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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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Cheng I Sao, la "reine des pirates"

Cheng I Sao, la "reine des pirates"Je vous mets aujourd'hui ces superbes images de Cheng I Sao, celle qu'on appela la "reine des pirates" et qui eu une belle carrière. j'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
La reine pirate connu seulement sous le nom de Cheng I Sao (1784 - 1844), ou la "femme de Cheng", avait commencé sa vie comme une prostituée à Canton sous le nom de Shih Yang. En 1801, elle épousa le maraudeur Cheng I, qui organisa une confédération de brigands sur la mer en 1805 avec plus de 1500 navires pour s'attaquer aux bateaux de pêche et de fret sur ​​le pourtour sud de la Chine et au sud de la Malaisie.
 
Lorsque Cheng mourut en 1807, Madame Cheng de façon opérationnelle saisit sa chance et prit le contrôle total de la confédération. Finalement, elle, régissait plus de 50 000 pirates. Elle était célèbre pour ses condamnations impitoyable : des pillards qui désobéissaient aux ordres étaient sommairement décapités, et pour la première fois on pendait par leurs oreilles les déserteurs. Madame Cheng entra ainsi dans une aventure politique avec un lieutenant prometteur, Chang Pao, ancien bras droit de son mari, après qu'elle le nomma capitaine de la flotte au drapeau rouge, son escadron le plus puissant.
 
Cheng I Sao, la "reine des pirates"Cette flotte se livra aussi à des actes de piraterie, mais elle extorquait également de l'argent pour la «protection» contre les pirates eux-mêmes. Les fonctionnaires chinois essayèrent de nombreuses tactiques pour amener la flotte au drapeau rouge devant la justice, mais chaque expédition pour éradiquer les pirates échouèrent. La marine chinoise avait perdu 63 navires dans les combats. Deux fois, la flotte au drapeau rouge flotte fut attaqué par des citoyens des villages assaillis, mais ce derniers virent leurs villes brûlées et les hommes massacrés.
 
Le problème arriva lorsque le gouvernement chinois demanda à la marine britannique et portugaise une protection contre les pirates. Les marines du Portugal et de la Grande-Bretagne ne purent non plus vaincre Cheng I Sao. Afin d'éviter une bataille épique, Madame Cheng avec 17 femmes et enfants auprès d'elle alla à la maison du Gouverneur général et lui demanda pardon décidant de profiter d'une amnistie générale qui avait été offerte à tous les pirates en 1810. Elle négocia une amnistie pour la quasi-totalité de ses hommes, et réussit même à obtenir pour Chang Pao, une place de lieutenant dans l'armée chinoise.
 
Cheng I Sao, la "reine des pirates"Elle reçut la permission de garder la richesse qu'elle avait acquise par le pillage. Ensuite, avec une envie de respectabilité, elle se retira pour ouvrir une maison de jeu à Canton jeu et avait eu au moins un fils avec Chang Pao avant de mourir en 1844. Elle fut choisie en 1839 pour être la conseillère de Linze Xu, l'officier missionné pour défendre la Chine contre les attaques étrangères. Certains historiens disent qu'elle était sans doute la "meilleure pirate meilleur qui ait jamais vécu."

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#Posté le lundi 08 octobre 2012 09:46

Mao Zedong, la contradiction entre pensée marxiste et refus de la modernité

Mao Zedong,  la contradiction entre pensée marxiste et refus de la modernitéJe vous mets aujourd'hui ces superbes images de Mao Zedong, le principal artisan de la révolution chinoise et de l'édification du communisme, il  a profondément influencé l'évolution de son pays. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Mao Zedong ou Mao Tsé-toung (1893-1976), est un théoricien marxiste, soldat et homme d'État Chinois qui dirigea la révolution communiste de la Chine et avait été président de la République populaire de Chine (1949/59) et président du Parti communiste chinois (1931/76). Il fut très influent, en particulier parmi les révolutionnaires du Tiers-Monde.
 
