Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.
Je vous mets aujourd'hui ces superbes images de l'épisode 1 de la prélogie Star Wars, La menace Fantôme, qui va commencer trois article sur cette prélogie décevante afin de vous expliquer la déception des fan de la trilogie. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
George Lucas commença l'écriture du scénario le 1er novembre 1994, mais à ce moment-là il n'y avait plus personne pour l'empêcher de reprendre des idées pondues par ses scénarios pour la trilogie écrits entre 1973 et 1974, que Gary Kurtz et Alan Ladd Jr. avaient heureusement stoppées. Il n'y avait pas non plus de Marcia Lucas pour le faire réécrire ses scénarios. Il prétend reprendre le script de 15 pages écrit en 1976 pour les origines de Star Wars. Il n'en est rien, ce film est loin de l'idée de départ. Il pensa au départ prendre Joe Johnston pour réaliser le film, mais il avait peur qu'il fasse un film épique et réfléchi comme on peut le voir dans Captain America : Le Premier Vengeur en 2011 alors que Lucas voulait en faire un film d'action. Il préféra le réaliser lui-même avec le résultat que l'on connait. Le producteur Rick McCallum ne dit rien puisqu'il doit tout à Lucas et plutôt que de produire, il est trop occupé à superviser les joujoux numérique de Lucas, mais ce dernier ne lui laisse pas le choix puisqu'il est le vrai producteur du film et il n'écoute pas non plus ses bonnes idées. Il souffre de cette mise à l'écart. La préproduction a eu lieu pendant 2 ans, et le tournage se déroule entre le 26 juin et le 30 septembre 1997. Là, c'est l'horreur, les acteurs Ewan McGregor et Terrence Stamp ne cachent pas que Lucas ne sait pas diriger les acteurs, Jake Lloyd semble perdu et ne pas savoir quoi faire. La réalité est que Lucas était trop occupé à utiliser les effets numériques plutôt que de faire un scénario crédible. C'est le superviseur des effets spéciaux John Knoll qui le conseille dans sa réalisation et pas le producteur. Le trailer finit par amener de sérieux doutes de la part des fans de l'univers, mais malgré tout il fallait voir le film pour se faire une idée. En 1998, mes frères et moi avons été voir le film et là la déception est énorme. Nous ne sommes pas les seuls puisque c'est le sentiment de la plupart des fans de la trilogie Star Wars.
L'épisode 1, La Menace Fantôme, est censé suivre le récit linéaire de Star Wars épisode IV : Un Nouvel espoir, pourtant l'inspiration en est loin, tant elle ne suit plus Le héros aux mille et un visages de Joseph Campbell. Là, où au bout de 45 minutes, l'épisode IV présentait les personnages et les rendait intéressant, La menace fantôme nous fait attendre 1h15, et on accroche difficilement. Le début en CGI trop spectaculaire ne donne pas l'impression d'évasion que nous avions en voyant l'épisode IV avec des combats impressionnants et des effets spéciaux réalistes. Ici tout sonne faux. On ne se sent pas non plus proche des acteurs trop connus (Nathalie Portman, Liam Neeson, Jake Lloyd), sauf pour Ewan McGregor en Obi-Wan Kenobi qui est mal utilisé et Hugh Quarshie en colonel Panaka, le chef des Volontaires de Naboo, qui a toujours d'excellentes idées mais n'est pas écouté. L'ennemi du film, la Fédération de commerce ne dégage pas l'idée de puissance que nous donnait l'Empire dans l'épisode IV au vu de ses droïds mignons tout sauf inquiétants, d'ailleurs pourquoi passer d'un blocus à l'occupation de la planète, alors que négocier des tarifs préférentiels auraient été plus simple. Fuir d'un blocus avec un seul vaisseau est surprenant puisqu'il faut voir l'exemple de Cuba pour savoir que c'est impossible, alors que la fuite d'un vaisseau diplomatique de la flotte impériale dans l'épisode IV était bien plus réaliste. La reine Amidala cachée en servante, Qui Gon Jinn un maitre Jedi qui n'explique jamais ce qu'est la force et qui s'avère très un très mauvais mentor ne font que faire douter du bien fondé de cet épisode 1. Et que dire du personnage le plus inutile du film Jar Jar Binks, horripilant à chaque fois qu'on le voit, et qui n'arrive jamais à remplacer le duo comique de l'épisode IVC3PO et R2D2. De plus, les Gungans eux ne figuraient pas dans le bestiaire des guides Star Wars même dans celui de 1994, pas plus que les Némodiens. Les ethnies qui combattaient l'Empire sont visibles dans Le Retour du Jedi non remonté par Lucas et ils n'y figurent pas.
Ensuite, on arrive sur Tatooine, où Qui Gon Jinn fait une méchante fixette sur Anakin, un enfant esclave de 9 ans (comment est-ce possible puisque c'est l'Empire qui a rétablit l'esclavage ?) dont on ne sent pas le grand Jedi. C'est donc ça le plus grand pilote de la galaxie dont parle Obi-Wan dans l'épisode IV ? Ensuite en mesurant ses midi-chloriens (?), Qui Gonn nous dit qu'il sont plus hauts que ceux de Yoda, alors que dans le roman La Guerre des Étoiles, on nous faisait bien comprendre qu'on ne pouvait pas mesurer la force et on ne parle jamais des midi-chloriens. On comprend les doutes d'Obi-Wan. On nous avance qu'il serait l'élu d'une prophétie dont Obi-Wan ne nous parle jamais dans l'épisode IV et on essaye ensuite de nous faire croire que son histoire d'amour avec Padmé commence là, alors qu'elle ne le remarque même pas. C'est un peu gros. Ne parlons pas de la course de pod mauvaise copie de la course de char de Ben Hur que gagne le petit "Ani" (quel surnom horrible, c'est peut-être cela qui l'a fait devenir Darth Vader) sans avoir eu à faire d'efforts et qui ne dégage même pas la tension du film de Wiliam Wyler en 1959. Enfin, il partent de la planète et avant ils affrontent Darth Maul, un sith, qui souffre de la hongkongite aiguë, c'est-à dire faire des sauts au lieu de croiser le fer. Le combat dure peu de temps, et on ne comprend pas pourquoi Qui Gon Jinn a autant de mal, avec les ouvertures que son ennemi lui laisse. Dans l'épisode IV, Luke fuyait avec Obi-Wan qui lui apprenait comment utiliser la force et ce qu'elle est au bord du Faucon millenium du contrebandier Han Solo et de son acolyte Chewbacca qui partaient délivrer la princesse, réussissant à la sauver. Obi-Wan se sacrifie après un affrontement réaliste où les adversaires ne se laissaient aucune ouverture.
Arrivé sur Coruscant, la déception est encore plus grande, on voit une planète cité alors que L'héritier de l'Empire de Timothy Zahn disait que la capitale de la République était une ville continent. Et on souhaite ne plus voir Jar Jar Binks. Que voit-on, mais n'est-ce pas le gentil "Ani" devant le conseil Jedi qui peine à croire en une prophétie de l'élu qui le concernerait, que nous les comprenons au vu du charisme d'autruche de cet enfant. Yoda (à la marionnette très moche) et Mace Windu (un très bon Samuel L. Jackson) s'opposent à sa formation et on les comprend, car ils ne voient rien d'exceptionnel en lui. Alors que dans l'épisode IV, après la destruction d'Alderaan, La princesse Leia, avec Luke, Han Solo et Chewbacca partent sur Yavin IV non sans avoir quelques problèmes, les rebelles préparent ensuite la réplique contre l'Étoile Noire. Luke décide de partir au combat tandis que Han Solo avec son acolyte Chewbacca décident de partir. Ensuite voyons la politique racontée par Lucas, et là Gary Kurtz et Marcia Lucas lui manquent beaucoup. Là, on voit le Sénat qui est un terrain de baseball avec des flotteurs. Cela aurait du être comme l'ONU une véritable assemblée avec au minimum 300 personnes. Peu fine en politique comparée à sa fille Leia, Amidala se fait manipuler par Palpatine qui ne cache pas qu'il veut établir une dictature, alors que le chancelier suprême Valorum voulait faire une commission dont l'enquête qui aurait pu bloquer le conflit. Amidala bien naïve propose une motion de censure contre Valorum qui le destitue, c'est bizarre car c'est lui qui a envoyé les Jedi enquêter. Palpatine devient chancelier suprême et que fait-il ? Rien. Dans l'épisode IV, la seule fois où l'on voit la politique, c'est pour voir que l'Empire a supprimé le semblant de démocratie dans l'empire qu'était le sénat. Rien qu'en un seul moment dans le film tout est dit.
La princesse Amidala décide de retourner à Naboo pour combattre la Fédération de commerce, alors qu'elle a une armée de volontaires et deux Jedi avec un enfant. Les doutes sont permis. Elle arrive à conclure une alliance avec les Gungans alors qu'ils sont neutres, il suffit de regarder la Suisse durant la première et la Seconde guerre mondiale pour savoir qu'il est difficile de sortir de cette position favorable. Les Gungans vont combattre les droïds pour faire diversion, mais pas une fois le film ne nous démontre leurs capacités guerrières. Et pourquoi Jar Jar toujours aussi inutile est présent. On envoie quelques pilotes Naboo pour combattre une flotte surentraîné et la reine va essayer de capturer Nute Gunray. Même en étant le plus optimiste possible, on y croit guère. Dans l'épisode IV, on voit la préparation du plan pour détruire l'Étoile noire et que la résistance a des pilotes professionnels venant tous de l'Académie impériale, certains de ses généraux ont même fait partie de l'Empire, une vrai armée de métier. Ensuite, Darth Maul apparaît, sans qu'il y ait une quelconque raison pour cela. Obi-Wan et Qui-Gon décident de l'affronter pour laisser le champ libre à la reine, alors qu'ils doivent la protéger. Tandis que la reine arrive à capturer Nute Gunray trop facilement, et que le combat spatial peu spectaculaire finit sur la victoire des volontaires de Naboo grâce à Anakin arrivé par accident sur un vaisseau et c'est par chance qu'il réussit à détruire le vaisseau qui éteint tous les mignons droïds. Le plus grand pilote de la galaxie est pour Lucas un enfant sachant à peine piloter. Le combat entre le sith et les Jedi montre la faiblesse du scénario, car après s'être battu avec les deux Jedi seuls Darth Maul, profite qu'Obi-Wan est coincé derrière une barrière énergétique pour tuer Qui Gonn après un festival du saut tout sauf utile en combat, une fois libéré Obi-Wan plus intelligent remarque après réflexion tout en gardant son calme profite des nombreuses ouvertures de son adversaire au vu de son style peu adapté au combat, pour le couper en deux. Il promet à son maître de devenir le maître d'Anakin. Bizarre, puisque l'on sait d'après Le retour du Jedi que c'est Obi-Wan qui a découvert Anakin et a décidé de le former.
Dans l'épisode IV, ce dernier carré était bien plus emballant et tendu alors que dans La menace Fantôme, où on ne ressent jamais de menace. L'assaut donnée pour les rebelles afin de viser le point faible de l'Étoile Noire est un échec et l'arrivée de Darth Vader qui dirige la contre-attaque met l'Alliance rebelle en position fâcheuse. Les X-Wing se font abattre comme des mouches, c'est à ce moment là que Luke conseillé par Obi-Wan qui ne fait plus qu'un avec la force décide d'utiliser la force et qu'à la surprise générale intervient Han Solo et Chewbacca pour le sauver. Darth Vader part à la dérive dans l'espace tandis que Luke réussit à viser le point faible de l'Étoile Noire qui se pulvérise. Enfin , dans La Menace Fantôme, lors des funérailles de Qui Gonn Jin, on découvre que le conseil Jedi a fait d'Obi-Wan un Jedi, alors que l'épisode IV dit que lorsqu'il avait rencontré Anakin, il était déjà un Jedi et non un padawan. Et on lui donne l'autorisation de former Anakin, alors que Yoda est peu convaincu. Le Retour du Jedi nous dit que par orgueil Obi-Wan a décidé de former Anakin lui-même, donc il n'avait pas besoin d'autorisation. Les Jedi découvrent que l'ordre Sith a survécu, ce qui est troublant si l'on en croit l'épisode IV et V, les Jedi sont capable de lire des remous dans la force, de voir le passé et l'avenir. Il aurait du voir quelque chose. À la fin, on nous présente une cérémonie festive, où tout le monde est heureux, mais sans le côté première victoire. Dans l'épisode IV, Luke et Han étaient accueillis en héros et recevaient une juste récompense.
