Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.
Nous allons voir aujourd'hui Shadows House, le manga écrit et illustré par So-ma-to lancé dans Weekly Young Jump en septembre 2018, qui en est actuellement à son 7e volume. Il a été suivi par une adaptation animée produite par Clover Works diffusée depuis le 11 avril sur Tokyo MX, BS11, GTV, GYT, MBS, BS Asahi, WOWOW, et FTV. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
Ce manga est l'½uvre du duo So-ma-to – la scénariste Nori, aimant la comédie d'horreur et le dessinateur Hisshi, préférant les illustrations dérangeantes d'Edward Gorey -, repérés en 2011 pour Kuro, qui nous donne une ½uvre gothique originale se basant sur un concept qui leur est venu lors d'une balade à la recherche de vêtements à dessiner, en voyant un mannequin en magasin, une silhouette noire, sans expression faciales, ce qui permettait de mettre en valeur la tenue des personnages qui ont un visage en aplat noir. Une autre raison vient du fait qu'Hisshi déteste dessiner les visages des personnages, il voulait seulement dessiner les vêtements et les arrière-plans. D'ailleurs si les Shadows ne sont pas représentés, c'est pour favoriser l'imagination et de savoir quels sentiments se dégagent de leurs visages. Le pari est de donner de l'humanité à des ombres sans visage, et cela s'avère réussi puisque cela permet d'exacerber l'émotion des personnages. Cela permettait au duo d'exprimer des émotions autres que les expressions faciales. Et cela permet à Hisshi de prendre du temps à dessiner des personnages mignons. Pour le reste, Nori s'occupa d'une collection de vêtements et d'arrière-plans dans lesquels il est doué, des bâtiments qui sont un passe-temps commun des deux, et la vie quotidienne sur une scène étrange. Ce manga repose aussi sur le duo que Kate forme avec Emilyco, une poupée vivante entrée à son service, dont cette dernière va lui permettre d'exprimer ses sentiments et ses envies, tout en brisant la monotonie de la demeure des Shadows par son envie de bien faire et son caractère enjoué. Le duo Nori et Hisshi par ce moyen peut livrer un récit mystérieux introduit dans la vie quotidienne et une installant un décor des plus original, un manoir, tout cela grâce à un repérage de quelques jours en Angleterre leur permettant de travailler leurs références et leurs ambiances. Cette ½uvre été sérialisée relativement discrètement au début, mais au moment de la sortie gratuite, plusieurs personnes ont pu partager leurs impressions sur Twitter, etc., et le manga en format papier a été rapidement épuisé. Enfin, tout cela permet au duo de rendre la situation différente pour toutes les histoires. En gros, on se retrouve tous les jours sur une scène étrange, des personnages étranges qui ne sont pas des humains, de l'agitation, de l'action, une situation surréaliste, de l'amour familial, la libération d'un traumatisme, des croyances populaires ... Juste en changeant le paquet type de ces mangas fantastiques et tout cela avec un superbe dessin, voulu par Hisshi avec une méthode de dessin rappelle l'imprimé à l'ancienne afin de correspondre à la méthode de dessin avec une gamme d'expression également limitée.
Ce manga plutôt réussi tenant sur 7 volumes nous fait découvrir une histoire, où il existe quelque part un vaste manoir fréquenté uniquement par des nobles qui sont en réalité des ombres sans visage et des poupées vivantes qui passent une grande partie de leur temps à nettoyer la suie émise par leurs mystérieux maîtres, tout en leur servant de visages. Ainsi, nous suivons l'histoire d'Emilyco, une jeune et joyeuse poupée vivante, qui découvre ses fonctions de servante avec Kate sa mystérieuse maîtresse se limitant pour le moment à nettoyer la suie projetée par sa maîtresse. Elle devra devenir le «visage» de Kate une fois que sa maîtresse sera assez âgée pour être présentée aux autres résidents du vaste manoir dans lequel ils vivent. Et elle pense que tout ce qu'elle a à faire est de travailler dur et de rendre Kate heureuse. Mais les choses dans le manoir ne sont pas si simples ou agréables, et au fil des rencontres, elle découvrira le monde dans lequel elle vit, commencera à s'interroger sur le sens de son existence et se liera d'amitié avec son entourage, découvrant peu à peu le quotidien des habitants de la maison qui révèle progressivement ses mystères. Ce qui permet à Emilyco de grandir en interagissant avec d'autres poupées vivantes en nettoyant et en apprenant beaucoup de Kate. Et la luminosité positive d'Emilyco change progressivement les personnes impliquées, y compris Kate. Finalement, le jour de «l'annonce» est venu lorsque les enfants ombres sont testés pour leurs qualités. Après avoir surmonté diverses épreuves, Emilyco et Kate ont réussi à franchir l'«annonce» et ont été traitées comme des ombres adultes, mais en même temps, l'hétérogénéité de ce maison-musée est progressivement devenue claire. Et ayant des doutes sur Shadows House, Kate a décidé de se rebeller pour protéger Emilyco. Commençant comme une tranche de vie, cette ½uvre accumulant progressivement plus d'éléments de mystère et d'horreur dans un univers gothique au fur et à mesure, explique le succès de ce manga.
L'anime annoncé en octobre 2020 dans le 6e volume du manga, est diffusé sur Tokyo MX, BS11, Gunma TV et Tochigi depuis le 11 avril, et il est également diffusé sur MBS, BS Asahi, WOWOW, et Fukushima TV. Kazuki Ohashi (réalisateur des épisodes pour Kakegurui, Gi(a)rlish Number, Gyakuten Saiban : Sono "Shinjitsu", Igi Ari! Season 2) réalise la série pour Clover Works (Darling in the Franxx, Yakusoku no Neverland, Fate/Grand Order: Zettai Majū Sensen Babylonia), et Toshiya Ono (Yakusoku no Neverland, Gatchaman Crowds, Tsuritama) supervise les scripts de la série. Chizuko Kusakabe (Pumpkin Scissors, Trouble Chocolate) est à la conception des personnages, et Kenichiro Suehiro (Hataraku Saibō, Golden Kamuy, Re:Zero kara Hajimeru Isekai Seikatsu Tanpenshuu) compose la musique et s'occupe de l'opening musical avec un ch½ur de voix féminines lui offrant une certaine aura de mystère. ReoNa contribue à l'anime sa nouvelle avec chanson "Nai Nai" comme ending. L'histoire reprend parfaitement celle du manga est s'avère très prenante, et les graphismes sont tous simplement magnifiques avec leur touche gothique. Il faut dire également que So-ma-to est régulièrement consulté pour que les épisodes de la série animée soient particulièrement réussis.
Shadows House et un très bon manga, à l'histoire prenante, livrant ses mystères à petite dose et permettant de découvrir l'univers gothique et fantastique de nos deux héroïnes, Kate l'ombre et Emilyco la poupée vivante, qui se poursuit dans le vaste univers de l'animation. Une belle découverte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Originaire de la grande bourgeoisie rouennaise (son père était armateur), Maurice Leblanc fait d'abord paraître des romans d'analyse psychologique (une dizaine en tout, qui lui vaudront l'estime d'écrivains aussi importants que Léon Bloy et Jules Renard), ainsi qu'une pièce de théâtre, La Pitié. Il a commencé à écrire ses livres à la manière de Zola, de Maupassant, de Flaubert... Des auteurs qu'il admirait énormément. Pour lui, la littérature policière était une sous-littérature, ce n'était pas du tout ce qu'il rêvait de faire. En 1904, Maurice Leblanc publie dans le journal L'Auto un conte intitulé Un gentleman. Le gentleman en question était un voleur d'automobiles... Leblanc ne le sait pas encore, mais il tient là le personnage d'Arsène Lupin. C'est en juillet 1905 qu'il rédige à la demande de Pierre Lafitte, éditeur très inventif, qu'il avait rencontré Maurice Leblanc à un club de cyclistes qu'ils fréquentaient tous deux, l'Artistic Cycle Club, il Leblanc avait collaboré avec lui en 1902 pour une revue appelée Femina, et il lui avait tout naturellement demandé une nouvelle pour le magazine Je sais tout la première aventure de celui qui va devenir l'un des personnages les plus célèbres du roman populaire, L'Arrestation d'Arsène Lupin, où le héros était un sympathique cambrioleur, dont le nom a sans doute été influencé, inconsciemment, par un conseiller municipal de Paris qui s'appelait Arsène Lopin, et après protestation de l'intéressé, il se soit transformé en Lupin. C'est le début d'une longue série qui comprendra en tout une vingtaine de romans et de recueils de nouvelles, dont la rédaction s'étendra sur près de trente ans. Le succès est immédiat. Il faut dire que Pierre Lafitte possède un génie commercial rare: dès 1907, il utilise abondamment la publicité, ce qui ne se faisait pas du tout à l'époque et ne sera popularisé, pour les livres, qu'après la guerre de 14-18 par l'éditeur Bernard Grasset. Quand on lui demanda pour la création d'Arsène Lupin, Maurice Leblanc dit : «Je serais incapable de vous dire comment l'idée m'en est venue. Sans doute était-elle en moi, mais je l'ignorais (...) En réalité, tout cela est né dans mon inconscient.» Et s'il a «été influencé par un romancier, c'est par Edgar Poe», tout en ajoutant ses lectures pour enfants : «Fenimore Cooper, Assolant, Gaboriau, et plus tard Balzac, dont le Vautrin m'a beaucoup frappé». Et pour L'arrestation d'Arsène Lupin, il présente un procédé très particulier et, à l'époque, inédit : le coupable est le narrateur, Arsène Lupin. Cette idée géniale sera reprise plus tard par Agatha Christie dans Le meurtre de Roger Ackroyd, mais c'est une invention signée Leblanc. «C'est ainsi qu'un soir d'hiver Arsène Lupin m'a raconté cette aventure...» : voilà comment Maurice Leblanc présente les choses. Comme s'il était le confident de Lupin. Cela donne une épaisseur considérable au personnage. Dubitatif lui-même quant au potentiel d'une série (en livres), Leblanc, "harcelé par l'éditeur Lafitte et ses collaborateurs, accepte de donner une suite à la nouvelle". Il fait d'Arsène Lupin l'archétype du caméléon et du justicier, anarchiste et dandy. Par son intelligence facétieuse, son sens de l'honneur et le choix de ses cibles, riches peu recommandables ou peu susceptibles d'être mis sur la paille, ce délinquant multirécidiviste suscite chez le lecteur une sympathie paradoxale.
L'histoire prend pied dans la «Belle époque» où Maurice Leblanc fait surgir Arsène Lupin, au début du siècle dernier, alors que la bourgeoisie française est prospère et oisive comme jamais. La prospérité économique règne bien qu'une faible natalité commence à poser des problèmes dans les campagnes et les usines où l'on manque de mains. L'empire colonial français, lui, atteint son apogée. Le sentiment patriotique domine, nourri par le désir de venger la défaite de 1870 et les confrontations récurrentes avec les autres grandes puissances à propos des affaires coloniales. Sur le plan scientifique et technique, la France est à la pointe des découvertes modernes dans l'automobile, l'aviation, la photographie et le cinéma. C'est aussi le moment où Paris apparaît comme la capitale du monde. La culture y est effervescente, symbolisée par l'Exposition universelle de 1900 et le Sacre du Printemps de 1913. Cette opulence en tout profite principalement aux bourgeois, qu'ils soient aristocrates, “de la haute” ou nouveaux bourgeois. Tous se vautrent dans le confort du progrès, accourent voir les créations artistiques et voyagent beaucoup. Cette classe de loisir, forte d'un million de personnes environ sur 40 millions d'habitants, qui jouit de ses consommations, reste malgré tout sur ses gardes, minée par la crainte d'être la prochaine victime d'une escroquerie et d'être tournée en ridicule. En réalité, la Belle Époque n'est qu'un leurre. Tout en haut, une bourgeoisie arrogante et triomphante. Tout en bas, la masse des traîne-misère et l'ordre répressif. C'est là qu'entre en scène le cambrioleur-gentleman le plus célèbre de la Belle époque : Arsène Lupin. À l'époque, le cambriolage était un fait social nouveau et dont on parlait énormément : c'est la Belle Epoque, celle du triomphe de la bourgeoisie, des maisons riches remplies d'objets de valeur à dérober... Fini le temps des bandits de grand chemin qui ne pouvaient pénétrer dans les belles demeures trop bien gardées. Au début du XXe siècle, des phénomènes nouveaux apparaissent : l'usage des chèques, les appartements inoccupés... Les cambriolages se sont donc considérablement développés. C'est d'ailleurs à cette époque que le mot fait son apparition dans le dictionnaire Larousse ! Dans les journaux, on parle déjà des «gentilhommes cambrioleurs»... Mais l'expression «gentleman cambrioleur» est une invention de Maurice Leblanc qu'il calque sur «gentleman farmer» : il met le terme à la mode car il y avait une véritable passion, en ces années-là, pour tout ce qui venait d'Angleterre. Et il se serait aussi inspiré d'un des nombreux «travailleurs de nuit» de cette époque pour son fameux «gentleman cambrioleur», Marius Jacob, né à Marseille le 29 septembre 1879, qui explore de nombreux métiers avant ses 18 ans. Mais, surtout, il est anarchiste, un de ces anars au grand c½ur devenu voleur par conviction afin de redistribuer l'argent des riches aux pauvres. Lors de l'une de ses innombrables parties de monte-en-l'air, il se sent obligé de remettre les meubles et les objets dérobés au lieutenant de vaisseau Viaud après s'être aperçu qu'il s'agissait de... Pierre Loti. Une autre fois, il va donner deux lingots d'or à une vieille marquise dans la dèche. Avec ses hommes, les "Travailleurs de la nuit", il met au point de nouvelles techniques de cambriolage dont la "décentralisation" des opérations par le chemin de fer pour brouiller les cartes de la police. 150 "actions" et de substantiels bénéfices plus tard, il est arrêté à Abbeville et condamné aux travaux forcés à perpétuité en 1905, l'année où paraît L'Arrestation d'Arsène Lupin, premier volet de l'½uvre célèbre de Maurice Leblanc. Bagnard en Guyane, aux îles du Salut pendant un quart de siècle, véritable modèle de Papillon, il tente dix-sept fois de s'évader. Libéré le 30 décembre 1928, il devient, par amour de la liberté, marchand-forain, un métier qu'il invente. Après une dernière et sublime histoire d'amour, il choisit de mettre fin à ses jours le 28 août 1954, achevant lucidement ce roman vrai qui est aussi un vrai roman. Cette hypothèse est avancée par certains spécialistes comme Laurent Maréchaux mais démenti par d'autres.