Fils d'un paysan, Mao rejoint l'armée révolutionnaire qui renversa la dynastie des Qing, mais au bout de six mois en tant que soldat de tendance de gauche, il parvient à acquérir plus d'éducation. Il fut formé dans les classiques chinois et avait ensuite reçu une éducation moderne. À l'Université de Pékin, il rencontra Li Dazhao et Chen Duxiu, les fondateurs du PCC, et en 1921, il s'engagea dans le marxisme. À cette époque, sa pensée marxiste jugea que la révolution était entre les mains des travailleurs urbains, mais en 1925, Mao conclut que c'était la paysannerie, et non le prolétariat urbain, qui devait être mobilisé. Il organisa en 1920 un Kuomintang parrainé par des paysans et des syndicats industriels et dirigé en 1926 une formation de l'Institut du Mouvement paysan du Kuomintang. Après la scission entre le Kuomintang et le parti communiste en 1927, Mao dirigea le désastreux "soulèvement de la récolte d'automne" dans le Hunan, conduisant à son éviction du comité central du parti.
 
Mao Zedong,  la contradiction entre pensée marxiste et refus de la modernitéDe 1928 jusqu'en 1931, Mao, Zhu De avec d'autres membres du parti communiste, mirent en place des soviets et des entreprises rurales dans l'arrière-pays, et construisirent la future armée rouge chinoise. Il devint le président d'une République soviétique chinoise du Jiangxi en 1931 formée en milieu rural, son armée rouge résista à des attaques répétées de l'armée nationaliste de Tchang Kaï-chek, ensuite il avait enfin entrepris la longue marche grâce à une position plus sûre dans le nord-ouest de la Chine. Mao devint le chef incontesté du PCC. Les tactiques de guérilla, les appels aux sentiments nationalistes de la population locale et les politiques agraires de Mao donnèrent au parti communiste des avantages militaires contre leurs ennemis nationalistes et japonais avec un large soutien parmi les paysans. Suite à son succès Mao devint président de la République populaire de Chine nouvellement créé, il fut ensuite réélu à ce poste en 1954.
 
Le marxisme agraire de Mao différait du modèle soviétique, mais, quand les communistes réussirent à prendre le pouvoir en Chine en 1949, l'Union soviétique accepta de fournir de l'assistance technique à l'état neuf. Cependant, le Grand Bond en avant de Mao et sa critique des nouveaux éléments bourgeois dans l'Union soviétique, aliéna la Chine de façon irrévocable auprès de l'Union soviétique, l'aide soviétique fut retirée en 1960. Mao Zedong,  la contradiction entre pensée marxiste et refus de la modernitéLe programme du Grand Bond fut avant tout un échec terrible, 20 à 30 millions de personnes sont mortes de la famine qui en suivi (1958-61), et Mao se retira temporairement de la vie publique. En 1959, Liu Shaoqi, un adversaire du Grand Bond en avant, le remplaça par en tant que président de la République populaire de Chine, mais Mao conserva sa présidence du bureau politique du parti communiste. Une campagne visant à rétablir la ligne idéologique de Mao aboutit alors à la Révolution culturelle (1966-76).
 
Mao subit encore après le Grand Bond en avant l'échec de la Révolution culturelle, ayant été considéré également comme une erreur désastreuse. La mobilisation de masse, commencée et dirigée par Mao et son épouse, Jiang Qing, était dirigée contre la direction du parti. Liu Shaoqi et d'autres leader du parti furent chassés du pouvoir en 1968. En 1969, Mao réaffirma sa conduite du parti en servant en tant que président du Neuvième Congrès du Parti communiste, et en 1970, il fut nommé commandant suprême de la nation et de l'armée. Le groupe de la Révolution culturelle poursuivit ses campagnes d'intimidation jusqu'à la mort de Mao en septembre 1976. Après la mort de Mao en 1976, les dirigeants de la Révolution culturelle furent purgés et les opposants de Mao qui survécurent, menés par Deng Xiaoping repoussèrent le successeur de Mao, Hua Guofeng en 1978. Deng Xiaoping commença alors à introduire des réformes sociales et économiques.
 
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#Posté le jeudi 27 décembre 2012 04:00

Sun Tzu, le père de la stratégie militaire moderne

Sun Tzu, le père de la stratégie militaire moderneJe vous mets aujourd'hui ces superbes images sur Sun Tzu, un stratège militaire qui a beaucoup influencé les méthodes de guerre moderne. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Sun Tzu (Sun Zi ou Sun-Wu) (entre 400-320 avant J.-C.), est un général, un théoricien militaire, et un philosophe chinois. Sun Tzu était un général significatif de l'État ​​de Wu durant le Ve siècle avant J.-C. Dans deux ouvrages Sun Tzu y est présenté comme un stratège militaire de la fin de la période des Printemps et des Automnes, général de l'état de Wu sous le règne du roi He Lu. Ce serait lui qui aurait conçu l'attaque de Wu contre l'état de Chu.
 