Georges Lucas s'inspire de l'épisode IV et fait de La Menace Fantôme un film raté. Cela s'explique à cause de son scénario boiteux, sa mauvaise direction d'acteur et des effets spéciaux trop modernes pour une période censée sa passer avant la trilogie originale. On avait découvert qu'il était un mauvais réalisateur, mais en quoi est-ce étonnant, il faut se souvenir des critiques des acteurs de la trilogie originale pour s'en convaincre. On arrive pas à croire que des fans on regardé ce film 30 fois pours se convaincre qu'il était bon, il suffit de le voir une fois pour voir qu'il est mauvais. Voyant que le film rencontra du succès auprès de enfants, il essayera de faire croire qu'il l'avait fait pour eux. Il n'en est rien, puisque si c'est un film pour enfant pourquoi mettre un sujet qu'ils ne comprennent pas, la politique. Le film visait surtout les adolescents et les adultes. D'ailleurs, Lucas ne gagna aucun oscar au 3 nominations que le film avait eu. Mes frères et moi nous sortions du cinéma déçus, malgré tout on laissa une chance au prochain épisode de la saga. On aurait pas du.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Après un trailer réussi (dont je reprends les images) diffusé en fin d'année, Star Wars VII : Le réveil de la Force, semble répondre aux attentes, mais les fans veulent d'autres images. Et J.J. Abrams qui désire que l'envie de voir le film ne retombe pas, nous promet d'autres trailers. C'est du moins ce qu'il a dit lorsqu'il accueillait ce week-end la cérémonie des Oscars Wilde US-Ireland au sein de sa société de production Bad Robot, à Santa Monica (Californie). Voici ce qu'en dit le réalisateur : «Je suis toujours touché d'entendre les gens me demander de nouvelles images. Pour dire vrai, nous n'avons pas montré grand-chose.»«Il y a une abondance de richesses avec le contenu que nous pourrions diffuser», ajoute le réalisateur. «On aimerait être sûr que ce soit aussi bon que possible avant de les dévoiler. Mettre à l'écran une bande-annonce rapidement juste pour avoir un impact serait une catastrophe. Les fans ne méritent pas ça.»
Dévoiler de nouvelles images du film est un souhait de J.J. Abrams et de Disney, qui n'aime pas que des rumeurs fuitent : «Nous ne sommes pas frileux, mais le septième volet de la saga sort dans un an à peu près. Nous devons être intelligents sur ce que nous dévoilerons et quand nous le ferons. Nous en discutons perpétuellement. Je voudrais remercier les fans pour leur attention et leur patience. Honnêtement, il me tarde que le public voie le film.» Plus intéressant encore J.J. Abrams avance dans une interview pour BBC News que certaines rumeurs seraient vraies : "nous avons fait du mieux que nous pouvions pour préserver l'histoire auprès du public, mais ce processus ne marche pas toujours". Puis il a poursuivi : "Il y a un tas de rumeurs - certaines vraies, d'autres fausses, mais je suis reconnaissant envers tous ceux qui voudraient lire un Spoiler parce que cela signifie qu'ils sont attachés à ce qui va se passer dans le film. Je sais ce que c'est, en tant qu'énorme fan de Star Wars moi-même". Des rumeurs seraient vraies ?
Lesquelles alors ? Une traite du début du scénario. Selon MakingStarWars, le film débuterait avec un sabre laser flottant dans l'espace avant de tomber dans une jungle. Un fermier appelé Naka le découvrirait alors en pleine journée. Il va ensuite provoquer un incendie par accident en allumant l'objet propre aux Sith et aux Jedi. De retour chez lui, Naka décide de remettre le sabre à son aîné The Vicar (Le Vicaire), un personnage incarné par Max von Sydow (Shutter Island) qui va contacter les Rebelles. Le groupe envoie alors le pilote Poe Dameron (Oscar Isaac) mais les Stormtroopers vont tenter de récupérer l'objet et un combat s'engagera. Poe parviendra tout de même à le donner au droïde BB-8 qui s'enfuira en cachette. Lors de cet affrontement, on découvrira également Finn, un jeune Stormtrooper qui a vu mourir son meilleur ami et décide de laisser des villageois prendre la fuite. Pour se venger, Kylo Ren ordonne de détruire le village et Finn est emprisonné dans un vaisseau de l'Empire avec un pilote rebelle.
Une plus intéressante aurait pour cadre un flashback avec Luke Skywalker. Toujours selon MakingStarWars, l'acteur Robert Boulter aurait rejoint le casting pour interpréter un jeune Luke Skywalker dans une séquence de flashbacks. La séquence devrait prendre forme dans un lieu appelé «Rose's pub». Rose devrait être un Jedi, joué par Lupita Nyong'o, et selon ces sources, une marionnette de Yoda. Dans cette scène, nous pourrons notamment voir Han, Finn (John Boyega) et Rey (Daisy Ridley) (qui serait la fille de Han et Leia) rendre visite à Rose dans son établissement afin d'écouter son histoire, ce qui déclenchera une série de flashbacks. On y verrait, dans l'ordre, Luke découvrant des cadavres sur le sol d'une académie de Jedi, R2D2, la révélation du personnage qui prend le sabre laser dans la séquence d'ouverture, un paysan qui déclenche un incendie en laissant tomber un sabre laser, un commerçant effectuer une vente à un homme riche, une bataille féroce entre deux groupes connus sous le nom du Clan et les Sept, les Sept en train de piller à la recherche d'un objet et Rose tenant le sabre laser.
Selon Making Star Wars, ces flashbacks auraient lieu à la suite du "Retour du Jedi". En effet, Luke semblerait avoir créé une académie de Jedi pour entraîner des apprentis et c'est dans cette académie qu'un objet d'une grande importance serait caché. Une autre à propos de Luke Skywalker, il semblerait que le "vieux"Luke, l'acteur original, ne se montrera seulement qu'à la fin du film "Star Wars 7, The Force Awakens", où on voit Rey, Chewbacca et BB-8 voler vers une planète lointaine afin que Rey puisse rendre le sabre laser à Luke.
La plus importante rumeur serait l'assassinat de Han Solo par le Seigneur Sith Kylo Ren, qui devrait être interprété par Adam Driver. Une scène au cours de laquelle les deux protagonistes s'affrontent aurait déjà été filmée aux Pinewood Studios près de Londres. Han Solo ne réapparaîtrait pas dans une autre scène et son acolyte Chewbacca laisserait échapper après sa mort un rugissement de colère. Le Telegraph a réagi à cette rumeur et en conclu que tuer l'acteur le plus populaire de la saga semblerait étonnant de la part de J. J. Abrams, surtout si deux autres films sont en route. Cette mort pourrait également déclencher la colère des fans de la franchise.
Il faut faire attention à ces rumeurs, certaines sont fondées d'autres pas. Disney en a plus qu'assez, le studio traque désormais tous les internautes qui postent des photos non divulguées par l'entreprise, surtout celles concernant le méchant de la nouvelle saga. La société veut trouver l'identité des responsables de ces fuites pour les traduire en justice. Pour faire baisser ces rumeurs, d'autres rumeurs rapportent qu'une nouvelle bande-annonce ou teaser sera diffusé lors d'une célébration Star Wars qui se tiendra le 16 avril prochain à Anaheim, en Californie. Il est aussi possible que Disney dévoile un contenu promo lors de la diffusion d'Avengers 2 : l'Ére d'Ultron en salles, dès le 22 avril. Pour l'instant, il faut se contenter de la seule bande-annonce du film qui sortira le 18 décembre.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Pendant la convention Star Wars d'Anaheim en Californie, une nouvelle bande-annonce a été dévoilée le jeudi 16 avril 2015, et ce que l'on peut dire, c'est que les attentes des fans n'ont pas été déçues. D'ailleurs, les précisions données par les acteurs de Star Wars épisode VII : Le Réveil de la Force, ont répondu aux questions que se posaient les fans, mais sans trop en donner pour que l'attente dure. J.J. Abrams fait une meilleure publicité pour son film que Lucas, car étant fan lui-même de la trilogie originale, il ne veut pas décevoir le public. Mark Hamill (Luke Skywalker), Carrie Fisher, (princesse Leia), Anthony Daniels (C-3PO), et Peter Mayhew (Chewbacca) furent présents également.
Cette bande annonce nous donne déjà de nombreuses informations sur ce que sera ce film. On commence par la vision de la planète désertique Jakku (dont les scènes on été tournées à Abu Dhabi), qui semble être le cadre de cette aventure, avec un X-Wing et un destroyer impérial écrasés. On voit ensuite la présence du masque, décrépit, de Darth Vader. On se demande s'il va influer sur cet épisode. Plus réjouissant encore, est celle de Luke Skywalker (joué par Mark Hamill) qui introduit la bande annonce avec sa voix dans un court plan séquence où il est de dos la tête est recouverte d'une capuche avançant la main bionique qu'on lui avait greffé dans L'empire contre-attaque qu'il pose amicalement vers R2D2. Son rôle semble indiquer qu'il aurait le même rôle de formateur que celui d'Obi Wan Kenobi. Il cite une phrase qu'il disait dans le film Le Retour du Jedi, sans savoir à qui, peut-être les héros de l'épisode VII : "Mon père l'a... Je l'ai... Ma s½ur l'a... Vous aussi vous avez ce pouvoir".
On voit ensuite le retour des X-Wing et des Tie Fighter, avec les jeunes héros de l'épopée [John Boyega (Finn), Daisy Ridley (Rey) et Oscar Isaac (Poe Dameron)], en pleine bataille avec le robot BB-8, dans un feu d'artifice d'explosions. Le choix fait ici par J.J. Abrams est celui d'avoir moins d'effets spéciaux et plus de paysages et de décors réels comme dans la trilogie originale. Les nouveaux héros ont des portraits assez divers : Rey, qui évolue sur la planète Jakku est une pillarde dans cimetière de vaisseaux, elle est très solitaire et habitué à se débrouiller seule, jusqu'à ce qu'elle rencontre un autre personnage, et que l'aventure commence; Poe Dameron, le meilleur pilote de la galaxie, qui est envoyé en mission par une la princesse Leia, croise Finn, un stormtrooper atypique et leurs destins se retrouvent alors mêlés à tout jamais.
La présence d'un nouvel adversaire le Seigneur Sith Kylo Ren (interprété par Adam Driver), dont on ne connait pas les motivations, avec un masque différent de celui de Darth Vader sabre à la main, en plein champ de bataille et, qui semble-t-il, faire usage de la force. Les stormtroopers de la nouvelle trilogie ont été également dévoilés dans cette nouvelle bande annonce. Leur costumes ne changent pas grandement de celui de la trilogie originale même si le design du casque a été modifié. Il apparaissent devant une tribune dominée par un immense, et inquiétant, drapeau rouge frappé d'un sigle noir qui laisse à penser qu'une dictature a pris le pouvoir.
Selon les informations l'Empire s'appelle désormais "The First Order", soit le "Premier Ordre" en français, et l'Alliance est devenue " la Resistance", cela semble montrer que la mort de Palpatine a sûrement représenté un terrible coup dur pour l'Empire, mais nul doute que de nombreux gradés se sont ensuite disputé la place d'Empereur, jusqu'à ce qu'un successeur soit enfin désigné. Enfin, on remarque un stormtrooper noir portant une cape fait ainsi une courte apparition au côté inquiétant, dont on ne sait pas encore grand chose, mais qu'il pourrait être dangereux pour les héros de la nouvelle trilogie Star Wars.
L'apothéose finale vient quand on voit une poursuite entre un Tie Fighter et le Faucon Millenium, et un Han Solo (Harrison Ford) aux tempes grises s'exclamant avec Chewbacca (Peter Mayhew) à ses côtés : "Chewie, on est de retour à la maison !" La présence de Han Solo donne plus d'épaisseur à ce nouvel opus et est un véritable cadeau pour les fans de la part de J.J. Abrams. Cela va dans l'esprit de la trilogie originale, où les anciennes star vont passer le relais aux plus jeunes à travers un film où les "vrais" décors et les effets spéciaux sont préférés aux images numériques.
Des questions se posent, d'autres rumeurs arrivent, mais contrairement à Georges Lucas qui donnait peu d'informations sur ses films, et donnait une bande annonce trop succincte, J.J. Abrams lui répond aux attentes des fans sans trop en montrer pour que l'envie de voir le film reste. Toutes nos questions auront une réponse le 18 décembre 2015.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Je vous mets aujourd'hui ces superbes images de Star Wars Épisode 2 : L'attaque des clones, une suite aussi inutile que le premier épisode de la prélogie Star Wars, et qui a fait douté du bien fondé de la continuer. j'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez la prendre si vous voulez.
