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Le roi Arthur, la réalité derrière le mythe

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Ce blog s'intéressera avant tout à la question de l'historicité du roi Arthur durant les Dark Ages, une période de grands changements dans la Bretagne post-romaine, et ce qui amena sa légende.

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1970 et 1978, le football chatoyant des Péruviens

Je vais vous parler aujourd'hui du Pérou lors de la Coupe du Monde 1970 et 1978. Une équipe au beau jeu et qui a toujours déjoué les pronostics. Une équipe comme je les aime.

Entre 1970 et 1982, une génération dorée de footballeurs va permettre au Pérou de se qualifier pour trois phases finales de coupe du monde (1970, 1978 et 1982) et de gagner la Copa América en 1975. Cela faisait 40 ans que le Pérou ne s'était plus qualifié pour la Coupe du monde. Après avoir éliminé l'Argentine en qualifications, Cubillas se révèle à la Coupe du monde 1970, L'équipe du Pérou termina deuxième de son groupe D, composé du Maroc, de la RFA et de la Bulgarie.
Les Péruviens sont eux aussi à la fête dans le groupe D. Les Bulgares, menant 2-0, font les frais du jeu offensif des sud-américains, qui remportent finalement le match 3-2. Cubillas dès le premier match contre la Bulgarie, après s'être joué de trois défenseurs, il conclut son action par une frappe dans la lucarne. Le Pérou infligera ensuite un sévère 3-0 (Cubillas marquera 2 buts) au Maroc, première équipe africaine qualifiée pour cette compétition depuis l'Egypte en 1934. La RFA, finaliste sortante, remettra les pendules à l'heure et stoppera Cubillas (auteur de quatre buts lors du premier tour) et les siens dans leur élan en les battant 3-1.

Mais en quarts, il tombe contre le futur vainqueur, le Brésil, dans un match très serré (2-4). Le Pérou sort par la grande porte après avoir bien lutté contre le Brésil de Pelé. Les Auriverde mènent rapidement 2-0, mais leurs adversaires ne s'en laissent pas compter. Gallardo et Cubillas donnent un peu d'espoir au Pérou dans cette course-poursuite qui voit les coéquipiers de Pelé mener 3-2 à la pause. Jairzinho scellera le sort du match en seconde période, mais le jeune Cubillas et les joueurs péruviens auront symbolisé à eux seuls cette édition pétillante et offensive. Il termine troisième au classement des meilleurs buteurs et meilleur jeune du tournoi mondial. Les observateurs remarquent sa technique, sa percussion et sa complicité en attaque avec Hugo Sotil. Après la Coupe du monde, Pelé déclare que Cubillas sera son "successeur".

Il ne participa pas à la Coupe du monde 1974, mais à celle de 1978, fort déjà d'une Copa América gagnée trois ans plus tôt. Le Pérou a battu en finale la Colombie, et remporte son deuxième trophée, 36 ans après le premier. En 1978, dans la phase de poule composée de l'Écosse, de l'Iran et des Pays-Bas, le Pérou sort premier. Teofilo Cubillas a été exceptionnel pour le Pérou, en marquant deux fois contre l'Ecosse pour une victoire 3-1. Contre l'Écosse, il marque un but sur coup-franc d'un extérieur du pied. Cubillas récidive avec un hat-trick dans leur victoire 4-1 sur l'Iran. Le Pérou arrachera le nul (0-0) aux Pays-Bas, pourtant favoris.
Dans ce tournoi, le milieu de terrain du Pérou, composé de Velásquez, Cueto et Cubillas a été considéré par la presse internationale comme le meilleur de la première phase du Mundial.

Mais au second tour, le Pérou a baissé de niveau. Il perd ses trois matchs contre la Pologne (0-1), le Brésil (0-3) et une correction (0-6 contre l'Argentine). Ce dernier match pose une controverse. On se rappelle surtout de Quiroga, gardien du Pérou, lors de la Coupe du monde 1978 en Argentine, lorsque le jour de son anniversaire, il encaissa 6 buts lors de la défaite 6-0 du Pérou face à l'Argentine. Cette dernière, qui avait besoin d'une victoire par 4 buts d'écart, se qualifiait ainsi pour la finale en devançant le Brésil à la différence de buts. Dès lors, des soupçons de corruption virent le jour. On mit notamment en avant les origines argentines de Quiroga. Mais rien ne fut jamais prouvé sur un éventuel arrangement.
Malgré tout, Cubillas a terminé deuxième meilleur réalisateur du tournoi et a été élu dans le onze idéal de cette coupe du monde.

J'espère vous avoir fait découvrir cet événement.
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#Posté le jeudi 08 juillet 2010 03:41

1974, 1978 et 1982, malheureuse Ecosse

Je vais vous parler aujourd'hui de l'Ecosse qui lord de la Coupe du Monde 1974, 1978 et 1982 eut la malchance de se faire éliminée seulement parla différence de buts. Pourtant que son jeu était beau, malheureusement la prudence Ecossaise a été son malheur.