Il est l'auteur réputé de l'Art de la Guerre, qui est un guide pour les stratèges militaires, où l'accent est mis sur l'importance de la précision du renseignement sur l'ennemi, mais aussi sur l'importance de la flexibilité et de la compréhension de la relation entre les objectifs politiques et les opérations militaires. S'il a profondément influencé l'art militaire oriental, s'il a notamment aidé Mao à forger son concept de guérilla, il est resté longtemps méconnu des Occidentaux auxquels il aurait pourtant évité bien des déboires.
 
Sun Tzu, le père de la stratégie militaire moderneIl souligne le caractère imprévisible de la bataille, où se trouve l'importance de la déception et la surprise, la relation étroite entre la politique et le militaire, ainsi que ses coûts élevés en mort. La futilité de rechercher des règles dures et rapides avec les paradoxes subtils du succès en sont des thèmes majeurs. La meilleure bataille, comme le dit Sun Tzu, c'est une bataille gagnée sans combattre. Les batailles se gagnent lorsqu'on s'adapte aux stratégies de l'adversaire. L'ensemble de ces thèses s'inspire de la philosophie chinoise ancienne.
 
Une controverse plane cependant sur l'identité de l'auteur. Certains historiens affirment que le personnage à l'origine de cet ouvrage serait l'oncle de Sun Zi. De reste, Sun Zi n'est pas un prénom mais un titre de courtoisie qui se traduirait par “maître”. L'auteur ne serait en fait que l'éditeur.
 
L'histoire de Sun Tzu montre qu'il commandait un défilé des concubines du roi de l'État de Wu, dans une expérience pour tester sa capacité de général au commandement. En dépit des instructions claires répétées, les filles répondirent à ses ordres en riant. Finalement, Sun Tzu eu deux filles qui furent nommés commandantes décapitées, au grand dam du roi. Sun Tzu, le père de la stratégie militaire moderneDe nombreux commentateurs rejetèrent l'épisode comme peu probable, mais il soulevait une autre possibilité intéressante. Il y aurait eu des femmes généraux dans la Chine ancienne. Et si Sun Tzu en était une ?
 
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#Posté le mardi 19 février 2013 03:23

Yuan Shao, le roi du nord

 Yuan Shao, le roi du nordJe vous mets aujourd'hui ces superbes images de Yuan Shao, un grand général et un homme politique compétent qui fut un obstacle aux ambitions de Cao Cao. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Yuan Shao est un noble partisan de la dynastie Han qui souleva une puissante armée en réponse à la rébellion des Turbans Jaunes. Il était le fils de Yuan Feng, ministre de l'Intérieur. Il est le père de Yuan Tan, Yuan Xi et Yuan Shang. Son plus jeune demi-frère est Yuan Shu. Pendant les années crépusculaires de la dynastie des Han, il régna comme le chef suprême du nord jusqu'à sa mort. Ses territoires furent finalement revendiqué par Cao Cao.
 
Yuan Shao perd son père peu après sa naissance et est pris en charge par ses oncles. Il est anobli au cours de son enfance puis reçoit dans sa jeunesse la charge de la magistrature de Puyang. À la mort de sa mère, il part s'installer pour six ans auprès de la tombe de ses parents pour accomplir le deuil, puis part s'installer à la capitale Luoyang où il fait la rencontre de nombreuses personnalités comme Zhang Miao et son futur rival Cao Cao. Les fréquentations de Yuan Shao et son oisiveté inquiètent fortement son oncle Yuan Wei qui finit par le sermonner et le ramener sur le droit chemin. Il devient commandant de l'armée centrale puis atteint le rang de colonel.
 
 Yuan Shao, le roi du norduan Shao était un puissant chef de guerre qui contrôlaient les territoires du nord de la Chine à la fin de la dynastie Han de l'Est. Sa lignée eut une influence énorme et occupa des postes très influents au sein de la cour des Han, depuis ses débuts, et le grand-père de Yuan Shao, Yuan An, fut nommé comme l'un des trois ducs de la Cour des Han, et les fils de Yuan An accomplirent également par la suite leur rôle dans la même position. Il est dit que Yuan Shao avait un beau visage, et se mêlait bien avec ses subordonnés.
 