Georges Lucas ayant finit avec La Menace Fantôme s'attelle à sa suite dès 1999, commençant le scénario en travaillant avec le dramaturge britannique Jonathan Hales. Mais le scénario trop sombre fut modifié par Lucas qu'il donne à son merveilleux réécriveur Tom Stoppard qui arrive à transformer des scénarios excellents en de mauvais romans de gare. Le tournage commence en 2000 et les acteurs n'ont pas pu lire le premier jet du script, qu'ils ne s'inquiètent puisque Lucas l'a fait réécrire. Et pour éviter que Hales voit le sabotage de son scénario, Lucas l'amène avec lui sur le tournage. Le choix d'Hayden Christensen pour faire Anakin Skywalker est pour Lucas un bon choix, pourtant il y avait de meilleurs acteurs pour le rôle comme Colin Hanks, Ryan Phillippe, Jonathan Brandis et Paul Walker. Rick McCallum qui souhaitait que se soit Leonardo DiCaprio pour ce rôle n'est pas écouté et n'arrive pas à convaincre Lucas à faire de ce film un véritable space opéra. Lucas enfin confie au monteur son Ben Burtt le montage vidéo alors qu'il n'y connait rien. C'est Rick McCallum qui s'occupe d'une partie du montage son et du doublage, alors qu'il est producteur. Les acteurs au lieu de tourner dans des décors naturels et de satisfaire les fans qui trouvent que le numérique ne donne pas un côté authentique, le font devant un fond bleu. Ewan McGregor, Hayden Christensen, et Christopher Lee trouvaient complexe de tourner ainsi. Incrustation de décors qui n'ont plus rien à voir avec un film de SF et d'effets spéciaux qui sonnent faux car trop modernes, ne semblent plus poser de problèmes à Georges Lucas. Les acteurs font ce qu'ils peuvent car Lucas est trop occupé à faire des scènes d'actions que de donner une histoire crédible à ses personnages. Il faut dire que Lucas est trop occupé à superviser le film avec John Knoll, responsable des effets spéciaux. Doug Chiang, superviseur du design, dira même que Lucas décidait de tout et rien ne se faisait sans son accord. Aucune des équipes du film n'était libre d'avoir un peu d'inspiration. Et à partir de 2001, on met trois teaser qui en montre peu, pour bien tromper les fans. En 2002, on découvre le titre L'Attaque des clones. Un titre digne des meilleurs nanars des années 1980. Apprenant le titre lors de la première de Moulin Rouge, Ewan McGregor éclate de rire avec Nicole Kidman sa partenaire à l'écran, tant il n'arrive pas à y croire.
Le film en lui-même s'inspire clairement de L'Empire contre-attaque, et prétendait être meilleur. Au vu du film, on se met à rire. Le film commence par l'arrivée de la sénatrice Padmé Amidala sur Coruscant pour demander la création d'une armée de la République pour faire face aux séparatistes commandés par l'ancien Jedi Dooku (un excellent Christopher Lee), et échappe à un attentat. On confie alors sa surveillance à Obi-Wan et à son padawanAnakin, alors que les Jedi ne sont pas des gardes du corps. Ensuite, le scénario part en vrille puisque qu'une tueuse à gage Zam Wesell tente à nouveau de tuer la sénatrice, et se fait poursuivre par Obi-Wan et Anakin dans une course poursuite ressemblant à Bip bip et le coyote, où Anakin saute de voiture volante en voiture volante, pour voir mourir la tueuse à gage d'un dard empoisonné. Troublant puisque les Jedi peuvent voir le passé et l'avenir grâce à la force et auraient pu éviter la mort de celle-ci. Le réalisme tant demandé par les fans est en train de partir avec le scénario. Dans L'Empire contre-attaque, la rébellion se cache sur la planète de glace Hoth, Luke Skywalker repère un droïd sonde de l'Empire, puis se fait attaquer par un Wampa, y réchappe puis est sauvé par Han Solo qui ne le voyait pas revenir, puis il repère le droïd et le détruit. C'est à ce moment qu'Obi-Wan dit à Luke d'aller poursuivre son apprentissage de Jedi auprès de son maître Yoda sur Dagobah. Quelques minutes de films suffisent à donner une idée de l'ensemble, dans L'attaque des clones rien de tout cela, ce sont des plans d'action sur des plans d'action où on ne s'attache nullement aux personnages qui ne sont pas travaillé, tout comme les effets spéciaux numérique qui rendent tout cela très laid.
Continuons ce drame shakespearien qu'est la destruction de Star Wars par Lucas à travers cet épisode II. Tandis qu'Anakin reconduit Padmé sur Naboo. Jar Jar Binks la remplace au Sénat Galactique, alors que les fans ne voulait plus le voir et qu'il n'a jamais montré une seule compétence politique lors du précédent film. Lucas perd la main et tout sérieux. Obi-Wan mène son enquête sur le dard empoisonné, et on est heureux de ne plus voir Anakin qu'on arrive déjà plus à supporter, le mauvais jeu d'acteur d'Hayden Christensen y joue beaucoup. Sa seule expression semble être le froncement de sourcil qu'on fini par compter rien que pour s'amuser. Les droïds d'analyse du Temple Jedi ne donnent rien, mais les Jedis ont-ils besoin de cela. N'ont-ils pas de carte papier ? N'ont-ils pas des Jedis qui sont dans des ambassades diplomatiques ? N'ont-ils pas de pilotes parmi eux ? Les questions méritent d'être posées. C'est à ce moment là qu'Obi-Wan va voir son ami Dexter Jettster, dans un bar qui ressemble à celui de l'astroport de Tatooine, qui pour beaucoup de fan est la seule bonne scène tant l'inspiration de l'épisode IV est visible, où il remet dans le droit chemin un trafiquant de drogue en l'influençant avec la force. La seule fois où elle est bien utilisée. Certains pensent que c'est Ewan McGregor qui a imposé cette scène. Obi-wan apprend que le dard empoisonné vient de Kamino. Il ne trouve pas Kamino dans les archives du Musée Galactique et va voir Yoda durant un cours d'apprentis Jedis. Yoda et Obi-Wan se font aider par des enfants pour trouver la planète, ce qui est peu crédible. Puisque des Jedi bendu n'ont pas besoin de gamins pour voir où se trouve une planète, alors qu'ils n'ont aucune expérience que ce soit dans le pilotage et pour lire une carte. Crédibilité, où est-tu passé ? Revenons à L'Empire contre-attaque. Darth Vader attaque la base rebelle à Hoth, tandis que les soldats rebelles ralentissent l'avancée de l'armée impériale, ce qui permet aux équipes techniques de fuir, et la princesse Leia s'enfuit à bord du Faucon Millenium avec Han Solo et Chewbacca, tandis que Luke se rend sur Dagobah. On ne s'ennuie pas une minute et contrairement à L'Attaque des clones, les personnage donnent de la force aux événements. Les effets spéciaux sont plus réalistes que dans L'Attaque des clones et nous permettent d'accrocher dès le départ.
Continuons le ratage qu'est L'attaque des clones. Obi-Wan arrive sur Kamino, découvre que les clones ont été commandé par le jedi Sifo-Dyas et que le modèle pour les clones est Jango Fett, un mercenaire, qui est interprété par Temuera Morrison qui est plutôt bon. Il découvre que c'est lui qui a essayé d'éliminer la sénatrice Amidala, et rencontre Boba Fett, qui est ici un gamin. Lucas détruit ainsi ce personnage qu'il n'a jamais aimé et dont il n'a jamais compris le succès. Après un combat réussi avec Jango Fett qui rappelle le combat dans un champ d'astéroïde de L'Empire contre-attaque, Obi-Wan le suit, et arrive sur Geonosis. Encore mieux, la pseudo-histoire d'amour entre Amidala et Anakin ressemblant à Teen movie. Du roulage sur l'herbe et une course sur le dos d'un escargot géant, dans un décor touristique ressemblant à celui de Paris ou de Venise en finissent avec le peu de crédibilité qu'avait encore le film. J'oubliais la force est utile pour soulever les fruits comme nous le montre Anakin, mais pas d'explication et ce dernier n'aime pas le sable. Que faisait-il sur Tatooine alors ? On rie bien. Inquiet parce qu'il ressent que sa mère est en grave danger, il revient sur Tatooine avec Amidala et la met donc en danger, pour apprendre qu'elle a été marié avec Cliegg Lars, alors que rien dans Star Wars ne dit qu'Anakin a un lien de parenté avec eux en dehors de ce film. Dans le roman Le Retour du Jedi tiré du scénario du film, on dit même que Owen Lars est le frère d'Obi-Wan. Il retrouve sa maman agonisante avec deux blessures sur le visage chez les Tuskens qu'il massacre alors que cela ne sert à rien, plus tard il justifie cela devant Amidala comme un faucon américain de Georges W. Bush. Comment justifier le massacre de femmes et d'enfants ? Difficile. Cela n'aurait-il pas été mieux de faire que ce massacre lui donne une SPT ? De plus, les Tuskens sont une population bédouine qui aurait préféré demander une rançon plutôt que de massacrer une femme. La scène ne colle pas. Le basculement d'Anakin du côté obscur aurait du être à cause de son ambition et de son goût pour la politique. L'enterrement de sa mère chez les Lars est plutôt bonne et rappelle celle du Retour du Jedi. Obi-Wan sur Geonosis surprend le comte Dooku avec les séparatistes, il est arrêté et condamné à mort, mais a pu prévenir les Jedi. Cela donne un piège tellement gros qu'il est difficile de croire que les Jedi vont tomber dedans, pourtant si. L'Empire contre-attaque met en avant la fuite d'Han Solo et Chewbacca avec la princesse Leia, qui se cachent dans un astéroïde, où Leia et Han Solo se rapprochent dans des scènes à la fois subtiles et très belles, tandis que Luke se fait former par Yoda à Dagobah et découvre le côté obscur de la force dans une grotte, où il décapite Darth Vader qui cache son visage. Ressentant que Leia, Han Solo et Chewbacca sont en danger, Luke part contre l'avis de Yoda. Suivis par Boba Fett, Han Solo, Leia et Chewbacca arrivent sur la station orbitale Bespin, contrôlée par Lando Calrissian, un ancien ami contrebandier de Han Solo qui les livre à Boba Fett et Darth Vader, sans qu'ils ne se doutent de rien. Tout y est : montée en tension, de l'action bien dosée et effet de surprise, tant on ne s'attend pas à la trahison de Lando. L'attaque des clones ne nous livre jamais cela, on ne sent jamais la République en danger. Tout est prévisible et nous n'avons jamais une sensation de surprise.
La dernière partie de L'attaque des clones est un véritable échec. Une véritable explosion visuelle à la limite de piquer les yeux. Après qu'Obi-Wan a appris par Dooku que le Seigneur Sith Dark Sidious a un contrôle grandissant sur le Sénat intergalactique, Anakin et Amidala plus près viennent au secours d'Obi-Wan, et devinez ce qui arrive, ils se font capturer aussi et condamner à mort. Anakin ne devait-il pas protéger Amidala au lieu de lui faire courir un danger ? Cet apprenti Jedi doit revoir ses bases. Et pas plus inspiré, le film nous montre un combat dans l'arène contre trois monstres où Obi-Wan, Anakin et Amidala n'ont pas un seul moment où ils pourraient mourir. D'ailleurs les effets numériques rendent encore moins crédible la scène. C'est à ce moment-là que Mace Windu décide d'intervenir avec les Jedi pour affronter les Séparatistes. Le combat est trop rapide et Anakin et Amidala qui devraient cacher leur relation ne la cache pas. On se demande si les Jedis ne sont pas aveugles. D'ailleurs Mace Windu interprété par l'excellent Samuel L. Jackson avec un sabre violet, tue trop facilement Jango Fett qui était l'une des rares satisfaction du film, avec Ewan McGregor qui joue beaucoup ici du second degré d'Obi-Wan. Les Jedi se font déborder, ce qui montre qu'ils sont venus sans stratégie. Pendant ce temps, Bail Organa, un Jimmy Smits très crédible en politicien, s'oppose à une armée de clones, et Jar jar Binks arrive à donner les pleins pouvoirs à Palpatine (c'est gros de voir l'ascension de cet homme sans que personne s'y oppose, alors qu'il a tout d'un dictateur) qui fait des clones la nouvelle armée de la République. Une raison de plus de détester ce troufion qu'est Jar Jar. Yoda arrive avec la nouvelle armée de clones de la République, et l'armée de droïds se fait déborder. La mort de Jango Fett trop rapide face à Mace Windu est une énorme déception, alors que Lucas aurait pu en faire un combat homérique. Le comte Dooku fuit dans un hangar et il est suivi par Obi-Wan et Anakin, qu'il surpasse. Obi-Wan est blessé, et pour notre plus grand plaisir il remet à l'ordre Anakin en lui tranchant le bras. Christopher Lee, véritable escrimeur et au jeu d'acteur crédible, est la seule menace réelle du film. Yoda vient à leur secours et combat le comte Dooku, et la déception est grande. Yoda est un maître âgé entre 800 et 900 ans, se tenant sur une canne et on lui faire des cabrioles avec un sabre laser, alors qu'un combat force contre force aurait été plus intéressant. Oui, Lucas fait sauter une personne qui peut à peine marcher. Au revoir grand maître Jedi tu es mort au champ d'honneur. Dooku fuit et Dark Sidious est heureux que son plan a marché pour mener la guerre contre les Séparatistes. Apprenant que le Sénat est contrôlé par les Siths, Yoda et Mace Windu pense qu'il faut désormais le surveiller. Bizarre, les Jedi qui sont capable de voir le passé et l'avenir ne verraient rien ? C'est un peu gros, car Luke pressent les événements futurs dans l'Empire contre-attaque. Rétabli, Anakin se fait greffer une prothèse mécanique au bras, et se marrie en secret avec Amidala à Naboo. L'Empire contre-attaque est plus emballant, trahit par Lando, Han Solo est congelé dans de la carbonite, moment où Leia lui déclare son amour et qu'il répond, 'Je sais', et remis à Boba Fett, mais Lando change de camp et libère la princesse Leia et Chewbacca et les amène au Faucon millenium, tandis que Luke arrive et doit affronter Darth Vader au sabre laser. Rapidement vaincu et la main tranchée, Luke découvre que Darth Vader est son père. Se jetant dans le vide, il est secouru par Lando et Leia, puis après avoir déposé Leia et Luke dans un cargo de l'Alliance rebelle, Lando et Chewbacca partent à la recherche d'Han Solo. Tout y est : tension dramatique, décors sombre et des scènes d'action qui tiennent bien leur place, tout en donnant aux personnages un rôle central. L'attaque des clones est bien loin de tout cela.
