d'abord sur la bande annonce coréenne de Star Wars Épisode VII où l'on voyait un plan de l'armée de "l'ordre Premier", composée de stormtroopers, vue depuis l'estrade au lieu d'être vue depuis la foule. Sur cette estrade Sur cette estrade se trouverait un des ennemis de la République intergalactique du nouvel opus : on voit le Général Hux, incarné par Domhnall Gleeson, faire un discours avec son bras droit le capitaine Phasma, incarnée par Gwendoline Christie. Une autre scène montre les Tie fighters de l'empire tirer sur des stormtroopers, ce qui suggère une division dans les restes de l'Empire.
 
De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la forceLe mercredi 13 août, le site américain Entertainment Weekly a publié de nouvelles images de l'Épisode VII, et notamment celles des futurs méchants de la saga, Kylo Ren, le Général Hux et le Captain Phasma, tout en nous offrant des révélations par JJ Abrams. ce dernier nous révèle que Kylo Ren, n'est pas le "vrai" nom de ce personnage et que celui-ci l'a adopté lorsqu'il a intégré l'ordre des Chevaliers de Ren. Les parents du personnage pourraient être des visages bien connus de l'épopée (Leia et Han Solo ?). Le sabre laser est quelque chose qu'il aurait construit lui-même. Et il est aussi dangereux, fier et cabossé que son propriétaire. Selon Lawrence Kasdan, le scénariste, fait aussi valoir que Kylo Ren, masqué et habillé d'un long habit noir à capuche évoquant l'allure du mythique Darth Vader, n'est pas un méchant comme les autres puisque celui-ci "est plein d'émotions". Il est un personnage au passé trouble et autodidacte, loin de l'élite à laquelle appartenaient Anakin Skywalker ou le Chancelier Palpatine. Une photographie le montre avec une armée du Premier Ordre, issue de l'Empire, mettre à sac un village paisible de la planète Jakku.
 
De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la forcePour le Général Hux, interprété par Domhnall Gleeson, il est le général du Premier Ordre qui s'est formé pour remplacer l'Empire qui est tombé aux mains de l'Alliance Rebelle trente ans auparavant dans l'épisode VI de Star Wars : Le Retour du Jedi, mais il est considéré trop jeune pour une telle fonction, ce qui peut expliquer son besoin d'avoir une grande victoire militaire pour convaincre. JJ Abrams nous révèle aussi que la photo est prise par Entertainment Weekly dans le quartier général du Premier Ordre (la fameuse base Starkiller), mais surtout le point essentiel et que Abrams précise que le chef militaire "se trouve dans son centre de commandement, avec le désir de révéler toute l'étendue de la puissance militaire du Premier Ordre à une galaxie sans méfiance".
 
Pour le capitaine Phasma, le design du personnage le plus mystérieux de l'Épisode VII, incarné par Gwendoline Christie, a fait penser à JJ Abrams au film d'horreur Phantasm (1979). Il avance que l'actrice qui porte le costume à montré une belle performance rendant pleinement les compétences du costume avec un talent supplémentaire. Pour le réalisateur le personnage est visuellement étonnant que cela soit et plaira aux fans. On se demande même si le personnage ne sera pas aussi culte que Bobba Fett. Il est déjà en tout cas apprécie des fans.
 
De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la forceFinn et Rey, ces deux personnages sont identifiés que par un simple prénom, et J.J. Abrams indique que cette imprécision est volontaire et que leur identité complète restera à dévoiler. Il semblerait que leur nom de famille constitue donc un spoiler à lui tout seul, il est donc fort probable que ces noms ne soient pas vraiment inconnus dans l'univers Star Wars. Rey pourrait être la fille de Han et de Leia et Finn le fils de Lando Calrissian. Ces personnages pourrait être aidés par Teedo, un personnage monté sur une étrange créature appelée "luggabeast", vivant sur Jakku, et que nous voyons dans Entertainment Weekly avec BB-8 et Rey. Ce personnage est joué par l'acteur Kiran Shah, qui avait joué le rôle d'un Ewok dans le Retour du Jedi.
 