En 189, il conseilla au général He Jin de tuer les eunuques de la cour, jusqu'à ce que Jin fut tué dans un complot ourdi par Duan Gui. Yuan Shu son demi-frère essaya de vaincre Duan Gui avec ses troupes à Huben en 200, mais il échoua. Face à la menace représentée par Yuan Shao, Duan Gui choisit la fuite lui qui avait capturé le roi Chen Liu. Yuan Shao ordonne que tous les eunuques soient exécutés et il poursuivit Duan Gui, causant son suicide.
 
 Yuan Shao, le roi du nordAprès avoir détruit les Dix préposés réguliers, il célébra la coalition dirigée contre le tyran usurpateur Dong Zhuo, qui tenait l'empereur Xian en otage, mais la coalition s'effondra bientôt en une désunion interne. Ensuite Yuan Shao avait vaincu Gongsun Zan à la bataille de Yi Jing et prit le commandement de certaines des troupes de Zan et He Bei.
 
En 200, Yuan Shao mena une invasion sur le territoire de Cao Cao, une connaissance de son enfance. Au départ, les attaques réussirent, mais après un raid sur les lignes de ravitaillement de Yuan Shao, les combats tombèrent bientôt dans les bonnes grâces de Cao Cao et Yuan Shao dût battre en retraite vers le nord. Finalement, Yuan Shao exécuta son stratège Tian Feng, et Liu Bei (son général invité) quitta son service. Deux ans plus tard, Yuan Shao mourut de maladie. Les défaites furent souvent imputées à l'ignorance de Yuan Shao sur les avis de ses conseillers et ses indécisions.
 
 Yuan Shao, le roi du nordLes forces de Yuan Shao, après sa mort, se divisèrent sur la question du soutien à son fil aînés et à son cadet, respectivement Yuan Tan et Yuan Shang, comme son vrai successeur. L'influence de la famille de Yuan Shao se termina avec la mort de Yuan Shang et Yuan Tan, qui se sont battirent entre eux et contre Cao Cao.
 
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#Posté le mercredi 10 avril 2013 04:11

Fu Hao, une reine au pouvoir élévé

 
Fu Hao, une reine au pouvoir élévéJe vous mets aujourd'hui ces superbes images de Fu Hao, une célèbre reine chinoise qui avait rempli des fonctions d'hommes avec le regard bienveillant de son mari Wuding. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.

Fu Hao, également connu sous le nom Houmuxing, est une héroïne très inhabituelle de l'histoire chinoise ancienne. Elle était l'une des reines consort de Wu Ding (1250-1192 avant J.-C.), le roi Shang sous la quelle la dynastie Shang avait atteint son apogée. Fu Hao était une femme, une mère, un chef militaire, une femme politique et une chamane. La tombe de Fu Hao fut découverte en 1976 près de Anyang. Il est l'un des meilleurs tombeaux conservé de cette époque. Les archéologues l'identifièrent facilement comme la tombe de Fu Hao.

Son nom avait été connu de longue  dans les textes oraculaires de la de période Shang et on trouva son nom inscrit sur des objets rituels en bronze dans le tombeau. La plupart des informations que nous possédons sur Fu Hao viennent sur des inscriptions oraculaires sur des os. Beaucoup de ces os oraculaires montrent ses préoccupations pour son bien-être, sur son accouchement sur sa maladie par exemple.

Fu Hao, une reine au pouvoir élévéLes inscriptions sur ces os divinatoires montrent également que Fu Hao participa à deux aspects de la vie royale qui n'étaient normalement pas ouverts aux femmes. Elle participa à des cérémonies rituelles et aux activités militaires. Le Roi Shang exerce le contrôle ultime du rituel des questions. Cependant, Fu Hao appréciait manifestement la confiance de son mari qui à plusieurs reprises lui laissa le soin de mener des rituels spéciaux et d'offrir des sacrifices. Fu Hao fut une grande prêtresse, menant des sacrifices pour apaiser le ciel et honorer les ancêtres. Elle occupa également le poste de liseuse d'oracle.