Son très galant, très élégant, très caméléon et trop futé voleur aux belles manières se glissera de manières différentes au fil de 18 romans, entre autres. Fils d'un professeur de boxe française un peu escroc, mort aux États-Unis, et d'une mère qu'il perd étant enfant, Arsène Raoul Lupin est, avant tout, un amateur d'art, et non un vulgaire cambrioleur. Lupin démarre sa carrière à l'âge de 6 ans en volant rien moins que le fameux collier de la reine ! Puis il résout trois des quatre secrets de Marie Antoinette, retrouve le trésor des abbayes de France, constitué au fil des siècles grâce aux dons faits à l'église, localise la fortune des rois de France cachée dans l'aiguille creuse d'Étretat, reçoit l'empereur Guillaume II dans sa prison et conquiert pour la France un empire colonial en Mauritanie. Toutes ces opérations se font sans violences (Lupin s'interdit expressément le meurtre), et ses victimes sont toujours antipathiques. Comme Maurice Leblanc, Arsène Lupin est sensible aux idées anarchistes des années 1890-1900 étaient également des dandys dans leur tenue vestimentaire que sont le Chapeau haut de forme, la canne... Aujourd'hui, cela peut surprendre, mais à l'époque les deux attitudes étaient profondément liées. L'anarchisme était un moyen d'affirmer sa supériorité sur la société. Mais Lupin l'anarchiste n'en a pas moins une certaine sympathie pour l'aristocratie. Et comme les anarchistes, la police est sur ses traces comme l'inspecteur Ganimard, et il affronte aussi le détective Herlock Sholmès, pourtant Leblanc avait utilisé sous son vrai nom la 1re fois qu'il l'avait fait apparaître. Le droit d'auteur était moins rigoureux qu'aujourd'hui. C'était Lafitte qui lui avait suggéré cet emprunt. Mais Conan Doyle protesta, et Leblanc modifia le nom. On a souvent voulu rapprocher Sherlock Holmes d'Arsène Lupin, mais ils sont extrêmement différents, voire opposés. À la froideur mécanique de l'un s'oppose l'intuition élégante de l'autre. De savants commentateurs ont d'ailleurs calculé que ses vols lui permettent à peine de couvrir ses frais... Son univers, à la différence de celui du roman populaire traditionnel (par exemple la cruauté du Fantomas de Souvestre et Allain), est celui de la comédie rose, et il serait parfois fade si l'extrême ingéniosité des intrigues et un humour virulent, d'allure volontiers parodique (ainsi la lutte contre le fameux détective Herlock Sholmès), n'en avivaient puissamment l'intérêt. Et ses aventures galantes sont généralement belles, blondes, se déhanchent avec lascivité et se laissent séduire... Mais il n'a pas beaucoup de chance avec elles. La plus connue est la Comtesse de Cagliostro, une figure très mystérieuse, à la fois ennemie mortelle et très attirante. Elle l'empêche d'aimer la pure Clarisse d'Etigues. Il y a aussi La Demoiselle aux yeux verts (1927), qui a été dit-on inspiré par la s½ur de Maurice Leblanc, Georgette. C'est un héros romantique. Leblanc aussi l'était, et il avait la larme très facile : un coucher de soleil à Étretat suffisait à le faire pleurer. Sans en faire un héros tragique, les amours de Lupin sont souvent malheureuses. Il n'y a qu'à la fin de La Barre-y-va (1931) où, hésitant entre deux s½urs, il finit par partir... avec les deux.
Le cycle d'Arsène Lupin reste un des grands monuments de la littérature populaire d'avant 1914 avec Rouletabille et Fantomas; il s'en distingue cependant par un souci d'écriture beaucoup plus vif et par une sorte de grâce distinguée qui fait encore son charme aujourd'hui. Il n'est pas facile d'y choisir un titre plutôt que d'autres : on peut cependant citer L'Aiguille creuse (1909), dans lequel l'intrigue nous fait remonter jusqu'à Jules César, mais laisse à la fin intervenir un sous-marin, Le Bouchon de cristal (1912), ainsi que L'Île aux trente cercueils (1919), un peu gâché par l'hystérie chauvine qui l'imprègne, mais dont les deux premiers tiers constituent un admirable roman fantastique. Mais cela s'explique avec l'épopée de la bande à Bonnot, en 1912, qui a lié l'anarchisme et le banditisme. Maurice Leblanc a suivi l'affaire de très près. Il a même été mandaté par un journal américain pour rendre compte de l'arrestation et de l'exécution de Bonnot. De ce moment-là, les sympathies anarchistes de Leblanc ont fondu, et Lupin est surtout devenu, à partir du Bouchon de cristal (1912), un défenseur de la veuve et de l'orphelin. Avec la guerre de 14-18, il va devenir très patriote et se lancer dans des croisades «antiboches», et petit à petit cesser d'être cambrioleur pour devenir détective. Il est, sur la fin, le dernier recours des jeunes filles en détresse contre ceux qui leur veulent du mal. L'épilogue des Dents du tigre (1921) le voit même parler de retraite et se retirer dans sa propriété pour y profiter de ses biens. Ce jour-là, c'est lui qu'on pourrait cambrioler... Beaucoup d'aventures se terminent comme si elles étaient les dernières : la fin de L'Aiguille creuse, celles de 813, du Bouchon de cristal ou des Dents du tigre montrent un Arsène Lupin bien décidé à prendre sa retraite. Mais Leblanc a dû le ressusciter à chaque fois pour des questions d'argent comme dans Le Bouchon de cristal, Les Huit Coups de l'horloge, La Comtesse de Cagliostro,... C'était ce qui se vendait le mieux. Ses lettres à son éditeur, Hachette, montrent à quel point il tentait de faire pression sur lui pour qu'il y ait davantage de publicité et de mise en place. Avec le temps, le gentleman cambrioleur devient lui-même un bourgeois comme son auteur dans la mesure où il ne songe plus du tout à cambrioler. Il est très attaché à ses biens. À la fin des Dents du tigre, il se retire dans sa propriété pour cultiver tranquillement ses fleurs et profiter de ses richesses. Au point que dans ses dernières aventures, il est devenu un personnage que les jeunes filles en difficulté viennent chercher pour les délivrer de ceux qui leur veulent du mal. Ce retour vers une moralité plus traditionnelle n'enlève rien au charme du personnage, charme qui est aussi celui d'une époque, des Années folles, de la montée en puissance de l'automobile, de la griserie d'une génération s'étourdissant après la blessure de la Grande Guerre.
La série Arsène Lupin compte 17 romans et 39 nouvelles, ainsi que 5 pièces de théâtre, tous écrits de 1905 à 1941, des romans dotés d'un style clair et limpide qui explique le succès durable de cette saga. Maurice Leblanc racheta en 1918 à l'éditeur Eugène Fasquelle Le Clos Lupin, anciennement appelé Le Sphinx – et que Leblanc rebaptisa après y avoir, en guise de clin d'½il, planté... des lupins. Homme placide, doux, assez rêveur, Maurice Leblanc ne voulait surtout pas être dérangé, la maison entière se taisait. Il se promenait avec un grand châle et un chapeau de paille. Il était sur la fin de sa vie assez angoissé. Il a été mangé par son personnage... En effet, Maurice Leblanc allait jusqu'à signer Arsène Lupin dans les livres d'or des restaurants ou à attribuer à son personnage ses véritables adresses. Son dernier roman, alors que Leblanc s'était réfugié à Perpignan pendant la guerre, Les Milliards d'Arsène Lupin, paru en 1941, et qui avait été corrigé par la belle-fille de Leblanc, lui-même étant trop malade, n'est pas non plus un bon texte. On y retrouve en revanche une constante : celle de son souci permanent du renouvellement. Son ½uvre inspira Gaston Leroux (Rouletabille), ainsi que Souvestre et Allain (Fantômas). Pourtant, l'avant-garde surréaliste préférait à Arsène LupinFantômas, ce voleur tueur à cagoule de terroriste, cet anarchiste rocambolesque, contemporain de la bande à Bonnot. Fantômas : Breton le vante. Magritte le croque. Amoureux du héros de Souvestre et Allain, Apollinaire fonde même une Société des Amis de Fantômas. Car Fantômas, c'est la subversion. «Une ½uvre à laquelle nous nous référerons le soir sanglant des barricades», selon Robert Desnos. «Du Nietzsche écrit pour les boniches», écrit amoureusement Max Jacob. Bref, tout le contraire de Lupin. Ce désamour s'explique par le fait que longtemps il fut vénéré par l'Action française, et que son héros fréquente les hobereaux normands et semble peu s'occuper de l'émancipation des masses. Pourtant, rien n'est plus faux, car au départ Lupin est un «redresseur de torts», un homme «parti d'une basse extraction, qui s'est fait lui-même, et ensuite qui a décidé de venger la veuve et l'orphelin, de défendre les pauvres en poursuivant les mauvais riches», ce n'est que plus tard qu'il s'embourgeoise comme son auteur, ce qui a entraîné son désamour, et c'est aussi le succès de ces romans, adaptés au théâtre, au cinéma et à la télévision, font de l'univers d'Arsène Lupin une référence de la culture populaire française du XXe siècle. L'héritage de Maurice Leblanc continue de perdurer. Une Association des amis d'Arsène Lupin a été fondée en 1985; elle est présidée en 2004 par Lydie Dabirand. Les exploits d'Arsène Lupin se déroulaient dans la capitale et dans le pays de Caux, qu'il connaissait bien : collectionneur de cartes postales, il avait recensé quatre cents manoirs entre Le Havre, Rouen et Dieppe. Les lupinophiles arpentent les lieux cités dans les intrigues de Leblanc en Normandie : Étretat, où Le Clos Lupin, est, depuis 1999, un musée entièrement consacré à son personnage de roman, divisée en huit étapes, la demeure renferme ses écrits, de nombreux objets personnels et des photos qui retracent sa carrière il est aussi présenté comme "la maison d'écrivain la plus visitée en France" selon sa directrice Maryse Alix, attirant des milliers de curieux chaque année, et le trésor des rois de France, Tancarville, le passage souterrain de Jumièges devant mener au trésor médiéval des abbayes... La piste des sept abbayes du pays de Caux reliées entre elles dessinerait la Grande Ourse et permet de retrouver l'étoile d'Alcor. Et dans l'espoir de faire perdurer l'esprit et le talent de son grand-père, Florence Leblanc a créé, en 2006, le prix Arsène Lupin, qui récompense les meilleures ½uvres de la littérature policière. La cérémonie se déroule dans la maison de Maurice Leblanc et offre au grand gagnant la somme de 1000 euros.
Les adaptations d'Arsène Lupin commencèrent avec la pièce de théâtre Arsène Lupin contre Sherlock Holmes au Théâtre (1909), inspiré du roman homonyme, dans laquelle Arsène Lupin fait ses premiers pas au théâtre sous la direction de Victor Darlay et Henry de Gorsse à Barcelone. Le succès est tel que la pièce arrive en France l'année suivante au théâtre du Chatelet, à Paris. Ce sont les États-Unis qui les premiers l'ont adapté au cinéma, en 1908, après Broadway. La France ne lui a offert son premier film en 1909, dans lequel Georges Tréville se glisse dans la peau du gentleman-cambrioleur dans l'adaptation muette de Michel Carré, et c'est Harry Baur qui interprète l'inspecteur Ganimard, grand ennemi de Lupin, et un second en 1913 Arsène Lupin contre Ganimard avec le même casting. Ses adaptateurs pouvaient-ils faire autrement que de le «déformer». Le cinéma montre, alors que Leblanc ne décrit jamais Lupin. Et le déguisement est à la base même du personnage, qui passe d'une identité à l'autre. Ensuite dans Arsène lupin détective d'Henri Diamant Berger (1937), c'est Jules Berry qui prête ses traits à Arsène Lupin. Une performance qui sera applaudie par le romancier en personne. Selon Police Magazine, face à l'interprétation de Jules Berry, Maurice Leblanc s'exclamera «Quel artiste !». Le film est en réalité l'adaptation de huit nouvelles policières issues de l'ouvrage L'Agence Barnett et Cie (1928). Le film sera adapté en 1948 par le dessinateur Georges Bourdin adapte plusieurs romans de Maurice Leblanc sous forme de comics pour le journal France-Soir. En 1956, c'est cette fois-ci Jacques Blondeau qui utilisera son crayon pour raconter les aventures d'Arsène Lupin dans Le Parisien libéré. Ensuite, Arsène s'envole pour le Japon en 1955, car très apprécié au pays du soleil levant, le personnage de Lupin aura le droit à plusieurs adaptations. L'une des plus populaires est celle de Tadashi Ashihara, Kao-no Nai Otoko, dans laquelle joue Eiji Okada. Cet acteur, inconnu en France à l'époque, connaîtra le succès avec son rôle dans Hiroshima mon amour (1959). Mais c'est Robert Lamoureux qui est peut-être celui qui a été le plus proche du modèle dans Les Aventures d'Arsène Lupin, de Jacques Becker (1957) et Signé Arsène Lupin, d'Yves Robert (1959). Les années 1970 nous montrent aussi la belle adaptation en série avec Georges Descrières [1971-1974], qui acquiert une grande admiration des téléspectateurs français, qui confondent parfois réalité et fiction. L'acteur confiera à France-Soir en 1985 : «Je recevais des lettres d'hommes et de femmes me demandant d'intervenir pour que leur pension leur soit payée. Comme si j'étais réellement le justicier Lupin». La série doit aussi sa popularité à son générique, interprété par Jacques Dutronc. Malheureusement, les nouvelles générations ne la connaissent pas.
Mais elles connaissent mieux, Lupin III, une série manga de l'année 1967, dans laquelle le héros de cette série animée japonaise des années 60 est introduit comme le petit-fils d'Arsène Lupin. N'ayant pas demandé les droits pour utiliser le nom du célèbre voleur de Maurice Leblanc, la série s'appelle Edgar de la Cambriole en France, alors qu'elle a eu le droit de garder le nom de Lupin III au Japon. Avec son succès à l'international, le manga continuera cependant de se faire connaître en utilisant le fameux nom de famille du gentleman-cambrioleur. En 2012, les droits patrimoniaux de Maurice Blanc disparaissent et la série peut finalement utiliser son nom original dans le monde entier. Dans Arsène Lupin joue et perd, très bonne minisérie tirée de 813 par Alexandre Astruc en 1980, Lupin joue trois rôles. Mais à chaque fois on reconnaît parfaitement Jean-Claude Brialy, qui l'incarne. Le jeu est biaisé. En 1989, François Dunoyer a incarné Arsène Lupin; un voleur qui change d'identité en permanence est un cadeau pour les comédiens. "C'est fascinant, c'est très amusant. C'est une gageure, c'est très difficile", confie le comédien. Dernière adaptation en date, au cinéma français, du personnage de Maurice Leblanc est Arsène Lupin en 2004. Jean-Paul Salomé a fait appel à Romain Duris pour interpréter son Arsène Lupin, Eva Green interprète Clarisse de Dreux-Soubise et Kristin Scott-Thomas la terrible comtesse de Cagliostro. Une adaptation pleine d'actions et de cascades. Malgré le talent de ses acteurs, le film s'est perdu en tas de sous-intrigues et a faillit enterrer la franchise. Dans les adaptations au Japon, on trouve Arsène Lupin de Takashi Morita (Kurokawa) en 2015, une adaptation manga somme toute classique mais réussie du personnage, qui plonge Arsène et sa bande de larrons dans la France dite de la Belle Époque, au début du XXe siècle. Entre enquête, mystère et frisson, la série fait la part belle aux talents de cambrioleur et d'acrobate de Lupin. Le dessinateur Takashi Morita a fait le déplacement au Clos Lupin pour réussir son ½uvre. En matière d'adaptations, Arsène Lupin n'est pas non plus en reste sur le Vieux Continent. Entre Les 1000 mystères d'Arsène Lupin de Crocbart et Galien (Cerises & Coquelicots) en 2016, Arsène Lupin les origines (Rue De Sevres) en 2014 qui nous raconte l'origine du gentleman cambrioleur, ou encore Arsène Lupin, l'aiguille creuse de Jérôme Félix et Michaël Minerbe (Orep) en 2018, le choix est grand. Mais la réécriture la plus célèbre du personnage reste sans doute la série Arsène Lupin d'André-Paul Duchateau et Jacques Géron (Soleil) en 2007. Une adaptation très fidèle de l'½uvre originale qui nous replonge dans son atmosphère classique et rebelle si caractéristique.