Mes frères et moi nous sortions du cinéma en nous demandant ce que nous avions vu. Nos dernières illusions sur la prélogie étaient finies. Nous n'attendions plus rien du IIIe épisode, mais nous allions le voir quand même pour nous faire une idée. L'Attaque des clones est un succès commercial mais le film arrive seulement la troisième place en Amérique du Nord et à la quatrième place au niveau mondial. En Amérique du Nord, il est battu par Spider-Man et Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours, deux films bien mieux écrits et aux effets spéciaux bien plus réalistes. Au niveau mondial, il est également derrière Harry Potter et la Chambre des Secrets. Le film rapporte presque 649 400 000 $ au box-office mondial, dont 310 676 000 $ en Amérique du Nord. En France avec 5 713 593 entrées, le film se classe en cinquième position du box-office de l'année 2002 derrière les trois films déjà cités ci-dessus et Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre. Les enfants remplissent encore les salles, mais les fans de Star Wars ne cachent plus leur déception et déconseillent aux autres de voir ce film. Les fans de Lucas en adoration devant lui firent porter la responsabilité de ce film mal scénarisé à Jonathan Hales, mais la découverte de son scénario montra que L'Attaque des clones devait être un film sombre. Les responsables de ce sabotage sont en réalité Georges Lucas et Tom Stoppard. Mal réalisé et scénarisé ce film porte la marque du seul homme aux commandes, Georges Lucas qui ne veut plus écouter personne, ne voulant pas faire un film sombre mais un simple divertissement pour vendre des jouets. Oublié aussi le côté mystique pour faire un simple film d'action. Une éclaircie arrive pourtant avec Clone Wars de Genndy Tartakovsky entre 2003 et 2005 qui épouse parfaitement la trilogie originale auquel j'ai déjà consacré un article (http://taigong788.skyrock.com/3209250087-Clone-Wars-On-a-sauve-le-soldat-Star-Wars.html) et arrive à attirer les fans de Star Wars déçus, mais c'était trop beau et arriva par la suite l'ignoble ratage qu'est L'Épisode III, La revanche des Siths.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Je vous mets aujourd'hui ces superbes images de Star Wars Épisode III : La revanche des Siths, qui suit l'échec des 2 précédents épisodes tant au niveau des scénario que la mise en scène. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
Georges Lucas commence l'écriture du scénario de La Revanche des Siths début 2002, quelques mois avant la sortie de L'Attaque des clones. Au départ devait y figurer 7 batailles sur 7 planètes qui étaient prévus dès les débuts de l'écriture de la trilogie et plus particulièrement entre 1981 et 1983. Durant l'été, il revient sur cela. Lucas décide de se centrer sur la chute d'Anakin Skywalker vers le côté obscur de la Force et d'en modifier les raisons. Même à la fin du tournage en 2003, il remanie plusieurs scènes pour cela et il ajoute aussi plusieurs scènes additionnelles en 2004. Le résultat est désastreux. Doug Chiang ne s'occupe plus de la direction artistique, mais Erik Tiemens et Ryan Church, qui horreur utilisent pour faire la planète Kashyyk, le téléfilm de 1978, Au temps de la guerre des étoiles. Le film utilise trop les effets numériques, et le chef décorateur Gavin Bocquet crée trop peu de décors tant on est noyé devant ces images qui finissent par nous piquer les yeux. La chef costumière Trisha Biggar fait ses costumes en restant fidèle aux précédents épisodes, mais ses tests ne rendent pas crédible l'habillement qui devraient être aussi simple que ceux de la trilogie Star Wars. Pour les combats, on prend une équipe australienne, et Hayden Christensen doit s'entrainer avec eux, ce qui veut dire qu'il ne connait rien à l'escrime, d'ailleurs pour son combat avec Ewan McGregor, il doit faire le combat sous fond vert avec des marques au sol avec un nombre trop grand de techniques alors qu'un combat demande de l'efficacité. Le tournage débute le 30 juin 2003et prend fin le 17 septembre de la même année en Australie aux studios de la Fox à Sydney. Mais dans quels décors ? Il faut dire que les fonds verts joue beaucoup. On envoie le superviseur des effets spéciaux Roger Guyett pour tourner quelques plans séquences pour nous faire croire qu'il y a des décors naturels. Le directeur de la photographie David Tattersall est juste là pour placer les caméra numériques et préparer les plans artistiques, qui ne servent finalement à rien puisque le film comporte plus de 2200 plans à effets visuels. Le superviseur des effets spéciaux John Knoll s'occupe de la bataille sur Coruscant ne faisant que reprendre ce qui est fait dans l'excellent anime Clone Wars, et du combat entre Yoda et Palpatine alors que ce devrait être l'équipe de cascadeurs australiens qui devraient le faire, tandis que le superviseur des effets visuels Roger Guyett s'occupe des décors sur Kashyyyk et Mustafar, alors que ce devrait être le rôle du chef décorateur. Ben Burtt s'occupe des effets sonores et semble avoir perdu l'inspiration. Oui, car prendre un son de voiture de course pour le vaisseau d'Anakin et celui d'un vieux camion pour celui d'Obi-Wan est tout sauf original. Le monteur Roger Barton et George Lucas réalisent ensuite le montage du film en 18 mois au Skywalker Ranch en Californie, sans personne pour les freiner dans leur surenchère visuelle. Une question demeure, on est passé Rick McCallum, producteur du film qui aurait du s'en occuper avec Lucas et qui fut envoyé pour superviser les équipes plutôt que de surveiller le réalisateur du film. Et les acteurs, ils font ce qu'ils peuvent, avec Lucas qui ne sait pas les diriger et le fait qu'ils tournent devant un fond vert, ce qui les pénalisent pour donner une prestation valable. La promotion est intense et Lucas vend du rêve, il oblige les acteurs à dire du bien du film. Quant à Ewan Mc Gregor il préféra s'en tenir au jeu d'Alec Guiness pour faire Obi-Wan. Ce rêve va s'avérer vite décevant.
Le film s'inspire du Retour du Jedi, le moins bon des trois film de la trilogie originale et arrive à être tout simplement décevant. Ici pas de Lawrence Kasdan et de Richard Marquand pour sauver le film. Beaucoup de critiques ont trouvé ce film meilleur et prétendirent qu'il avait sauvé la prélogie. Ils dirent même qu'il était plus sombre que l'Empire contre-attaque. Assombrir l'image, ne rend pas un film plus sombre. Reprenant ce qui s'était passé dans Clone Wars, l'attaque sur Coruscant et l'enlèvement de Palpatine par le général Grievious, on voit des combats spatiaux qui piquent les yeux au bout de 25 minutes, où Anakin et Obi-Wan ne connaissent aucuns risques réels pour se diriger vers le vaisseau du comte Dooku. On parlera du sauvetage d'Obi-Wan, pour montrer qu'Anakin est un grand pilote, mais c'est là que le bât blesse, car seul un pilote chevronné peut voir qui est un grand pilote. Ici, il n'en est rien. On montre même Ewan McGregor de la plus mauvaise manière pour faire briller un acteur sans expressions faciales en dehors du froncement de sourcil, Hayden Christensen. Le numérique rend aussi les combats spatiaux trop modernes et on a l'impression que les combats de la trilogie originale se passent avant ceux de la prélogie. Vient ensuite le combat contre le comte Dooku d'Obi-Wan et Anakin. Ce combat est trop rapide et ne dure que 2 minutes 58, et l'on voit le comte Dooku se débarrasser trop facilement d'Obi-Wan, ce qui est peu crédible vu les qualités d'escrimeur d'Ewan McGregor. Le scénario aurait du être mieux travaillé. La scène voit Anakin réussir à vaincre le comte Dooku trop facilement, et finalement le décapiter contre tous les principes Jedi poussé par Palpatine, qui ici est la seule satisfaction de cette scène de combat où l'on voit Ian McDiarmid retrouver la seule fois dans ce film le côté tentateur et plein de subtilité qu'il avait dans Le Retour du Jedi. La mort aussi rapide du comte Dooku passe mal pour tous les fans de Christopher Lee qui méritait une mort homérique et on peine à croire qu'un acteur ayant aussi peu de connaissance en escrime puisse le battre. Anakin sauve Obi-Wan malgré les recommandations de Palpatine, puis ils se confrontent au général Grievious, qui arrive à s'échapper puis ils arrivent à faire atterrir le vaisseau en catastrophe. C'est une imitation du sauvetage de Han Solo par Luke Sywalker dans Le Retour du Jedi, mais il manque la grâce et le côté héroïc fantasy de Richard Marquand, c'est tout au plus un empêtrement de scènes d'actions pour que Lucas puisse jouer avec ses effets numériques. Regardons maintenant Le Retour du Jedi, on voit dès le départ la nouvelle étoile de la mort en construction, et Darth Vader la pousser à sa finition à cause de l'arrivée imminente de l'empereur Palpatine. Vient ensuite la scène pour délivrer Han Solo de Jabba le Hutt, très réjouissante et ressemblant beaucoup à un comics de Frank Franzetta. Après l'échec d'une première tentative d'évasion menée par la princesse Leia, également arrêtée par Jabba, Luke Skywalker qui tente de négocier la libération de ses amis par la Force n'y arrive pas et échappe au Rancor, pour finir avec Han Solo devant la bouche du Sarlacc, et s'enfuit grâce à Lando avec qui il parvient à libérer ses amis. Au milieu de la bataille, Leia tue Jabba et Han projette sans le faire exprès Boba Fett dans la gorge du Sarlacc. Tout y est humour, acte de bravoures et des scènes d'action bien placées. On ne trouve rien de tout cela dans La Revanche des Siths.