Elle possédait une armée de 13 000 hommes sous ses ordres, et elle était le général Shang avec le plus grand nombre de troupes sous le règne de Wuding. Elle mena de nombreuses campagnes militaires contre les pays voisins, Tu, Ba, Yi et les tribus Qiang avec l'aide des généraux Zhi Shang et Hou Gao qui furent sous ses ordres. Sa victoire contre le peuple Ba fut le premier exemple enregistré dans l'histoire chinoise d'une embuscade à grande échelle. Le roi Wuding donna à Fu Hao un fief sur les frontières de son empire, à partir duquel elle pouvait défendre ses frontières et lancer des assauts contre les populations ennemis. Un os oraculaire, par exemple, demande si Fu Hao devrait rassembler des soldats avant une attaque. Sur un autre, il est rapporté que le roi avait rassemblé des soldats pour la campagne de Fu Hao contre la tribu Tu. La Tombe de Fu Hao contenait plus d'une centaine d'armes. Un fait inhabituel pour le tombeau d'une femme, et qui montre son statut de chef militaire.

Fu Hao, une reine au pouvoir élévéEn tout, il y avait près de 2000 objets enterrés avec Fu Hao. Parmi ceux-ci, il y avait 468 bronzes, 750 jades, 560 os oraculaires et plus de 110 pierres et pierres semi-précieuses. Plus de six mille coquillages cauris ont été enterrés avec elle - il auraient servis de monnaie durant la période Shang. À Anyang, les archéologues trouvèrent des grottes qui étaient dépositaires de dossiers Shang, Fu Hao y est mentionnée plus de 200 fois dans le contenu d'une de ces grottes. Fu Hao était apparemment une figure très importante auprès de la population.

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#Posté le vendredi 12 avril 2013 03:27

Zhenji, une reine au rôle très important

 
Zhenji, une reine au rôle très importantJe vous mets aujourd'hui ces superbes images de Zhenji, du premier roi de Wei, Cao Pi dont l'historicité est contestée. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
Zhenji (183–221) était la fille cadette de Zhen Yi et de Dame Zhang et elle fut née à l'époque moderne Zhangjiakou. Elle avait trois frères et quatre s½urs plus âgés. Son vrai nom n'est pas enregistré, mais elle est populairement connu comme Zhen Luo due à la spéculation tournant sur les prétendus sentiments romantiques de Cao Zhi et la poésie qui lui fut dédiée. Ses autres noms incluent Zhen Mi, Zhen Shi, et Zhen Furen.
Quand elle était jeune, sa famille est restée riche en raison de la position de son père en tant que fonctionnaire du gouvernement. Bien élevée en période de turbulences, il y eu beaucoup d'histoires sur Zhenji agissant avec modestie et qu'elle était une jeune fille avec un caractère solennel. D'autres histoires la décrivent comme étant bienveillante et attentionnée envers ceux qui étaient frappés par la famine, étant salué comme une figure populaire de la communauté en dépit de son âge. Tout ce qui est historiquement écrit sur sa vie avant manque, cependant, Elle se maria avec Yuan Xi, alors qu'il était gouverneur de Youzhou. En creusant plus profondément dans ses liens familiaux, elle peut aussi être considérée comme liée à la famille Liu dans la province de Jizhou.
Zhenji, une reine au rôle très importantLorsque Cao Cao avait envahi Yecheng dans la province de Jizhou, elle fut considérée comme une prisonnière en 204. Avant la mort de Cao Cao en 220, elle fut mariée à Cao Pi. Cao Pi tomba amoureux d'elle dès le premier regard et l'épousa tout de suite. Zhenji occupa une place clé dans l'organisation sociale et politique du  royaume de Wei, encourageant la liberté des femmes et du peuple. Cependant, le père de leur prétendu premier enfant qu'il auraient ensemble, Cao Rui, est encore en débat. Selon son entrée pêle-mêle dans le Compte rendu des Trois Royaumes, elle donna prétendument naissance à Cao Rui avant sa première rencontre avec Cao Pi. Bien qu'il ait été soutenu que ce fut une erreur d'un historien dans la composition de la chronique, cette histoire implique également qu'il est possible que Cao Rui était en fait le fils de Yuan Xi. Indépendamment de la confusion, la mère ne se trompa pas et elle fut accréditée pour avoir donné naissance à Cao Rui, le second empereur de Wei. Elle était avec son enfant peu de temps après son mariage avec Cao Pi, donnant naissance à leur fille, la princesse Dongxiang.
Zhenji, une reine au rôle très importantAprès la mort de Cao Cao, Cao Pi augmenta sa position pour devenir prince de Wei et lorsque l'Empereur Xian abdiqua du trône, il devint l'empereur de Wei. À cette époque, Zhenji était sur le point de perdre la faveur de Cao Pi en raison de l'introduction de Guo Nuwang (plus tard connu comme l'impératrice Wende). S'étant vu refuser l'entrée à la cour royale par son mari et un sentiment de négligence due à la croissance de son harem, Zhenji commença à vivre dans la douleur. Elle s'en plaignit à Cao Pi à de nombreuses reprises, mais ses efforts ne lui valurent pas plus que le mécontentement de Cao Pi. Dans les premiers mois de 221, elle mourut sans obtenir satisfaction de son mari qui en colère lui ordonna de se suicider.
Selon le défilement de Zhou Xuan dans Le Livre de Wei, Cao Pi lui raconta l'histoire d'un rêve qu'il avait autrefois. Cao Pi était dans un état dans lequel son corps montait haut dans le ciel et les avaient presque atteint. Zhou Xuan répondit : "Il y a beaucoup de jeunes filles nobles de la terre, mais il se peut que l'une d'elle est condamnée à mourir en raison d'un faux crime contre elle." Peu de temps après il avoir dit cela, un messager vint à eux concernant le suicide de Zhenji. Cao Pi regrettait ses actions et tenta d'envoyer un messager pour annuler la commande immédiatement. Malheureusement, le second messager n'arriva pas à temps pour arrêter sa mort. Zhenji reçut la titre posthume d'impératrice par son fils en 226.
Zhenji, une reine au rôle très importantUne entrée controversée dans les documents historiques qui entourent Guo Nuwang montre que cette dernière pensait que l'état de difficulté soudaine de Cao Pi cinq ans plus tard fut attribué à l'esprit vengeur de Zhenji. Guo Nuwang, elle reconnu la maladie de son mari comme une malédiction de Zhenji.
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#Posté le vendredi 19 avril 2013 03:50