L'équipe d'Écosse de football revient à la Coupe du monde 1974. Elle y frôle la qualification pour le second tour. En effet, après un bon départ et une victoire 2-0 sur le Zaïre. Les Ecossais ont payé au prix fort leur prudence excessive face au néophyte zairois. Ils n'ont gagné « que » 2-0. A dire vrai, les Africains fournirons une bonne impression face à leur premier adversaire : l'Ecosse.Les spectateurs vont, en effet, applaudir et encourager cette équipe qui fait preuve d'un étonnant esprit d'offensive et d'une étonnante virtuosité. Lorimer et Jordan marqueront pour les Ecossais tandis que les champions d'Afrique ne parviendront pas à conclure. Ils auront quand même réussi à donner une leçon de football à ceux qui n'avaient pas voulu croire en eux...
Elle concède un match nuls 0-0 contre le Brésil. Dès le coup d'envoi, les Sud-Américains se ruent à l'assaut des buts défendus par Harvey. Rivelino puis Leivinha qui tire sur la barre ne peuvent cependant pas ouvrir la marque et les Écossais renversent le jeu après l'avoir calmé.
Bremner et Hay sont omniprésents alors que Lorimer et Morgan grâce à leurs tirs très appuyés font passer des frissons de frayeur dans le dos des Brésiliens. Bremner, le petit rouquin de Leeds, mène ses hommes vers une victoire qui se dessine car Leao, portier brésilien, doit faire face à de lourdes menaces. Il s'en tirera fort bien et finalement les deux équipes resteront à égalité sans qu'aucun but ne soit marqué. Les Ecossais se seront bien défendus dans tous les compartiments du jeu; les Brésiliens n'auront guère eu de chance avec leurs vedettes, Jaïrzinho se faisant totalement neutraliser par Buchan et Holtan alors que Paulo Cesar eut du mal à trouver le rythme. Mention tout de même à la défense qui sut contenir le jeu rugueux et percutant des avants d'Ecosse.
Pour espérer passer sur le fil, l'Ecosse se devait de battre la Yougoslavie lors de ce dernier match. Ce fut sans réussite (1-1). Il lui faut vaincre à tout prix si elle veut être présente au tour suivant. Mais les Yougoslaves sont prêts. Si leurs adversaires attaquent d'entrée, la défense dalmate résiste malgré la concession de nombreuses fautes. Les avants hésitent alors à contre-attaquer. Prendre des risques est difficile tant l'enjeu est important et ils se cantonnent toujours en défense devant l'engagement de leurs rivaux.
Aucun but ne sera marqué à l'issue de cette première mi-temps.Il faut faire quelque chose. Cette fois, la Yougoslavie relève la tête. Les arrières latéraux montent à l'offensive. Les citoyens de Belgrade ont le match à leur portée mais ils ont omis de compter sur le brio des Ecossais qui savent aussi bien défendre qu'attaquer. Les Européens de l'Est vont cependant ouvrir le score à la quatre-vingt-troisième minute par Karasi, mais six minutes plus tard Jordan pour l'Ecosse rétablira l'équilibre. 1 à 1, ce sera le score final, loin d'être suffisant pour cette dernière qui doit se retirer du tournoi sans jamais voir subi la défaite.
La fin du match sera incontestablement l'un des sommets de ce Mondial 1974. Elle est alors éliminée de la compétition pour une différence de buts défavorable alors que trois des quatre équipes possèdent 4 points (différence de +9 pour la Yougoslavie, +3 pour le Brésil et +2 pour l'Écosse).

Cette situation se répète en 1978. Dans le groupe du Pérou, des Pays-Bas et l'Iran, elle est éliminée suite à différence de buts plus faible qui permit aux Pays-Bas de se qualifier et d'aller jusqu'en finale. Les hommes d'Ally McLeod sont arrivés en Argentine avec l'intime conviction qu'ils allaient remporter la Coupe du monde. En l'absence de l'Angleterre, ils sont les seuls représentants britanniques dans l'élite mondiale, et ce motif de fierté a singulièrement multiplié leur confiance. Trop, peut-être.
Les deux premiers matches, contre le Pérou et l'Iran, ne devaient être que des formalités, ils se transforment en désastres. Battue par les Sud-Américains (1-3), la bande à Kenny Dalglish ne fait pas mieux qu'un piteux match nul (1-1) face aux Perses. La honte s'abat sur l'équipe, coupable d'un excès de confiance et de quelques dérives alimentées au whisky.
Au moment d'aborder le troisième match contre les Pays-Bas, l'équipe d'Écosse est quasiment éliminée. Son seul espoir est de l'emporter par trois buts d'écart face aux vice-champions du monde, ce qui semble un rien présomptueux pour qui n'a pas été fichu de battre le Pérou et l'Iran. C'est pourtant lors de ce match que l'on retrouve l'équipe d'Écosse, la vraie, celle au jeu inspiré qui a renvoyé l'Anglais à ses chères études. Si les Hollandais ouvrent le score, ce sont bien les Écossais qui dominent la rencontre. Kenny Dalglish égalise juste avant la pause, Archie Gemmill transforme un penalty peu après. Puis vient la soixante-huitième minute, celle où Gemmill slalome dans la surface orange et plante le but du 3-1.
Quelques minutes plus tard, une échappée de Johnny Rep ponctuée par un tir fracassant sous la barre met fin à la folle espérance des Ecossais. De ce Mundial argentin dont ils avaient rêvé, les Écossais s'en vont discrètement, les valises lourdes de regrets. Avec le but de Gemmill comme seul souvenir. Malgré son exploit, la Tartan Army, elle, est rentrée chez elle, payant au prix fort son nul contre la modeste sélection iranaise et sa défaite contre le Pérou (3-1).

Une différence de buts favorables à ses adversaires l'éliminera de nouveau en 1982. MacLeod a démissionné en tant que sélectionneur, peu après la Coupe du monde 1978. Jock Stein, qui avait remporté neuf titres consécutifs du championnat écossais et la Coupe d'Europe en tant qu'entraîneur du Celtic,est désigné comme son successeur. Après avoir échoué à se qualifier pour le Championnat d'Europe de 1980, l'Écosse se qualifia pour la Coupe du monde 1982 dans un groupe difficile, comprenant la Suède, le Portugal, Israël et l'Irlande du Nord, ne perdant qu'un seul match dans le processus.
Après l'élimination de 1978, l'Ecosse est allée à la Coupe du monde 1982 avec un peu moins d'optimiste sur ses chances. Même si elle avait une équipe ayant des capacités similaires, elle n'était pas tout à fait aussi sûre de gagner. Il y avait un certain nombre de raisons à cela.
Les Ecossais auraient sans doute fait une belle Coupe du Monde en 1982, s'ils n'étaient pas tombé dans un groupe ardu, composé d'un Brésil quasiment intouchable et d'une URSS fortement géorgienne.
Le premier match du tournoi était contre les néophytes de la Nouvelle-Zélande. À la mi-temps, L'Ecossse menait 3-0, un but de Dalglish et un doublé de Warkleur leur permettait de prendre la tête. Dans la seconde mi-temps, la Nouvelle-Zélande revient et réduit le score à 3-2 avant que John Robertson et Steve Archibald ne brise les illusions néo-zélandaises en gagnant 5-2.
Le prochain match contre le Brésil contre le Brésil a été un enfer. Mais après 18 minutes Dave Narey marque. Piqué au vif le Brésil répliqua avec Zico, Oscar, Eder et Falcao pour mettre le ballon quatre fois dans les cages de Alan Rough pour une victoire 4-1.
Donc, dans le dernier match contre l'URSS les Ecossais devaient gagner. Joe Jordan a marqué son 4e but en Coupe du monde et le3e de son tournoi pour mener 1-0 avant que Chivadze égalise à l'heure de jeu. Puis Alan Hansen et Willie Miller se bousculèrent permettant à Shengelia de marquer et de faire passer le score à 2-1 pour l'URSS à 5 minutes de la fin. Graeme Souness réduisait l'écart à deux minutes de la fin. Écosse a été à nouveau éliminée à la différence de buts, le match nul 2-2 qualifie l'URSS de Blokhine et Dassaiev contre l'Écosse de Souness, Dalglish et Strachan).