Continuons de voir ce film soit disant sombre qu'est La Revanche des Siths. Reconduit au Sénat galactique, Anakin reçoit des félicitations, ce qui aurait pu être intéressant car cela aurait pu amener en lui l'orgueil, un élément qui aurait pu le conduire du côté obscur de la Force, au lieu de cela, il retrouve Padmé Amidala (ici Natalie Portman est très attachante et dégage beaucoup d'émotion contrairement aux deux précédents épisodes) qui lui annonce qu'elle est enceinte, et la nuit suivante il rêve qu'elle va mourir en couche, et son obsession est alors de la sauver. Bizarre, car la princesse Leia nous dit qu'elle a connue sa mère et la décrit à son frère Luke dans Le retour du Jedi. Oubli de Lucas peut être ? Se relire permet d'éviter des erreurs. Allons y maintenait pour le festival Palpatine qui veut garder ses pleins pouvoirs, il flatte Anakin pour le retourner contre le conseil Jedi, et arrive à le faire nommer comme son représentant au sein du conseil tout cela sans subtilité, ce qu'accepte les Jedis afin qu'Anakin surveille le chancelier Palpatine dont ils se méfient, mais pas une fois dans le film on ne nous explique pourquoi. Un coup de tête ? Le Conseil refuse de donner à Anakin le titre de maître, ce qui le met en colère. Pourtant, cela n'a rien d'anormal, et ne devrait pas mettre Anakin en colère, car son ascension s'est faite au combat, pas dans la patience et dans le fait de ne rien désirer comme le ferait un Jedi. Il est décidé que Yoda va aider les Wookies sur Kashyyk. Pourquoi éloigner le plus grand maître Jedi alors qu'il est plus utile sur Coruscant. Palpatine, dont la subtilité est vite oublié (à moins de ne pas comprendre que c'est lui Darth Sidious, ce qui est évident dès le premier film de la prélogie sans avoir besoin de regarder la trilogie originale vu que ce n'est jamais caché) dit au général Grievious, devenu chef des séparatistes, de les envoyer à Mustafar, ce qu'il fait sans discuter des ordres tout sauf crédible car envoyer les chefs sur une planète où ils sont sûr d'être piégés n'est pas ingénieux. Pendant ce temps, Obi-Wan dit à Anakin de se méfier des hommes politiques et de leurs ambitions, et ce dernier est troublé car il doit surveiller Palpatine. Ce n'est pas étonnant, on ne lui explique pas vraiment pourquoi il doit le surveiller. Ewan McGregor dans cette scène est plutôt bon et montre que les Jedis ne désirent pas le pouvoir mais sauvegarder la République. Palpatine essaye à nouveau de détourner Anakin des Jedi sans la subtilité qu'il avait dans Le Retour du Jedi en lui promettant de sauver son épouse, ce qui nous fait venir à la scène de l'opéra où il fait croire à Anakin qu'il peut éviter la mort de sa femme avec une histoire sur Darth Plagueis qui devrait amener le jeune Jedi à voir qu'il est un sith, tout en lui révélant qu'il serait son père, sans l'émotion que dégage la scène de L'Empire contre-attaque. La scène sonne faux et n'est pas subtile du tout. Revenons au Retour du Jedi, où Luke Skywalker retourne sur Dagobah pour recevoir les derniers enseignements d'un Yoda mourant et où Obi-Wan lui révèle l'horrible vérité, Darth Vader est son père et qu'il une s½ur, la princesse Leia, tandis que l'empereur Palpatine arrivé sur la nouvelle Étoile de la Mort annonce à Darth Vader la fin de l'alliance rebelle à laquelle il a tendu un piège. L'alliance rebelle dirigée par Mon Mothma prépare son plan, qui se fera en deux équipes, celle de Han Solo, Luke et Leia s'occupe du champ de force sur Endor, tandis que celle le général Ackbar attaquera le vaisseau, dont 4 escouades dirigées à bord du Faucon Millenium par Lando Calrissian nommé général apporteront le coup final. L'empereur est prêt et Luke sent que sa présence est un danger pour la mission du fait que son père est présent. L'intérêt est de voir la préparation de l'alliance rebelle et de l'empire qui mettent en jeu une victoire importante. L'empereur est subtil, les personnes crédibles et même sans action ces scènes permettent de rendre ces opérations militaires plus compréhensible. Il faut dire que La Revanche des Siths n'arrive pas à cette précision, car les scènes de dialogue sont lentes et mal écrite, rendant le tout incompréhensible. Lawrence Kasdan manque beaucoup ici à Lucas.
La Revanche des Siths finit par décevoir pleinement dans sa troisième partie, le scénario y aide beaucoup par ses nombreuses incohérences. Le général Grievious sur Utapaut, demande aux forces séparatistes de se rendre sur Mustafar, et apprenant où est ce dernier le conseil Jedi envoie Obi-Wan, avec une armée pour l'affronter. Ce combat aurait pu être impressionnant et terrifiant pour le maître Jedi, il n'en est rien tant ce combat semble facile pour Ewan McGregor et Grievious est ridiculisé par rapport à l'impression de danger qu'il dégageait dans Clone Wars, le numérique ayant gâché cette scène où tout sonne faux. Ce qui sauve ce combat est le second degré d'Obi-Wan, dont la fameuse scène ou après avoir tué le général Grievious avec un pistolaser, il dit : "Tout sauf civilisé." Beaucoup croient que c'est Ewan McGregor qui a imposé cette scène à Lucas. Pendant ce temps le chancelier Palpatine dévoile à Anakin qu'il est le seigneur sith Darth Sidious, comme attendu le chevalier Jedi le dénonce. Quatre maîtres Jedis dont Mace Windu viennent l'arrêter, et Palpatine comme on l'attend résiste et vainc 3 Jedis sauf Mace Windu qui prend le dessus. Ce dernier est trahi par Anakin qui le désarme et laisse Palpatine le tuer. La raison serait son obsession de sauver sa femme et seul le seigneur sith peut l'aider. Peu convainquant, car il l'a quand même dénoncé au conseil. Il ne trahissait pas pour sauver sa femme, qui est normalement toujours vivante pendant l'enfance de la princesse Leia dans Le Retour du Jedi, mais par ambition politique. D'ailleurs, la trahison d'Anakin est une véritable surprise selon ce qu'en disait Obi-Wan pourtant Yoda ne semble pas surpris comme s' il s'y attendait. Un peu gros etcela montre un scénario un peu facile et sans inspiration. Il n'y pas d'effet de surprise, et la défaite de Mace Windu surprend tant elle est risible. Samuel L. Jackson n'a pas eu le combat homérique que lui a promis Lucas. Le sur jeu de Ian McDiarmid donne ici limite la nausée. Anakin accepte ensuite de se soumettre à Palpatine à cause de son geste et devient Darth Vader alors qu'il aurait pu être plus subtil, c'est-à-dire être à la fois du côté des Jedi et du chancelier, ne sachant pas qui pourrait vaincre, ou bien être un agent double pour l'empereur. Rien de tout cela. La trahison est trop rapide et sans raisons valables, car pour sauver sa femme il aurait pu en parler à Obi-Wan qui est tout sauf un ignorant et voit bien l'amour d'Anakin pour Padmé Amidala. D'ailleurs la disparition de 4 Jedis ne semble pas inquiéter le conseil, ce qui est surprenant. Le scénario est ici un peu gauche et on se demande encore si le film a un fil conducteur, car il part dans tous les sens, sans doute Lucas est-il trop occupé à jouer avec ses effets numériques. Dans Le Retour du Jedi, Han, Leia, Chewbacca, C-3PO et Luke, devenu un Jedi, s'envolent dès lors pour une mission d'extrême importance sur la lune forestière d'Endor, afin de détruire le générateur du bouclier de l'Étoile de la Mort et permettre une attaque des pilotes de l'Alliance rebelle. Ils sont aidés sur place par les Ewoks, alors que nous savons que les Wookies aurait du être utilisés. C'est sans doute pour s'excuser de cette faute de goût qu'il mettra les Wookies et la planète Kashyyk dans l'épisode III. Conscient d''être un danger pour ses compagnons, Luke préfère se rendre aux mains de Darth Vader, son père et ancien Jedi passé du côté obscur de la Force, tout en révélant à Leia qu'elle est sa s½ur. Il essaye de faire revenir son père du côté des Jedi et n'y arrive pas. En dehors des affreux Ewoks, ces scènes sont très intimistes et se suivent avec beaucoup de plaisir, grâce à Richard Marquand qui aime que cela aille vite tout en y ajoutant un côté spectaculaire. Ce qui manque à La Revanche des Siths, Le Retour des Jedi le montre à travers un scénario très élaboré de Lawrence Kasdan où la sensibilité et la subtilité sont très présentes. Pas besoin d'effets spéciaux spectaculaire, juste des dialogues intéressants et prenants, et vous pouvez accélérer les scènes avec les Ewoks sur DVD.
Nous voilà pour le grand final. La Revanche des Siths nous amène au fameux ordre 66 de Palpatine, où l'armée des clones, sous son autorité, élimine les Maîtres Jedi qui sont à leur côté, sans discuter les ordres ce qui est étonnant. Pourtant, un problème demeure, les Jedi ne voient rien venir alors qu'ils peuvent voir l'avenir, ce qui est peu crédible sauf si Lucas ne se rappelle pas de la trilogie originale. Le maître Jedi Ki-Adi-Mundi qui est l'un des maîtres Jedi qui tient tête au général Grievious dans Clone wars se fait abattre trop facilement, Aayla Secura sans doute le Jedi féminin le plus aimé des fans se fait tuer sans combattre, Plo Koon sans doute le meilleur pilote Jedi se fait abattre par des clones qui n'ont pas son expérience, tandis que Stass Allie, une maître Jedi expérimentée se fait abattre sans rien voir. On a peine à y croire. La fureur des fans est compréhensible. Yoda qui, sur Kashyyyk, assistait les Wookies dans une bataille les opposant aux forces droïdes, échappe de peu à la mort, tout comme Obi-Wan. Anakin lui a comme grand exploit de se débarrasser d'enfants en formation alors qu'ils ne sont pas encore des Jedis, donc un massacre inutile et qui n'apporte rien au film. Certains sénateurs tels Bail Organa, un excellent Jimmy Smits que l'on voit trop peu, entreprennent de sauver les quelques Jedi dispersés et il parvient à contacter les deux maîtres survivants avant leur arrivée sur Coruscant. Au Sénat galactique, c'est le show Palpatine, avec une dernière fois Jar Jar Binks toujours aussi peu fin en politique, qui dénonce la trahison des Jedi, puis il déclare ensuite sous les acclamations la dissolution de la République et l'avènement d'un Empire galactique qui sera dirigé par lui. Padmé Amidala et Bail Organa sont les seuls choqués par cette décision. Cette scène n'a aucun sens, la trahison des Jedi devrait faire peur aux sénateurs qui n'applaudiraient pas la fin de la République, mais serait prêts à abandonner leur liberté pour un peu de sécurité avec un régime d'exception comme lorsque Philippe Pétain arriva au pouvoir en 1940. Sur Coruscant Yoda et Obi-Wan découvrent l'horrible vérité Anakin les a trahit, et pour sauver la République, ils doivent se débarrasser de Palpatine et d'Anakin. Sur Mustafar, Darth Vader massacre le vice-roi et les chefs séparatistes, ce qui était prévisible. Pour retrouver Anakin, Obi-Wan annonce à Padmé qu'Anakin est passé du côté obscur et se dissimule dans son vaisseau. Yoda défie Darth Sidious et le combat commence bien, au moment où il fait la leçon à Darth Sidious, puis cela tourne au comique quand à la deuxième partie du combat Palpatine et Yoda sortent les sabres lasers et jouent au singe sauteur. La fin du combat sur une plate-forme est intéressante, car Yoda arrive à repousser les éclairs de l'empereur, mais le choc le fait tomber et il doit s'enfuir. Rien ne colle ici, tant Yoda semble supérieur et le sur jeu de Ian Mc Diarmid n'arrange en rien les choses. La confrontation entre Padmé et son époux s'achève tragiquement, puisqu'Anakin se croyant une nouvelle fois trahi et voyant surgir Obi-Wan l'étouffe avec la force. Peu convainquant, même devenu mauvais on garde toujours sa femme à ses côtés, les plus grand dictateurs faisaient ainsi, tout comme leurs collaborateurs. Un terrible duel s'engage ensuite entre les deux anciens amis, duel au cours duquel Darth Vader finira affreusement mutilé. Laissé pour mort par Obi-Wan, il est sauvé par Darth Sidious. Où est le terrible combat que nous proposait Lucas au bord d'un volcan, Obi-Wan n'a aucun mal à se défaire de son présomptueux ami, il ne dégage pas une goûte de sueur alors qu'il est dans une planète volcanique, comment en être autrement avec le mauvais jeu d'acteur d'Hayden Christensen. D'ailleurs, le combat est ridicule et mal chorégraphie, on voit du moulinet du bras inutile en combat, et la continuation du combat sur une plate forme volante qui est tout sauf adéquate. La fin nous montre Padmé (Natalie Portman est ici émouvante) qui met au monde des jumeaux qu'elle prénomme Luke et Leia, puis elle meurt. Bizarre, ça ne concorde pas car nous savons grâce au Retour du Jedi qu'elle est toujours vivante et que Leia a connu sa mère. Ensuite, l'empereur mécanisa son disciple qui fait un horrible : "Noooo!" Tout cela pour justifier de l'avoir mis en 2004 dans Le Retour du Jedi, ce qui avait été critiqué par les fans. On cache les enfants de l'Empire, Leia étant adoptée par Bail Organa et Luke confié par Obi-Wan, en exil sur Tatooine, à son oncle Owen Lars, tandis que Palpatine et Darth Vader commencent les travaux de l'Étoile de la Mort avec le Grand Moff Tarkin. Même là, c'est un gâchis. Les combats ne sont pas impressionnants et ridicules, tant Lucas les massacre avec des effets numériques inutiles. Cela ne dégage aucune émotion, on arrive pas à se prendre au jeu. Dans Le Retour du Jedi, la tension monte. Lando et ses escadrons font face aux croiseurs impérieux tandis que le groupe de Han Solo se fait capturer, Luke en colère tente de tuer l'Empereur tandis que Darth Vader s'interpose. Aidé par les Ewoks, pour une fois utile, les rebelles arrivent à détruire le champs de protection de l'Étoile de la mort, tandis que Lando et ses escadrons arrivent à pénétrer à l'intérieur de celle-ci. Luke envahit par la colère et craignant que Darth Vader s'en prenne à Leia le bat et coupe sa main, mais refuse de rejoindre l'Empereur Palpatine ne voulant pas devenir comme son père, qui tente alors de l'éliminer, mais Darth Vader ne peut se résoudre à laisser tuer son fils et projette l'empereur dans le réacteur principal, puis succombe à son geste pas avant d'avoir dit ses dernières volonté à son fils, tandis que Lando réussit à détruire le générateur principal. L'Étoile de la Mort explose, Luke réussit à s'enfuir avec la dépouille de son père. La résistance rebelle peut fêter la victoire, et les anciens Jedi que sont Obi-Wan, Anakin et Yoda peuvent féliciter Luke d'avoir choisit d'être fidèle aux Jedis. La partie finale du Retour du Jedi est excellente en dehors des Ewoks, on y voit des retournements de situation, des mouvements de bravoure et des personnages rendant ces différentes scènes crédibles, tout ce qui manque à La revanche des Siths.