Modifié le vendredi 19 avril 2013 12:41

Pu Yi, le dernier empereur de Chine

 
Pu Yi, le dernier empereur de ChineJe vous mets aujourd'hui ces superbes images de Pu Yi, le dernier empereur de Chine, à la vie des plus mouvementée. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.

Pu Yi ou Henri Pu-yi, Aixinjueluo Puyi (1906-1967), est le dernier empereur de Chine (1908-1912) de la dynastie Qing (Mandchous), sous le nom de règne de Hsuan T'ung.

Puyi monta sur le trône à l'âge de trois ans, quand son oncle, l'[c=windowtext]empereur Guangxu
, mourut le 14 Novembre 1908. Il régna sous la régence pendant trois ans assurée par le prince Chun puis par la veuve de l'empereur défunt, Long Yu, puis le 12 Février 1912, en réponse à la révolution républicaine de l'année précédente, il fut forcé d'abdiquer, mettant fin au règne de la dynastie Qing qui dura 267 ans sur la Chine et des 2000 du système impérial. Après son abdication, le nouveau gouvernement républicain lui accorda une grande pension de quatre millions de taels et lui avait permis de vivre dans la Cité Interdite à Pékin jusqu'en 1924, tout en conservant son titre dynastique, Da Qing Huangdi.

Le 1er juillet 1917, un groupe de politiciens tente de restaurer l'Empire mandchou et place Puyi sur le trône. À 16 ans, il avait reçu quatre photographies de filles qu'il n'avait jamais rencontrés pour choisir et prendre une impératrice et une concubine impériale. Puyi choisit Henri comme prénom à cause de son admiration pour Henri VIII d'Angleterre, et fut par la suite connu comme Henri Puyi en Occident. Il en est chassé douze jours plus tard. Il reçoit alors une éducation moderne et apprend l'anglais. Il se marie fastueusement en 1922. En 1924, il quitta secrètement Pékin. Après 1925, il avait vécu dans la concession japonaise à Tianjin.