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#Posté le vendredi 09 juillet 2010 04:34

1974, 1978 et 1982, la réussite du football polonais

Je vais vous parler aujourd'hui de la superbe équipe de Pologne qui brilla dans trois coupes du monde. Une équipe au jeu spectaculaire et aux joueurs devenus mythiques qui a fait rêver tous ceux qui aimaient le beau jeu.

La Pologne qui était pour la plupart inconnue sur la scène internationale avant 1974 a secoué le monde du football pendant la Coupe du Monde en Allemagne. Toutefois, ce n'était pas une énorme surprise car cette équipe réussi à obtenir la médaille d'or aux Jeux Olympiques de Munich en 1972. Les Jeux Olympiques ne sont pas considérés comme un tournoi majeur par la plupart des pays occidentaux, mais les pays d'Europe ont contournés les règles du football amateur par l'arrêté Fielding pour jouer pleinement dans leurs équipes nationales, comme la plupart des joueurs ont également un emploi dans les industries nationales ou dans l'armée. Grâce à leur vitesse et une chimie d'équipe incroyable, ils étaient presque imbattables. En qualifications, ils créèrent la surprise en éliminant l'Angleterre, quart de finaliste en 1970 et Champions du Monde en 1966.
Dans leur match d'ouverture du mondial allemand de 1974 la Pologne affronte l'Argentine, une équipe qui figure parmi les favoris. Dans les huit minutes premières minutes, la Pologne mène 2-0, Grzegorz Lato ouvre le score à la 7ème minute et une minute plus tard, Andrzej Szarmach doublait la mise. À la 60ème minute l'Argentine réduit l'écart de moitié lorsque de Ramon Heredia marqua. Mais deux minutes plus tard, Lato a obtenu son second but, qui s'avére être le but de la victoire malgré que Carlos Babington a donné à l'Argentine leur deuxième but à la 66e. Le match se termine sur un 3-2 pour la Pologne.
La Pologne a facilement battu d'Haïti 7-0 dans son deuxième match. Les objectifs inclus un hat-trick de Szarmach et un doublé de Lato. Dans leur dernier match de leur groupe la Pologne affronte l'Italie, qui a été vice-championne de la précédente Coupe du Monde en 1970. La Pologne était déjà admise au second tour, mais il lui fallait au moins gagner pour éviter le groupe. À la mi-temps la Pologne mene 2-0 sur des buts de Andrzej Szarmach et Kazimierz Deyna. Il a fallu attendre la 86e minute pour que l'Italie mette un but de consolation par Fabio Capello. Cela donne à la Pologne leur troisième victoire consécutive, qui lui a fait gagner la tête du groupe. Au deuxième tour la Pologne d'abord remporté le match 1-0 contre une équipe suédoise, qui n'avait pas laissé toute son énergie dans leurs trois premiers matches. Lato a marqué le seul but du match. Suivait la Yougoslavie qui avait finie première de son groupe devant le Brésil et l'Ecosse et qui a gagné 9-0 contre le Zaïre au premier tour. La Pologne a obtenu un pénalty à la 24e minute et a mené au score quand Deyna l'a converti. Stanislav Karasi ramena la Yougoslavie à égalité à la 43e. Lato donna la victoire à la Pologne quand il a marqua 62e pour le score final de 2-1 en faveur de la Pologne.
Le 3 Juillet, 1974, est survenu le jeu qui pouvait avoir menée la Pologne en finale la Coupe du Monde. Ils ont joué contre les éventuels champions, l'Allemagne de l'Ouest. Elle allait souffrir mille morts contre des Polonais enragés. Tomaszewski arrête un pénalty de Hoeness (67è) avant que l'inévitable Gerd Muller, dans un bourbier dantesque, ne vienne interrompre la symphonie de Chopin.
Pologne mettra fin à son exhibition étonnante avec une victoire de 1-0 contre le Brésil dans le match pour la troisième place. Lato a marqué le but de la victoire et son 7e but dans le tournoi le couronnant meilleur buteur de la Coupe du Monde.

À Montréal en 1976, la sélection olympique polonaise échoue en finale contre l'ancienne Allemagne de l'Est, sur le score de 3 buts à 1, après avoir une nouvelle fois éliminé le Brésil (2-0, doublé de Szarmach).
En qualification la Pologne élimine le Portugal La Pologne a ouvert la Coupe du Monde 1978 en Argentine contre leurs rivaux et champions en titre, Allemagne de l'Ouest. Cette fois, le match s'est terminé sur un match nul 0-0.
Grzegorz Lato a poursuivi son chemin avec le seul but de la victoire 1-0 sur la Tunisie dans le deuxième match. Dans son dernier match, la Pologne affronte le Mexique. Zbigniew Boniek qui joue dans sa première Coupe du Monde ouvre le score à la 43e minute. Les Mexicains égalisaient grâce à Victor Rangel à la 52e minute, mais quatre minutes plus tard, Kazimierz Deyna donna l'avantage à la Pologne. Puis Boniek marqua son deuxième de la 84e pour assurer la victoire à 3-1.
Au deuxième tour, la Pologne est réuni avec trois équipes américaines. En 1974, la Pologne avait joué et gagné contre l'Argentine et le Brésil, les deux équipes prennent leur revanche cette fois-ci. L'Argentine a battu les Polonais de 2-0 avec deux buts de meilleur buteur du tournoi Mario Kempes. La Pologne défait le Pérou 1-0 avec un but de Andrzej Szarmach. En ce qui a été du dernier match de la Pologne, le Brésil a ouvert le score à la 12e minute sur un but de Nelinho. si Lato égalise une minute avant la mi-temps. Deux buts de Roberto à la 57e minute et à la 62e donne la victoire 3-1 au Brésil.

La présence des Aigles de Górski a été dissoute lentement en 1982, et reste seulement Lato, Szarmach, Kusto et Zmuda de l'équipe '74. Toutefois, les rouges et blancs et ont été un mélange passionnants de vétérans et de jeunes venus. La Coupe du monde en Espagne a également comporté une nouvelle formule pour le tournoi, à la fois une expansion globale de la piscine à vingt-quatre de la ronde du deuxième groupe à douze ans. La Pologne a gagné une place dans le groupe A, les plaçant avec l'Italie, le Cameroun et le Pérou. Comme par le passé, la Pologne a commencé lentement. Le premier jour du tournoi, la Pologne a ouvert avec un respectable match nul 0-0 contre les Italiens. Néanmoins, la défense a joué un grand jeu et a tenue Paolo Rossi, le seul moment où l'éventuel championn Italiens devaient être fermés pendant tout le tournoi. Le jeu face à l'Italie a été suivie par un inexplicable match nul 0-0 avec le Cameroun.
Tout le monde s'attendait à une explosion de la Pologne car elle était trop dépendante de ses étoiles vieillissantes. Un torrent de buts se mit à pleuvoir sur le Pérou sur le dernier assaut du groupe polonais pour un surprenant 5-1. Cinq buteurs différents ont marqué dont Smolarek, Zibniew Boniek et Lato, dans ce qui allait être sa dernière Coupe du monde. Lato a marqué sur une passe et Boniek a fait un doublé. Grâce aux résultats de l'Italie au premier tour, qui se composait de trois matches nuls, la Pologne a finit en tête du groupe.
Puis vint le second tour. Dans l'un des one-man shows les plus impressionnants de l'histoire de la Coupe, Boniek inscrit un hat trick contre la Belgique dans le premier match du groupe 1, pour les trois buts de la victoire 3-0. Boniek sera la clé du match suivant contre l'Union soviétique, mais pas de façon positive. Au milieu d'un match nul sans but, Boniek a eu un second carton jaune et a donc dû été suspendu et a dû regarder le match suivant dans les tribunes. Les Polonais seront finalement arrêtés en demi-finales. L'opposant a été une fois de plus l'Italie, les gagnants de Groupe 3 et éliminateurs du Brésil. Ce ne sera pas une reprise du premier match, Rossi mit deux buts la 22e et la 72e minute pour une facile victoire 2-0.
Pologne joua le jeu pour la troisième place pour battre la France 3-2 dans un match qui a comporté une dizaine de minutes de domination absolue par les Polonais avant la pause de la mi-temps. Ce jeu dont la Coupe du monde se souviendra comme celui de la fin de l'âge d'or du football polonais.

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#Posté le samedi 10 juillet 2010 04:10

1958 : La Suède, finaliste surprise

Je vais parler aujourd'hui de la Suède qui alla en finale de sa Coupe du Monde en 1958. Une belle équipe qui allia le beau jeu et la rigueur, tout ce qui compose une équipe performante.

En 1956, la fédération suédoise encouragea les meilleurs joueurs professionnels suédois à entrer en séléction pour la future coupe du monde à domicile. Ils pourront compter sur Gunnar Gren et Nils Liedholm, deux des 3 attaquants qui formait le trio d'attaquants milanais du Gre-No-Li. L'équipe hôte sera dans le groupe C et tombera avec le Mexique (seule équipe d'Amérique du Nord), la Hongrie (alors l'une des meilleures équipes du monde, finaliste de la précédente édition) et le Pays de Galles. La Suède devant son public se montre efficace.

Les Suédois ont bien commencé avec leur légion de joueurs émigrés, au premier tour supportés par 32 000 spectateurs battront le Mexique (3-0) au stade de Råsunda à Solna lors de leur premier match (doublé de Simonsson et un penalty de Liedholm). Lors de la 2e journée, ils battront également à Solna la Hongrie (2-1) (doublé de Hamrin) et créent la surprise, car cette dernière était favorite, et feront match nul contre le Pays de Galles (0-0) qui passera le groupe après avoir battu la Hongrie en match de barrage 2-1. Le Pays de Galles affrontera le Brésil en quarts de finales qui le battra 1-0 qui retrouvera ensuite la Suède en finale. Les hasards de l'histoire...
La Suède avec ses six professionnels exilés (Gustavsson, Liedholm, Hamrim, Skoglund, Gren, Mellberg), dans une ambiance très protégée, a fait bonne impression : à son rythme, relativement lent, elle ne manque pas de valeur.

Une fois en quart de finale, ils joueront pour la 4ème fois consécutive au Råsunda Stadium et élimineront l'URSS (2-0). Contre une équipe d'U.R.S.S. amoindrie par ses deux matches contre l'Angleterre, débutante à l'échelon international, et manquant nettement d'imagination, la Suède contrôle plus ou moins bien la situation en première mi-temps, avant d'imposer sa loi en deuxième. Kurt Hamrin à la 49 minutes puis Agne Simonsson en fin de match ont permis à une Suède poussée par son public de progresser.

Et arrivés en demi-finale, les Suédois battront la RFA (3-1) devant 50 000 spectateurs à Ullevi, le stade de Göteborg dans un jeu vicieux qui a vu l'Allemand Erich Juskowiak expulsé (le premier joueur de l'histoire allemande à être expulsé dans un match international) et le capitaine l'équipe allemande Fritz Walter blessé, ce qui a encore affaibli l'équipe allemande (les remplacements ont seulement été admis durant la Coupe du monde 1970). Mais Rahn et son équipe déchantèrent vite face à la Suède. Schafer avait pourtant ouvert la marque dès la 24e minute mais Lennart Skoglund égalisé huit minutes plus tard imité par Gunnar Gren et Kurt Hamrin pour propulser la Suède en finale de son mondial.

Le 29 juin à 15h devant 50 000 spectateurs, en face de l'armada brésilienne de Pelé, Garrincha, Nilton Santos ou encore Zagallo, les joueurs suédois entraînés par Raynor ne pourront rien faire face à l'offensive du Brésil. Tout avait bien commencé pour les Suédois qui vont dominer le début du match lors de cette finale, avec un but ultra rapide par Liedholm dès la 8e minute. Mais rapidement le rouleau compresseur brésilien va rétablir la situation et le réveil de Vava fit mal aux locaux, à la 9ème minute puis donne l'avantage au Brésil à la 32ème. Un doublé qui convia les hôtes à la cogitation à la pause. Mais la solution ne vint pas, d'autant que Pelé était entré en scène à la pause, marquant le but du 3-1 à la 55e. Mario Zagallo inscrit un autre but et les Suédois tenteront de revenir avec un but Agne Simonsson à la 80ème minute mais la rencontre s'acheva sur un gros 5-2, Pelé, encore lui, marquera un nouveau but à la 90e minute. Le Brésil remporte sa première Coupe du Monde.

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#Posté le dimanche 11 juillet 2010 07:22

1958 : la France gagne le respect de tous

Aujourd'hui je vais vous parler d'une équipe de France qui a fait rêver en son temps, celle qui finira troisième de la Coupe du Monde en 1958. Un jeu d'attaque formidable qui nous prouve qu'à l'époque on n'avait pas peur de perdre et qu'on aimait le beau jeu.

Vingt ans après avoir atteints les ¼ de l'édition qu'elle organisait, la France fait à nouveau parler d'elle au plus haut niveau. Pourtant la France de Kopa et Fontaine est loin d'avoir la faveur des pronostics...La côte des Bleus ne pèse pas lourd a leur arrivée à Stockholm. Pour cause, depuis un an, les troupes d'Albert Batteux n'ont gagné qu'un seul de leurs sept matches internationaux face à la modeste équipe d'Islande. En outre, quatre ans auparavant en suisse, les Bleus ont fait pâle figure, sortis dès le 1er tour.
Ils prennent leurs quartiers à Kopparberg en toute décontraction, sans pression, leur sort semblant déjà scellé. L'indispensable Raymond Kopa rejoint ses coequpiers quelques jours plus tard après avoir remporté la Coupe d'Europe des clubs champions avec le Réal Madrid.

Le premier match des Bleus va servir de déclic. Face à eux, le Paraguay, qui a réussi l'exploit d'écarter en match éliminatoire l'Uruguay, double champion du monde. Menée 3-2 à une demi-heure de la fin, la France va réaliser un exploit en inscrivant 5 buts en 30 minutes. Just Fontaine, qui a remplacé René Bliard blessé au poste d'avant-centre, réussit un triplé, Kopa marque le 6e but du genou. Battue de justesse par la Yougoslavie (3-2), sa bête noire, qui l'avait éliminée en 1954, la France obtient sa qualification pour les ¼ de finale en dominant l'Ecosse 2 à 1 (grâce à Kopa et Fontaine). Avec Raymond Kopa, Just Fontaine, et Roger Piantoni en attaque, les Bleus terminent premiers de leur groupe, inscrivant la bagatelle de 11 buts.

Au menu, l'Irlande du Nord, sortie victorieuse d'un match d'appui face à la Tchécoslovaquie. Le festival offensif se poursuit : l'équipe de France réalise là son match le plus accompli et s'impose 4 à 0. La maîtrise, française, le rayonnement de Kopa et le réalisme de Fontaine (2 buts) font soudainement des Bleus de sérieux outdsiders.

Pour la première fois de leur histoire, les Tricolores sont en demi-finales. Reste un obstacle à passer et pas des moindres : le Brésil, l'éternel habitué de la Coupe du Monde. Cette année-là la seleçâo compte dans ses rangs un jeune joueur de 17 ans, un certain Pelé, que le monde entier apprend à connaître. Les Bleus ne font sensation qu'une demi-heure, tenant en échec les virtuoses (1-1). Puis dans un choc avec Vava, Robert Jonquet, pièce maîtresse des Bleus, se relève en hurlant de douleur. Diagnostic ? Double fracture du péroné. Les règlements n'autorisent pas encore les changements, ce ne sera le cas qu'en 1970. Le défenseur de Reims tient donc sa place, stoïque, jusqu'à la fin et assiste impuissant au récital de Pelé face à la France qui est irrésistible. Lors de la deuxième mi-temps, alors que son équipe ne mène que 2-1, le jeune prodige inscrit 3 buts. Les Bleus s'inclinent 5-2.

La France se classe troisième après avoir battu la RFA (6-3) en match de classement. Les Tricolores qui ont surmonté leur déception se montrent davantage motivés que leurs adversaires, et s'adjugent un brillant succès. La France se console en décrochant deux titres honorifiques : Raymond Kopa est désigné meilleur joueur du tournoi et Just Fontaine termine meilleur buteur avec 13 réalisations. Ce record n'a jamais été battu. Mais la meilleure attaque de cette phase finale (23 buts) a gagné bien plus que cela : le respect de tous.

En France les péripéties de cette "épopée suédoise" suscitent l'enthousiasme. Comme le remarque Jean – marie Brohm, "De gaulle sait faire vibrer la fibre patriotique de "son bon peuple". A son image (...) les joueurs et les supporters entonnent la Marseillaise. Pour un rien, on chante l'hymne tricolore, des partisans de l'Algérie française aux bonzes de la SFIO". Le 11 national aurait donc contribué à cimenter la jeune 5e république.

J'espère vous avoir fait découvrir cet événement.
Merci !
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#Posté le dimanche 11 juillet 2010 07:30

Coupe du Monde 2010

Je vais donner mon bilan de cette coupe du Monde 2010 en Afrique du Sud qui pour moi est une transition. On s'attendait à un festival offensif, à un spectacle. Force est de constater que ce n'était pas le cas. Les favoris n'ont pas brillé et les équipes africaines ont été une grosse déception, à part le Ghana. L'organisation et les infrastructures étaient bonnes et ce fut le bon point de cette Coupe du monde. Je trouve que cette coupe du monde était moyenne.

Des équipes m'ont terriblement déçu : Le Cameroun qui après 3 matches disparaît. Une défaite surprise 1-0 contre le Japon. Une victoire mérité du Danemark 2-1 et une défaite 2-1 contre une Hollande qui n'eu jamais à forcer son talent. Le Cameroun devait faire briller l'Afrique, ce ne fut pas le cas. Eto'o malgré 2 buts n'a pas pu briller malgré son envie.

La France elle ne m'a pas déçue, cela fait 2 ans que j'attendais ce résultat. Une équipe qui ne mouille pas son maillot n'a rien à faire en Coupe du Monde. D'ailleurs perdre 1-0 en amical contre l'équipe B de Chine en disait long sur ses possibilités Un 0-0 face à l'Uruguay comme un cache misère, une défaite 2-0 contre le Mexique qui leur était supérieur et enfin une victoire mérité 2-1 de l'Afrique du Sud ont fait finir la farce d'une équipe de France sans envie. La grève des joueurs a été le summum du ridicule et a apporté la honte sur notre football aux yeux du monde entier. Et les joueurs qui ne s'entendent pas entre eux ne redorent le tableau. Pour les joueurs de l'équipe de France on aurait dut faire comme avec l'Argentine en 1958, leur balancer des pièces à l'aéroport et leur dire qu'ils étaient pas assez payés. Et ils ne nous ont pas laissés ça, fuyant comme des lâches à l'aéroport. Et enfin Domenech qui ne serre pas la main de Carlos Parreira, l'entraîneur de l'Afrique du Sud, achève ce bilan désastreux.

L'Italie après deux nuls 1-1 face au Paraguay et à la Nouvelle-Zélande, finit par sortir par la haute porte en perdant 3-2 contre la Slovaquie dans un très beau match. Note spéciale au superbe but de Quagliarella, un lob de 20 mètres en pleine lucarne. L'Italie est le troisième champion du Monde à être éliminé au premier tour. La faute à Lippi le sélectionneur qui n'a pas fait confiance à la jeunesse.

Mention spéciale pour l'Angleterre. Elle est passée complètement à côté de la Coupe du Monde. On dit que l'absence de Beckham et Rio Ferdinand en serait la cause. Non ! Rooney, Lampard et Gerrard les joueurs phares de cette équipe n'ont rien montré. La défaite en 1/8 de finale contre l'Allemagne 4-1 était tout à fait méritée. Capello n'avait pas de munitions pour aller plus loin.

Le Nigéria avait pourtant un bon entraîneur Lars Lagerback et pourtant elle a loupé la Coupe du Monde en terre africaine. Une défaite normale 1-0 contre l'Argentine, elle pouvait briller dans les matchs suivants. Elle perdit ensuite contre la Grèce 2-1 réduite à 10 et ne put qu'arracher qu'un nul 2-2 contre la Corée du Sud. Un superbe match entre deux équipes jouant le tout pour le tout. Uche n'arriva jamais à avoir la patte qui aurait pu faire de lui un grand leader.

Le Brésil lui mérita sa défaite en ¼ de finales contre la Hollande 2-1. Le jeu proposé par les Brésiliens était indigne du festival offensif attendu et ses stars comme Kaka, Robinho et Luis Fabiano ne m'ont pas emballé. Une qualification sans panache au premier tour, face à la Corée du Nord (2-1) et la Côte d'ivoire (3-1) et un nul (0-0) où le Brésil ne menaça jamais les Portugais. Le 1/8 de finale facile face au chili (3-0) où son milieu de terrain était privé d'Estrada démontre cela. Dunga a dénaturé son équipe par un jeu défensif, trop italien.
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#Posté le dimanche 11 juillet 2010 15:12

Modifié le lundi 12 juillet 2010 05:35

Coupe du Monde 2010 (2)

J'ai eu la confirmation d'équipes dont je pensai du bien : Les équipes de la zone Asie notamment la Corée du Sud, le Japon, l'Australie et la Nouvelle-Zélande. La Corée du Sud, la meilleur équipe d'Asie, a confirmé en créant la surprise d'entrée en battant la Grèce 2 à 0, et malgré une défaite 4-1 contre l'Argentine, elle se qualifia après un superbe match nul 2-2 contre un Nigéria très résistant. Le 1/8 de finale contre l'Uruguay fut très beau et malgré la défaite 2-1 la Corée du sud est sortie par la grande porte. Le japon lui créa d'entrée la surprise en battant le Cameroun 1-0, un des favoris. Battus seulement 1-0 par les Pays-Bas, les Japonais créent la surprise en se qualifiant après avoir battus la Danemark 3-1. Mention spéciale pour les buts sur coups francs de Honda et Endo. Le Paraguay prudent battra le Japonais après un match sans but après prolongations, dans la terrible séance des tirs aux buts 5 à 3. Le Japon me laissera l'image d'une équipe combattive et collective au beau jeu. L'Australie après avoir subie un terrible revers face à l'Allemagne, 4 à 0, elle arrachera le nul face au Ghana, un des favoris, 1 à 1, avant de battre la Serbie 2 à 1. Cette coupe du monde a confirmé tout le bien qu'on pensait de cette équipe. La grosse surprise est le fait que la Nouvelle-Zélande est partie avec trois nuls face à la Slovaquie (1-1), l'Italie (1-1) et le Paraguay (0-0). Cette équipe même menée au score se battait pour revenir et son jeu particulièrement accrocheur expliquait ces résultats.

La Slovénie s'avéra malchanceuse et pour dire. Après un succès mérité 1-0 contre l'Algérie. Elle fit match nul 2-2 avec les Etats-Unis après avoir mené 2-0, ne pouvant rien faire face au pressing américain. Elle quitta le Mondial battue par l'Angleterre 1-0 sur un but de Cole et pourtant la Slovaquie avait eu des occasions de revenir. Dommage car cette équipe méritait mieux. Birsa, Stevanovic et Lubijankic ont été très bons et sont les révélations slovènes de ce Mondial.

Les Etats-Unis ont donné une belle image du football. Une équipe au beau jeu et au pressing redoutable qui arracha le nul à l'Angleterre 1-1, et à la Slovénie 2-2, après avoir été menée 2-0. Et après un match où le résultat pouvait basculer à tous les instants face à l'Algérie, Donovan donna le but de la qualification dans les arrêts de jeu 1-0. Le 1/8 fut superbe face au Ghana qui vit perdre les Etats-Unis 2-1 après prolongations. Mention spéciale pour Donovan et Altidore.
Le Mexique est toujours là, après un nul surprise 1-1 face à l'Afrique du Sud, il se débarrassa facilement 2-0 de la France. Une défaite normale face à l'Uruguay et l'inévitable Luis Suarez permet toutefois leur qualification au second tour. Les 1/8 de finales verront son élimination 3-1 face à l'Argentine, même si le résultat ne montre pas la réalité, tant les mexicains ont été accrocheurs dans ce match. Le Mexique m'a laissé une belle impression tant son jeu était beau et par sa proximité avec ses supporters. Rendons hommage à Blanco qui à 37 ans, sait encore faire la technique de la grenouille et qui mit un pénalty à la France. Bravo !

L'Amérique du Sud a le droit à une grande équipe paraguayenne qui dès les groupes arracha le nul 1-1 face à l'Italie à la surprise générale et finit première du groupe après avoir assuré sa qualification contre la Slovaquie (2-0) et contre la Nouvelle-Zélande (0-0). Au second tour, le Paraguay élimina le japon fatigué 0-0 après prolongations, aux tirs aux buts 5-3 et se retrouva face à l'Espagne en ¼ et lui tint la dragée haute ne perdant 1-0 que sur un but hors jeu de David Villa. L'équipe chilienne pratiqua aussi un beau jeu gagnant ses deux premiers matches face au Honduras (1-0) et face à la Suisse réduite à 10 (1-0), elle finit deuxième de son groupe face à l'Espagne perdant (2-1) réduite à 10. Elle perd Estrada le coordinateur du milieu expulsé ce qui explique sa terrible défaite 3-0 face au ; Brésil.

Bonne Coupe du Monde pour l'Algérie qui après un mauvais match contre la Slovénie perdu seulement 1-0 fit deux meilleurs matches. Elle arracha un nul 0-0 à l'Angleterre où elle domina complètement. Et son dernier match est sans doute son plus beau, celui face aux Etat-Unis où chacune des deux équipes pouvaient arracher la victoire. L'Algérie perd seulement à la dernière minute sur un but de Donovan. Yebda, Ziani et Matmour ont été brillants dans cette Coupe du Monde.

Enfin parlons du Ghana, la meilleure équipe africaine. Battant la Serbie 1 à 0 avec un certain réalisme, réduite à 10 elle dut se contenter du match nul 1-1 face à une Australie accrocheuse, et se qualifia malgré sa défaite 1-0 contre l'Allemagne. Les Baghana comme les appelaient les Sud Africains arrachèrent leur qualification en ¼ de finales en battant les Etats-Unis 2-1 après prolongations dans un superbe match où chacune des deux équipes pouvaient gagner. Les quarts de finales verront l'Uruguay les battre après un match nul 1-1 après prolongations dans les terribles tirs au but 4-2. A signaler le superbe but de Muntari des 25 mètres et de Forlan sur coup franc. Signalons le penalty manqué par Gyan qui aurait propulsé le Ghana en ½ finales.

Mention spéciale pour l'Afrique du Sud, première équipe organisatrice à ne pas passer le premier tour. Malgré cela, bien entraîné par Carlos Parreira, les Bafanas Bafanas arrachent le nul 1-1 face au Mexique avec un superbe but de Tshabalala. Réduit à 10, ils ne peuvent rien faire et se font battre 3-0 par l'Uruguay. Mais ils quittent le mondial la tête haute en battant la France 2-1 et auraient pu se qualifier au second tour.
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#Posté le dimanche 11 juillet 2010 15:14

Modifié le mardi 13 juillet 2010 07:41

Coupe du Monde 2010 (3)

Le grand ouf est pour l'élimination dès le premier tour de la Serbie, de la Suisse et de la Grèce, tant ces équipes ont jouées un jeu défensif sur contre des plus ennuyeux. Ne sachant pas attaquer face à une équipe résolue, la défaite et le nul sont inévitables. La défaite de la Suisse contre le Chili (1-0) et son nul contre le Honduras (0-0) en sont la preuve. L'élimination de la Grèce par l'Argentine (2-0) était méritée, tant le jeu proposé par les grecs était laid. Et la Serbie malgré son succès 1-0 face à l'Allemagne, a méritée son élimination et sa défaite face à l'Australie (2-1) tant le jeu proposé par les Serbes ne valait pas plus, mais elle fut meilleure que la France, normal elle était première de notre groupe de qualification.
Mention spéciale pour la Côte d'Ivoire toujours qualifiée avant d'avoir jouer. Un nul 0-0 contre le Portugal et les Ivoiriens s'y voyaient déjà. Ils ont été trop respectueux face à un Brésil qui les domina et les battirent logiquement 3-1. Une petite victoire 3-0 face à la Corée du nord et les voilà encore chez eux après que le Portugal que tout le monde donnait battu se qualifia. Drogba et ses amis ont cru trop tôt que ce mondial africain serait le leur et ils ont du faire face à une cruelle réalité.

La Slovaquie s'avéra être une surprise. Il faut dire qu'après un nul (1-1) face à la Nouvelle-Zélande et la défaite face au Paraguay (2-0), on misait peu sur leurs chances. Les Slovaques s'avérèrent toujours juste en deuxième mi-temps. Tactiquement leur meilleur match s'avéra contre l'Italie qui vit leur qualification au second tour. La Slovaquie gagna 3-2 après avoir mené 2-0 et 3-1 grâce à un bon remplacement, l'entrée en jeu de Kopunek qui marqua le 3e but. Ce fut un match fou et l'un des plus beaux de ce Mondial. Au second tour, les Slovaques furent éliminés par la Hollande 2-1 malgré une très bonne deuxième mi-temps, mais ils ne crurent pas assez en leur chance. Vittek l'ancien Lillois quitta la coupe du Monde avec 4 réalisations. Et Hamsik a brillé de toute sa classe dans le milieu de terrain.

Les équipes qui m'ont fait rêver sont l'Allemagne, l'Argentine et l'Uruguay. L'Argentine entraînée par Maradona, c'est le rêve. Les Argentins ont développé un très beau jeu jusqu'en ¼, où dépassé par l'enjeu et sans doute tendu, loupèrent le match à ne pas rater face à l'Allemagne en perdant 4-0. Maradona est devenu l'attraction de cette Coupe du Monde, il suffisait de voir sa relation avec les joueurs surtout quand il y avait but. Il a apporté à l'Argentine son sens du spectacle. Il suffit de voir la reprise de volée en pleine force de 25 mètres de Tevez face au Mexique. Cette équipe magique méritait mieux qu'une élimination en ¼. Et il est normal qu'à la descente de l'aéroport, les Argentins furent accueillis en héros.

L'Allemagne et l'Uruguay ont développée le plus beau jeu avec l'Argentine. Une Allemagne jeune et motivée, au jeu spectaculaire et qui donnait envie de voir la télé. Dès son 1er match contre l'Australie l'Allemagne impressionna en gagnant 4-0. Elle termina logiquement première malgré une défaite face à la Serbie 1-0. Le talent de l'Allemagne éclata dès le second tour en battant l'Angleterre 4-1 et l'argentine 4-0 à la surprise générale. Malheureusement l'Allemagne rata le match qu'il ne fallait pas perdre 1-0 contre l'Espagne qui fut meilleure. Et que dire du match de troisième place face à l'Uruguay que l'Allemagne gagna 3-2 et qui est peut-être le meilleur match que j'ai pu voir.

L'Uruguay faisait partie de mes favoris. Je trouvais ses joueurs extraordinaires comme Forlan, Luis suarez, Cavani et Maxi Pereira (je suis très attaché à ce joueur car il vient de Benfica). L'équipe brilla dès les groupes en arrachant un nul à la France (0-0) en jouant à 10, puis écrasa l'Afrique du Sud (2-0) réduite à 10 avec un doublé de Forlan et finit première en battant le Mexique (1-0) dominé. Le 1/8 face à la Corée du Sud fut belle et ce fut Luis Suarez qui qualifia son équipe (2-1) avec un doublé. Un ¼ de finale haletant qui vit l'Uruguay gagner aux tirs aux buts 4-2 après un nul 1-1 après prolongations face au Ghana après que Luis Suarez sauva de la main son équipe d'un but et fut expulsé, depuis cette main est appelée «main de la Vierge». Gyan rata le penalty suite à cette faute. En ½ l'Uruguay perdit 3-2 contre les Pays-Bas et la Céleste n'abandonna jamais afin de revenir à 3-3. Et que dire du match de classement tout simplement beau que l'Uruguay perdit 3-2 contre l'Allemagne. Une belle équipe qui méritait mieux, combative et belle.

Mention spéciale pour le Portugal. Elle termine meilleure défense du mondial avec un seul but encaissé. Ses matches techniquement furent parfaits arrachant le nul face à la côte d'Ivoire et au brésil 0-0 qui voyaient le Portugal déjà battu. Et quel festival offensif nous ont-ils offerts face à la Corée du Sud 7-0. Un vrai régal avec 6 buteurs différents. Le Portugal se qualifia logiquement au second tour. Et en 1/8, une nouvelle erreur d'arbitrage face à l'Espagne les élimina (1-0) et une expulsion imaginaire de Ricardo Costa me mirent en colère. Après tout ça ne fait que 40 ans que le Portugal se fait voler par l'arbitrage. Honteux !
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#Posté le dimanche 11 juillet 2010 15:16

Modifié le mardi 13 juillet 2010 07:43

Coupe du Monde 2010 (4)

Parlons des finalistes. L'Espagne et les Pays-Bas dont le jeu est aussi plaisant qu'un épisode de Derrick. Ces deux équipes n'ont pas démontré un niveau de jeu extraordinaire, la seule pensée de les voir toutes les deux en finale me fait dresser les cheveux sur la tête.

Parlons d'abord de l'Espagne. En gros 1h30 de pousse ballon. Où est passé l'équipe championne d'Europe en 2008 à la retraite avec Luis Aragones peut-être ? Les gestes d'anti jeux espagnols comme se tenir le visage alors qu'on pas été tapé, comme Torres face au Chili et Capdevilla face au Portugal, c'est minable. Les attaquants espagnols se résument à David Villa, seule lumière dans une équipe qui n'est plus que l'ombre d'elle-même. Le parcours espagnol débute par une défaite 1-0 contre la Suisse méritée, puis les espagnols battent le Honduras 2-0 sans convaincre et se qualifie au second tour en battant 2-1 le Chili réduit à 10. Le second tour voit l'Espagne se qualifier en 1/8 contre le Portugal (1-0) et en ¼ contre le Paraguay (1-0) sur deux erreurs d'arbitrages. Leur seul bon match est contre l'Allemagne mauvaise qui perd (1-0). Un parcours indigne de cette grande équipe.

Pour les Pays-Bas j'y vais de bon c½ur. Une équipe qui n'a convaincue personne, ne s'exprimant que par un jeu dur et douée pour les gestes d'anti jeu. Van Bommel n'a rien à faire sur un terrain, il ne joue pas il détruit. Robben lui a la maladie des os de verre à l'approche de la surface. C'est un plongeur. Son parcours dans un groupe où les Pays-Bas n'ont pas brillé gagnant toujours au minimum vital, 2-0 contre le Danemark, 1-0 contre le Japon et 2-1 contre le Cameroun sans avoir à forcer. Le 1/8 contre la Slovaquie gagné par les Pays-Bas 2-1 s'avéra pas assez relevé. Le ¼ de finale face au Brésil gagné par les Pays-Bas 2-1 est le modèle de l'antijeu et d'un Brésil trop sûr de lui. La ½ finale est là le summum car une erreur d'arbitrage permet aux Pays-Bas de gagner 3-2 face à l'Uruguay. Oui, on peut perdre 2 partout ! Aucuns joueurs hollandais ne m'ont emballé, je préférai l'équipe de 2008.

La finale est l'exemple du jeu proposé par ces deux équipes. Parlons des 90 minutes d'un match qu'on nous disait incroyable avant la prolongation. 0-0 et ça ne m'étonnait pas. Un épisode de Derrick est plus passionnant. L'Espagne et la Hollande se neutralisaient et le match se résumait à des passes vers le gardien, au jeu violent et destructeur des Pays-Bas ne sachant que faire à part des contres et une Espagne jouant lentement et dominant stérilement. Seuls faits de ses deux mi-temps : les deux occasions de Robben pour les Pays-Bas et celle de David Villa inexistant dans ce match. L'arbitrage de Webb calamiteux n'a rien fait pour rendre le match plus vivant. A signaler les joueurs qui se sont signalés par les gestes d'antijeu, Van Bommel accoutumé du fait, Van Persie loin de son rayonnement de l'Euro 2008, Heitinga, ne défend pas, il détruit et, De Jong qui a fait une prise de Karaté sur un joueur espagnol et ne se fait pas expulser.
La prolongation parlons-en. Totalement dominés par l'Espagne, les Pays-Bas réduits à dix après l'expulsion de Heitinga, voient un Fabregas changer totalement le jeu de L'Espagne et la faire aller de l'avant. Navas apporte le danger et un Iniesta toujours aussi bon pour temporiser et calmer le jeu. Et c'est Fabregas à la 116e minute qui donne le but de la victoire à Iniesta. Victoire méritée de l'Espagne dans un finale poussive et violente où 14 cartons jaunes ont été distribués dont 9 pour les seuls néerlandais et un joueur expulsé. Ensuite le plus pitoyable est que le sélectionneur Bert Van Marwijk a essayé de se dédouaner en disant que son équipe n'a jamais joué comme ça. Ben voyons ! Il n'a pas vu les matchs néerlandais le bonhomme. Sélectionner Van Bommel, son gendre et Heitinga, n'est pas pour bien jouer, tant ils ont rugueux. Cela démontre que les Pays-Bas ne sont pas venus jouer
Maintenant l'Espagne peut aller à Madrid pour fêter son nouveau titre.
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#Posté le dimanche 11 juillet 2010 15:17

Modifié le lundi 12 juillet 2010 05:31

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