Grâce à la série Lupin, dans l'ombre d'Arsène disponible sur Netflix depuis le 8 janvier 2021 dont Omar Sy, est le héros, dans le rôle d'Assane Diop, fils d'un immigré sénégalais habitant dans les quartiers populaires, qui voit sa vie bouleversée par la mort de son père à la suite d'un emprisonnement pour un crime qu'il n'a pas commis, et à l'âge adulte, il s'inspire de son héros, Arsène Lupin, pour le venger, Arsène Lupin est plus populaire que jamais et redonne même le goût de la lecture aux adolescents. C'est un phénomène de curiosité auprès d'un public plutôt jeune qui a vu dans la série le livre qui était présenté comme une sorte de vecteur de savoir, d'émancipation et de réussite et du coup. Il y a eu une vraie ruée en librairie. Les lecteurs achètent un, deux, trois romans de Maurice Leblanc et c'est une belle mise en avant de ces classiques de la littérature française. En 15 jours, il s'est vendu autant de livres de poche qu'en un an. L'édition d'Hachette Romans, qui accompagne la nouvelle série, s'est ainsi écoulée à 10 000 exemplaires.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Nous allons voir aujourd'hui la franchise Slime Taoshite 300-nen, Shiranai Uchi ni Level Max ni Nattemashita, qui est une série de lights novels japonais de Kisetsu Morita, avec des illustrations de Benio, commencée en 2016 en tant que web roman, reprise par SB Creative en 2017 et distribué sous forme de série light novel, à partir du volume 5 en 2018, certains romans ont eu des éditions spéciales accompagnées de CD dramas. Le web roman sera suivi par trois spin offs : Hira Yakunin Yatte 1500-nen, Maō no Chikara de Daijin ni Sarechaimashita en 2017, Elf no Gohan en 2018 et Red Dragon Jogakuin en 2019. La même année que les lights novels ont commencé, une adaptation manga a été publiée par Square Enix pour leur plateforme en ligne, GanGan Online, illustrée par Yuusuke Shiba, suivie par les adaptations des spin offs : Hira Yakunin Yatte 1500-nen, Maō no Chikara de Daijin ni Sarechaimashita adapté par Meishi Murakami en 2019, et Red Dragon Jogakuin adapté par Hitsujibako en 2020. Ils seront suivis par deux web romans : Red Dragon Jogakuin Dai nana-wa Shinsei seito-kai no junan en janvier 2021, Mattari Shishō no Jidōteki Suparuta Kyōiku en mars 2021. Une adaptation animée des romans a été annoncée en 2019, avec la distribution des CD dramas reprenant leurs rôles, et a commencé à être diffusée le 10 avril 2021. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
L'histoire nous fait suivre dans les webs romans et les 16 volumes du light novel, Azusa Aizawa qui était une cadre japonaise ayant sacrifié (littéralement) sa vie pour son travail. Suite à son décès causé par le surmenage, elle obtient le droit de se réincarner avec une faveur en supplément; elle demande alors l'immortalité pour pouvoir profiter éternellement du repos et de la détente. Réincarnée en jeune magicienne, elle s'installe aux abords d'un village et passe les 300 années qui suivent à aider les villageois et tuer des slimes pour l'exercice. Malheureusement pour elle et son rêve de vie calme, elle finit par devenir un être d'une puissance extraordinaire, ce qui ne tarde pas à attirer sur elle les regards de tous ceux souhaitant la vaincre pour se faire un nom. Ainsi, Laika la dragonne rouge la plus forte de la province de Nanterre, battue par elle devient sa disciple, puis ses deux filles Falfa et Shalsha (voulant au départ la tuer), créés à partir des slimes qu'elle a tuée, et l'apothicaire elfe ayant le sens des affaires, Halkara, la rejoignent aussi. Mais elle a plus ou moins été capable d'accepter cette nouvelle vie avec ses nouveaux compagnons, pourtant, même avec tant de difficultés à l'horizon, Azusa ne doit pas oublier l'importance de prendre une vie tout en aidant la fantôme Rosalie à rejoindre le monde des morts et en vainquant le roi démon Pecora, et les problèmes ne cessent de se multiplier comme Falfa qui se retrouve coincée sous sa forme de slime (certes adorable), puis une sorcière vient la confronter et va jusqu'à l'impliquer dans une situation encore plus compliquée, ensuite elle est soudainement devenue une petite fille, c'est sûrement à cause de ces champignons que Halkara a fait cuire... Et maintenant tout le monde dans sa famille essaie de la dorloter, tout en devant aussi gérer des ménestrels itinérants dont KukuSchifanoia, un sommet mondial des esprits, et même un festival de musique de démons dont elle doit s'occuper. Par la suite, elle visite son 1er donjon dans lequel se trouve des ruines inexplorées et recueille des trésors cachés, elle a découvert ce qu'est la vie d'aventurier... Et que ce n'est vraiment pas pour son truc. De plus, entre leur grande visite à la maison de Belzébuth et l'envoi de ses filles à l'école, elle est devenue si occupée qu'elle en a presque oublié ses rêves de vie tranquille. Tandis que Natalie veut qu'Azusa l'accompagne à une soirée pour l'aider à trouver un mari, Laika participe à un tournoi d'arts martiaux, et l'équipe est même allée rendre visite à la famille de Halkara, elles devront se mesurer à la dragonne bleu Flatorte, rivale d'Halka que vainc Asuza, et la dragonne bleu entre à son service par contrat. Leur voyage à la plage dans le sud du royaume a été une belle escapade, jusqu'à un certain incident.
Ensuite, Pecora est épuisante quand elle dit qu'elle voulait une "grande s½ur toute douce", Azusa ne pensait pas qu'elle allait la transformer en renard, puis ils sont allés explorer d'anciennes ruines avec Belzébuth et Fighsly, mais évidemment, impossible de faire une expédition normale dans ce monde... Pourtant, ce sont les petites choses qui rendent la vie décontractée d'Azusa si amusante. Elle a même pu rencontrer la déesse qui l'a réincarnée. Cependant Azusa est elle-même devenue une slime sans s'en être rendue compte !... Mais seulement dans un mini-univers parallèle créé par la Déesse. Elle ne sait pas si elle pourra y retourner un jour, alors elle compte bien en profiter ! Asuza retourne ensuite à sa vie normale. L'équipe a finalement décidé d'ouvrir un stand au festival local. Cela est dû à l'adorable Falfa, qui était particulièrement motivée à l'idée de tenir un stand. Azusa a aussi rencontré une étrange diseuse de bonne aventure... Et après cette aventure tout le monde se prépare à participer à une course de relais, et la petite famille est particulièrement motivée. Et ce n'est pas leur unique projet : il y a notamment la planification d'un festival de musique avec les esprits de la lune. Azusa est déjà bien assez occupée comme ça, mais voilà que ses deux jumelles décident un jour de s'enfuir discrètement de la maison. Mais Asuza ne va pas se reposer pour autant puisque ses filles ne parlent plus que d'une chose : un OVNI qui aurait été vu dans le ciel ! Azusa, n'est pas particulièrement choquée. Après tout, elle voit des fantômes tous les jours, alors ça ne doit pas être si grave que ça... Si ? Mais, encore une fois, Azusa va devoir faire face à un gros problème qui risque de mettre sa famille en péril. Mais cette fois-ci, elle a développé un "plan secret" pour le contrer. Il n'y a plus qu'à espérer qu'il fonctionne ! De plus, Azusa et ses amis vont avoir l'occasion de déguster des pommes cultivées par la tribu des démons, de jouer avec des esprits de chats dans un cat café, et même de rencontrer les anciens dieux dans les entrailles de la terre. Azusa s'est enfin trouvé un adversaire ! Et, la situation est en réalité un peu plus ambiguë qu'elle l'aimerait... De plus, elle va aussi faire la rencontre du Dieu du Destin et va se retrouver à devoir aider un voleur qui pourrait bien devenir un nouveau membre de sa famille. Mais elle ne va se reposer pour autant puisque sa fille a acheté le 'Tsukomi Talent', pour lequel elle écrit un scénario, à part ça, Mimic, est membre du groupe, tandis qu'Halkara (elle va promener) n'est pas là, et un jeu télévisé est créé par Dieu (nouveau dans le monde-capture), et à la fin du livre, ses filles sont dans une «bataille scolaire».
Ce web-roman a été sérialisé en ligne depuis 2016 sur le site web d'édition de romans générés par l'utilisateur Shōsetsuka ni Narō, par Kisetsu Morita comme un passe-temps, et deux jours après le premier message du 23 juin 2016, celui-ci a atteint la première place du classement quotidien pour la première fois. Le lendemain, il a renouvelé son score le plus élevé et le 29, il a atteint la première place du classement hebdomadaire. Il a été décidé de faire un light novel sur GA Novel le 14 novembre avec les très belles illustrations de Benio. Le volume 1 publié à partir du 24 janvier 2017 est devenu le numéro un des ventes de GA Novel dans l'histoire et est fréquemment réimprimé (réimprimé) et la version manga sera décidé le 4 avril 2017. La série dérivée a été publiée le 29 juin et le volume 1 était la page la plus rapide de l'histoire du magazine Gangan Online Manga Up!, tout cela grâce aux excellents dessins de Yūsuke Shiba et une grande fidélité au matériel d'origine. Le manga en est arrivé à son 8e volume le 12 mars 2021. Un CD drama a été annoncé le 11 juillet 2017, ils seront au nombre de 7 avec le volume 5 le 15 janvier 2018, le volume 7 le 14 juillet 2018, le volume 9 le 15 mars 2019, le volume 12 le 14 avril 2020, le volume 14 le 14 octobre 2020 et le volume 16 le 13 avril 2021. La page officielle de GA Novel a été créée le 19 août. Le 6 septembre, Shōsetsuka ni Narō l'inclus dans son classement cumulatif. Le light novel a commencé à apparaître fréquemment dans le classement hebdomadaire des livres littéraires d'Oricon, et en novembre 2018, huit volumes ont été publiés, dépassant son nombre maximum de sept volumes. Le 19 octobre 2019, la décision d'en faire une animation télévisée a été annoncée pour un light novel. Le web romanHira Yakunin Yatte 1500-nen, Maō no Chikara de Daijin ni Sarechaimashita a fait ses débuts sur le site web Gangan Online du 13 juillet au 28 septembre 2017, avec Meishi Murakami reprenant son excellent travail dans un récit tout aussi amusant. Ici Beelzebub, est une démone roturière d'un magasin de fruits et légumes en milieu rural, a rejoint le ministère de l'Agriculture après avoir eu plus de 1000 ans, a refusé d'avancer pendant plus de 1500 ans dans l'Organisation de la politique agricole et a vécu une vie stable en tant que fonctionnaire de Hira. Cependant, elle a été nommée ministre de l'Agriculture par le seigneur démon nouvellement intronisé Provat Pecora Allières, et est devenue une démone principale. Il n'a d'autre choix que de corriger son apparence et son parler, et avec le soutien de ses secrétaires, les s½urs LéviathanFartra et Vernia, qui gèrent régulièrement le travail du ministre. Dans cet ouvrage, nous sommes environ 250 à 300 ans entre le moment où Béelzébul est devenu ministre de l'Agriculture et le moment où elle a rejoint l'histoire principale sont représentés. Tandis qu'une adaptation fidèle et réussie en manga de Meishi Murakami a également fait ses débuts sur le site web et l'application Gangan Online le 31 janvier 2019.
Dans les volumes 8 à 10 du light novel, un autre light novel spin-off appelé Elf no Gohan, montre une histoire spéciale sur le personnage de Halkara qui a été publiée à la fin de ces volumes, puis dans le site web Gangan Online Manga Up! du 12 avril au 28 juin 2018. Ici l'elfe, Halkara, est la présidente de Halkara Pharmaceutical, une société pharmaceutique qu'elle a créée. L'un des plaisirs de la vente à l'extérieur, qui est l'une des affaires du président, ce sont les repas qui sont uniques à la région. Halkara, qui avait faim après la conclusion d'une conversation d'affaires réussie lors de son voyage aujourd'hui, cherche un restaurant ou une cafétéria qui a l'air délicieux. Dans ce livre, des centaines et plusieurs décennies de plusieurs années où Halkara est devenue présidente et rejoindre l'histoire principale sont décrites. Le light novel est réussit et très fidèle à l'½uvre originale avec les très beaux dessins de Benio. Dans les volumes 11 à 13 du light novel, un autre roman léger dérivé appelé Red Dragon Jogakuin, une histoire spéciale sur le personnage Laika a été publiée à la fin de ces volumes et publié sur Manga Up! app, et plus tard le site web et l'application Gangan Online du 15 juillet au 9 novembre 2019. Nous y voyons Laika, la fille dragon rouge, qui st diplômée de l'école élémentaire et s'inscrit à l'école pour filles, la Red Dragon Girl's Academy pour un cursus de 6 ans. Là, sa s½ur Leila a régné en tant que présidente du conseil étudiant la plus forte de l'histoire de l'académie. Laika se consacre chaque jour à surpasser sa s½ur la plus forte Leila et à devenir le dragon rouge la plus puissant de son Académie. Dans ce travail, nous sommes 20 ans entre le jour où Laika est entrée à l'école et le jour où elle était en troisième année. L'adaptation manga illustrée superbement par Hitsujibako devait commencer à paraître au début de l'été 2020, mais elle a été reportée et sérialisée sur le Manga Up! app et Gangan Online le 29 mars 2021. Le récit est amusant et il accompagné des magnifiques dessins de Benio. Entre le 24 janvier 2021 et le 1er janvier 2021, un autre light novel dérivé appelé Red Dragon Jogakuin Dai nana-wa Shinsei seito-kai no junan, a fait ses débuts à Shōsetsuka ni Narō, un récit que l'on retrouvait aussi dans le volume 16, dans lequel nous voyons le lendemain d'un peu de temps de la 3e année de Laika, et entre le 25 et le 28 mars 2021, un autre light novel dérivé appelé Mattari Shishō no Jidōteki Suparuta Kyōiku a fait ses débuts à Shōsetsuka ni Narō, où nous voyons l'esprit slime nouveau-né Sirona rendre visite à Mhasala, le magicien slime qui vit dans les montagnes pour apprendre la magie, cependant, elle attendait un maître à son rythme et une vie bien au-delà de mon imagination, mais tout ne se passe pas comme prévu. Ces deux spin offs sont sympathiques et tout aussi enjoués que les précédents.