De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la forceCe week-end, un poster dévoilé par Disney a mis en scène l'acteur John Boyega qui tient un sabre laser, ce qui pourrait présager qu'il tiendrait un rôle dans l'ordre des Jedi renaissant. L'affiche a été réalisée par Drew Struzan, une star dans l'univers des affiches cinématographiques. Il a auparavant réalisé celles d'Indiana Jones et de Blade Runner ou en encore les graphismes pour les produits dérivés des six premiers épisodes de Star Wars. Poe Dameron, le pilote de X-wing, joué par Oscar Isaac, ferait partie d'une groupe dissident connu sous le nom de Résistance et on apprend qu'il sera dans l'Épisode VIII.
 
De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la forceQuant à Han Solo, Entertainment Weekly révèle qu'il est l'un des personnages principaux et qu'avec Chewbacca, ils vont unir leurs forces avec Finn, Rey et leur adorable droïde BB-8, appelé ainsi à cause de sa forme qui rappelle un "8" et de son apparence "ronde" et rebondissante, comme on a pu le voir sur une photo qui nous montrait Han Solo, Finn et Rey dans le Faucon Millenium. On apprend aussi quelle pourrait être l'implication de la princesse Leia dans le film, on apprend qu'elle serait en possession du sabre laser emblématique de la saga : celui d'Anakin Skywalker avant qu'il ne devienne Darth Vader, et que son fils Luke Skywalker récupéra, avant qu'il ne le perde avec sa main lors de leur dernier combat. Serait-elle devenu une Jedi ? Rien ne permet de le dire.
 
Et Luke Skywalker dans tout ça ? On ne sait toujours rien du rôle qu'il tiendra, même si selon les rumeurs, il pourrait être en exil sur une mystérieuse planète, où il aurait fondé une académie secrète pour former des nouveaux Jedi, n'apparaissant alors qu'à la fin du film. Mais pour l'instant, rien n'a encore été confirmé, et Luke Skywalker reste encore un mystère à lever. Entertainment Weekly laissa entendre que tout sur Luke Skywalker n'a pas été dit. On se demandait après si Luke Skywalker serait passé du côté obscur. Les rumeurs qui disaient que le Jedi suivrait les traces de son père se sont lourdement trompées, car une image de Mark Hamill alias Luke Skywalker a circulé le vendredi 14 août et le montre 30 après. Avec sa barbe et le poids des années, il a désormais tous les atours du maître Jedi, à la manière d'Obi Wan Kenobi, rencontré il y a bien des années sur Tatooine.
 
De nouvelles révélations pour Star Wars Épisode VII : Le Réveil de la forceJJ Abrams a expliqué ce week-end dans le D23 que travailler dans un environnement avec de vrais décors et des costumes détaillés était important pour donner de l'authenticité en allant à l'extérieur et à l'intérieur, dans des endroits réels qui se trouvent réellement dans le soleil, car il ne voulait pas tourner que dans du fond vert. Il a aussi confirmé qu'il ne fera pas l'Épisode IX malgré les rumeurs. Pour en savoir plus, nous devrons attendre le 18 décembre 2015
 
Merci ! 
Tags : Cinéma, STAR WARS
​ 8 | 6 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 20 août 2015 03:32

Maureen O'Hara, "la reine du Technicolor"

Maureen O'Hara, "la reine du Technicolor"Dans une carrière d'actrice de 60 années, la légende d'Hollywood Maureen O'Hara en est venu à être connue comme "la reine du Technicolor" pour ses cheveux rouge feu et des yeux verts perçants. Elle avait une réputation de penseuse indépendante et une championne farouche des causes, et en particulier celles de sa patrie bien-aimée, l'Irlande.
 
Maureen O'Hara est née Maureen FitzSimons le 17 août 1920 à Ranelagh, dans la ville de Dublin, en Irlande. Maureen O'Hara et ses cinq frères et s½urs ont montré des talents dramatiques et musicaux prometteur à partir d'un très jeune âge. Elle se forme part la suite dans le célèbre Abbey Theatre lors de son adolescence, le rêve de Maureen était de devenir une chanteuse d'opéra.
 