En sortant de la salle avec mes frères, la déception est grande. Nous ne pouvions pas croire que les critiques aient pu dire autant de bien de ce film en tout point décevant et comment ont-il pu dire qu'il était supérieur ou équivalent à L'Empire contre-attaque. Beaucoup de fans se firent avoir, pas nous. Le film est un succès commercial aux États-Unis et finit à la première place avec 380 270 000 US$, et à la deuxième place mondiale. Rien d'anormal, il n'y avait plus Spider Man 2 (2004) et Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi (2003) pour le concurrencer. Pourtant une chose se dégage, le scénario est mal écrit et Hayden Christensen est mauvais. Ce sont les derniers feux d'une saga qui méritait mieux. On ne vient à se demander si ce film méritait une première cannoise le 15 mai 2005. Pour ne rien arranger, Georges Lucas mécontent du Clone Wars de Genndy Tartakowsky pond The Clone Wars qui va durer 5 saisons, et ne permet pas à Dave Filoni la même liberté artistique et cela s'en ressent, on trouve Jar Jar Binks en général, Ahsoka Tano, la disciple d'Anakin alors qu'il n'a pas la formation pour avoir une apprentie, horripilante à souhait, les séparatistes tout sauf inspirés, le général Grievious subit les derniers outrages en étant tout sauf terrifiant et le retour de Darth Maul qui est normalement mort coupé en deux dans La Menace Fantôme. L'outrage finit à la 6e saison en 2013. Le CGI rend cet anime moche et on a du mal à s'attacher aux personnages. L'échec de La Menace Fantôme en 3D en 2012 donna raison aux fans de la trilogie originale, mieux encore Lucas Film fut racheté par Disney. Et pour Star Wars VII : Le réveil de la force en 2015, Georges Lucas ne fut pas écouté par J.J. Abrams et par Disney, tout en étant pas mis au courant du scénario. Cela annonce enfin que les fans seront écoutés pour le réalisme et une histoire prenante, cela évitera le massacre d'une trilogie qui mérite mieux.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Star Wars : Le Réveil de la force nous livre en ce mois d'août des révélations au compte goutte, mais qui arrivent à contenter les attentes des fans de la saga, contrairement à l'époque où Georges Lucas faisait la prélogie sans rien en dire amenant une grande déception. Les journaux se centrèrent d'abord sur la bande annonce coréenne de Star Wars Épisode VII où l'on voyait un plan de l'armée de "l'ordre Premier", composée de stormtroopers, vue depuis l'estrade au lieu d'être vue depuis la foule. Sur cette estrade Sur cette estrade se trouverait un des ennemis de la République intergalactique du nouvel opus : on voit le Général Hux, incarné par Domhnall Gleeson, faire un discours avec son bras droit le capitaine Phasma, incarnée par Gwendoline Christie. Une autre scène montre les Tie fighters de l'empire tirer sur des stormtroopers, ce qui suggère une division dans les restes de l'Empire.
Le mercredi 13 août, le site américain Entertainment Weekly a publié de nouvelles images de l'Épisode VII, et notamment celles des futurs méchants de la saga, Kylo Ren, le Général Hux et le Captain Phasma, tout en nous offrant des révélations par JJ Abrams. ce dernier nous révèle que Kylo Ren, n'est pas le "vrai" nom de ce personnage et que celui-ci l'a adopté lorsqu'il a intégré l'ordre des Chevaliers de Ren. Les parents du personnage pourraient être des visages bien connus de l'épopée (Leia et Han Solo ?). Le sabre laser est quelque chose qu'il aurait construit lui-même. Et il est aussi dangereux, fier et cabossé que son propriétaire. Selon Lawrence Kasdan, le scénariste, fait aussi valoir que Kylo Ren, masqué et habillé d'un long habit noir à capuche évoquant l'allure du mythique Darth Vader, n'est pas un méchant comme les autres puisque celui-ci "est plein d'émotions". Il est un personnage au passé trouble et autodidacte, loin de l'élite à laquelle appartenaient Anakin Skywalker ou le Chancelier Palpatine. Une photographie le montre avec une armée du Premier Ordre, issue de l'Empire, mettre à sac un village paisible de la planète Jakku.
Pour le Général Hux, interprété par Domhnall Gleeson, il est le général du Premier Ordre qui s'est formé pour remplacer l'Empire qui est tombé aux mains de l'Alliance Rebelle trente ans auparavant dans l'épisode VI de Star Wars : Le Retour du Jedi, mais il est considéré trop jeune pour une telle fonction, ce qui peut expliquer son besoin d'avoir une grande victoire militaire pour convaincre. JJ Abrams nous révèle aussi que la photo est prise par Entertainment Weekly dans le quartier général du Premier Ordre (la fameuse base Starkiller), mais surtout le point essentiel et que Abrams précise que le chef militaire "se trouve dans son centre de commandement, avec le désir de révéler toute l'étendue de la puissance militaire du Premier Ordre à une galaxie sans méfiance".
Pour le capitaine Phasma, le design du personnage le plus mystérieux de l'Épisode VII, incarné par Gwendoline Christie, a fait penser à JJ Abrams au film d'horreur Phantasm (1979). Il avance que l'actrice qui porte le costume à montré une belle performance rendant pleinement les compétences du costume avec un talent supplémentaire. Pour le réalisateur le personnage est visuellement étonnant que cela soit et plaira aux fans. On se demande même si le personnage ne sera pas aussi culte que Bobba Fett. Il est déjà en tout cas apprécie des fans.
Finn et Rey, ces deux personnages sont identifiés que par un simple prénom, et J.J. Abrams indique que cette imprécision est volontaire et que leur identité complète restera à dévoiler. Il semblerait que leur nom de famille constitue donc un spoiler à lui tout seul, il est donc fort probable que ces noms ne soient pas vraiment inconnus dans l'univers Star Wars. Rey pourrait être la fille de Han et de Leia et Finn le fils de Lando Calrissian. Ces personnages pourrait être aidés par Teedo, un personnage monté sur une étrange créature appelée "luggabeast", vivant sur Jakku, et que nous voyons dans Entertainment Weekly avec BB-8 et Rey. Ce personnage est joué par l'acteur Kiran Shah, qui avait joué le rôle d'un Ewok dans le Retour du Jedi.
Ce week-end, un poster dévoilé par Disney a mis en scène l'acteur John Boyega qui tient un sabre laser, ce qui pourrait présager qu'il tiendrait un rôle dans l'ordre des Jedi renaissant. L'affiche a été réalisée par Drew Struzan, une star dans l'univers des affiches cinématographiques. Il a auparavant réalisé celles d'Indiana Jones et de Blade Runner ou en encore les graphismes pour les produits dérivés des six premiers épisodes de Star Wars. Poe Dameron, le pilote de X-wing, joué par Oscar Isaac, ferait partie d'une groupe dissident connu sous le nom de Résistance et on apprend qu'il sera dans l'Épisode VIII.
Quant à Han Solo, Entertainment Weekly révèle qu'il est l'un des personnages principaux et qu'avec Chewbacca, ils vont unir leurs forces avec Finn, Rey et leur adorable droïde BB-8, appelé ainsi à cause de sa forme qui rappelle un "8" et de son apparence "ronde" et rebondissante, comme on a pu le voir sur une photo qui nous montrait Han Solo, Finn et Rey dans le Faucon Millenium. On apprend aussi quelle pourrait être l'implication de la princesse Leia dans le film, on apprend qu'elle serait en possession du sabre laser emblématique de la saga : celui d'Anakin Skywalker avant qu'il ne devienne Darth Vader, et que son fils Luke Skywalker récupéra, avant qu'il ne le perde avec sa main lors de leur dernier combat. Serait-elle devenu une Jedi ? Rien ne permet de le dire.
Et Luke Skywalker dans tout ça ? On ne sait toujours rien du rôle qu'il tiendra, même si selon les rumeurs, il pourrait être en exil sur une mystérieuse planète, où il aurait fondé une académie secrète pour former des nouveaux Jedi, n'apparaissant alors qu'à la fin du film. Mais pour l'instant, rien n'a encore été confirmé, et Luke Skywalker reste encore un mystère à lever. Entertainment Weekly laissa entendre que tout sur Luke Skywalker n'a pas été dit. On se demandait après si Luke Skywalker serait passé du côté obscur. Les rumeurs qui disaient que le Jedi suivrait les traces de son père se sont lourdement trompées, car une image de Mark Hamill alias Luke Skywalker a circulé le vendredi 14 août et le montre 30 après. Avec sa barbe et le poids des années, il a désormais tous les atours du maître Jedi, à la manière d'Obi Wan Kenobi, rencontré il y a bien des années sur Tatooine.
JJ Abrams a expliqué ce week-end dans le D23 que travailler dans un environnement avec de vrais décors et des costumes détaillés était important pour donner de l'authenticité en allant à l'extérieur et à l'intérieur, dans des endroits réels qui se trouvent réellement dans le soleil, car il ne voulait pas tourner que dans du fond vert. Il a aussi confirmé qu'il ne fera pas l'Épisode IX malgré les rumeurs. Pour en savoir plus, nous devrons attendre le 18 décembre 2015
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Entre le 17 août et le 29 août des nouvelles à propos de l'univers Star Wars sont apparues dans les journaux et ont de quoi réjouir les fans. Comme pour l'univers Marvel, Disney a décidé de voir Star Wars en grand et d'en faire une promotion plus réussie que celle que Georges Lucas pour la prélogie.
Tout d'abord le spin off de Star Wars : Rogue One qui pourrait bien voir le retour du Grand Moff Tarkin et ce sera Peter Cushing. C'est vrai qu'il est mort 1994, mais le studio a décidé de recréer entièrement l'acteur en images de synthèses. Nous avons aussi appris lors de l'événement Disney, D23 Expo, aux États-Unis comment serait ce spin off. L'histoire se focalisera sur des rebelles en mission. Leur but ? Voler les plans de l'Étoile Noire. Disney a également dévoilé que l'action de Rogue One se déroulerait avant l'épisode 4 de Star Wars. Ce premier spin-off de la saga culte sera réalisé par Gareth Edwards, aux commandes notamment du dernier Godzilla, et sortira le 16 décembre 2016. Alexandre Desplat a été choisi pour composer la musique que l'on imagine inquiétante. Le casting est aussi très intéressant. On découvre dans un cliché exclusif l'actrice britannique Felicity Jones (Une merveilleuse histoire du temps) entourée de l'acteur mexicain Diego Luna (prochainement à l'affiche de Blood Father de Jean-François Richet) ou encore de l'acteur chinois Donnie Yen (Blade 2). En tenue de guerriers, ils semblent tous prêts à combattre leurs ennemis. Au casting du film, on retrouve aussi Ben Mendelsohn (The Dark Knight Rises), Alan Tudyk, Riz Ahmed (Nightcall), Forest Whitaker (Le Majordome) et enfin, Mads Mikkelsen.