Pu Yi, le dernier empereur de ChineLe 9 mars 1932, il est installé comme président du Mandchoukouo. En 1934, régnant sous le nom de Kang Te, il devint l'empereur de l'État fantoche japonais du Mandchoukouo, ou la Mandchourie. Il resta empereur tout au long de la Seconde Guerre mondiale, mais il n'avait jamais été plus qu'une marionnette japonaise. Il fut capturé par les Russes en 1945 qui le conservèrent comme leur prisonnier. En 1946, Pu Yi témoigna au procès à Tokyo pour les crimes de guerre disant qu'il avait été l'outil malgré son refus des militaristes japonais et non pas, comme ils le prétendaient, l'instrument de l'autodétermination de la Mandchourie.

Pu Yi, le dernier empereur de ChineEn 1950, il avait été remis aux communistes chinois, et il fut emprisonné à Shenyang jusqu'en 1959, où il était le prisonnier n° 981 et tendait le jardin potager de la prison, quand Mao Zedong lui accorda l'amnistie. Après plusieurs années de «réhabilitation», il fut accepté comme un véritable converti au communisme et un citoyen chinois loyal et fut officiellement pardonné. Il travailla à temps partiel comme aide-jardinier au Jardin botanique de Pékin en 1962, il épousa sa cinquième et dernière épouse, une infirmière de l'hôpital, qui lui a survécu. Il a parfois été montré aux dignitaires étrangers en visite comme une curiosité intéressante jusqu'à sa mort du cancer du rein à l'âge de 61 ans en 1967.

Son autobiographie, "J'étais empereur de Chine", a été publié en 1964, et elle a fait l'objet en 1987 d'un biopic Le Dernier Empereur réalisé par Bernardo Bertolucci.

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#Posté le dimanche 28 avril 2013 14:46

Deng Xiaoping, un modernisateur qui n'était pas un démocrate

Deng Xiaoping, un modernisateur qui n'était pas un démocrateJe vous mets aujourd'hui ces superbes images de Deng Xiaoping, celui qui modernisa la Chine sans toutefois vouloir la démocratiser, devant la peur de perdre son pouvoir. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Deng Xiaoping est un homme d'État chinois (Guangan, province de Sichuan, 1904-Pékin 1997). Il a été mêlé de près aux grandes étapes de l'évolution politique chinoise au XXe siècle.
 
Fils d'un riche propriétaire foncier du Sichuan, Deng Xiaoping part pour la France comme ouvrier-étudiant dans les années 1920. Il travaille dans les usines Schneider, au Creusot, puis chez Hutchinson, à Montargis. Là, il adhère à la branche européenne du Parti Communiste chinois et noue une amitié avec le jeune Zhou Enlai. Après un détour par Moscou, il rentre en Chine en 1926 et rejoint Mao Zedong, qui a fondé un république soviétique chinoise dans le Jiangxi. Il participe à la longue marche aux côtés de Mao Zedong en 1934-1935 et à la lutte qui précède la proclamation de la république populaire, en 1949. Nommé en 1945 au comité central du PCC, il en monte rapidement les échelons. Secrétaire général du parti communiste en 1948, il est ministre des Finances (1953-1954). Il est à nouveau secrétaire général du PCC de 1956 à 1966. Il dirige la délégation chinoise lors de la rencontre sino-soviétique de Moscou (juillet 1963), dernière tentative de conciliation entre les deux partis. Très violemment attaqué par les gardes rouges, peu après la décision du Comité central sur la Révolution culturelle (8 août 1966), il est expulsé de la hiérarchie (septembre 1967).
 
Deng Xiaoping, un modernisateur qui n'était pas un démocrateIl réapparaît, à Pékin, en avril 1973, et fait de nouveau partie du Comité central au Xe Congrès (août 1973). Au Bureau politique en janvier 1974, il est proche collaborateur de Zhou Enlai. L'année suivante, il est élu par l'Assemblée nationale premier vice-Premier ministre et membre du comité permanent du Bureau politique. Il occupe alors le 3e rang dans la hiérarchie. Il est aussi chef d'état-major de l'armée. De nouveau limogé en avril 1976, il retrouve toutes ses fonctions en juillet 1977. Contre la faction maoïste regroupée derrière Hua Guofeng, le successeur désigné par Mao, Deng Xiaoping mobilise le peuple en soutenant le mouvement démocratique du «printemps de Pékin» de 1979. En revanche, son pouvoir une fois assuré, il considère comme une insulte personnelle l'analyse du dissident Wei Jingsheng, qui réclame la cinquième modernisation démocratique, indispensable, selon lui, au succès des quatre autres. L'ombre de Wei Jingsheng, condamné à de très lourdes peines, assombrit les indéniables succès des dernières années de la carrière de Deng Xiaoping.
 
Deng Xiaoping, un modernisateur qui n'était pas un démocrateIl abandonne le poste de chef d'état-major au début de 1980 et, en septembre de la même année, il quitte ses fonctions de vice-Premier ministre, tout en restant, jusqu'à la suppression du poste en 1982, vice-président du parti. Depuis la mise à l'écart de Hua Guofeng, auquel succèdent à la tête du gouvernement (en 1980), puis du parti (en 1981), des hommes proches de Deng Xiaoping, ce dernier exerce en fait la réalité du pouvoir et est responsable des orientations nouvelles de la politique chinoise. il procède à la modernisation de l'économie du pays, préconisant un virage vers le libéralisme qui fait époque. Le passage au pouvoir de Deng Xiaoping est également marqué par une amélioration des relations chinoises avec l'Occident et l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), ainsi que la rétrocession de Hong Kong par les Britanniques, en 1984.
 
Deng Xiaoping, un modernisateur qui n'était pas un démocrateEn 1987, à la suite du XIIIe Congrès du P.C.C., il quitte le Bureau politique et le Comité central. Les graves événements de juin 1989 (répression sanglante contre les manifestations estudiantines), dont il est le principal responsable, montrent cependant qu'il reste une personnalité très influente. Il conserve une ligne rigide, se montrant peu favorable à une libéralisation de la vie politique. La politique réformiste semblait devoir toucher progressivement le système politique, mais l'élimination des deux dauphins désignés, Hu Yaobang en 1987, puis Zhao Ziyang au lendemain des manifestations démocratiques place Tiananmen le 4 juin 1989, indique clairement les limites à ne pas dépasser. Miné par la maladie, il ne détient plus de poste officiel lorsqu'il décède en 1997.
 
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#Posté le lundi 27 janvier 2014 04:01

Di Renjie, un fonctionnaire impérial célèbre par son honnêteté

Di Renjie, un fonctionnaire impérial célèbre par son honnêtetéJe vous mets aujourd'hui ces superbes images de Di Renjie, un célèbre juge qui par son honnêteté devint un héros populaire. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Di Renjie (630 à 700), est né à Taiyuan dans une famille de tradition administrative (son grand-père et son père travaillaient dans l'administration impériale). Au début de sa carrière, Di commença comme magistrat de district en 686. Il était à la fois le juge, le chef de la police, et l'administrateur de la plus petite unité de l'Empire Chinois, habituellement réduite à une seule ville et à la campagne environnante. Puis en 688, il s'installa à Fuzhou. Il se borna alors à détruire les  temple dans le sud de la Chine, pensant ces locaux de culte inutiles et contraires à la pensée confucéenne. Son effort se porta à la destruction de 1700 lieux de culte même ceux dédiés aux anciens héros comme Yu le Grand.
 
Ensuite les biographies couvèrent sa carrière en tant que fonctionnaire principal de la Cour des Tang. Il servit 5 ans comme chancelier avant d'être emprisonné en 692 suite à de fausses accusations de trahison. Libéré en 696, il fut rappelé par l'impératrice Wu Zetian à Weizhou, qui le fit devenir à nouveau chancelier en 697. Il joua un rôle important dans la politique de Wu Zetian dont il tempéra le régime de terreur par son efficacité et son honnêteté, puis il contribua par procuration à ce que la dynastie reprenne le contrôle du pays, en nommant de nombreux fonctionnaires compétents qui contribuèrent au renversement de Wu Zetian en 705 par Li Xian.
 
Di Renjie, un fonctionnaire impérial célèbre par son honnêtetéIl laissa à sa mort en 700 deux fils (Di Guangze et Di Jinghui), qui firent une aussi une honorable carrière comme mandarins impériaux, mais sans la personnalité exceptionnelle et les grandes capacités de leur père. Mais ses capacités furent héritées à son petit-fils Di Renmo, qui mourut en tant que gouverneur de la capitale de l'empereur.
 
Di Renjie gagna la renommée et la sympathie du peuple, comme un juge juste, résolvant de nombreux mystères et conflits ce qui en fit un personnage de romans, de séries TV et de films hautement populaire.
 
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#Posté le lundi 03 février 2014 03:48

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