Enfin, l'anime Slime Taoshite 300 nen, Shiranai Uchi ni Niveau Max ni Nattemashita est diffusé par la chaîne AT-X le 10 avril, puis sur les chaînes Tokyo MX et BS11. Nobukage Kimura (réalisateur d'épisode pour Tsuritama, Gatchaman Crowds insight) réalise l'anime chez REVOROOT. Tatsuya Takahashi (The IDOLM@STER Cinderella Girls, Netoge no Yome wa Onna no ko ja Nai to Omotta?) est en charge de la composition de la série, et Keisuke Goto (Fate / Grand Order: First Order, Babylon) conçoit les personnages. Keiji Inai (Dungeon ni Deai o Motomeru no wa Machigatteiru Darō ka, Ōshitsu Kyōshi Heine) compose la musique. Aoi Yūki interprété l'opening"Gudafuwa Everyday", tandis qu'Azumi Waki a interprété l'ending"Viewtiful Days!". Les membres de la distribution de l'adaptation du CD dramatique en cours reprendront leurs rôles pour l'anime : Aoi Yūki comme Azusa, Kaede Hondo dans le rôle de Laika, le dragon rouge qui devient l'apprenti d'Azusa, Sayaka Senbongi dans le rôle de Falfa, l'aînée des s½urs esprit slime, Minami Tanaka dans le rôle de Shalsha, la plus jeune des s½urs esprit slime, Sayaka Harada dans le rôle d'Halkara, la fabricante de médicaments elfes, Manami Numakura dans le rôle de Beelzebub, un démon de haut niveau, Azumi Waki dans le rôle de Flatorte, la fille dragon bleu, et Riho Sugiyama comme Rosalie, une fille fantôme. L'anime particulièrement fidèle au light novel est très drôle, dynamique et superbe graphiquement, ce qui en donne une adaptation animée réussie.
Slime Taoshite 300-nen, Shiranai Uchi ni Level Max ni Nattemashita est une franchise réussie qui a su trouver son public et qui permet de mettre en avant une belle histoire avec une héroïne voulant la tranquillité à tout prix mais sa volonté est souvent contrecarré. Une belle découverte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Nous commémorons aujourd'hui le 8 mai 1945, la victoire des forces alliées sur les armées de l'Allemagne nazie et la fin de la Seconde guerre mondiale.
Le 7 mai 1945, alors que la capitale allemande est exsangue, et qu'Hitler s'est suicidé le 30 avril, l'armée nazie signe sa reddition à Reims, sans condition, dans une école de cette ancienne ville royale de France. C'est le général Alfred Jodl qui signe la capitulation sans condition de l'Allemagne. La cessation des combats est fixée au lendemain 8 mai, à 23h 01. Pourtant, partout en Europe c'est la date du 8 mai qui sera retenue : Staline, le dirigeant soviétique a exigé qu'une autre cérémonie se tienne à Berlin, tombée sous les assauts et bombardements de l'Armée rouge. Et avec le décalage horaire, le maître du Kremlin imposera la date du 9 mai à Moscou pour célébrer la fin de la grande guerre patriotique. Le 8 mai 1945, à 15 heures, les cloches sonnent pour marquer la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Le général de Gaulle annonce lui même la capitulation allemande dans une allocution radiophonique. Partout en France, des scènes de joies accompagnent le 8 et le 9 mai, qui sont exceptionnellement des jours fériés pour célébrer la défaite de l'Allemagne nazie, où la rééducation commence par des films de propagande des alliés. Il reste alors des soldats allemands dans l'Hexagone (autour des ports de Dunkerque, Lorient ou Saint-Nazaire, notamment). La question des commémorations se pose très vite. Gouvernement et anciens combattants hésitent entre l'établissement d'une date unique - destinée à célébrer les victoires de 1918 et 1945 – et la mise en place d'une cérémonie spécifique à la Seconde Guerre mondiale. Mais, le 8 mai 19445, c'est aussi une manifestation pacifique et citoyenne, organisée par les Algériens avec l'accord des autorités coloniales dans la ville de Sétif, puis à Guelma, dans l'est de l'Algérie, et après qu'un policier qui voulait enlever le drapeau algérien figurant parmi les drapeaux alliés, tire sur un jeune scout, cela déclenche le plus grand massacre de l'histoire de la France contemporaine par l'armée française et la milice des colons contre la révolte des nationalistes algériens, qui va durer plusieurs semaines en temps de paix : au moins 20 000 et probablement 30 000 algériens sont tués par les européens. Les Japonais, eux, ne capitulerons que quatre mois plus tard. Le conflit prendra officiellement fin le 2 septembre 1945.
En 1946, la commémoration de la victoire à cette date est instaurée par une loi, mais à condition que ce jour-là soit un dimanche. Autrement, la Libération sera célébrée le premier dimanche qui suivra le 8 mai. Quelques années plus tard, en 1953, le 8 mai est déclaré jour férié à la demande des anciens déportés et résistants. Mais les parlementaires de la Ve République reviennent sur cette décision en 1959, et choisissent le deuxième dimanche de mai. En 1968, on instaure à nouveau le 8 mai comme date de commémoration, mais ce jour reste travaillé. Sept ans plus tard, en 1975, le président Valéry Giscard d'Estaing décide de supprimer la commémoration officielle de la victoire sur l'Allemagne nazie et de la remplacer par une Journée de l'Europe, afin de marquer la réconciliation franco-allemande. Ultime changement en 1981 : le 8 mai est finalement déclaré jour férié, en mémoire de la fin de la Seconde Guerre mondiale et de ses combattants. Les Britanniques furent les premiers à résister au nazisme, dès 1940, et le 8 mai au Royaume uni, date d'une victoire partagée, on rend hommage aux Britanniques morts au combat... À Moscou, le "jour de la Victoire" est fêté le 9 mai, avec le grand défilé militaire sur la Place Rouge auquel sont invitées des dizaines de dignitaires étrangers. Quant aux États-Unis, ils rendent hommage à leurs soldats le dernier lundi de mai, lors du Memorial Day. L'Allemagne ne célèbre pas les anniversaires du 8 mai 1945, mais la ville de Berlin a décidé en 2020 de déclarer férié ce jour synonyme de défaite mais aussi de libération du national-socialisme et des camps de concentration. À Prague, les responsables politiques déposent une couronne sur la tombe du soldat inconnu, un par un, à dix minutes d'intervalle. Prenant acte de la rupture avec Moscou, l'Ukraine, ex-république d'URSS qui a payé un lourd tribu en 1941-1945, a décidé de célébrer désormais la fin de la guerre le 8 mai et non plus le 9 mai, comme elle le faisait depuis 70 ans. Depuis leur émancipation du joug soviétique au lendemain de la chute du mur de Berlin (novembre 1989), les Baltes ont tendance à réécrire l'histoire de la Seconde guerre mondiale et à renvoyer nazisme et stalinisme sur le même plan. Jusqu'à vouloir boycotter les cérémonies de la libération.
En 2020, lors de la pandémie du Covid-19, les cérémonies furent restreintes comme à Moscou et en France, cela avait permis à la reine d'Angleterre de prendre la parole pour la seconde fois depuis le début de l'épidémie de Covid-19 afin d'adresser un message de soutien à son pays, le plus meurtri en Europe par le coronavirus, et elle a évoqué la résilience du peuple britannique, bombardé sans relâche pendant six ans par l'aviation nazie.
Ensuite, nous allons voir aujourd'hui Hige wo Soru. Soshite Joshikousei wo Hirou, résumé en Higehiro. C'est Shimesaba qui a commencé à sérialiser ses romans sous forme de comédie romantique dans un ton dramatique sur le site web de Kakuyomu en mars 2017. Puis Kadokawa Sneaker Bunko a publié les volumes compilés avec les illustrations de booota depuis novembre 2018. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
Ce web roman est un avant tout un drame humain dans lequel l'employé de bureau Yoshida et la lycéenne Sayu construisent une relation familiale et se regardent. L'histoire est facile à lire pour le lecteur, et la bonté des coups de pinceau a attiré la sympathie des lecteurs. En conséquence, ce travail a été bien accueilli dans "Kakuyomu". Yoshida et Sayu sont des étrangers avec des genres, des générations et des environnements familiaux différents, et la relation entre les deux est évaluée de diverses manières. Atsushi Enomoto, un écrivain, dit que la société japonaise moderne est une société où l'on parle de «solitude» et d'un «sentiment de distance par rapport aux autres», et dans cette société, ce web roman montre le problème de former une pseudo-famille, et on dit que cela peut être une tendance. D'autre part, l'écrivain Shimesaba fait attention au fait que Yoshida veut que Sayu soit une "partenaire dans la vie quotidienne" et dans le travail, et veut juste communiquer avec bonheur avec le sexe opposé aux écrivains et aux lecteurs, dans un désir potentiel de le faire. L'auteur de ce travail, Shimesaba, était à l'origine actif dans "Kakuyomu" et a écrit de high fantasy avant d'écrire ce travail. J'ai écrit ce travail parce que je pensais écrire une ½uvre d'un genre différent de celui que j'écris habituellement, et lorsque je planifiais le travail, j'ai eu l'idée : "Eh bien, restons gratuitement." Ce travail est né avec les mots "Yo" comme déclencheur. Selon le projet de clôture, il y avait une suggestion de livres quand Shimesaba les inclus dans le volume 2. Cependant, à ce stade, il a été dit que la direction du lancement d'une nouvelle ½uvre et de ses débuts était également à l'étude, et à la fin, il a été décidé de faire de cette ½uvre un livre avec l'intention de Shimesaba de le faire lui-même. Initialement, ce travail a été écrit sous un titre différent, mais à la suite de la recherche de "changeons-le en quelque chose comme un roman léger" avec la publication du livre, il est devenu le titre actuel avec les très belles illustrations de booota. Le livre montre aussi la prostitution des jeunes filles de moins de 18 ans au Japon à travers le personnage de Sayu, souvent des fugueuses et des lycéennes, auxquelles ont fournit un moyen de se faire de l'argent, des relations, et parfois un toit, mais avec la menace de tout dire à leurs parents. À travers Sayu, son auteur livre aussi une critique de ce fait pourtant puni par la loi et souhaite que le Japon ait plus le sens du commun et un esprit plus familial afin que de telles choses n'arrivent plus.
L'histoire nous fait suivre Yoshida, un salarié qui travaille pour une société informatique, et rencontre une lycéenne en fuite nommée Sayu Ogiwara la nuit où sa patronne, Airi Goto, flirte avec lui, mais ne répond pas à ses avances. Sayu demande à Yoshida de lui fournir un logement en échange de rapports sexuels, mais Yoshida refuse de le faire et la fait rester à condition qu'elle travaille dans l'entretient de l'appartement. En vivant avec Yoshida, Sayu entre en contact avec la gentillesse de Yoshida et ne veut pas être abandonné par lui. Yoshida, qui est ravi par Sayu, avoue que sa présence l'aide à se sentir plus à l'aise chez lui. Après cela, Yoshida propose de vivre à nouveau une vie en commun avec Sayu, et elle accepte. Pendant ce temps, Airi apprend que Yoshida vit avec une fille en fuite. Airi rencontre Sayu et lui conseille de penser à l'avenir. Deux mois après avoir commencé à vivre avec Yoshida, Sayu retrouve un homme qui lui a déjà fourni un hébergement à temps partiel. L'homme essaie d'avoir des relations sexuelles avec Sayu, mais est bloqué par Yoshida. À ce moment-là, Yoshida se fait remarquer par un homme et il ne peut pas continuer sa vie ainsi avec Sayu. Les saisons changent et durant l'été, une femme nommée Ao Kanda rejoint le lieu de travail de Yoshida. Ao est l'ex-petite amie de Yoshida, et Sayu se sent brumeuse lorsqu'elle en apprend son existence. D'un autre côté, Yoshida a une fois décidé d'aider Sayu à retourner chez ses parents, mais il ne peut plus imaginer une vie sans Sayu. À ce moment-là, le frère aîné de Sayu visite la maison de Yoshida pour reprendre sa s½ur cadette. Le succès du web roman et du light novel qui sont mérités par leurs histoires complexes et sensibles montrant une relation amicale entre deux êtres aux expériences de vies contrariées et difficiles, ont permis de créer une véritable franchise. En 2018, Kadokawa a annoncé la sortie du livre audio de la série de light novel qui peuvent être achetés exclusivement via Audible. Les 4 volumes sont doublés et racontés par Saori Ōnishi, qui reprend son rôle dans l'anime.
Le web roman et le light novel ont été suivis par l'adaptation manga, écrite à nouveau par Shimesaba avec les dessins très réussis d'Imaru Adachi. Depuis novembre 2018, il est publié en série dans le magazine manga shōnenMonthly Shōnen Ace de Kadokawa Shoten, dans une adaptation très réussie et fidèle au web roman et au light novel. Une adaptation manga du spin-off du web-roman Each Stories a été sérialisé dans ComicWalker et illustré par Hitomi Baramatsu qui réalise un très bon travail. La collection d'histoires courtes de Hige wo Soru. Soshite Joshikousei wo Hirō est écrite par Shimesaba avec des illustrations de booota. Il est sorti le 26 décembre 2020. Il s'agit de la première collection de nouvelles de la série qui comprend des nouvelles nouvellement écrites qui n'ont jamais été incluses dans le light novel En plus des épisodes réconfortants de la vie commune de Yoshida et Sayu, il comprendra également de nouvelles histoires sur la vie d'Airi, Yuzuha, Ao et Asami. La série de light novel et l'adaptation manga ont un total de plus de 1,5 million d'exemplaires en circulation, y compris des copies numériques. La série est apparue à la 4e place de l' édition bunkobon du guide annuel du roman léger de Takarajimasha, Kono Light Novel ga Sugoi! en 2019. Le 7 mars 2021, la série a tenu une étape spéciale à la Kadokawa Light Novel Expo 2020 mettant en vedette le casting principal de la série animée télévisée. Celle-ci annoncée le 26 décembre 2019 par Kadokawa Sneaker Bunko, est diffusée depuis le 5 avril 2021 sur AT-X, Tokyo MX et BS11, Manabu Kamikita dirige l'anime pour Project No.9 (Chōjin-Kōkōseitachi wa Isekai démonstration Yoyu de Ikinuku Yōdesu!, Dokyū hentai HxEros, Jaku-Chara Tomozaki-kun). Takayuki Noguchi (Ro-Kyu-Bu!, Queen Blade 2: The Evil Eye, Rail Romanesque) s'occupe de la conception des personnages. Deko Akao (Noragami, Akagami no Shirayukihime, Oshi ga Budōkan Ittekuretara Shinu) est en charge des scripts de la série. Dream Shift (Shironeko Project: Zero Chronicle) produit l'anime. Dialogue+ chante l'opening "Omoide Shiritori", et Kaori Ishihara chante l'ending«Plastic Smile». L'anime est très réussi, fidèle au matériel d'origine et ses graphismes sont superbes.
Hige wo Soru. Soshite Joshikousei wo Hiro est une ½uvre attachante parlant au mieux d'un retour au commun et de l'aide aux gens qui ont besoin d'aide. Une belle découverte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Sorti le 21 février 1986, le tout premier titre de la licence Legend of Zelda a révolutionné l'histoire du jeu vidéo d'action-aventure. Pas moins de dix-neuf jeux font officiellement partie de la saga créée par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka. Plusieurs rééditions, remakes et jeux dérivés ont également vu le jour. Zelda, c'est environ 100 millions de jeux vidéo vendus à travers le monde. Avec Super Mario, Zelda est l'un des jeux les plus connus de Nintendo. L'un des plus fascinants aussi avec son gameplay novateur, la profondeur de ses scénarios, la qualité de ses musiques. La franchise a fait vibrer plusieurs générations de joueurs avec les grandes épopées de Link, son héros intrépide à l'indémodable tunique verte qui doit libérer le royaume d'Hyrule et sa princesse (Zelda) des mains du seigneur Mal (très majoritairement Ganon).
Milieu des années 1980, au Japon : Nintendo est touchée par la grâce. Après quelques balbutiements, l'éditeur de jeux vidéo vient de sortir Super Mario Bros en 1985, un classique instantané qui propulse Mario au rang de superstar. Nintendo ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. Mais le plus hallucinant dans toute cette histoire, c'est que le développement de The Legend of Zelda est lancé de manière quasi simultané avec un autre projet de Nintendo pour la NES : Super Mario Bros. Autrement dit, Miyamoto supervise ces deux projets en même temps, avec la charge de séparer les idées et les concepts : Mario doit être un jeu linéaire avec une action en séquence unique, tandis que le jeu Zelda doit être tout l'inverse (ouvert et bénéficiant de plusieurs séquences). Le scénario inspiré à Shigeru Miyamoto, le papa de Mario, par le film Legend, de Ridley Scott, dans lequel un jeune Tom Cruise incarne un jeune homme candide, très amoureux d'une princesse, et forcé de lutter contre un démon. Le cerveau de Nintendo reprend les principaux éléments du film, les mixe à la sauce japonaise, et ainsi naît The Legend of Zelda. Pour que l'expérience marche, Shigeru Miyamoto ajoute ses expériences d'enfant, pendant ses randonnées, où il a trouvé un lac. Ce fut une surprise pour moi de tomber dessus. Quand il voyageait à travers le pays sans carte, essayant de trouver mon chemin, il tomba sur des choses incroyables au fur et à mesure, il réalisait ce que c'était de partir dans une aventure comme celle-ci, ajoutant que l'un de ses souvenirs les plus saisissants a été la découverte d'une caverne au milieu des bois, dans laquelle il est entré à l'aide d'une lanterne. Le nom de Zelda, la princesse qui doit être sauvée, est basé sur Zelda Fitzgerald, danseuse et romancière mariée à F. Scott Fitzgerald (auteur de Gatsby le Magnifique). «C'était une femme célèbre et vraiment belle, mais j'ai surtout aimé le son que fait son nom. J'ai donc pris la liberté d'utiliser son nom pour le tout premier jeu Zelda» a-t-il raconté. Pour ce qui est du personnage de Link, il a révélé l'origine de son nom dans une interview avec Gamekult : «À l'époque, quand on a commencé la conception de The Legend of Zelda, on s'imaginait que les fragments de la Triforce seraient en fait des puces électroniques ! Il devait s'agir d'un jeu vidéo qui se passerait à la fois dans le passé et le futur. Comme le héros faisait le lien entre l'un et l'autre, on l'a appelé Link, le "lien" en anglais. Mais au final Link n'est jamais allé dans le futur et c'est resté un jeu d'heroïc fantasy. On peut même dire qu'il n'a absolument rien eu de futuriste ! (rires).» Dans la même interview, il revient également sur la création du look du héros : «Il fallait créer un héros que l'on arrive à distinguer de ses armes (son épée et son bouclier), malgré sa petite taille. Nous avons alors pensé à un long chapeau et de grandes oreilles. Cela nous a évoqué un personnage féerique, donc nous sommes partis dans la direction d'un elfe. À l'époque, qui disait personnage avec des oreilles pointues disait aussi Peter Pan, et comme j'aime beaucoup Disney, nous avons commencé à nous en inspirer. Pas complètement évidemment [...]. À partir de là, je me suis dit que le vert de Peter Pan lui seyait parfaitement. Or comme nous étions limités à trois couleurs, et qu'il y avait beaucoup d'environnements forestiers dans le jeu, vert sur vert, cela convenait plutôt bien, donc nous avons poursuivi cette piste.» Autre grande inspiration pour l'équipe de développement : le jeu de rôle The Tower of Druaga de Namco, sorti en 1984. Au début, "Adventure Title" (le nom de code pour ce qui deviendra The Legend of Zelda) ressemble beaucoup à The Tower of Druaga : il est destiné uniquement aux bornes d'arcade et l'on ne fait qu'explorer des donjons. Ce n'est que quelque temps plus tard que Miyamoto pense à intégrer une carte globale et une grosse notion d'exploration, notamment en s'inspirant d'un autre jeu de rôle, Hydlide, de T&E Soft. Il ne faut pas être un génie pour voir le lien entre "Hyrule" et "Hydlide".
Il y a 35 ans jour pour jour, le 21 février 1986, The Legend of Zelda, premier volet de la saga, paraissait au Japon sur disquette sur l'étrange Famicom Disk System, extension de la Famicom de Nintendo. Les Européens devront attendre quant à eux fin 1987, et même 1988 pour beaucoup de Français, pour découvrir le jeu phénomène en cartouche sur la NES, console de génération 8 bits. The Legend of Zelda est un jeu d'action-aventure dans le genre médiéval fantastique avec une histoire somme toute très classique : un preux chevalier est chargé de sauver le royaume d'Hyrule et sa princesse Zelda capturée par Ganon, créature malfaisante mi-homme, mi-bête. On retrouve déjà les personnages que l'on verra dans les autres aventures : Impa, le roi d'Hyrule, Spryte, la grande fée, et le grand arbre nommé ici Deku qui prendra d'autres noms dans d'autres aventures. Des milliers de joueurs tombent alors littéralement sous le charme de Link, petit chevalier blond aux oreilles d'elfe, vêtu d'une tenue verte, armé d'une épée et d'un bouclier, arc et flèche en bandoulière. En réalité, quelques pixels sur l'écran de leur télévision. Shigeru Miyamoto, surnommé "Le Spielberg du jeu vidéo" par Time Magazine, en mai 1996, a révolutionné la façon de jouer avec ses quêtes complexes, ses fameux donjons, ses innombrables énigmes à résoudre, ses combats oniriques contre des monstres de plus en plus impressionnants. Des heures et des heures de jeu, à fouiller de fond en comble un univers vaste, à accumuler toutes sortes d'objets indispensables pour progresser dans l'aventure. Zelda est l'un des premiers jeux vidéo genre action-aventure où le joueur se retrouve vraiment immergé. Où il doit se creuser les ménages de longues heures. C'est un jeu divertissant mais exigeant. Le système de sauvegarde intégré à la cartouche offrait la possibilité de reprendre sa partie à tout moment, tandis qu'un mode «seconde quête» (new game +) permettait de recommencer le jeu, avec un mode de difficulté plus élevé. Un artifice qui deviendra presque standard par la suite dans les RPG à la nipponne. C'est ce qui explique son succès et le culte voué à la saga de Nintendo. La musique de Zelda, composée principalement par Koji Kondo, a également participé à la popularité de jeu de Nintendo à travers le monde. À tel point que des concerts symphoniques entièrement basés sur les thèmes musicaux de Zelda sont organisés. Le titre, boudé par la presse occidentale à l'époque, rencontre un franc succès sur le plan commercial, avec un peu plus de 6,5 millions d'exemplaires écoulés. Le succès fulgurant de The Legend of Zelda pousse Nintendo à développer la franchise. Un deuxième jeu, The Adventure of Link, sort en 1987 qui a emprunté une nouvelle direction et introduit des éléments de jeu qui sont devenus des standards dans le reste de la saga. Link doit ici partir à la recherche de la Triforce du courage et réveiller la Princesse Zelda, endormie par un sortilège. Pendant ce temps, les sbires de Ganon tentent par tous les moyens de réveiller leur maître. Zelda II introduit une vue latérale à la Super Mario Bros, une vaste carte du monde et un aspect RPG unique dans la série, abandonnant le parti pris d'une vue de haut. L'histoire, davantage centrée sur Link, invite d'ailleurs à privilégier la magie aux combats à l'épée.
Ensuite, les aventures de son héros, Link, se muent ainsi en véritables démonstrations du savoir-faire de Nintendo, qui atteignent un sommet à la fin des années 1990. La saga Zelda compte ainsi un grand nombre de jeux vidéo (19 officiellement) parus sur différentes consoles, de la NES, en passant par la Super NES, la Game Boy, la N64, la Game Cube, la Wii, la Nintendo 3DS ou encore la Switch. Les aventures de Link se succèdent, comme autant de classiques, dont les fans sont capables de parler comme d'un grand film ou d'un grand cru : The Legend of Zelda : A Link to the Past (1991) sur Super NES, dans lequel Link doit sauver la princesse Zelda faite prisonnière par le sinistre sorcier Aghanim qui tente d'invoquer le maléfique Ganon, et qui est célèbre pour ses soignés (la scène d'introduction sous la pluie), sa bande sonore, ses donjons ingénieux, , une histoire longue et pleine de rebondissements, une seconde partie inattendue avec sa dimension parallèle... et ses nouveaux objets tels que le grappin, les bottes de Pégase et la fameuse Excalibur, qui inspire Link's Awakening (1993), où dans une terrible tempête, Link s'échoue sur une mystérieuse île tropicale où vivent des habitants surprenants, où il fait la connaissance de Marine, et qui malgré ses graphismes en noir et blanc, a remporté tous les suffrages, contribuant à porter au pinacle la petite console portable de Nintendo, la Game Boy, suivra Ocarina of Time (1998), sur N64, qui s'est ainsi écouté à 6 millions d'exemplaires en seulement 8 semaines, ce volet de la saga est encore considéré par de nombreux joueurs comme le meilleur Zelda de tous les temps après avoir livré une véritable leçon à ses concurrents Sony et Sega avec Mario 64 (1996), où Link continue son épopée à travers Hyrule, ainsi que dans ses excursions temporelles, pour déjouer les plans de Ganondorf, en maniant des objets et des armes incroyables, et en affrontant des boss féroces et en résolvant des énigmes complexes avec de nouveaux personnages comme Saria, membre des Kokiris et sage de la Forêt; Darunia, chef des Gorons et sage du Feu, qui apparaît dans Hyrule Warriors et sa suite; Nabooru, membre des Gerudos et sage de l'Esprit; Impa, membre du peuple Sheikah et sage de l'Ombre; Rauru, sage de la Lumière qui fait une apparition dans The Wind Waker; et Ruto, membre des Zora et sage de l'Eau, qui apparaît dans Hyrule Warriors et sa suite, auquel on peut ajouter Navi la fée, qui fait une apparition dans Hyrule Warriors, et Malon qui apparaîtra dans Oracle of Seasons, Four Swords Adventures, et The Minish Cap, et Majora's Mask (2000), reprend les mécaniques et le moteur 3D d'Ocarina of Time, son scénario, plus sombre et basé sur la fin du monde, fédérera moitié moins de gamers, dans lequel Link se voit dépossédé de son Ocarina par un mystérieux personnage du nom de Skull Kid, ce dernier lui a aussi dérobé le masque de Majora, une relique ancestrale maudite, et Link doit reprendre possession du masque en l'espace de trois jours, avant qu'une comète n'entre en collision avec le monde de Termina, mais The Legend of Zelda : Oracle of Seasons et Oracle of Ages en 2001 fédérerons plus, à l'image de Pokémon, puisque The Legend of Zelda est sorti en deux versions simultanées sur la Game Boy, avec deux mondes différents, explorés par Link et les joueurs, qui offrent des expériences distinctes, le premier étant orienté action tandis que le second se concentre davantage sur les puzzles et énigmes, après deux ans de développement, et 3,99 millions de copies ont été vendues, puis viendra la surprise The Wind Waker (2002) qui place Link et Zelda dans un océan gigantesque ponctué de petites îles, fascinant par son gigantisme, alors que le jeu fut raillée par des journalistes spécialisés avant sa sortie sur Gamecube - certains jugeant le titre trop enfantin -, qui a fini par bluffer les joueurs et faire taire les mauvaises langues, au moment où Nintendo, alors malmené par la concurrence, prouvait encore que l'imagination paye, tout en livrant un véritable dessin-animé aux amoureux de la saga, un parti pris graphique que la société a d'ailleurs réutilisé pour ses très réussies versions DS de Phantom Hourglass (2007), une des meilleures intégrations du stylet de la DS à un jeu d'aventure, où Link, est dans une histoire qui se déroule directement après celle de Zelda : The Wind Waker sur Gamecube, dans laquelle Tetra, sa complice, se fait enlever par un bateau pirate fantôme, et l'on doit voguer sur les océans à la recherche de son amie et découvrir de nombreuses îles et quêtes afin de mener à bien sa mission, et Spirit Tracks (2009), qui reprend les mêmes bases, afin de capter une audience plus jeune, en suivant ses prédécesseurs au design cartoonesque, ce jeu vous emmène non plus en bateau mais en train à travers de nouvelles aventures, avec au programme des donjons, des boss dont il faudra repérer les points faibles, et surtout une armure ambulante que vous pourrez diriger à la pointe de votre stylet pour résoudre des énigmes et combattre de nombreux ennemis, et sans oublier The Legend of Zelda: A Link to the Past & Four Swords (2003), deux jeux sur une seule cartouche pour la Game Boy Advance, avec la version classique de Link to The Past, et le nouveau jeu Four Swords, qui est le premier titre Zelda en multijoueurs, où l'horrible créature Vaati rompt un sceau millénaire pour capturer la Princesse Zelda, et on doit unir ses forces (de deux à quatre joueurs) pour braver les dangers de multiples donjons et profiter d'une association unique de coopération et d'attaques sournoises pour résoudre des énigmes, échanger des objets et rivaliser pour ramasser des rupees et faire grimper les scores individuels de chacun, ou encore Minish Cap (2004) qui était tout bonnement incroyable, parce qu'il était mignon comme tout, beau techniquement et que l'histoire était très plaisante, Mais surtout, cette mécanique de rétrécissement qui modifiait toutes les perspectives est une idée de génie, encore aujourd'hui, le jeu était en plus assez difficile (pas trop non plus) et extrêmement long pour un jeu portable du début des années 2000.
Puis vient Twilight Princess (ressorti en version HD sur Wii U), sur Wii et GameCube (2006), une aventure dans laquelle Link doit évidemment sauver Hyrule une nouvelle fois, alors que le royaume est menacé d'être corrompu par le Crépuscule avec l'aide de Midona, une créature du crépuscule, et le spin-offLink's Crossbow Training sorti sur Wii en 2007, développé et édité par Nintendo, qui avait pour seul objectif de populariser le Wii Zapper, un support permettant d'utiliser la Wiimote comme un pistolet, il s'en est tout de même écoulé près de 3 millions, suivi de Skyward Sword (2011) uniquement sur Wii, qui conte le récit de Link, qui doit voyager entre un monde situé au-dessus des nuages et les vastes contrées inconnues qui s'étendent sous leur surface pour retrouver son amie d'enfance, Zelda, faisant plaisir aux qui attendaient une version plus mûre, et des titres d'une grande qualité, comme l'irréprochable A Link between two worlds sur 3DS en 2013,un titre hommage à Zelda III, truffé de bonne idées, qui invite à switcher entre un Link en 2D et en 3D, où Link, peut se déplacer sur les murs en se transformant en peinture, une fonctionnalité qui apporte de nouvelles possibilités de gameplay, et on peut désormais louer des objets pour parcourir les donjons dans n'importe quel ordre et partir en quête des trésors du monde de Lorule, le pendant négatif d'Hyrule, auxquels s'ajoutent les remakes très réussi d'Ocarina of Time (2011) sur Nintendo 3DS avec des améliorations graphiques et la profondeur en 3D, et de The Legend of Zelda : A Link to the Past (2013), avec son excellente suite The Legend of Zelda : A Link to the Past 2 (2013) avec la nouvelle capacité de Link à pouvoir se transformer en dessin sur les murs, lui permettant de se déplacer sans avoir besoin de plates-formes, qui sont su passer de la 2D à la 3D, tout en gardant la maniabilité des anciens jeux, ou encore The Legend of Zelda : Tri Force Heroes en 2015 qui est un jeu d'action-aventure sur 3DS, délaissant l'aspect exploration au profit de donjons axés sur les parties à trois joueurs qui doivent s'entraider en se juchant sur les épaules les uns des autres, ils peuvent former un Totem qui leur permet d'atteindre les zones situées en hauteur, avec de nombreux costumes renforçant la puissance des armes secondaires sont à débloquer en trouvant des matériaux, avec le remake réussi de Majora's Mask (2015) qui tire pleinement parti des avantages de la Nintendo 3DS, où les graphismes ont été remodelés et améliorés, et vous avez la possibilité de regarder autour de vous grâce aux commandes par mouvements des consoles Nintendo 3DS, et le chef d'½uvre The Legend of Zelda : Breath of the Wild (2017), sorti en 2017 sur NintendoSwitch, le dernier volet de la saga a rebattu les cartes et occupe désormais une place de choix dans le c½ur des fans, au point même que certains préfèrent cet épisode à Ocarina of Time, qui voit Link se réveiller d'un sommeil de 100 ans dans un royaume d'Hyrule dévasté, et il lui faudra percer les mystères du passé et vaincre Ganon, le fléau, et bouleverse les codes traditionnels de Zelda et fascine par son gigantisme tout en apportant les quatre prodiges, pilotes des Créatures Divines, Daruk le Prodige Goron, Mipha le Prodige Zora, Revali le Prodige Piaf et Urbosa le Prodige Gerudo. Hyrule n'a jamais été aussi vaste. Et tout est visitable : on peut monter sur chaque montagne, nager dans les rivières, visiter chaque ruine ou forêts, et sa durée de vie Zelda est probablement la plus étendue de la saga (au moins une centaines d'heures) avec des dizaines de sanctuaires à visiter, des quêtes secondaires nombreuses, des combats corsés, tout en introduisant pour nous aider des lances, brise-crânes, serpes, râteaux, marteaux et toute une batterie d'épées, il est un merveilleux premier Zelda pour découvrir une saga toujours en mouvement et pleine de surprises. Enfin, Link's Awakening a eut le droit à un magnifique remake en 2019 sur Nintendo Switch avec des graphismes remis au goût du jour et une refonte totale avec un nouveau mode de jeu qui vous permet même pour la première fois de créer vos propres donjons : au cours de l'aventure, vous pourrez récupérer différents éléments qui vous permettront d'arranger les donjons comme vous le souhaitez et de devenir un créateur de donjons.
En 35 ans, le héros de la saga changera plusieurs fois d'aspect, passant de l'enfant au jeune adulte. Les gameplays, les graphismes et les perspectives de jeu ont également beaucoup évolué au fil du temps : avec des vues du dessus en 3D isométrique, de profil comme un jeu de plate-forme, de dos dans un monde en 3D. Le personnage de Link n'a cessé d'évoluer visuellement entre 1986 et aujourd'hui, avec un aspect plus ou moins enfantin par moments, un graphisme plus au moins élaboré. C'est aussi ce qui a permis à Zelda de traverser le temps sans prendre une ride et de voir ses personnages très populaires invités dans la licence Smash Bros. Mais l'accueil critique pour les jeux de la licence n'ont pas souvent été extraordinaire comme pour Ocarina of Time, le jeu le mieux noté du monde pendant une décennie, de 1997 à 2007. «Les gens qui n'ont pas connu cet accueil critique complètement délirant, et qui y joueraient aujourd'hui pour la première fois ne peuvent pas comprendre pourquoi il est si révolutionnaire. Les critiques de l'époque aident à mesurer l'impact historique d'un tel jeu.» De même pour A link to the Past, le troisième jeu de la licence, aujourd'hui souvent considéré comme un des meilleurs aujourd'hui. «À l'époque, il n'est pas si bien accueilli, et c'est très intéressant de comprendre à quel point la popularité de ce jeu s'est construite avec le temps». Si les principes du jeu vidéo restent toujours à peu près les mêmes (donjons, énigmes), le héros change sans cesse. Legend of Zelda n'a pas toujours eu des adaptations heureuse et il est difficile d'oublier les immondes jeux publiés en 1993 et 1994 sur la CD-i de Philips composés de Link : The Faces of Evil, Zelda : The Wand of Gamelon et Zelda's Adventure. Ces trois jeux se distinguaient par leurs cinématiques réalisées sous la forme de dessins animés ou de films interactifs, à la qualité plus que douteuse.Developer Animation Magic était sous-financé et travaillait à un redressement serré, et les résultats sont trois retombées brisées, à la limite et illisibles, qui sont rarement reconnues en dehors des cercles de passionnés. Devant son succès, La série a vue de nombreuses adaptations en mangas dont celle du jeu Zelda, comprenant celles de Yuu Mishouzaki en 1989, où Link est un apprenti jardinier vivant au château d'Hyrule qui a des oreilles pointues parce qu'il est un demi-elfe, et Impa est aussi radicalement plus jeune, de Maru Ran en 1986, où Link est accompagné d'un drôle d'oiseau appelé Watt et ensemble, ils se lancent dans un voyage pour collecter toutes les pièces de la Triforce comme Zelda a chargé Link de le faire, et en chemin, ils rencontrent plusieurs personnages hauts en couleur et défient des défis mortels, qui suivra avec le manga Adventure of Link en 1988, et Daisuke Shigoto avec Adventure of Link en 1988, sont les récits très différents du premier jeu, et la version extrêmement populaire d'Ataru Cagiva de A Link To The Past en 1994, suit le scénario de base avec plusieurs différences dans le manga par rapport au jeu sur lequel il était basé, et plus particulièrement, cela inclut la fée de Link, Felicia, et Junya Furusawa avec Oath of Lilo publié entre 1995 et 1997, centré sur des personnages originaux, et le spin-offOath of Riruto de Jin Munesue publié entre 1995 et 1997, dans lequel le protagoniste Riruto, qui fait le serment de sauver son ami d'enfance Kalin qui est kidnappé par les monstres de Ganon et plus tard ses hommes de main, Nabat, Haggis, Glasgow et Hoody dans une tentative de le ressusciter en utilisant ses pouvoirs, et après avoir découvert la Master Sword et apprend par Link comment l'utiliser, Riruto se lance dans sa quête aux côtés de nombreux nouveaux amis qu'il se fait en chemin pour arrêter la résurrection de Ganon et trouver Kalin, mais aussi celles d'Ishinomori pour Link to the Past en 1991, et les adaptions multiples et réussies d'Akira Himekawa qui a travaillé sur une adaptation de Twilight Princess, d'Ocarina of Time et Majora's Mask en 2000 et 2001, Skyward Sword entre 2016 et 2017, Oracle of Seasons et Oracle of Ages, Four Swords, Phantom Hourglass et le souvent négligé The Minish Cap. Et en 1989, face au succès de The Legend of Zelda, le jeu a eu le droit à une série animée américiane qui a pour but de l'adapter à la télévision. Le problème est de faire parler Link qui n'ouvre jamais la bouche, et il faut dire que l'idée ne fut pas excellente à cause du mauvais casting vocal, et l'on ne retrouve pas l'univers du jeu, ni les personnages bien différents de ce qu'on peut attendre, mais c'est une sympathique série nanarde... Comparé à la saga Super Mario et ses 262 millions d'exemplaires vendus, Zelda n'est pas le jeu vidéo le plus populaire sur la planète. Bien que certains volets de la série ont établi plusieurs records et même si le débat fait rage dans la communauté de fans, certains préférant encore la "période 2D", l'époque des premiers volets sur la NES 8 Bits, et la licence arrive à se diversifier avec Hyrule Warriors en 2018 sur Switch, dans lequel le fragile équilibre de la Triforce a été rompu et le royaume d'Hyrule est menacé par des hordes maléfiques, menées par Cya, la sorcière noire, et L'heure est venue pour le légendaire héros Link et son équipe de valeureux guerriers de retrouver la Princesse Zelda disparue, il y a également des histoires secondaires à découvrir, comme suivre le périple de Linkle pour devenir un héros, dévoiler l'histoire additionnelle de Cya ou voguer sur les mers avec Link Cartoon et Tetra, et sa suite, Hyrule Warrior : L'ère du fléau sur la même console en 2020 qui se déroule 100 ans avant The Legend of Zelda: Breath of the Wild...., et où l'on voyage dans le passé et tente d'empêcher la destruction du royaume en menant ses forces au combat pour affronter la puissance du Fléau Ganon dans le conflit ultime pour la survie du royaume, en incarnant Link, Zelda, Impa et les quatre Prodiges d'Hyrule pour tenter de l'empêcher de semer la destruction dans le royaume, luttant tous ensemble pour repousser les ténèbres et réécrire le destin d'Hyrule.
Le prochain jeu de la saga est une réédition de Skyward Sword en version HD pour la Nintendo Switch. De nombreux fans attendent désespérément la suite de Breath of the wild, mais il faudra patienter encore un peu. Lors de l'événement Nintendo Direct, Eiji Aonuma a assuré que ce prochain opus était en cours de réalisation. « Je suis sûr que beaucoup d'entre vous se sont dit en me voyant : «Ah ça y est ! On va enfin avoir des infos sur la suite de "The Legend of Zelda : Breath of the Wild" !' Désolé. Le développement continue de suivre son cours et nous devrions pouvoir vous en dire plus cette année», a promis le producteur emblématique de la saga. Enfin, Nintendo aurait laissé tomber la série Live action Legend of Zelda avec Netflix après que l'info du projet ait fuité en ligne. Cette info avait fait les gros titres en 2015 quand «une personne proche du sujet » aurait rapporté au WSJ que le streamer aurait décrit la série comme un «Game of Thrones pour la famille», avec une histoire suivant la quête de Link pour sauver la Princesse Zelda et le royaume d'Hyrule. Rien de plus n'aurait été dit à ce sujet. Dommage. Mais deux fans n'ont pas attendu un nouvel anime ou une série live puisqu'en 2020, Youyang Kong et Qianya Yin ont créé un court métrage d'animation à partir de Breath of the Wild, où Link ne parle pas dans le court-métrage tout comme dans les jeux d'ailleurs, et c'est ce qui fait que cette petite animation est fidèle à l'esprit de Zelda, avec le magnifique paysage qui met en valeur les champs d'Hyrule. Et cela permet d'oublier l'horrible adaptation américaine de 1989. La même année un autre court-métrage épique (dont vous pouvez voir la vidéo) sur le même jeu directement inspiré du studio Ghibli, composée à la manière d'une bande-annonce pour le jeu a vu le jour. Crée par une équipe de 6 personnes pilotées par Seon Seungyeon et Lee Jumi, l'½uvre nous emporte durant près de 3 minutes à la découverte des merveilles et secrets de la vallée d'Hyrule. On y retrouve les personnages emblématiques du jeu : Link, Ganon, la princesse Zelda... et même les Prodiges.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Nous allons voir aujourd'hui le manga Dragon, Ie wo Kau., écrit par Kawo Tanuki avec des illustrations de Choco Aya, qui a commencé sa sérialisation dans le magazine de Mag Garden, Monthly Comic Garden en décembre 2016, qui en est pour l'instant à 7 volumes. Une adaptation animée produite par Signal.MD diffusé depuis le 4 avril 2021 sur Tokyo MX, ytv, et BS Fuji. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
L'histoire nous fait suivre à partir du volume 1, un dragon et un elfe qui vont commencer une grande aventure... immobilière ! Letty, jeune dragon oisif et pleutre, est chassé de son clan en raison de son incompétence. L'héroïsme lui étant parfaitement étranger, il cherche un foyer où se mettre en sécurité. Il rencontre alors un elfe nommé Dearia, agent immobilier, qui va lui faire visiter de nombreux biens, comme des donjons lugubres ou des manoirs hantés. Il faut faire vite, de nombreux héros sont à la recherche de dragons ! Par la suite, Letty avec Dearia dont les méthodes évoluent entre gentillesse et une éducation à la spartiate, toujours à la recherche d'un logement se retrouve avec un enfant à charge, Pioupiou le poussin (volume 2), qui accompagne maintenant Letty et Dearia, ils se retrouvent soudain contraint d'escorter une princesse en fugue nommée Nell à la recherche d'une planque huppée (volume 3), tout en voyant le passé de Dearia entre une enfance passée au coté d'un serpent géant immortel, une jeunesse vécue en portant le titre de Roi Démon, le tout suivi par un siècle de recherche de logement avec un dragon noir devenu son ami (volume 4), mais Letty n'a toujours pas trouvé de foyer et il a une nouvelle chance de trouver la maison de ses rêves lorsqu'il retrouve la princesse humaine Nell... et rencontre un agent immobilier plutôt suspect, puisque ce courtier immobilier se trouve être un vampire, et il y a quelque chose d'étrange - et peut-être défectueux - dans chaque maison de son inventaire (volume 5), et après avoir visité tout un tas de maisons spectaculairement défectueuses, il est évident que le nouvel agent immobilier de Letty est assez mauvais dans son travail, et un vampire qui s'avère être un méchant, même si Letty est peut-être inoffensif, sa réputation de «roi dragon des flammes» ne cesse de lui faire prendre de plus en plus d'eau chaude (volume 6), enfin, Letty continue de chercher une bonne maison et le nombre d'histoires héroïques indésirables augmente, il semble qu'il ne soit pas le seul à avoir du mal à vivre, et les enfants qui ont succédé au manoir du roi dragon de flammes, la troupe de cirque qui vient de déménager, le serpent du monde qui veut bouger et le nouveau dragon noir (volume 7).
Dragon, Ie wo Kau. est un manga écrit par Kawo Tanuki et illustré par Choco Aya qui peut être décrit comme manga comique léger dans un décor fantastique qui joue avec de nombreux tropes associés à la construction du monde fantastique et aux RPG. Ici, tout va à l'encontre de ce qu'on peut voir dans un RPG avec un jeune dragon pleutre et empoté à la réputation de tueur exagéré, un seigneur du mal suite à une loterie qui est aussi un excellent agent immobilier, un poussin plus puissant que son père de dragon, des chasseurs et des preux chevaliers avide de sang qui n'ont rien d'héroïques, une princesse égoïste s'attachant à un dragon au lieu d'un prince, et des démons, des esprits et d'autres créatures merveilleuses qui cherchent un logement pour se cacher des preux chevaliers et vivre en paix. L'humour du manga est excellent surtout quand Dearia et plus tard le vampire, lui présentent une maison et lui font essayer, le récit est souvent plein de belles surprises avec son héros poltron Letty qui se force à de devenir meilleur pour ses proches tout en désirant trouver un bon logement, plus encore depuis qu'il est devenu père du poussin Pioupiou. À chaque page, on vit une nouvelle aventure avec un graphisme magnifique qui nous permet de vivre une pleine évasion et le souhait que Letty trouve ce qu'il recherche.
Le manga est suivi par l'adaptation animée annoncée le 10 octobre 2019, dans le 5e volume du manga, et diffusée d'abord le 4 avril 2021 sur Tokyo MX, et ensuite sur ytv le 5 avril et BS Fuji le 6 avril. Haruki Kasugamori (Dia Horizon (Kabu), Hitorigurashi no Shōgakusei, Lunatan: 1-Mannen no Himitsu) dirige l'anime chez Signal.MD (Hirune Hime : Shiranai Watashi no Monogatari, Atom The Beginning). Shiori Asuka (Lunatan: 1-Mannen no Himitsu) conçoit les personnages. Kyōhei Matsuno (Omae wa Mada Gunma wo Shiranai, Lunatan: 1-Mannen no Himitsu) compose la musique pour Pony Canyon. Masayoshi Ōishi interprète l'opening intitulé Roll-playing, tandis que Non Stop Rabbit interprète l'ending intitulé Shizuka na Kaze. Le résultat suit pleinement l'½uvre originale est excellent et ressemble beaucoup à celui du manga par ses graphisme, ce qui donne un anime vivant où se l'on plait à regarder les aventures de Letty recherchant un logement.
Le mangaDragon, Ie wo Kau. et son adaptation animée sont des ½uvres très réussies qui nous montre que trouver un logement est difficile même pour un dragon tout cela avec beaucoup d'humour. Une belle découverte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Nous allons voir aujourd'hui Koi to Yobu ni wa Kimochi Warui qui est une série de mangas japonais écrite et illustrée par Mogusu. La série est en cours sur le site de manga web de pixiv Comic, Comic Pool depuis janvier 2015 et qui s'est terminé en mars 2021. Ichijinsha l'a publié en 8 volumes entre le 25 janvier 2015 et le 25 mars 2021. Une adaptation animée produite par le studio Nomad a suivi et est diffusé depuis le 5 avril 2021 sur AT-X, Tokyo MX, UHB, MRT, GTV, GYT, et BS Fuji. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
L'histoire nous fait suivre à partir du volume 1, Ryō Amakusa, salarié, fait la rencontre fortuite de la jeune lycéenne Ichika Arima, meilleure amie de sa petite s½ur, et en tombe follement amoureux. Ryō va alors, par tous les moyens, tenter de lui faire partager ses sentiments, et ce même de façon très direct, jusqu'à ce que cette dernière sorte avec lui... Par la suite la s½ur cadette de Ryō, la meilleure amie d'Ichika, Rio, et le vieil ami de Ryō, Masuda, sont impliqués et montrent la même inégalité, et l'un des camarades de classe d'Ichika, Tamura Kai, a été témoin d'un incident particulier au festival de l'école (volume 2), alors que la rumeur des femmes de l'entreprise dit que Ryō Amakusa a changé l'humeur. D'un autre côté, on demande à Ichika Arima ce que son camarade de classe, Kai Tamaru, pense de Ryō. Comme la relation entre les deux, change peu à peu, la saison des voyages scolaires arrive pour Ichika et à Rio ... En plus des allées et venues de l'amour que Ryō et Ichika ne peuvent pas manquer, un nouveau personnage est également apparu (volume 3). Tandis qu'Ichika Arima est invitée par son camarade de classe, Kai Tamaru, à agir librement lors d'un voyage scolaire et elle se promène seule, d'un autre côté, Ryō Amakusa apprend que Yue Matsushima est une otaku caché et promet de le garder secret dans l'entreprise, mais parce qu'ils sont prévenant l'un envers l'autre, ils ne peuvent que tomber amoureux... (volume 4), tandis que la nouvelle date de sortie du roman léger préféré d'Arima Ichika"Forward World", Ryō Amakusa, qui est venu à la librairie pour acheter, rencontre Kai Tamaru, qui est également à la recherche de la nouvelle publication, montrent mutuellement leur rivalité, d'un autre côté, Ichika rencontre également Yue Matsushima dans une autre librairie et décide de se faire plaisir en tant que collègue sans savoir qu'elle est celle qu'aime Ryō. Ryō et Ichika, Kai et Arie, est pour eux le jour de la détermination de la Saint-Valentin qui intervient au milieu d'une rencontre amoureuse... (volume 5).
Après avoir reçu la confession de son camarade de classe Tamaru Kai, Ichika Arima a commencé à réaliser ses sentiments pour Ryō Amakusa, qui a tourné son amour fanatique vers elle, et Ryō découvre que la réponse à la confession était un problème pour Ichika et surveille tranquillement son dos qui semble être douloureux, d'autre part, Yue Matsushima, qui a acheté un chocolat de la Saint-Valentin pour Ryō, qui tente également de transmettre ses sentiments à ce dernier (volume 6). Cependant, la confession d'Arie Matsushima révèle inévitablement un grand mur entre Ryō Amakusa et Ichika Arima, et même à un rendez-vous du White Day, elle voit Ichika mentir à une collègue de l'entreprise qu'elle rencontre par hasard en disant qu'elle est sa s½ur, et elle espère que Ryō l'aimera tellement que la différence entre le monde et l'âge n'aura pas d'importance (volume 7). Enfin, Ichika Arima a décidé de sa propre vie avec les conseils de Ryō Amakusa. Tout en observant les fleurs de cerisier avec Rio Amakusa et Masuda, elle et Ryō essaient d'exprimer leurs sentiments avec gratitude, mais lorsqu'il se rend compte qu'il aime ça, il essaie de se retirer. Ryō a peur non seulement de la différence d'âge, mais aussi de sa vie passée depuis que son père connaît son amour non partagé pour Ichika. N'est-ce pas hors de proportion avec la personne que vous aimez ? Vous ne pouvez pas ainsi prendre soin de votre personne préférée. Le sort de l'amour entre les deux s'arrête et s'inquiète parce qu'ils se prennent trop au sérieux (volume 8).
Ce manga est devenue très vite une ½uvre populaire avec un total cumulé de plus de 2,5 millions de vues sur pixiv et la meilleure sélection de "pixiv manga", c'est avant tout une comédie romantique avec un amour à sens unique entre un employé de bureau de haut niveau et une lycéenne otaku portant sur plus de 40 pages et qui peuvent comprendre un chapitre complémentaire comme pour la Saint-Valentin. Le manga est rempli d'éléments réaliste pour faire preuve d'empathie avec les divers personnages. L'½uvre condense de donc deux drames humains, Ryō Amakusa et Ichika Arima. Les dessins de Mogusu s'inspirent de la peinture avec une touche de réalisme ce qui est agréable à voir. Une édition spéciale publiée du tome 4 le 19 janvier 2018 est accompagnée d'un CD drama nouvellement enregistré dans lequel Soma Saito joue Ryō, Kana Asumi joue Ichika, Nozomi Yamamoto joue Rio Amakusa, Nobunaga Shimazaki joue Kai Tamaru et Saori Hayami joue Yue Matsushima. Et un artbook de Mogusu intitulé Une Fleur - Koikimo Mogusu Artworks est sorti le 25 mars 2021 dans lequel en plus des illustrations en couleurs des livres et des illustrations bonus de la boutique, on trouve des illustrations précieuses annoncées lors de divers événements, collaborations, SNS, etc. sont également publiées. De plus, les illustrations et des mangas dessinés pour ce livre sont inclus.
L'anime annoncé par Ichijinsha le 21 janvier 2020 est diffusé sur AT-X, Tokyo MX, Hokkaido Bunka Hōsō, Miyazaki Broadcasting, Gunma TV, Tochigi TV et BS Fuji le 5 avril. Naomi Nakayama (Orange) réalise l'anime pour Nomad, avec Taku Yamada (réalisateur des épisodes de Kanojo, Okarishimasu) comme assistant réalisateur. Yūko Kakihara (Orange, Chihayafuru 2, Digimon Adventure tri.) est en charge des scripts de la série. Mariko Fujita (Galaxy Angel, Rosario + Vampire, Urahara) conçoit les personnages et est également directrice de l'animation en chef. Hiroaki Tsutsumi (Orange, Kujira no Kora wa Sajou ni Utau) compose la musique. Ace Collection a interprété l'opening de la série "Monokuro City", tandis que MaRuRi to Ryuga interprète l'ending"Rinaria". Le réalisateur a voulu que cette série animée ressemble à un drama pour permettre aux doubleurs plus de précision et du réalisme aux répliques pour un résultat fidèle aux mangas par son scénario et son graphisme.
Koi to Yobu ni wa Kimochi Warui est une ½uvre drôle, sensible et touchante qui a réussit a attirer un large public pour un succès amplement mérité. Une belle réussite.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Nous allons voir aujourd'hui Seijo no Maryoku wa Bannou desu, qui est un web roman de Yuki Tachibana lancé sur le site "Shōsetsuka ni Narou" en 2016. Kadokawa a publié le web roman en format light novel à partir de février 2017, avec des illustrations de Yasuyuki Syuri. L'adaptation manga de Fujiazuki a été lancée sur Comic Walker dans le cadre du site Web "Flos Comic" de Kadokawa en juillet 2017, suivi d'un spin off en avril 2021. Enfin, l'adaptation animée produite par le studio Diomedéa est diffusée depuis 6 avril 2021 sur AT-X, Tokyo MX, BS11, et MBS. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
Le web roman est sérialisé par Yuki Tachibana sous le nom de «Tachibana» dans "Shōsetsuka ni Narou" à partir du 29 avril 2016. Le 9 mai, 10 jours après la publication, il a été classé 1er dans le classement quotidien de "Shōsetsuka ni Narou", et le 29 mai, 1 mois plus tard, il a été classé 1er dans les classements quotidiens, hebdomadaires et mensuels. En juin 2017, il a été lu par 14 288 206 fois et vu par 3 684 023 personnes (accès unique). Le 28 décembre 2016, huit mois après le début de la publication, l'auteur, Yuki Tachibana, a annoncé qu'il serait publié sous forme de livre en février de l'année suivante. Le contenu du livre est «environ 20% de plus que la sérialisation de «Shōsetsuka ni Narou», et «la partie qui a été coupée lors de l'écriture de la version web est ajoutée», il n'y a donc pas de différence générale. Le premier volume du livre a été publié par Kadokawa Co., Ltd. le 10 février 2017. Tachibana a commencé à écrire après avoir vu le guide des récompenses sur la première page de Shōsetsuka ni Narou, et a constaté que la "Sainte Femme" est incluse dans le titre pour les hommes et les femmes dans le classement de popularité consulté pour cette référence. Elle le savait et a assemblé l'intrigue autour d'elle. Le personnage de l'½uvre est défini avec le concept des «personnes qui veulent travailler dans le même lieu de travail». Par conséquent, la plupart des personnages sont favorables au héros, et la seule personne qui traite le héros froidement et devient un fauteur de troubles est également due à la négligence et à la conviction qu'il n'y a pas d'intention malveillante, et on peut dire que c'est une caractéristique qui n'apparaît chez aucun méchant. L'idée est de mettre ses personnages dans un monde différent où on peut quantifier et vérifier les compétences, y compris les HP, les MP, le niveau et la magie. Comme dans tout Isekai, l'idée ingénieuse est de transporter les héros, ici l'héroïne Sei den notre monde vers un monde d'héroïc fantasy aux traits de la fin du moyen-âge avec une menace fantastique pour donner un très beau résultat, dans un récit qui donne la part belle au dialogue, à la découverte, et le fait de s'adapter à une nouvelle vie. Comme on pouvait s'y attendre, le web roman a eu le droit à une adaptation en light novel à partir de février 2017, avec les splendides illustrations de Yasuyuki Syuri.
Le web roman (portant sur 122 chapitres) et le light novel (une adaptation portant sur 7 volumes) nous fait suivre Sei Takanashi qui est salariée japonaise moyenne : terriblement surmenée, constamment stressée, et sans temps libre, elle n'a pas l'opportunité ni l'énergie pour des choses en dehors de sa carrière comme des amis, la famille ou la vie amoureuse. Après une autre nuit de travail supplémentaire extrême pour son travail, elle entre dans le minuscule appartement vide dans lequel elle vit ... mais avec un cercle de lumière apparaissant soudainement sous elle puis un éclair de lumière, elle se retrouve soudainement dans château européen médiéval, entouré de prêtres en robe, de chevaliers et d'aristocrates en liesse. Comme on le lui explique rapidement, elle faisait partie d'un rituel pour invoquer une «Sainte», une magicienne bienveillante et puissante qui tuerait les monstres et purifierait le miasme menaçant d'envahir le royaume de Salutania et le reste du monde. Cependant, il y a un problème : au lieu d'une seule personne d'un autre monde, il y en a deux, Sei et une fille beaucoup plus jeune, beaucoup plus attirante et innocente, Aira Misono. Alors que les prêtres sont à juste titre confus, le prince Kyle Salutania n'a pas de telles réserves et marche immédiatement en avant et s'agenouille devant Aira, se présentant et la présentant comme la nouvelle «Sainte» du royaume en s'agenouillant à ses pieds. Sans précédent de moyen de ramener Sei dans son monde et se sentant terriblement coupable de cet incident, le royaume décide de laisser Sei rester dans le château, visiter ses installations connexes comme le l'Institut de Recherche Royale et passer son temps à sa guise. Sans la télévision, les jeux vidéo ou la capacité de dialoguer, voire de faire une promenade dans les bois sans se faire attaquer par des monstres assoiffés de sang, et avec les résidents du château l'évitant mystérieusement et ne prenant même pas la peine de la visiter, Sei se retrouve terriblement ennuyée jusqu'à ce qu'elle tombe accidentellement sur un jardin d'herbes plein de plantes familières comme de la lavande et de l'origan. Un scientifique sympathique de l'institut, Jude, l'introduit au concept de fabrication de potions, et avec un passe-temps passé en herboristerie, Sei devient rapidement une chercheuse faisant des potions et étudiant les effets des herbes. Comme tout le monde l'apprend rapidement, cependant, la magie de Sei est extrêmement puissante et ses connaissances de la vie passée lui permettent de faire des innovations et des découvertes révolutionnaires qui menacent de secouer la nation et de bouleverser l'équilibre du pouvoir. Ajoutez à cela des romances naissantes avec de beaux hommes, des monstres et des miasmes envahissants, et des amitiés avec des nobles et d'autres résidents de ce monde, et la vie de Sei devient en effet très intéressante.