On verra donc dans ce spin off une bande de guerriers résistants, unis pour voler les plans de l'Étoile Noire (ces plans que Leia donne à R2-D2 dans le quatrième épisode). L'espoir de la galaxie repose entre les mains de ces soldats rebelles dont l'actrice Felicity Jones fait partie. Le film sera extrêmement pessimiste, voire désespéré. "Pas de Jedi. Aucun dieu pour nous sauver. Pas d'espoir", a expliqué le réalisateur Gareth Edwards. "Le film parle des réalités de la guerre", sans aucun manichéisme. La frontière entre le bien et le mal sera floue. "Le long-métrage évoque le fait que Dieu ne viendra pas à notre secours, et que nous sommes livrés à nous-mêmes", a ajouté le cinéaste. "L'absence des Jedis sera omniprésente."Darth Vader pourrait faire aussi une apparition dans ce spin off où les héros ont pour mission de voler les plans de l'Étoile Noire, son grand ½uvre.
L'épisode VII, Le Réveil de la force annonce lui aussi le meilleur. On a pu découvrir le nouveau look de Kylo Ren interprété par Adam Driver dans la une du magazine américain Empire en pleine scène de combat, sabre laser rouge dans une main gantée de noir. Sur la nouvelle photographie mise en ligne par Lucas Film, on peut voir Kylo Ren dans une forêt, pour l'instant difficile à identifier. On en apprend aussi plus sur son origine. Il serait né quelques années après la bataille d'Endor, qui marque la fin de la Guerre Civile Galactique, Kylo Ren reste un personnage énigmatique. Alors qu'il n'est qu'un jeune homme, il devient membre des chevaliers de Ren et construit son propre sabre laser, une pièce au design inédit, ornée de deux lasers supplémentaires de part et d'autre de la garde. Ce nouveau personnage serait également obsédé par son maître et modèle, Darth Vader, au point d'en adopter l'apparence et le caractère, "féroce et variable". D'ailleurs d'après JJ Abrams, "Kylo Ren n'est pas un sith", confirmant ce que les fans commençaient à comprendre.
JJ Abrams donne une autre piste sur ce nouvel ennemi. Kylo Ren commande les soldats du Premier Ordre, une organisation qu'on aperçoit dans la bande-annonce coréenne du film. L'image d'une armée rangée en sections, avec des bannières rouges, évoquait immédiatement le parti nazi pour ceux qui s'intéressent à l'histoire. Le réalisateur a bien confirme que son inspiration est le Troisième Reich. "Tout ça est le résultat de conversations où nous nous sommes demandés ce qui se serait passé si les Nazis réfugiés en Argentine avaient recommencé à travailler ensemble", détaille le réalisateur. Le Premier Ordre semble être ce qui reste de l'Empire, le régime dictatorial mené par Palpatine et combattu par les Jedis dans les vieux Star Wars. Le cinéaste révèle aussi une autre piste tout aussi intéressante. "Et si le Premier Ordre existait en tant que groupe qui admire l'Empire ? Et s'ils percevaient le travail de l'Empire comme incomplet ? Et s'ils voyaient Darth Vader comme un martyr ? Est-ce qu'ils pourraient décider de terminer ce qui avait été commencé ?", interroge Abrams. Des questions qui auront sans doute leurs réponses durant la diffusion du film en salles.
Le compte Instagram de la saga a dévoilé également dans une vidéo d'une quinzaine de secondes, une nouvelle image du personnage joué par John Boyega. "Il y a eu un réveil. L'avez-vous senti ?". Ce sont les mots que les fans de la saga Star Wars ont pu entendre dans le nouveau trailer de l'épisode VII, qui sortira en salles le 18 décembre prochain. Cette vidéo courte nous montre d'abord Rey, le personnage interprété par Daisy Ridley. On la voit debout devant le droïde BB-8, et la jeune femme affiche un regard inquiet, porté vers le ciel. Le plan se rapproche sur son visage et nous ne révèle pas pourquoi elle semble si perturbée. Puis on se dirige dans une autre scène qui montre le début d'un duel entre Kylo Ren et Finn puisque les deux personnages se tiennent dans un décor similaire. Ce dernier, joué par John Boyega, tient dans ses mains un sabre-laser bleu et se tient prêt à en découdre. Il pourrait donc être un Jedi inspiré par le parcours de Luke Skywalker.
Disney réussit à travers ces différentes révélation à faire patienter les fans de l'univers, il suffit de voir la vision du dernier trailer qui dure pourtant 15 secondes qui a provoqué un vrai raz de marée sur les réseaux sociaux. En offrant ainsi des petits cadeau comme celui-ci, le studio permet de calmer l'impatience des fans et aussi de donner envie de voir l'épisode VII à sa sortie le 18 décembre 2015. Excellente idée qui montre que souvent la promotion et les attentes des fans méritent des récompenses.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
D'après plusieurs sources (MCM.fr, RTL.fr, Melty.fr, Premiere.fr Cinéma, Allociné.fr, francetvinfo.fr, LeFigaro.fr, Le Point.fr et Le HuffingtonPost.fr), Star Wars VII : Le réveil de la force se livre peu à peu et les attentes sont fortes et Disney sait mieux y faire que Georges Lucas pour les combler. Pour que l'attente soit moins dure à passer les produits dérivés ont commencé à faire leur apparition.
Les figurines articulées et les Legos ont beaucoup fait parler d'eux et on observe ce qu'ils ont à dire du prochaine film. Selon la figurine parlante du nouveau personnage Finn, l'acteur britannique a troqué son accent british pour l'accent américain. Autre indice : ce dernier semble passer son temps à crier dans le futur Star Wars. Kylo Renn a, quant à lui, une voix très métallique. Cela s'explique par son masque, ce qui était prévisible. Poe Dameron, le pilote du X-Wings incarné par Oscar Isaac, est lui aussi source d'interrogations chez les fans. Son jouet "semble faire référence à l'escadron noir". On découvre Constable Zuvio, un personnage que Lego a produit par milliers aux côtés de Han Solo (toujours incarné par Harrison Ford), Chewie, Rey (interprétée par Daisy Ridley), Finn, BB8 (le nouveau R2-D2) et du Faucon Millenium. Il semble qu'il soit un officier ou une figure d'autorité, mais "au vue de son regard menaçant et de son arme meurtrière, il ne semble pas si calme que ça" imaginent des internautes. Le dernier point d'interrogation concerne les personnages Tasu Leech, et un membre du "KanjiKlub gang". Sur le réseau social The cantina, les interprétations des geeks sur ces deux Legos vont bon train. La première piste retenue est celle de pirates venus de la planète Jakku, contre laquelle Rey et son équipe devraient se battre.
Poussant plu loin, on a découvert aussi des livres qui mettent en avant ce qui s'est passé entre l'épisode VI et VII. La guerre entre l'Alliance rebelle, dont font partie Luke Skywalker et Han Solo, et l'Empire galactique est loin d'être finie - c'est même le slogan qui apparaît sur la couverture du livre Star Wars : Aftermath. La bataille d'Endor, relatée dans Le Retour du Jedi, le 6eStar Wars, était pourtant censée mettre un point d'orgue au conflit. Dans Aftermath, la population de la planète Coruscant fait tomber la statue de l'empereur Palpatine, qui est, avec Darth Vader, le grand méchant de la saga. Ces scènes de liesse sont suivies d'une répression sanglante de la police impériale, toujours obsédée par le maintien de l'ordre malgré la chute de l'Empire. Les personnages qui vont naître entre la période qui sépare l'épisode 6 et 7 n'auront connu que la guerre. Il est fort probable que ce traumatisme sera une composante de leur personnalité. Aftermath et Shattered Empire nous apprennent que de nouvelles institutions gouvernent la galaxie après la supposée chute de l'Empire. Les rebelles ont fondé une nouvelle République, tandis que les sénateurs et autres hommes politiques font partie d'un nouveau Sénat. Ces institutions semblent bien fragiles car l'Empire n'est pas encore totalement démantelé. Plusieurs personnages d'Aftermath sont même obsédés par Darth Vader et les Siths. Il y a fort à parier que ce culte malsain va donner naissance au Premier Ordre, une sorte de nouvel Empire. J.J. Abrams, le réalisateur du Réveil de la Force, avait d'ailleurs fait des déclarations en ce sens.
La trilogie originale de George Lucas était basée sur une opposition manichéenne entre bons et méchants. Dans Aftermath, les soldats de l'Empire sont humanisés et paraissent presque sympathiques. Un général impérial n'hésite pas à dire que l'Empire a eu ce qu'il méritait, comme le note Screen Crush. L'univers Star Wars devient donc plus complexe et les vilains ne sont pas toujours là où on les attend. Un prélude à l'épisode 7 qui mettra au premier plan Finn, un soldat de l'Empire en fuite. Lando et la princesse Leïa étaient les seules figures à détonner parmi les personnages de Star Wars, quasiment tous mâles et blancs. Une situation sur le point de changer : Shattered Empire se concentre sur des pilotes de vaisseaux spatiaux de descendance hispanique. Deux personnages qui vont donner naissance à Poe Dameron, appelé à devenir un des héros de la nouvelle trilogie. Dans Aftermath, plusieurs protagonistes sont présentés comme gays ou noirs, sans que cela ne définisse pour autant toute leur personnalité. De quoi imaginer un univers qui se rapprocherait de celui de Star Trek, qui n'a jamais occulté la thématique de la diversité. Ce que les sources de Making Star Wars ne font qu'alimenter, puisqu'un traité aurait été signé entre le Premier Ordre, successeur de l'Empire galactique, et la Nouvelle République afin que ces derniers ne les attaquent pas. En contrepartie, le Premier Ordre acceptait de ne pas pénétrer les territoires sous la juridiction de la République. Néanmoins, Leia Organa (Carrie Fisher) a décidé de former une nouvelle Résistance en secret, dans la crainte de voir un jour le Premier Ordre manifester des intentions belliqueuses à l'égard de la République. C'est alors que le traité a été brisé en raison de l'utilisation de l'arme de destruction massive du Premier Ordre.
Dans une interview à Costco Connection, une brochure gratuite distribuée par Costco Wholesale, la présidente de Lucasfilm, Kathleen Kennedy fait une révélation très sur importante l'épisode VII. Elle déclare : "Les films de la saga se concentrent sur la famille Skywalker. Les histoires suivent une trame narrative linéaire qui est reliée aux six précédents films. Le Réveil de la Force suit Le Retour du Jedi et poursuit cette histoire générationnelle". Cela mène à s'intéresser au personnage de Rey qui contrairement aux autres personnages (excepté celui de Finn, joué par John Boyega), dont le nom de famille a été soigneusement dissimulé et on ne sait qu'une chose qu'elle habite sur Jakku, une planète désertique ressemblant à Tatooine, et qu'elle survit en fouillant les cimetières de vaisseaux à la recherche de pièces mécaniques à récupérer. Elle reste sur Jakku dans l'espoir de voir ses parents revenir la chercher un jour et aurait aménagé la carcasse d'un AT-AT impérial de la bataille de Jakku en guise de maison. L'actrice Daisy Ridley a d'ailleurs été placée, sur la première photo du casting, entre Carrie Fisher et Harrisson Ford, ce qui alimente la théorie selon laquelle elle serait la fille de Leia Skywalker et Han Solo.
Plus intéressant est le rôle de Max Von Sydow dans l'épisode VII. Il jouerait donc Lor San Tekka, un vieil ermite vivant sur la planète désertique Jakku et détenant de précieuses informations sur le lieu où vit Luke Skywalker (Mark Hamill). Le pilote Poe Dameron (Oscar Isaac) partirait pour Jakku à la recherche de Tekka pour trouver Luke. Il serait donc un personnage surnommé "le Vicaire" qui découvre un sabre laser et contacte la Résistance. On peut donc imaginer voir la rencontre entre Poe Dameron et ce Lor San Tekka dès les premières minutes. Un vieux solitaire joué par un grand acteur qui se cache dans le désert, est une grosse référence à Ben Kenobi (Alec Guinness) dans Star Wars en 1977, et on peut se demander s'il ne jouera pas un rôle dans le même acabit. Ce n'est qu'une rumeur de plus, où l'on nous dit depuis des mois que Rey est la fille de Han Solo, ou encore que Kylo Ren serait le fils de Luke (pour ne citer que ces deux là parmi tant d'autres).
On a aussi appris que "Star Wars : Épisode VIII" sera tourné en Irlande, plus précisément sur l'île de Skellig Michael, et que le huitième film "Star Wars" débutera son tournage. Oscar Isaac reprendra son rôle de Poe Dameron, le pilote de X-Wing. L'Américano-guatémaltèque donnera la réplique à Benicio Del Toro, confirmé au générique, a priori dans le rôle du méchant. Les jeunes Tatiana Maslany ("Orphan Black"), Gina Rodriguez ("Jane the Virgin") et Olivia Cooke ("Bates Motel") seraient pressenties pour le premier rôle féminin. Ryan Johnson ("Looper") a été sélectionné par Disney pour mettre en scène ce 8e épisode, succédant ainsi à J.J. Abrams. "Star Wars : Épisode VIII" sortira le 26 mai 2017 dans les salles américaines, soit un an et demi après "Le Réveil de la force". Quand à l'Épisode IX, Colin Trevorrow, le réalisateur de Jurassic World, vient d'être engagé pour diriger l'Épisode IX, dont la sortie est prévue en 2019. Pour ce dernier l'univers doit être réel et avoir plusieurs histoires portant le scénario.