Elle a fait ses débuts au cinéma dans "Kicking the Moon Around" de Walter Ford et dans My Irish Molly d'Alex Bryce en 1938, puis elle a eu son premier grand rôle comme Esmeralda en 1939 dans "Quasimodo", où elle se confronte à Charles Laughton qui l'a fait venir aux États-Unis alors qu'elle n'a que 17 ans. À 19 ans, après deux prestations remarquées, la RKO reprend son contrat, et elle ne cesse d'enchaîner les succès. O'Hara épousa secrètement le producteur anglais George H. Brown, et le mariage fut annulé en 1941, par la suite elle épousa la même année, le réalisateur William Houston Price dont elle divorça en 1953 à cause de son alcoolisme.
 
Maureen O'Hara, "la reine du Technicolor"Elle est devenue ensuite l'actrice favorite de John Ford, où on la voit comme une femme mal mariée dans une petite ville minière dans "Qu'elle était verte ma vallée" (1941) et dans 4 autres films avec John Wayne, y compris "Rio Grande" (1950) et le film typiquement irlandais "L'Homme tranquille" (1952). La relation qu'elle a avec John Wayne est excellente, ce dernier disait d'elle quelquefois qu'elle était son "genre de femme", sans doute à cause de son côté garçon manqué.
 
Ses autres films qui la représente en des héroïnes passionnées incluent "A Bill of Divorcement" (dans lequel elle reprend le rôle origine par Katharine Hepburn) (1940), "Le Cygne noir" (1942), "Nid d'Espions" (1943), "Buffalo Bill" (1944), "Pavillon noir" (1945), "Sinbad le marin" (1947), "Comanche Territory" (1950), "À l'abordage" (1952) et "La Belle rousse du Wyoming" (1953). On la voit aussi faire l'apprentissage de croire aux miracles avec Natalie Wood dans Le Miracle de la 34e rue en 1947. Ses aptitudes athlétiques de lui permettent d'endosser des personnages plus physiques que la plupart des autres actrices. De 1953 jusqu'en 1967, Maureen O'Hara avait une relation avec Enrique Parra (1926- 2015), un politicien et banquier mexicain.
 
Maureen O'Hara, "la reine du Technicolor"Elle est aussi connue pour son rôle de la mère dont de deux jumelles qui essayent de la retrouver avec son ex-mari (Brian Keith) dans le film de Disney de 1961 "La Fiancée de papa". Elle met un frein à carrière en 1968 après son mariage avec l'acteur Charles Blair, le grand amour de sa vie, et décide de s'occuper de sa famille. Sur le petit écran, Maureen O'Hara a joué dans un téléfilm de 1973 "Le Poney rouge" avec Henry Fonda, moment où elle prend sa retraite. Son mari Charles Blair mourra en 1978 dans un accident d'avion mystérieux.
Elle revient au cinéma pour jouer une autre mère mémorable en 1991 dans "Ta mère ou moi", où elle est la mère irlandaise dominatrice de John Candy, puis, en 1995, elle revient sur le petit écran dans le classique téléfilm sentimental des vacances de noël "The Magic Box" avec Richard Thomas, et en 1998, dans "Un taxi pour le Canada" avec une jeune Haley Joel Osment.
 
Maureen O'Hara a ensuite subi un accident vasculaire cérébral en 2005 et vit maintenant avec son neveu dans l'Idaho. En 2011, O'Hara a été officiellement intronisé au Irish America Hall of Fame dans une événement à New Ross, au comté de Wexford. En 2014, l'actrice en fauteuil roulant a reçu un Oscar d'honneur, présenté par Clint Eastwood et Liam Neeson. Liam Neeson a dit d'elle qu'elle était "une des véritables légendes du cinéma" et "l'une des femmes les plus aventureuse qui ait jamais vécu."

Merci !
Tags : Cinéma
​ 7 | 6 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.192.65.228) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 26 août 2015 03:34

  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
  • ... 29
  • Suivant

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile