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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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Le bras d'honneur de Kozakiewicz à l'URSS

Le bras d'honneur de Kozakiewicz à l'URSSJe vous mets aujourd'hui ces superbes pour parler du bras d'honneur du perchiste polonais Wladislaw Kozakiewicz, en réponse au chauvinisme du public soviétique et au traitement de son pays par l'URSS. J'espère qu'elles vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
En 1976 à Montréal, Wladislaw Kozakiewicz connaît une cruelle désillusion : il se blesse juste avant le début du concours olympique, qui sera remporté par son compatriote Tadeusz Slusarski, et ne peut donc défendre ses chances. Mais à quelques mois des Jeux de Moscou, il est le premier homme à franchir la barre des 5,70 m : 5,72 m en mai à Milan. L'athlète né en Lituanie se présenta aux Jeux comme le numéro un du saut à la perche mondial.
Sa revanche sera totale. En effet, le 30 juillet 1980, à Moscou, Wladislaw Kozakiewicz devient champion olympique du saut à la perche dans l'ambiance détestable des travées du Stade Lénine, en franchissant toutes les barres au premier essai, et 5,78 m (record du monde) à son deuxième essai. Il adresse alors au public chauvin, qui soutenait Konstantin Volkov, un bras d'honneur resté fameux qui semble également destiné aux dirigeants soviétiques. Ce public avait systématiquement sifflé et hué les concurrents étrangers des Soviétiques durant la compétition. Enfin , il se dirige alors vers ses supporters, franchissant les barrières de soldats soviétiques, et entonne avec eux "La Pologne n'est pas vaincue..."

Le bras d'honneur de Kozakiewicz à l'URSSLa télévision polonaise n'a pas diffusé ces images, qui font le tour du monde, mais des photos du "geste" circulent sous le manteau par l'intermédiaire du syndicat clandestin "Solidarnosc" comme symbole de la résistance du peuple polonais face à l'URSS. L'ambassadeur russe en Pologne a demandé que Kozakiewicz soit privé de sa médaille pour "insulte au peuple soviétique". La réponse officielle du gouvernement polonais fut que ce geste était dû à un "spasme musculaire involontaire". Un geste interprété comme le début de la révolte des pays frères. La première grève de Solidarnosc commence quelques jours plus tard, en août 1980.
 
Kozakiewicz donne une conférence de presse, les journalistes lui demandent de réitérer son célèbre bras d'honneur devant les objectifs. L'ancien perchiste plie alors le bras mais flanche. Une personne présente lui fournit un tube de Ultrafastin, une pommade pour les muscles douloureux. Une fois la crème appliquée, Kozakiewicz arrive parfaitement à faire son bras d'honneur.
 
Par la suite, il se réfugiera en Allemagne de l'Ouest en juillet 1985 et obtiendra la nationalité de son pays d'accueil en raison de démêlés avec la fédération de son pays, qui le suspend six mois pour avoir participé à des compétitions à l'étranger sans autorisation.
 
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#Posté le jeudi 02 août 2012 04:34

Chuck Wepner, le véritable Rocky Balboa

Chuck Wepner, le véritable Rocky BalboaJe vais vous parler aujourd'hui du boxeur qui inspira à Sylvester Stallone le personnage de Rocky Balboa, Chuck Wepner. J'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Chuck Wepner est un boxeur quasi inconnu et un héros méconnu de la boxe américaine. Né en 1939, il devient un marine puis gardien de sécurit. Il ne devint boxeur professionnel qu'à l'âge de 25 ans. Sur 51 combats, il en gagna 35, dont 17 par K.O. Au moment où il acquiert une réputation, il est coup sur coup mis K.O par George Foreman et Sonny Liston (un combat dont Wepner sortit avec 120 points de suture). Pourtant le boxeur, surnommé «Le Saigneur de Bayonne», s'accroche, alors qu'on le voit comme le grand "désespoir blanc" du moment.
 
Après une série de neuf victoires sur onze combats, on lui donna l'opportunité de défier en 1975 Mohammed Ali pour le titre de champion du monde des poids lourds. Après son éclatante victoire contre Foreman, Ali prend la chose comme une formalité d'usage et pense que le combat va se terminer rapidement. Outsider face à un adversaire lui étant supérieur, Wepner s'isola huit semaines pour s'entraîner. Peu avant le combat prévu le 24 mars, «Le Saigneur», interrogé sur ses chances de gagner face à Ali, rétorqua : «J'ai été un survivant toute ma vie. Si j'ai survécu aux Marines, je peux survivre à Ali».
 
Chuck Wepner, le véritable Rocky BalboaLe combat, qui aurait dû se terminer rapidement se prolonge, au grand étonnement du public et des bookmakers. A la fin du 3ème round, le public cesse de se moquer de Wepner. Au 9ème round, Wepner envoie Ali au tapis à la surprise générale. Ali dira que c'est en lui  marchant sur les pieds, mais le public encourage le challenger. Piqué dans son orgueil, Mohamed Ali riposte et pilonne son adversaire, le matraque littéralement de coups, lui pétant le nez et les arcades sourcilières. Malgré la violence des coups, Chuck Wepner reste vaillant et continue d'avancer en direction d'Ali.  Wepner, porté par on ne sait quelle force, tient quinze rounds, perdant que par arrêt de l'arbitre à 19 secondes de la fin du combat. Bien que blessé et dominé, Wepner résista jusqu'au bout avec un courage qui força l'admiration. Sylvester Stallone en voyant ce combat s'inspirera de cet instant pour écrire un de ses deux rôles fétiches : Rocky.
 
En 1976, il affronte le catcheur (lutteur) André le Géant (André The Giant) et perd par décompte à l'extérieur après qu'André le jeta hors du ring, inspirant certainement une nouvelle fois le personnage de Rocky qui affronte le catcheur Thunderlips (Hulk Hogan) dans Rocky 3, l'½il du tigre, et qui se fait lui aussi jeter aussi hors du ring.
 
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#Posté le mercredi 08 août 2012 03:36

La Dream team 1992 ou deux semaines de rêves

La Dream team 1992 ou deux semaines de rêvesJe vous mets ces superbes images de la Dream Team, l'équipe des États-Unis de 1992 qui émerveilla le monde du basket lors de JO de Barcelone par son jeu et ses stars. j'espère que les images vous plairont, vous pouvez les prendre si vous voulez.
 
Composé de légendes comme Larry Bird, Magic Johnson et Michael Jordan, cet ensemble de stars NBA avait été constitué après la déroute des universitaires aux Jeux olympiques de Séoul en 1988 guidé par un esprit de reconquête. Les "juniors", emmenés notamment par David Robinson, n'avaient réussi qu'à ramener le bronze. Les États-Unis avaient alors décidé d'envoyer ses meilleurs joueurs et les résultats ont confirmé le fossé qui existait alors entre la NBA et le reste du monde.
 
C'était effectivement la première fois que les stars de la NBA allaient participer aux Jeux Olympiques. Si Michael Jordan n'était pas particulièrement intéressé par l'idée au début, il s'est finalement laissé convaincre par Magic Johnson et consorts, qui ont tous répondu présent. De Larry Bird à Karl Malone, en passant par Patrick Ewing, John Stockton, Scottie Pippen, Clyde Drexler, David Robinson, Chris Mullin, le jeune Christian Laettner qui n'évoluait pas (encore) en NBA et bien sûr l'incorrigible Charles Barkley.
 
La Dream team 1992 ou deux semaines de rêvesLa Dream Team avait remporté tous ses matchs avec un écart moyen de 43,8 points. Lors du match d'ouverture des JO de Barcelone, la "Dream Team" affronte l'Angola, qu'elle écrase 116-48, soit de plus du double de points. Les Américains survolent le match suivant contre la Croatie (103-70), durant lequel Michael Jordan inscrit 21 points. Les États-Unis enregistrèrent ensuite une victoire contre l'Allemagne avec une bonne performance de Larry Bird (19 points) et Karl Malone (18). Lors de la victoire contre le Brésil (127-83), Charles Barkley établit le nouveau record de points marqués par un joueur américain en sélection, avec 30 unités. Le dernier match de poule vit la Dream Team battre l'Espagne et, encore une fois, de manière spectaculaire avec un score de 122 à 81. En quarts de Finale Porto Rico ne résiste pas plus (115-77), et même la Lituanie, qui allait devenir une grande nation de basket est renvoyée chez elle en demi-finale (127-76). La finale fut le match le plus difficile du tournoi pour la "Dream Team" qui s'impose de 32 points, 117-85, contre la Croatie de Tony Kukoc, face à un public complètement acquis à la cause américaine.
 
La Dream team 1992 ou deux semaines de rêvesLa Dream Team a pratiqué un jeu extraordinaire, aérien, simple, élégant. «C'est comme ça que le basket devrait toujours être», sourit Karl Malone double MVP avec le Jazz et deuxième meilleur marqueur de points de l'histoire de la NBA. Et pour cause, les joueurs de Team USA 1992 se trouvaient les yeux fermés. Des adversaires demandent même aux joueurs de leur signer des autographes avant de les affronter.
 
Il n'y aura jamais eu le moindre temps mort réclamé par le sélectionneur. L'or est revenu à la maison comme prévu, comme promis. La Dream Team est aujourd'hui considérée comme la plus grande équipe de basket-ball de tous les temps. Rarement une équipe n'aura autant fait l'unanimité.
 
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#Posté le lundi 13 août 2012 04:06

Suzanne Lenglen, la diva du tennis

Nous allons voir aujourd'hui Suzanne Lenglen, la première star féminine du tennis dont on fêta hier les 117 ans de sa naissance.
 
Suzanne Lenglen, la diva du tennisSuzanne Rachel Flore Lenglen née le 24 mai 1899, à Paris. Souffrant d'asthme chronique, Elle commence à faire du tennis à l'âge onze en 1910 poussée par son père voulant améliorer sa santé. Son père un homme d'affaires français trop zélé qui est crédité pour avoir adapté le tennis au jeu des femmes. "Papa" Lenglen a formé sa fille avec rigueur et tout au long de sa carrière il fut son mentor et entraîneur, lui fournissant gorgées de cognac à des moments clés et regardant chacun de ses mouvements d'un ½il parental sévère. Cette exigence lui permet deux ans après se débuts de faire son premier tournoi senior, puis à l'âge de 13 ans elle devient la partenaire du champion du monde de tennis masculin, le Néo-Zélandais Anthony Wilding, en double mixte. En 1914, à 15 ans elle va en finale de Roland Garros (à l'époque un tournoi national) qu'elle ne remporte pas. Ce premier tournoi sera porteur pour elle.
 
Suzanne Lenglen, la diva du tennisLa première guerre mondiale l'oblige à déménager à Nice où elle se perfectionne au Tennis Club de Nice sous le regard vigilant du professeur Joseph Negro. Devenue une véritable machine de guerre, surnommé "La Divine", elle devient la première femme non-anglophone à gagner les Championships de Wimbledon à six reprises entre 1919 et 1925, à l'exception de 1924, lorsque des problèmes de santé l'ont forcée à se retirer. Elle cumule aussi les victoires dans les Championnats de France à Roland Garros à quatre reprises entre 1920 et 1923 et aux Jeux Olympiques d'Anvers en 1920. En double, elle remporte avec six titres dans chaque tournoi du Grand Chelem (6 à Rolland Garros entre 1920 et 1926, et 6 à Wimbledon entre 1919 et 1925). Même en mixte, elle allie les victoires à 11 reprises (7 à Roland Garros en 1914, puis entre 1920 et 1926, et 3 à Wimbledon en 1920, 1922 et 1925) parmi elles l'or aux Jeux olympiques de 1920 à Anvers. Ses victoires s'expliquaient par son style de jeu fluide qui a séduisait les spectateurs et éc½urait ses adversaires. Elle est aussi la première à introduire la mode dans le tennis en portant des jupes créées par le couturier Jean Patou.
 
Suzanne Lenglen, la diva du tennisMais elle sait aussi populariser le tennis,  comme en 1925, quand Suzanne Lenglen joua dans l'un des premiers films pédagogiques sur le jeu de tennis, «How I Play Tennis». Ce film donnait des conseils sur comment tenir la raquette, ainsi que la meilleure façon de frapper la balle. Son caractère sanguin ne lui fait pas que des amis. En 1926, une brouille à Wimbledon, notamment avec la Reine Elizabeth, précipite la fin de la carrière amateur de Suzanne Lenglen. Elle a eu le tort de défier les institutions tennistiques en déclinant deux matches de suite (simple et double) à Wimbledon. Elle décide de devenir professionnelle et entre 1926 et 1927 elle prend part à une tournée professionnelle aux États-Unis où elle gagne 38 matchs avant de rentrer à Paris. Suzanne Lenglen défendit son choix comme «une évasion envers la servitude et de l'esclavage», et elle attaqua l'establishment du tennis amateur hautain envers elle.
 
Suzanne Lenglen, la diva du tennisElle devient professeur de tennis en 1927 dans une école de tennis qu'elle a ouverte et qui sera reconnu comme un centre fédéral d'entraînement par la Fédération française de tennis en 1936. Malheureusement, en Juin 1938, Suzanne Lenglen a été diagnostiqué avec une leucémie et dans les trois semaines suivantes elle perd la vue. Selon les rapports de l'époque, elle est devenue fatigué presque immédiatement, puis elle est morte d'anémie pernicieuse, le 4 juillet 1938 à l'âge de 39 ans. En 1978, elle devient la première Française à entrer au prestigieux Tennis Hall of Fame (Temple de la renommée) et en 1997, le tournoi de Roland-Garros lui rend hommage en attribuant son nom au deuxième court le plus grand du stade. Le trophée remis à la tenniswoman qui remporte le tournoi est également nommé "Coupe Suzanne-Lenglen".
 
Mais elle fut bien plus que cela puisque pour ses compatriotes français, elle était plus qu'une grande athlète : elle était un symbole de la résurgence de la fierté française après l'effusion de sang coûteuse de la Première guerre mondiale, une héroïne nationale du niveau de Jeanne d'Arc. Son palmarès y aida beaucoup puisqu'elle gagna 241 tournois, deux médailles d'or olympiques et se permit même 171 victoires consécutives.
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#Posté le mercredi 25 mai 2016 03:31

Mohamed Ali, The Greatest

Nous allons aujourd'hui rendre hommage à Mohamed Ali, qui fut champion olympique, champion du monde à trois reprises, et aura régné sur l'âge d'or des poids lourds et forgé sa légende par ses luttes et ses engagements en dehors du ring.
 
Mohamed Ali, The GreatestNé en 1942 à Louisville dans le Kentucky dans le Kentucky, dans un État ségrégationniste, sous le nom de Cassius Marcellus Clay Jr, il commence la boxe alors qu'il n'est encore qu'un enfant pour se venger du garçon qui lui avait volé son vélo. Très talentueux, il remporte, en 1959, le prestigieux tournoi des Golden Gloves, puis remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques de 1960, de retour au pays sa médaille autour du cou, on refuse de le servir dans un restaurant réservé aux blancs, il jette alors sa médaille l'Ohio River, à Louisville, sa ville natale. Après une centaine de rencontres amateurs, le phénomène passe professionnel à 18 ans sous la tutelle d'Angelo Dundee, son homme de coin de toujours. Mohamed Ali, The GreatestSpectaculaire, par son jeu de jambes et ses esquives d'un temps nouveau, Clay monte rapidement dans la hiérarchie des poids lourds. A peine quatre combats à son actif, il ridiculise Ingemar Johansson, ex-roi de la catégorie, lors d'une séance de sparring. Insolent, il déclame, parfois en vers, des odes à son talent devant la presse qui se délecte. En 1962, il envoie au tapis Archie Moore, ancien champion du monde des mi-lourds. Un an plus tard, il triomphe d'Henry Cooper à Wembley et s'offre une chance mondiale face à Sonny Liston, et provoque en 1964 un séisme sur la planète boxe en détrônant le champion du monde Sonny Liston au 7e round qui se fait surprendre par sa vitesse et son jeu de jambes. On est alors en 1964.
 
Mohamed Ali, The GreatestProche de Malcolm X, après sa victoire contre Liston, Cassius Clay décide de changer de nom et se fait appeler Cassius X en l'honneur du de son ami, mais il lui tourne le dos en 1964 au Nigéria, puis il se convertit à l'islam en 1965 et prend le nom de Mohamed Ali tout en soutenant la Nation de l'Islam. La même année, la revanche contre Liston gagnée par Ali par K.O. reste controversée, certains accusant Liston de s'être «couché». Liston perd dès le premier round après ce que la postérité a nommé le "coup de poing fantôme" d'Ali. Après l'assassinat de Malcolm X en 1965, il regrettera se s'être détourné de lui. En 1966, il refuse de servir dans l'armée américaine durant la guerre du Viêtnam. "Aucun Vietnamien ne m'a traité de nègre", justifie-t-il. Son activisme fâche les autorités américaines. Il est condamné, en 1967, à 5 ans de prison. Mohamed Ali, The GreatestIl perd sa licence et son titre de champion du monde. N'ayant plus le droit de boxer, Mohamed Ali en profite pour faire campagne contre la guerre et pour le droit des minorités. Il devient le héros de la jeunesse pacifiste, le champion déchu enchaîne les conférences universitaires, joue dans une pièce à Broadway, ou vend ses talents comme sparring-partner. La même année il avait battu bat Ernie Terrell au 15e round pour récupérer son titre et prendre le titre WBA, mais ses problèmes judicaires l'empêche de concourir pour un nouveau titre. Deux ans plus tard, après avoir à nouveau refusé l'incorporation, il est condamné une nouvelle fois à cinq années de prison et 10 000 dollars d'amende.
 
Mohamed Ali, The GreatestBlanchi par la Cour suprême en 1970, il perd quatorze kilos, revient sur le ring et surclasse Jerry Quarry. Il abandonne son titre le laissant à Joe Frazier, désirant le combattre pour le titre il se mesure à l'Argentin Oscar Bonavena le 7 décembre à New York en 15 rounds pour le titre de champion d'Amérique du Nord NABF, puis peut faire le «combat du siècle» contre Frazier en 1971. Il est envoyé au tapis au début du quinzième round, il réussit à finir le combat, mais Frazier l'emporte aux points et conserve son titre. C'est la première défaite de Mohamed Ali chez les pros. La Cour suprême l'innocente définitivement le 28 juin 1971. Les 8 juges l'acquittent à l'unanimité. Pour reconquérir le titre, Mohamed Ali choisit de boxer contre les meilleurs boxeurs d'Amérique du Nord pour le titre d'Amérique du Nord tout en boxant autour du monde, mais connaît un accroc en 1973 fac à Ken Norton, de deux ans son cadet. Dans sa ville natale de San Diego, le jeune boxeur, nettement plus affuté qu'Ali qui dépasse les 100kg, remporte le combat après avoir brisé la mâchoire de Mohamed Ali lors de la 2e reprise. Il prendra sa revanche en gagnant aux points à Los Angeles. Puis dans un des combats les plus violents de l'histoire, Ali scelle par une victoire l'épilogue de sa trilogie avec Joe Frazier qui a perdu son titre en remportant la revanche en 1974 au Madison Square Garden de New York.
 
Mohamed Ali, The GreatestPlus rien ne peut l'empêcher de reprendre le titre. Dans un combat surnommé «The Rumble in the Jungle» qui restera célèbre dans l'histoire, celui du Zaïre en 1974, où il affronte le champion du monde George Foreman sous 30°C à Kinshasa pour réunifier les titres WBA et WBC, Mohamed Ali reprend alors le titre de champion poids-lourd avec une stratégie incroyable : la défense. Il prend les coups, il encaisse, il laisse son adversaire s'épuiser, puis il le met K.O. au 8e round. En 1975, avant d'affronter à nouveau Joe Frazier, il connaît de sérieuses difficultés contre Chuck Wepner à Cleveland qui résiste à Ali, se permettant de l'envoyer au tapis et ne succombant qu'au 15e round. Ce combat inspirera Sylvester Stallone pour Rocky. Après d'autres combats de préparations, il affronte Joe Frazier dans un combat surnommé le Thrilla in Manila aux Philippines 52°C. Les deux hommes luttent avec acharnement pendant 14 rounds. Mohamed Ali, The GreatestLe match est brutal, Frazier prend d'assaut Ali et l'inonde de coups avec des crochets, qui se maintien à peine et se ressaisit aux 13e et 14e rounds. L'entraîneur de Frazier Eddie Futch jette l'éponge à la fin du 14e round. Ali un bref malaise avant de quitter le ring. «J'ai vraiment eu le sentiment que j'approchais de la mort», confiait-il à L'Equipe en 2001. La même année, il quitte la Nation de l'Islam pour se convertir à l'islam sunnite.
 
En 1976, il fait deux combats faciles avant d'affronter Ken Norton, où dans un combat serré il est déclaré vainqueur aux points, ce qui est qualifié par la presse comme l'un des plus grands vols de l'histoire de la boxe. La même année, dans un match promotionnel, le boxeur américain défie le catcheur japonais Antonio Inoki. Ce dernier, qui n'a pas le droit de donner des coups de pied au visage d'Ali, passe son temps à lui donner des coups aux jambes. Le combat, considéré comme le début des arts martiaux mixtes (MMA) dure 15 rounds et se solde par un match nul. Mohamed Ali sera toutefois hospitalisé pour des blessures aux jambes. Puis en 1977, il fait deux nouveaux combats pour le titre dont celui où il fut malmené par Earnie Shavers. Il perd son titre aux points face à Leon Spinks le 15 février 1978 et l'avait récupéré en prenant sa revanche le 15 septembre de la même année. Retraité en 1979, il est contraint de remettre les gants deux ans plus tard, à 39 ans, faute d'avoir su gérer sa fortune. C'est le combat de trop. En octobre 1981, il est tristement humilié par son compatriote Larry Holmes, trop fort pour lui (abandon 11e reprise). Ali n'est plus le plus grand mais il s'entête. En décembre de la même année, une défaite face à Trevor Berbick sera toutefois son dernier combat. Après 56 victoires en 61 combats, dont 22 en championnats du monde et 37 avant la limite, Ali raccroche les gants.
 
Mohamed Ali, The GreatestPeu de temps après sa retraite en 1984, les médecins lui diagnostiquent la maladie de Parkinson. Réhabilité depuis sa prise de distance avec la Nation de l'Islam, il est reçu à la Maison Blanche par Gerald Ford et honoré par George W. Bush. En 1990, aux prémices de la Guerre du Golfe, il se rend à Bagdad et obtient de Saddam Hussein la libération de 15 otages américains. En 1996, de sa main tremblante, devant des milliards de téléspectateurs, Mohamed Ali tient à allumer la vasque olympique à Atlanta. Sous le poids de la maladie, sa déchéance physique s'accentue; ses sorties publiques se faisaient de plus en plus rares. En 2005, il avait reçu la médaille présidentielle de la liberté, la plus haute décoration civile aux États-Unis. Mohamed Ali était apparu aux funérailles de son ancien rival Joe Frazier, le 14 novembre 2011. La dernière remontait à avril 2016 à Phoenix lors d'un dîner de charité pour lever des fonds pour la recherche contre la maladie de Parkinson. Le 3 juin 2016, le boxeur mythique rend à son tour son dernier soupir, à Phoenix, où il était hospitalisé pour problèmes respiratoires. Il avait 74 ans.
 
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Tags : sport, Histoire des États-Unis
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#Posté le mardi 07 juin 2016 02:42

Modifié le mardi 07 juin 2016 02:52

Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloire

Nous allons voir aujourd'hui les Jeux Olympiques antiques. Tout a commencé en 776 avant J.-C. à Olympie, moment où un certain Koroïbos originaire d'Élis  aurait remporté la course du stade (192,27 m, soit 600 fois la longueur du pied d'Héraclès), épreuve à laquelle se réduisaient les Jeux à l'origine. Les Olympiades se résumaient à une épreuve locale puisque les 10 premiers vainqueurs étaient originaires des lieux. C'est aussi à partir de cette date que les Grecs ont compté le temps en olympiades (périodes de quatre années séparant la célébration de Jeux Olympiques consécutifs).
 
Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloireLa ville d'Olympie est à la fois un sanctuaire réputé pour le temple et l'autel de Zeus réalisé par Phidias avec à proximité le temple dédié à sa femme Héra et un lieu sportif. Pour les Olympiades, les habitants du lieu ont fait un véritable site sportif qui s'approche beaucoup de ce que l'on peut voir aujourd'hui. À son centre s'élevaient les majestueux temples de Zeus et d'Héra. Autour de l'Altis, s'élèvent d'un côté le gymnase qui sert à la fois à l'entraînement des athlètes et aux conférences des philosophes, la palestre où se déroulent les épreuves de lutte, le prytanée est l'hôtel où sont hébergés les athlètes, le léonidaïon qui accueille les hôtes de marque, le théokolion qui est réservé aux prêtres et le bouleutêrion, qui est l'endroit où siègent des juges-arbitres, appelés «hellanodices», qui président au bon déroulement des Jeux et de l'autre l'hippodrome long de 125 mètres et large de 30, les compétitions de courses de chevaux et de chars, et le stade long de 196 mètres, où les athlètes s'affrontent dans trois sortes de courses à pied : le dromos (un stade), le diaulique (deux stades) et le dalique (course de fond de 24 stades). Ce site sportif s'associait aux cérémonies religieuses aux foires commerciales et aux compétitions sportives. Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloireLes jeux faisaient partie d'une fête religieuse en l'honneur de Zeus. Ceux qui participaient concouraient pour plaire à un dieu, à une déesse ou à un héros, du moins au départ. La participation aux Jeux était restrictive puisqu'on ne devait pas seulement être grec (et, plus tard, gréco-romain) mais être un homme craignant les dieux, sachant parler grec, et être exempt de meurtre. On ne pouvait contester les décisions ou corrompre les arbitres (hellanodices), tuer son adversaire, arriver en retard aux Jeux ou s'inscrire en retard. Les athlètes s'entraînaient pendant 10 mois dans leur ville natale et ceux qui n'avaient jamais concouru devaient s'exercer pendant au moins un mois dans les gymnases d'Elis. Les femmes mariées ne pouvaient même pas y participer sous peine de mort. Seule la prêtresse de Déméter et les jeunes filles vierges pourrait assister. À une exception près, des femmes propriétaires de chars pouvaient remporter les Jeux Olympiques mais ne peuvent pas chercher leur prix.
 
Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloireLa date des jeux variait entre fin juillet et début septembre. Pendant un certain temps les deux cités de Pise et d'Élis, et la Laconie se partageaient les victoires aux Jeux Olympiques. Très vite c'est Sparte qui dominera les jeux à partir de 720 avant J.-C, moment où Orsippos perdra son pagne en pleine course et établira la convention selon laquelle les athlètes doivent concourir nu, et à partir du début du VIIe siècle les cités de Grèce commencent à s'intéresser aux Jeux tandis que s'établit la trêve olympique après 668 avant J.-C., alors que Sparte renonce en 576 avant J.-C. renonce à imposer sa tutelle sur Olympie, moment où l'influence d'Athènes grandit. Les colonies de Sicile prennent alors une part active aux jeux et les athlètes commencent à se professionnaliser. Les transferts de ville en ville d'athlète pouvaient créer des incidents. La période la plus brillante se situe au Ve siècle avant J.-C., la première période de Périclès. En 420 avant J.-C., Sparte est exclue des jeux, puis en 396 avant J.-C, on rajouta des concours pour les hérauts et les trompettistes tandis qu'en 388 avant J.-C est établit le serment olympique, et Olympie est prise par les Arcadiens en 365 avant J.-C. Alexandre le Grand fait ensuite proclamé la paix à Olympie en 324, ce qui ne l'empêche pas de se faire piller en 313 avant J.-C et 210 avant J.-C. Entre le IIIe et le Ier siècle avant J.-C., les Jeux connaissent une certaine décadence puisque les athlètes sont devenus professionnels et le public recherche de plus fortes sensations. En 146 av. J.-C., la Grèce passe sous la domination des Romains, et ces derniers redonnent de la vigueur aux Jeux où des athlètes professionnels vont de ville en ville pour les victoires et la richesse. La triche se généralise aussi. Sylla déplace les Jeux Olympiques à Rome en 80 avant J.-C., tandis que Tibère gagne la course de char en 17 et Néron en 67 se permet de gagner le concours de lyre, le concours de tragédie, le concours de hérauts, la course de chars à 10 chevaux, la course de chars à quatre chevaux et la course de chars pour les poulains. À partir de 261 on ne possède plus les vainqueurs aux Jeux Olympiques. En 393, suite à un conflit religieux avec les païens, Théodose supprime les jeux. En 426, Théodose II ordonne la destruction du temple d'Olympie, ce qui met fin définitivement aux Jeux.
 
Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloireAvant que les jeux commencent, on envoyait des émissaires (theoroi) à travers le monde grec. Ils notifieraient aux autres villes le commencement des Jeux Olympiques et les invitaient à envoyer des ambassadeurs pour célébrer l'adhésion large de la communauté grecque. Ils visitaient des dizaines de villes, mettant en évidence avec le plus grand soin que les organisateurs des jeux maintenaient le contact autour du monde grec. Cela leur prenait de nombreux mois. Ils annonçaient également la trêve qui marque la fin de hostilités qui sont suspendues pour deux mois, le temps pour que ceux qui désiraient assister aux Jeux se rendent à Olympie, et la ville n'ayant pas respecté la trêve était exclue des Jeux. Les juges et ordonnateurs des jeux olympiques, dont le nombre varia de un à douze, appelés Hellanodices étaient nommés par le peuple dix mois avant les fêtes et leur mission était de préparer celles-ci tout en veillant à l'entraînement des concurrents. Ensuite, la cérémonie d'ouverture commençait par une procession de la ville d'Elis à 48 ou 64 km d'Olympie. Elle semble avoir inclus tous les athlètes et les arbitres, sans doute avec beaucoup de spectateur le long du chemin. Elle implique des arrêts pour la purification rituelle avec le sang de porc le long du chemin.
 
Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloireÀ l'arrivée à Olympie, les arbitres trient les athlètes dans les classes d'âge, afin de décider qui devrait concourir dans la catégorie des «juniors» et qui, dans les hommes. Ensuite, les athlètes devaient prêter serment de respecter toutes les règles et de ne pas tricher sur des tranches de chair de sanglier en face de la statue de Zeus, promettant une bonne conduite. Puis les cinq jours en août qui chevauchent la première pleine lune, les athlètes et leurs entraîneurs, des aristocrates et des artistes, des poètes, des philosophes, des colporteurs et des artisans rassemblés à Olympie viennent pour voir et être vu, faire des offres et échanger des idées. Une grande partie de ce temps est consacré au culte : de grandes processions, le sacrifice de plusieurs centaines de b½ufs, des banquets en l'honneur des dieux et des héros. Mais la concurrence a un rôle de plus en plus central. Ici seule la victoire compte, le vainqueur est glorifié, il n'y a pas de récompense pour le second et le troisième. On trouve déjà des scandales de dopage, des résultats truqués et de la tricherie. On en voit une preuve à travers les bases des "Zanes", des statues en bronze de Zeus érigés grâce aux amendes imposées aux athlètes tricheurs, avec des inscriptions les nommant et faisant honte aux coupables. Des fonctionnaires anciens regardaient dehors si les concurrents trichaient, mais ils pourraient également cibler les spectateurs. Ils étaient connus le plus souvent comme les «mastigophoroi». Il existe des preuves qu'ils portaient des uniformes distinctifs et avaient également des bâtons et des boucliers.
 
Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloireLe programme des Jeux antiques n'était pas fixe, et il varie au cours des siècles : lors de la première édition connue avec certitude par une inscription (776 avant J.-C.), il se résume à la course du stade, ou dromos (600 pieds, soit 192,27 mètres). Le diaulos (double stade) intègre le programme en 724 avant J.-C., le dolichos (course de fond de 24 stades, soit 4 614,50 mètres) en 720 avant J.-C., la lutte et le pentathle en 708 avant J.-C., le pugilat en 688 avant J.-C., les courses de quadriges en 680 avant J.-C., le pancrace en 648 avant J.-C. En 632 avant J.-C., des concours réservés à des participants qu'on qualifierait aujourd'hui de «juniors» (jeunes de douze à dix-huit ans) prennent place aux Jeux Olympiques. À partir de cette date, le déroulement des compétitions et le programme sportif sont connus. À leur premier apogée, qu'on situe au VI-Ve siècle avant J.-C., les Jeux Olympiques comptent dix épreuves : dromos, diaulos, dolichos, hoplitodrome (course en armes qui intègre le programme en 520 avant J.-C.), lutte, pugilat, pancrace, pentathle, course à cheval monté, course de quadriges ; en fait, on devrait en compter treize, car, à l'occasion du pentathle, les concurrents (outre la course du stade et la lutte) disputent les épreuves du lancement du disque, du jet du javelot et du saut en longueur.
 
Après la cérémonie d'ouverture le premier jour, les jeux se divisent ainsi : le deuxième jour comprend les épreuves réservées aux enfants et aux adolescents, qui s'affrontent à la course à pied, à la lutte et au pugilat; le troisième jour ont lieu les épreuves réservées aux adultes (courses à pied [dromos, diaulique, dalique], lutte, pugilat, pancrace); le quatrième jour ont lieu les courses de chars (à quatre chevaux, à deux chevaux, à deux mulets), les courses à cheval, le pentathlon (course, saut, lutte, javelot, disque) et la course en armes; et le cinquième jour est consacré à la cérémonie de clôture. La clôture des Jeux donne lieu à la remise des couronnes de feuilles d'olivier coupées avec une faucille d'or dans le bois sacré, l'Altis. Les Jeux Olympiques antiques : des Jeux en l'honneur de Zeus où se recherche la gloireLes athlètes primés reçoivent en outre un bandeau en laine rouge pour les cheveux. Une palme, symbole de la victoire, sera plus tard ajoutée à ces attributs. Les cérémonies s'achèvent par un sacrifice à Zeus. Un grand festin avec musiciens réunit les athlètes victorieux, leur famille et leurs amis. Les héros repartent vers leur patrie sur un char tiré par quatre chevaux blancs. Le champion est reçu en triomphe; il reçoit une pension exempte d'impôts et on élève dans sa ville une statue à son effigie dans un lieu public.
 
Comme nous pouvons le voir les Jeux Olympiques antiques fonctionnent différemment, car on recherche a honorer Zeus, sa propre gloire et celui de sa cité et les règles très restrictives recherchaient l'honneur et la victoire juste même si l'on n'était pas à l'abri de tricheries.
 
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#Posté le dimanche 07 août 2016 03:39

Modifié le dimanche 07 août 2016 04:26

Comment se passait l'entraînement des athlètes aux Jeux Olympiques

Comment se passait l’entraînement des athlètes aux Jeux Olympiques Les athlètes grecs antiques se préparaient pour les Jeux Olympiques antiques en commençant une formation 10 mois à l' avance et les séances d'entraînement du dernier mois avant les Jeux avaient eu lieu dans la "palestre", destinée à l'exercice de la lutte, du pugilat et du pancrace, et les grands gymnases d'Elis, le "xystos" et le "maltho", où se faisait l'en trainement de plusieurs disciplines où l'on avait besoin de distance et d'élan comme la course à pied, le lancer de javelot ou du disque. On s'y entraine aussi pour l'épreuve du saut en longueur. Ainsi, les anciens athlètes grecs pouvaient s'habituer aux locaux et au climat de la région tout en même temps,  préparant leur formation qui sous la supervision des l'Hellanodices. C'est dans les gymnases et les palestres que es juges les observent s'entraîner et décident qui parmi eux est suffisamment vaillant pour avoir l'honneur de concourir aux jeux.
 
Les concurrents qui vont à Olympia le font de leur propre initiative et à leurs propres frais. L'accès aux gymnases et aux palestres de l'État était généralement ouvert et libre, mais la formation nécessaire, le temps, l'argent, et l'instruction coutant très cher étaient aux frais de l'athlète ou de sa famille qui devait être à l'abri du besoin. On se dévouait alors corps et âme à l'entrainement. La cité commença à subventionner les athlètes à partir du IVe siècle avant J.-C. sur demande et s'occupa ensuite de la formation physique des jeunes (éphèbes) dans les organisations de jeunes hommes. Au Ier siècle avant J.-C. s'institue des guildes d'athlètes professionnels à temps plein (avec des certificats d'adhésion, des dirigeants et les pensions). Pour les Jeux, on ne plaisantait pas, puisque les athlètes devaient jurer qu'ils avaient fait la formation de 10 mois nécessaires, et s'étaient formés pendant un mois, sous la peine que les juges refusent la participation de ceux qui n'avaient pas respectés ces critères essentiels.
 
Comment se passait l’entraînement des athlètes aux Jeux Olympiques À partir du VIe siècle avant J.-C ., les athlètes se spécialisent pour ces Jeux sportifs et ils embauchent des entraîneurs pour parfaire leurs compétences.  Les entraînements sont ouverts au public qui s'amuse à parier sur les chances des uns et des autres. Ils ont le droit à une formation intensive et sévère. Certains athlètes favorisent le fromage, les figues, ou les grains, d'autres se méfient du poisson ou du porc et d'autres encore consomment des fruits de mer et de la viande. Dans leur formation athlétique, ils lèvent des poids, tandis que dans le pugilat, ils utilisent des sacs de frappe, mais aussi pour la course deux pistes dans le gymnase, une découverte, le parodromis, et une couverte, le xyste, et on leur recommande même la danse. La flûte accompagne souvent la formation, et de nombreux festivals incluaient aussi des concours pour des musiciens, des danseurs et des hérauts. La musique permet surtout d'atténuer la violence des exercices physiques.
 
Comment se passait l’entraînement des athlètes aux Jeux Olympiques Les athlètes devaient aussi avoir leur propre équipement pour les besoins des compétitions comme une pioche pour adoucir le sol, des lanières pour le pugilat, des poids pour le saut en longueur, un disque, ou un javelot. Enfin, quand l'entrainement commence, l'athlète devait utiliser d'un vase à onguent d'huile (l'aryballe)  pour l'onction afin de se chauffer les muscles avant l'entraînement puis il se recouvre de terre afin d'éviter pour limiter transpiration et se protéger du soleil. Puis quand l'entraînement est fini, l'athlète utilise un instrument de raclage (le strigile) pour le nettoyage sur lui–même afin de décaper  leur peau de la couche d'huile et de terre. Cette couche de transpiration, d'huile et de terre était comme un onguent médicinal, le gloios.
 
Les athlètes achevaient ensuite leur journée dans des bains qui se trouvaient dans la palestre ou le gymnase. Ces bains ressemblaient à des gros bacs remplis d'eaux et les athlètes prenaient des seaux d'eaux qu'ils versaient sur leur tête ou sur celle de leurs voisins. Après s'être nettoyé, ils rentraient au prytanée, l'hôtel où ils logent.
 
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#Posté le mardi 09 août 2016 06:50

Le premier jour de compétition : la course à pied

Le premier jour de compétition : la course à piedAprès la cérémonie d'ouverture le premier jour et le deuxième jour où les épreuves sont réservées aux enfants et aux adolescents (course et lutte), le troisième jour les athlètes entrent dans le stade d'Olympie qui n'avait aucun gradin en dehors de ceux des juges et le public devait être sur un monticule de terre et d'herbe pour débuter avec la course à pied. Il pouvait accueillir jusqu'à 45 000 personnes.
 
Le premier jour de compétition : la course à piedOn débute alors par le stadion, la course rapide. Sa longueur équivaut à celle du stade (environ 192,27 m). Puis vient ensuite, le diaulos, la course double. C'est un aller-retour dans le stade, qui équivaut à notre 400 mètre actuel. Enfin, les athlètes finissent avec le dolichos, la course longue allant de 7 à 24 stades (entre 1400 et 4500 mètres), un équivalent de nos 1500 à 5000 mètres actuels. Les coureurs se mettaient au départ de la course sur un dispositif que l'on appelait hysplex, qui était des minces barrières de bois sur une base en pierre à chaque couloir retenues par des cordes, manipulée par un hellanodice, et elles tombaient simultanément au signal de départ, puis la course pouvait commencer.
 
Le premier jour de compétition : la course à piedAu stadion, on ne pouvait aligner plus de 20 coureurs, tandis que pour le diaulos on pouvait diviser le nombre de concurrents et aussi la piste pour éviter que les concurrents se heurtent, alors que pour le dolichos la distance est suffisamment longue pour que les coureurs puissent se contourner. Contrairement à aujourd'hui, les athlètes ne recherchent pas les records, ils peuvent gagner avec un temps très long. Cela s'explique par le fait que les coureurs sont différents selon la distance comme pour le stadion, car ils doivent être de taille moyenne et bien se tenir droit, tandis que pour le diaulos, un sprint prolongé, ils ont une allure saccadé et bondissante, leurs genoux sont hauts, et leur bras sont dans un mouvement ample de balancier pour accélérer, alors que pour le dolichos, les coureurs sont plus sveltes et moins nerveux, ce qui explique qu'ils lèvent moins les genoux, que leur buste se penche en avant et que leurs bras sont plus près du corps sauf durant l'accélération finale, où ils les balancent.
 
Des grands champions se sont fait connaître comme Astylos de Crotone double champion olympique (stadion et diaulos) en 488 avant J-C. qui gagne deux fois le stadion après s'être engagé pour Syracuse en 484 et 480 avant  J.-C. , ou Léonidas de Rhodes qui remporte trois titres (stadion, diaulos et la course d'hoplites) à l'occasion des Jeux olympiques en 164 avant J.-C. et il renouvelle ses victoires à l'occasion des trois jeux suivants, coiffant ainsi pas moins de 12 couronnes olympiques (164, 160, 156 et 152 av. J.-C.).
 
Le premier jour de compétition : la course à piedLa course épreuve reine laisse ensuite la place aux sports de combats qui comme aujourd'hui attirait un nombre important de spectateurs.
 
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#Posté le mercredi 10 août 2016 03:00

Modifié le mercredi 10 août 2016 03:15

Le premier jour de compétition : les sports de combat

Après les courses à pied, arrivaient les sports de combat qui se composaient de trois concours : la lutte, le pugilat, et le pancrace. Ces trois sports sont des formes de combats antiques possédant un arsenal de techniques riches, complètes et singulières qui en font des disciplines à part entière, cela explique sans doute leur succès auprès du public. Pour les sports de combat, on prenait une partie du stade délimitée par une ligne tracée sur le sol qui a été remué à la pioche. Dans ces sports, il n'y pas de catégories de poids ni de limite de temps.
 
Le premier jour de compétition : les sports de combatLa lutte classique ou orthopalè (lutte debout) oppose deux athlètes tirés au sort. Les lutteurs prennent un morceau de bois en forme de fève dans une urne d'argent portant une lettre gravée et ceux qui ont la même lettre doivent s'affronter. Celui qui tire une lettre sans correspondance s'assied et attend. Il reçoit le nom d'ephedros. Un privilège qui lui permet d'être moins fatigué. Système qui se renouvèle jusqu'à la finale et qui le même pour le pugilat et le pancrace. Les matches se déroulent sans interruption comme pour le pugilat et le pancrace. Certains lutteurs peuvent demander à reprendre leur souffle. La victoire s'obtient par l'envoi de son adversaire au sol à 3 reprises consécutive ou par l'abandon de son adversaire. Le genou qui touche le sol est aussi considéré comme une chute et sortir de la surface de combat l'est également. Pour réussir, le lutteur adopte une position semi-droite et une tactique de travail sur les bras (achrokeirismos), différente de celle des lutteurs modernes. Cela l'amène à développer un grand éventail de techniques comme la mise en grade, la pression sur les bras ou sur les poignets, la pression des fronts, le croc-en-jambe, la mise au sol par des prises sur la jambe gauche ou droite, des prises par derrière ou de côté, enlacement par le coup, projection par les épaules, le renversement et bien d'autres techniques.
 
Le premier jour de compétition : les sports de combatIl n'est donc pas étonnant que dans la lutte, des athlètes soient devenus des héros retenus par l'histoire. La puissance des lutteurs les rapprochaient des dieux et plus particulièrement d'Héraclès. Un champion a fait plus parler de lui que les autres, le célèbre Milon de Crotone.  Il gagna 10 titres aux Jeux Isthmiques, 7 aux Jeux Olympiques et 9 aux Jeux Néméens. Nouvel Héraclès, on lui donnait une consommation exagérée de viande, on disait qu'il porta sa propre statue de bronze à sa place à Olympie, et qu'il a une fois porté un veau de quatre ans et aussi un taureau sur ses épaules avant l'abattage. Ses exploits viendraient d'une exagération erronée de la vision des statues de Milon, comme celle qui voulait que l'on n'arrivait pas à ouvrir sa main alors qu'il tenait une grenade sans qu'elle soit endommagée, qu'il aurait éclaté une bande attaché sur sa tête, qu'on  n'arrivait pas à la faire sortir d'un cercle rempli d'huile ou que la main tendue on n'arrivait pas à lui plier les doigts. Pourtant un paysans nommé Titormos souleva un rocher et le porta plusieurs mètres dans une épreuve de force contre Milon qui n'arriva pas à faire de même.
 
Le premier jour de compétition : les sports de combatOn en vient ensuite aux sports de combat les plus violents. Le pugilat était considéré comme le sport le plus brutal, il avait reçu le nom de boxe douloureuse. La mort n'était pas rare, mais n'était jamais voulue. On n'utilisait pas des gants comme aujourd'hui, mais des lanières de cuir utilisés jusqu'au IVe siècle avant J.-C., qui sont remplacés par une version plus robuste les cestes qui seront agrémentées de bandes de cuir tranchantes par-dessus les jointures et renforcé de métal, pour devenir finalement un véritable coup de poing américain à l'époque romaine. Dans ce combat, il n'y  a pas de catégorie de poids, pas de limites de temps, et le combat ne fini que si l'un des combattants abandonne ou soit mis hors de combat. Et si aucun des combattants  n'abandonne ou n'est mis hors de combat, on procède alors au klymax. Après un tirage au sort, chacun à tour de rôle portait un coup et aucun adversaire ne devait parer ou esquiver. Celui qui gagnait frappait le plus fort, ou tenait le mieux. Dans le pugilat, les pugilistes visent essentiellement la tête, leurs techniques sont bien plus variées que celle de la boxe anglaise comme les coups portés avec le revers de la main, les coups de poings directs, les uppercuts et les crochets courts, et voire même des coups aux côtes. La garde est haute et les bras son repliés derrière la nuque prêt à frapper, tandis que l'autre bras est tendu pour parer. Cette boxe ne laisse pas les pugilistes indemnes puisqu'on les reconnaissait à leurs oreilles en chou-fleur, à leurs nez cassés et leurs visages déformés. L'art suprême pour le pugiliste était l'esquive qui lui permet de sortir indemne du combat.
 
Le premier jour de compétition : les sports de combatLe pugilat a eu des champions célèbres comme Diagoras de Rhodes, qui remporta en 464 avant J.-C., le pugilat aux Jeux olympiques, une victoire qui reçu l'honneur d'une ode de Pindare, il gagna aussi les jeux Pythiques et 4 fois les Jeux Isthmiques et Néméens, et dont les enfants obtinrent aussi des victoires olympiques au Stadion et au pugilat, ou le beau Melankomas de Carie champion olympique de pugilat en 49 grâce à technique défensive qui lui permet de tenir sa garde deux heures d'affilée et son esquive lui permet de ne jamais être touché au visage, ce qui lui permet de demeurer invaincu, ou encore Kleomedes de Astypalaia qui en 492 ou 496 avant J.-C. aurait tué son adversaire Iccus d'Épidaure lors de la finale et on lui retira la victoire pour acte déloyal et Iccus fut le vainqueur posthume, dépité il rentra à Astypalaia et de folie il fit s'écrouler son école sur les 60 enfants qui étaient ses élèves, puis fut poursuivi par la population dans le temple d'Athéna et on ne retrouva pas son corps dans le coffre où il s'était abrité, cette dernière alla à Delphes pour à savoir ce qu'il était devenu. La réponse était qu'il devenu un  héros, ou tout simplement s'étaient-ils trompés de coffre et il put s'enfuir durant la nuit.
 
Le premier jour de compétition : les sports de combatEnfin arrive le pancrace, l'épreuve la plus brutale des Jeux. Comme pour le pugilat, il n'y a pas de catégorie de poids et de limite de temps. Le but est de mettre KO ou de faire abandonner l'adversaire. Seules étaient interdites les techniques d'arrachage des yeux et de morsure.  Mélange de lutte debout et au sol avec le pugilat, et le pancratiaste doit combiner frappes et saisies. Les techniques sont variées on utilisait les frappes au poing du pugilat au visage, mais aussi les coups de pieds visant souvent le ventre ou l'estomac, quelquefois le visage, les coups de poings et de pieds pouvaient être aussi sautés, la prise de tête avec un coup de poing direct ou un uppercut à tête, on trouve aussi les clefs de bras, le bocage de l'épaule ou du bras, le croc-en-jambe, la prise de jambe, la combinaison du blocage du bras et de l'épaule, l'étranglement en appuyant sur la trachée et l'étranglement en appuyant sur la trachée avec les pouces, l'étranglement arrière, ceinturer son adversaire par l'arrière pour le faire tomber, enserrer son adversaire pour le faire tomber au sol par sa force musculaire, ou passer en arrière pour envoyer son adversaire au sol et le frapper ou l'étrangler. On se place aussi sur la pointe des pieds et on esquive les coups. On préférait souvent finir le combat vite en envoyant tout de suite l'adversaire au sol pour le mettre en position défavorable et remporter le combat plus facilement.
 
Le premier jour de compétition : les sports de combatLe pancrace a aussi ses grands noms comme Poldymas de Skotoussa champion de pancrace en 408 avant J.-C., qui tua un lion à main nue, arrêta un char à toute vitesse d'une seule main, aurait traîné un taureau par le sabot qui préféra s'en débarrasser antre les mains de l'athlètes, avant que Polydamas meurt en essayant de maintenir la voute d'un grotte qui allait s'écrouler, ou encore Théagène de Thasos, qu'on disait le fils d'Héraclès et qui remporta les Jeux olympiques en boxe en 480 avant J.-C. et en pancrace en 476 avant J.-C., puis décrocha même le doublé en pugilat et pancrace en 486  avant J.-C. lors des Jeux Isthmiques, tout en triomphant également 3 fois aux Jeux pythiques en boxe lors des éditions de 482, 478 et 474 avant J.-C., 9 fois aux Jeux néméens et dix fois aux Jeux isthmiques tout en remportant le titre en Phthie du dolichos, la course longue, pour un total de 1400 victoires, sans oublier Sostratos de Sicyone qui a eu le droit à 3 titres olympiques de pancrace de 364 à 356 avant J.-C., qui reçut le surnom de casseur de doigts, parce qu'il écrasait les doigts de ses adversaires, ou Arrachion qui remporta la victoire au pancrace en 564 avant J.-C. de façon posthume après que son adversaire l'enserra dans une prise en ciseaux et en même temps l'étrangla de ses mains, il dut alors lui briser un doigt de pied et mourut étranglé au moment où la douleur conduisait son adversaire à abandonner.
 
Les sports de combat finis, on passait le quatrième jour aux courses de chars, qui étaient particulièrement violente que ce soit pour les conducteurs et pour le public.
 
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#Posté le dimanche 14 août 2016 03:47

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