Deux spin-offs sont déjà programmés. Le premier, intitulé Rogue One, est presque en boîte. Mis en scène par Gareth Edwards (Monsters, Godzilla), il racontera l'histoire d'une bande de combattants de l'Alliance qui s'unissent pour voler les plans de l'Étoile Noire. Sortie prévue en 2016. Le choix de Felicity Jones, récemment nommée aux Oscars pour sa performance dans Une merveilleuse histoire du temps, où elle jouait la femme de Stephen Hawking, annoncée dès le départ semble indiquer que cet épisode de Star Wars sera centré sur une héroïne. Si elle se confirme, cette décision est "révolutionnaire" puisque jusqu'à présent les femmes, bien qu'ayant une place importante, restaient cantonnées aux seconds rôles. L'autre film dérivé racontera la jeunesse de Han Solo. C'est Chris Miller et Phil Lord, les réalisateurs de La Grande Aventure Lego, qui seront derrière la caméra. Reste à trouver un acteur à la hauteur de Harrison Ford, l'illustre interprète du contrebandier le plus cool de la galaxie. Sortie prévue en 2018. Selon Kathleen Kennedy, "Han Solo sera au début de la vingtaine" et "Ce ne sera pas un petit garçon de 10 ans". Allusion à l'Épisode 1 raté ? Selon elle, ce film sera divertissant et drôle. Elle déclare aussi qu'"Han Solo est le personnage de la saga dont tout le monde sait qu'il a un grand sens de l'humour. Donc, le film montrera cela." Et comme si ça ne suffisait pas, Disneyland travaille sur la construction de deux parcs dédiés, extension de ses sites en Californie et en Floride.
Disney sort le grand jeu et semble utiliser la même méthode utilisée que pour les films Marvel pour retenir l'attention des fans, mais il faudra faire attention à ne pas décevoir. Ici en France, l'épisode VII sortira le 16 décembre 2015, c'est à dire plus tôt qu'aux États-Unis, ce qui n'est pas un incident, car le public français est difficile à satisfaire.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Les journaux (francetvinfo.fr, HuffigtonPost.fr, RTL.fr, L'OBS, Libération.fr et Allociné.fr) nous ont fait découvrir récemment le poster officiel de l'Épisode VII qui est riche en révélation. Elle nous révèle peut être des pistes sur l'intrigue.
On ne trouve pas Luke Skywalker sur celui-ci au contraire de Leia, Han Solo, Chewbacca, R2-D2, C-3PO, les héros de la trilogie originale. On pose alors la question de savoir s'il est en exil, mort ou s'il est un personnage secondaire ? Le personne de Kylo Ren, joué par l'acteur américain Adam Driver, domine l'ensemble de l'affiche. Son sabre laser rouge, le bâton de Rey, interprétée par Daisy Ridley, et le sabre laser bleu, de Finn, joué par John Boyega, forment une pyramide dans laquelle se trouvent tous les personnages. Si Ren domine, c'est bien Rey qui apparaît comme la figure centrale. La façon dont son bâton s'aligne avec le sabre de Ren promet un duel intéressant entre les deux. Ensuite, Han Solo, arme à la main, est au c½ur de la pyramide qui englobe tous les personnages, et la Princesse Leia est juste à côté de lui, ce qui montre une grande proximité entre eux. Ensuite le Premier Ordre (organisation militaire créée après la mort de l'empereur Palpatine et de Darth Vader) est obsédé par l'histoire de l'Empire. Il parait donc normal qu'il puisse revisiter l'un des plus ambitieux plan de l'empereur Palpatine et de Darth Vader : la création d'une arme capable de rayer des planètes entières de la carte galactique. En 1977, dans le premier Star Wars, l'Étoile Noire semblait être de la taille de la Lune, et posséder plusieurs faiblesses. Cette chose, peut-être la tueuse d'étoiles dont J.J. Abrams a parlé lors du Comic-Con, semble avoir les mêmes capacités destructrices. L'affiche dévoile une nouvelle créature, un alien niché entre BB-8 et R2-D2. Le trailer qui pourrait être dévoilé lundi pourrait nous en apprendre plus, mais on peut supposer qu'il s'agit de Maz Kanata, le pirate de l'espace, joué en motion-capture par Lupita Nyong'o, primée aux Oscars pour le film 12 Years of Slave. Dans le trailer posté en avril dernier, une petite main, qui pourrait appartenir à Maz Kanata, remet à la princesse Leia le sabre laser perdu de Luke Skywalker.
On sait depuis un moment maintenant que Finn, le Stormtrooper fugitif, va mettre la main sur un sabre laser. Celui de l'affiche ressemble au sabre brandi par Luke Skywalker. C'est Obi-Wan Kenobi qui lui avait transmis, le présentant comme l'arme utilisée par son père. Reste à savoir comment il se débrouille avec. D'après l'affiche, plutôt bien. Les poids lourds du Côté obscur, le général Hux et Snoke le chef suprême du Premier Ordre, ne sont pas représentés sur l'affiche. Mais le capitaine Phasma, à l'armure chromée, joué par Gwendoline Christie, affirme une présence sérieuse et arrogante à la base de la pyramide de personnages. Son armure et sa posture renvoient un message clair : "Rendez-vous". Une des questions sans réponse du Réveil de la Force est la raison derrière ce bras rouge cramoisi de C-3PO, aperçu dans les scènes distillées par les producteurs. Il est peu probable que quelque chose ait changé, mais la nouvelle affiche obscurcit ce détail particulier derrière la tête de Han Solo. Nous apprendrons sans doute l'origine de ce bras dans un prochain comic book, mais pour le moment, cela semble être un détail secondaire. À noter, également, juste au-dessus du robot BB-8, un aperçu de Teedo, un personnage récemment dévoilé. D'après le site officiel de Star Wars, il s'agit d'un "petit et grossier charognard qui erre dans le grand terrain vague de Jakku dans son Luggabest semi-mécanique". Une chose est sûre, la créature est liée à Rey, la jeune femme au centre du poster. La disparition officielle de la mention "Épisode VII" semble montrer que contrairement à la prélogie, qui faisait précéder le titre de l'épisode d'un chiffre, Le Réveil de la Force se garde bien de mettre en avant son numéro de série. Le studio peut présenter cette disparition comme un retour aux sources puisque les affiches de la première trilogie ne le faisaient pas non plus. Mais il s'agit sans doute surtout d'un choix stratégique : l'enjeu est de faire percevoir cet épisode comme un nouveau départ, et non comme une énième suite.
La bande-annonce diffusée à la mi-temps d'un match de football américain sur la chaîne américaine ESPN lundi soir, et donc aux alentours de 2h du matin mardi pour la France nous apprend beaucoup plus sur cet Épisode VII. On y découvre un peu plus la nouvelle génération de héros de la saga. "Le réveil de la Force" démarre 30 ans après la fin du "Retour du Jedi". La vagabonde solitaire Rey (Daisy Ridley) vit sur la planète désertique Jakku, où une voix demande à Rey"Qui es-tu ?", qui accompagnée du robot BB-8, celle-ci répond sobrement "Personne", dans une scène, où sa réelle identité se pose en question centrale de cette bande-annonce, le pilote le plus rapide de la galaxie Poe Dameron (Oscar Isaac) est envoyé en mission "par une certaine princesse" et se fait torturer dans une scène à l'aide de la force par Kylo Ren comme le faisait Darth Vader, à savoir la mythique Leia (Carrie Fisher), désormais grisonnante, tout comme l'inénarrable franc-tireur Han Solo (Harrison Ford). L'Épisode 7 ne dérogera pas à la règle. Les affrontements entre les TIE Fighters de l'Empire et les X-Wing des Rebelles seront de la partie. Le tout, pimenté par le passage du Faucon Millénium, le vaisseau culte du contrebandier Han Solo. Les combats se multiplieront sur Jakku, sur une planète verte et sur une planète enneigée (Hoth ?). Quant à Luke Skywalker et aux Jedi, la jeune héroïne Rey n'est même pas sûre de leur existence. "Il y a des légendes sur ce qui s'est passé", la voit-on demander à Han Solo, qui est bien placé pour connaître la réponse : "Tout est vrai : le côté obscur, le Jedi..." Une phrase qui éclaire sur l'état de la galaxie, 30 ans après "Le Retour du Jedi". En effet, cela signifie que la force, les Jedi et le Côté obscur passent pour des mythes. On tient peut-être là l'explication et l'importance du mot "réveil" du titre de cet épisode. On voit ensuite Han Solo qui emmène Finn et Rey dans une sorte de temple, qui rappelle celui de la lune Yavin IV. C'est sur cette lune que les rebelles ont installé leur avant-poste, et là que Luke Skywalker décide de créer une nouvelle Académie Jedi. Serait-ce là que se cache Luke Skywalker ?
Le personnage pivot du nouvel opus promet d'être John Boyega : dans la bande-annonce officielle, on le voit retirer un casque de soldat de l'Empire avant de rejoindre Rey et Han Solo pour combattre "le côté obscur de la Force" et troque son armure blanche pour une blouse ample, comme celle que portent les membres de la Résistance. Dans son armure de Stormtrooper, il dit n'avoir été "formé qu'à une seule chose" et n'avoir "aucune cause à défendre". Lui aussi semble traverser une crise identitaire. La vidéo montre un vaisseau TIE Fighter, vraisemblablement de Finn, s'échouer sur la planète désertique Jakku. Est-ce ainsi que Finn va rencontrer Rey ? Kylo Ren, interprété par Adam Driver, mène de son côté son armée du Premier Ordre, issue de l'Empire, dans une offensive sanglante face à la planète Jakku et aux rebelles qu'ils affrontent lors de spectaculaires batailles spatiales. Selon J.J. Abrams il "perçoit le travail de l'Empire comme incomplet" et "Darth Vadrr comme un martyr". "Rien ne se dressera sur notre chemin. Je finirai ce que tu as commencé", promet d'un ton lugubre Kylo Ren, armé d'un sabre laser cruciforme et vêtu de noir, en s'adressant au masque écrasé de Darth Vader. Kylo Ren devrait répondre à un maître, en la personne du Leader suprême Snoke, interprété par Andy Serkis. C'est lui qui serait le véritable dirigeant du "Premier Ordre", vu lors d'une scène où un dirigeant à l'allure hitlérienne s'adresse à une armée de Stromtroopers. Snoke et Kylo Ren pourraient ainsi avoir une relation proche de celle qu'avait Darth Vader et l'Empereur Palpatine. D'ailleurs, la bande-annonce montre également une planète où les flammes se multiplient et où les Stormtroopers poussent des prisonniers à travailler. Ce qui reste de l'Empire s'emploierait-il à construire une nouvelle Étoile noire ? L'affiche officielle du film donne à voir Starkiller (littéralement "tueur d'étoiles") qui s'apparente à une nouvelle version de l'engin de mort.
Dans un plan furtif (à 1'40), on aperçoit une silhouette qu'on n'a encore jamais vue dans les extraits du Réveil de la Force. Son visage est caché par une capuche noire. Mais, entre son bras droit mécanique et la présence de R2-D2, nombreux sont les indices qui laissent penser qu'il s'agit là de Luke Skywalker. La vidéo propose ensuite une scène inattendue : Rey pleurant au-dessus d'un cadavre. L'épopée "Star Wars" se doit d'avoir ses morts, ses martyrs. Reste à savoir de qui il s'agit. De Han Solo, son potentiel père ? De Luke Skywalker, son potentiel maître, puisque quelques plans plus tard, on voit la princesse Leia Organa (interprétée par Carrie Fisher) se blottir contre Han Solo avec tristesse ? Du Wookie Chewbacca (interprété par Peter Mayhew), puisqu'on a l'impression d'apercevoir de la fourrure ? Mystère... La bande-annonce se conclut sur la bataille finale entre l'apprenti Jedi Finn et le jeune chevalier de Ren, Kylo Ren. Le tout avec la voix de Leia qui a le dernier mot de la bande-annonce. Sa voix intime à un interlocuteur mystérieux : "La Force, elle t'appelle. Laisse-là t'envahir." Pour plus d'information, il faudra voir le film le 16 décembre 2015.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.235.195.196) si quelqu'un porte plainte.
Partage