Trois mois après l'invocation, les Troisièmes Chevaliers du Royaume sont gravement blessés par des démons, mais la potion faite par Sei guérit le chef Albert Hawk et d'autres. Depuis lors, elle a continué à interagir avec Hawk, écoutant la demande d'Elizabeth Ashley à la bibliothèque, accordant de la magie à la Division des mages de la cour et donnant au capitaine Hawk des accessoires magiquement accordés par elle. Sept mois après avoir été convoqué, Sei apprend la magie de récupération dans un livre de la bibliothèque du château et rend à nouveau visite aux chevaliers blessés par des démons. À ce moment-là, Sei, qui ne pouvait pas quitter les chevaliers gravement blessé gravement régénère même un bras coupé avec une puissante magie de récupération, et est vénéré comme une «sainte» par ces derniers. Immédiatement après cela, elle est évalué par Yuri Dreves, le commandant de la division des mages de la cour qui s'est réveillé du coma causé par la réaction de la cérémonie d'invocation de la sainte, mais Sei est d'un plus haut en niveau que le mage numéro un du pays, et n'a pas pu être évalué. Après avoir reçu le rapport, le roi Siegfried Salutania s'excuse auprès de Sei lors d'une audience publique et demande ce qu'elle veut comme récompense. Sei, qui n'a rien à demander en particulier, lui demande de voir la bibliothèque secrète et des conseils magiques formels, et reçoit ceux-ci directement de Yuri. Neuf mois après avoir été convoqué, Sei participe aux combats face des démons dirigé par le capitaine Hawk en tant que guérisseuse. Cependant, lorsque le chef est en difficulté, le pouvoir magique d'or déborde de Sei. Il fait disparaitre monstres environnants et le marais noir d'où les monstres ont surgi, et a instantanément tout effacé. Ce n'était rien d'autre que la magie légendaire de purification étendue que seules les saintes peuvent utiliser, «l'art des saintes». En raison de cette réalisation, Sei est reconnue comme un «sainte» par tout le palais royal. Cependant, le prince Kyle, qui voulait désespérément faire d'Aira un sainte, n'y croit pas et a déclaré dans un lieu public que «Sei n'est pas un sainte», et son père a ordonné à son fils de se retirer. Ce qui permet à Aira de se faire enfin des amis à l'académie et d'entrer en relation avec Sei. Elle aussi aspire à une vie paisible. Un an après l'invocation, Sei tout en étant conseillée par l'ancienne sainte, avec le capitaine Hawk et l'Ordre des Troisièmes Chevaliers du Royaume, se dirige vers une expédition d'assujettissement des démons dans le territoire de Klausner, connu sous le nom de sanctuaire des Yakushi. Dans cette expédition, elle s'est rendu compte que "penser au chef Hawk" était la condition pour activer la technique de la sainte, et elle est devenu capable d'activer la technique librement, puis se dirige elle vers la ville portuaire pour une visite, et tombe de manière inattendue sur les ingrédients qu'elle recherchait pour retrouver le riz, le miso et un goût nostalgique, où avec les gens sur les navires de commerce qui manipulent les produits, fabriquent des aliments en conserve qui aideront lors de longs voyages et démontrent pleinement leurs compétences culinaires, et pendant ce temps, Yuri, le chef de la division des mages, remarque que la cuisine de Sei a un effet spécial, ensuite, en ayant rencontré le produit alimentaire japonais recherché depuis longtemps, Sei s'intéresse de plus en plus au pays de son partenaire commercial, Zidera, et le prince vient de Zidera en tant qu'étudiant international, enfin les demandes de travail ont commencé à arriver pour Sei, qui a réalisé de nombreuses choses. Pendant ce temps, Sei se dirige vers Margrave, la ville natale d'Albert, pour purifier le miasme qui a commencé à se reproduire, mais Albert, qui a décidé de se préparer, commence enfin à bouger.
Le succès du web roman et du light novel qui est notable grâce à une histoire qui présente bien ses personnages, nous fait suivre l'évolution de son héroïne Sei et de l'autre personnage central du manga Aira, dans une ère de découverte, de combat et où l'amour et l'amitié se forgent au fil de leurs rencontres, fut suivi par une adaptation en manga avec illustré par Fujiazuki qui a été sérialisée en ligne via le site web Comic Walker de Kadokawa Shōten depuis juillet 2017 et a été collectée dans cinq volumes depuis février 2018. C'est une adaptation très réussie et agréable à lire, encore plus avec les graphismes très proche de ceux des illustrations du light novel. Un spin-off de la série, appelé The Saint's Magic is Overpowered - Another Saint scénarise par Ao Agu et Yuka Tachibana, et illustré par Yasuyuki Tamashiri est publié en 2021 et se concentre sur Aira, et ce qu'elle a vécu et vu tout au long de l'histoire. C'est un très beau manga, là encore fidèle au format original et nous permet de voir le point de vue d'Aira, une jeune lycéenne qui alors qu'elle allait faire du shopping s'est retrouvée transportée dans un autre monde, et est accueillie par le prince Kyle comme la sainte tandis que les rumeurs disent que c'est Sei, arrivée ave elle, qui serait la vrai sainte, tout en voyant ses rencontre dans cet univers. Enfin, une adaptation animée annoncée le 7 septembre 2020 par Kadokawa, est diffusée depuis le 6 avril 2021 sur AT-X, Tokyo MX, MBS et BS11. Shōta Ihata (Girlish Number, Domestic no Kanjo) réalise l'anime pour Diomedéa. Masakazu Ishikawa (Shinryaku! Ika Musume, Seiken Tsukai no World Break) conçoit les personnages et Wataru Watari (composition de la série Girlish Number, Yahari Ore no Seishun Love Come wa Machigatteiru) supervise les scripts de la série. Kenichi Kuroda (Hatena Illusion) compose la musique et la chanteuse Aira Yūki est la productrice de la musique pour Lantis. Yayoi Tateishi est le directeur du son chez Bit Groove Production. Aira Yūki interprète l'opening intitulé Blessing, et NOW ON AIR interprète l'ending«Page for Tomorrow». L'anime est très réussi et d'une fidélité exemplaire au récit original et ses graphisme épousent ceux très beaux du light novel et du manga, ce qui en fait une très belle adaptation. L'épisode final de la 1re saison sortira le 22 juin 2021. Une saison 2 est sans doute déjà en préparation, même si elle n'a pas été annoncée.
Seijo no Maryoku wa Bannou desu est une très belle franchise nous transportant dans un récit original poétique et très dépaysant qui a su développer un univers propre, tout en sachant se diffuser à travers des mangas et un anime. Une belle découverte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Nous allons voir aujourd'hui Sentouin, Hakenshimasu! qui est série de light novel écrite depuis 2017 par Natsume Akatsuki, connu pour KonoSuba et Kemono Michi, avec des illustrations de Kakao Lanthanum, publiée par Kadokawa Shoten sous son empreinte Kadokawa Sneaker Bunko. Masaaki Kiasa a lancé une adaptation de manga dans Kadokawa dans Monthly Vivant Comic Magazine en mars 2018. Enfin une adaptation animée produite par JC Staff est diffusée depuis le 4 avril 2021 sur AT-X, Tokyo MX, KBS Kyoto, Sun TV, et BS-NTV. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
Ce travail a été sérialisé dans "Shōsetsuka ni narō" par l'auteur Natsume Akatsuki sous le nom de "Hideaki Natsuki" (le nom de l'auteur pour chaque ½uvre est "Combattants N°3") entre le 19 août et le 10 septembre 2012 avec 68 chapitres mis en ligne, dont l'histoire repose sur le fait que la société secrète maléfique Kisaragi avait un problème alors qu'elle était sur le point de conquérir le monde, et c'est le travail d'un grand nombre de combattants qui perdront leur emploi après l'achèvement de la domination mondiale, et alors que les cadres se tiennent la tête, un scientifique découvre un moyen de voyager dans un autre monde, puis un commandement est donné à un combattant bas de gamme, et il s'agit d'aller dans un autre monde et de mener une enquête de terrain, ce qui poussa à un enregistrement de la lutte des combattants bas de gamme d'une organisation maléfique avec un peu d'amour, de courage ou d'espoir. Cependant, il n'a été sérialisé qu'une seule fois, et quand Akatsuki a fait ses débuts en tant qu'écrivain de light novel, l'existence de ce travail était inconnue de l'éditeur et n'a pas été transformé en livre. Cependant, plus tard, Natsume Akatsuki, a dit aux gens de Kadokawa Sneaker Bunko l'existence de ce travail : "J'ai un manuscrit caché pour ce type de travail", et il a été décidé d'en faire un light novel en 2017 les très belles illustrations de Kakao Lanthanum. Et le récit nous livre l'histoire amusante de N°6 un agent peu compétent qui doit espionner un autre monde pour le conquérir pour l'organisation secrète Kisaragi qui a réussi à échapper aux héros de Sentai tout en ayant une alliée irascible, une cyborg nommée Alice et des alliés tout aussi peu compétentes que lui, tout cela beaucoup d'humour, de quiproquos, et d'action. Fin mars 2021, «Sentouin, Hakenshimasu!! La couverture des volumes 1-5» a été renouvelée par Kakao Lanthanum pour commémorer l'adaptation animée.
L'histoire nous fait suivre Combattant N°6 qui est un homme amélioré travaillant pour l'organisation secrète Kisaragi ! Un jour ses deux supérieures Astaroth et Belial, lui confient une mission bien spéciale : conquérir un nouveau monde au nom de l'organisation grâce à l'aide de la scientifique Lilith. Il dispose alors de quelques outils et surtout d'une androïde nommée Alice, dotée d'un sale caractère mais douée en informatique et en linguistique. Dans ce nouveau monde assez proche d'un monde médiéval fantastique possédant quelques traces d'anciennes technologies (comme des chars d'assaut et un dispositif de contrôle météo), Combattant N°6 devient commandant d'une troupe assez atypique composée d'Alice, de Rose, une chimère timide, de Grimm, une prêtresse obscure narcoleptique, et de Snow, l'ancienne commandante déchue et colérique souhaitant tuer N°6. Leur mission : secourir le royaume et être le bras armé de la princesse Tillis (enfin jusqu'à ce que N°6 trouve un moyen de récupérer tout le territoire au nom de Kisaragi). Et deux mois après son transfert, N°6 lutte pour montrer la vraie chose pour dissiper des noms aussi honteux tels que "Zipperman", et Snow flirte avec de l'argent neuf pour rembourser le prêt de son épée bien-aimée. Pendant ce temps, le royaume de Grace, qui n'a pas pu activer avec succès le "Festival Ochinchi", est dans une grave pénurie d'eau. Tillis, qui a attribué cela à N°6, les a envoyés dans le pays voisin, Toris, où les pierres à eau sont extraites. Par la suite, quand le «Festival des morts-vivants» commence et que l'archevêque Occultovitch s'y invite, permet à N°6 et Grimm de connaître son 1er succès après tout ce qu'ils font pour éviter les combats avec le roi démon et sa générale Heine. Puis un mois depuis le cessez-le-feu avec l'armée du roi démon, un monstre assistant de la Terre est également arrivé et le plan d'invasion de Kisaragi est sur la bonne voie. Cependant, une fois que N°6 a changé le slogan requis pour activer les reliques pluvieuses en Ochin * n Matsuri, et que les reliques sont devenues inutilisables, le royaume de Grace est tombé dans une grave pénurie d'eau. Afin de surmonter cette situation, N°6 et d'autres ont été envoyés en tant que diplomates à Toris, le pays voisin, où la «pierre d'esprit de l'eau» qui produit de l'eau est extraite. Ensuite, le groupe de combattants de N°6 erre dans le désert après avoir échoué à ramasser des «fruits d'eau». L'Eau perdue, la raison qui s'évapore, l'instinct de survie pour démarrer un fugue et Grimm qui sèche ... N°6 peut-il survivre au désert !? Enfin, on se demande si Grimm joue enfin un rôle actif dans le festival des morts-vivants ? Le festival des morts-vivants a lieu et dans celui-ci les morts reviennent dans ce monde ! Grimm fera-t-elle enfin une grande différence, car elle n'avait aucun intérêt à mourir bientôt ?
Le web roman et le light novel connurent un certain succès avec ce récit original et de très belles illustrations, et il fut suivit par une adaptation manga illustrée par Masaaki Kiasa, est lancée sur le webzineMonthly Comic Alive depuis le 27 mars 2018 et il porte actuellement sur 6 volumes publiés à partir d'août 2018. Il suit parfaitement le light novel par son humour et ses scènes d'action avec des très beaux graphismes de la part de Masaaki Kiasa qui s'inspire brillamment des illustrations réussies de Kakao Lanthanum. Elle est suivie par une adaptation animée annoncée lors d'une commémoration diffusée en direct pour le premier anniversaire du site de light novel de Kadokawa, Kimirano, le 15 mars 2020, puis elle a été diffusée depuis le 4 avril 2021 sur AT-X, Tokyo MX, KBS Kyoto, Sun TV, et BS- NTV. Hiroaki Akagi (Karakai Jōzu no Takagi-san, Mashiro no Oto) réalise l'anime pour JC Staff, et Yukie Sugawara (Hina Logic - from Luck & Logic, The Idolm @ ster SideM, Overlord) supervise les scripts de la série. Sōta Suwa conçoit les personnages et Masato Kōda (Arpeggio of Blue Steel - Ars Nova, Kono subarashii sekai ni shukufuku o!) compose la musique pour Nippon Columbia. Miku Itō interprète la chanson thème d'ouverture "No.6", et les actrices vocales Miyu Tomita, Sayaka Kikuchi, Natsumi Murakami et Minami Takahashi interprètent la chanson de fin "Home Sweet Home" comme leurs personnages respectifs. L'anime prend le parti de rester fidèle au light novel ce qui donne une belle adaptation qui s'avère très drôle avec de magnifiques graphismes.
Sentouin, Hakenshimasu! est une ½uvre originale très drôle et qui montre qu'on peut créer toute une franchise sur un héros peu capable et bien entouré. Une belle découverte.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.107.249) si quelqu'un porte plainte.
Partage